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assurant des missions de service public par le récit et par le nombre

2.1. Comment définir la population face à l’absence de statut précis et de décompte définitif.décompte définitif

2.1.4. Les pratiques auto-définitionnelles : identification, regroupement et organisation organisation

La construction et la défense d’une juridiction est hautement tributaire d’un travail de justification auprès de cercles extérieurs desquels les professionnels tentent d’obtenir reconnaissan ce. Cette justification peut prendre la forme d’un travail pour faire valoir son utilité auprès de différents auditoires : l’administration, le grand public, la communauté de confrères.

De manière directe, il peut s’agir de l’adoption d’un code déontologique adopté par l’ensemble des actifs. D’autres éléments peuvent cependant être mobilisés, relevant moins du contrôle des activités professionnelles que du domaine de l’action subsidiaire et bénévole. Dans le cas de l’UGF, association généraliste et transversale, il s’agit de montrer le temps passé par les actifs à l’effort de vulgarisation en sus des activités professionnelles. L’effort de justification peut parfois prendre les atours d’une opération de communication visant à travailler sur les représentations que le grand public peut avoir des métiers du sous-sol : l’UGF juge ainsi dommageable sur le long terme la prégnance des images de catastrophes naturelles associées aux activités112.

La profession de foi de l’AGGS, dans une inversion des priorités, considère la contribution régulière aux rencontres scientifiques avant de mentionner comme autre critère le respect des lois et des codes de conduite, présenté de manière surprenante comme des objets contingents, susceptibles de disparaître ou d’évoluer avec le passage du temps : « Je m’engage à présenter une communication originale en

lien avec les métiers des eaux souterraines ; je m’engage également à respecter les codes de conduite professionnels ou les codes éthiques que la société peut instaurer à tout moment »113.

112Rapport d’activité2017.

113 “I undertake to present to the society original communication every year relating to the profession in Groundwater, I further undertake to abide by professional conduct rules or code of ethics that the society may frame time to time”.

191 Le fait que ces efforts de justification soient portés par une voix collective achoppe sur le mode d’organisation privilégié à l’intérieur du groupe, celui de l’association professionnelle.

D’après Chapoulie, le stéréotype social des professions établies est un référent séduisant dans la seconde moitié du XXe siècle : Il fait figure d’exemple à suivre pour orienter les actions collectives d’autres métiers. Le stéréotype sert ainsi de modèle aux constructions d’associations se donnant pour but la professionnalisation d’un corps de métier. De très nombreux groupes professionnels ont

prétendu à un statut analogue à celui des professions établies, et pour justifier cette prétention,

constituèrent des institutions semblables à celles du corps médical. Ainsi, infirmiers, kinésithérapeutes instituteurs, bibliothécaires, entrepreneurs de pompes funèbres, etc. se regroupèrent dans des associations professionnelles, tentèrent d’institutionnaliser l’entrée dans le métier en mettant en place des codes déontologiques et un contrôle sur les formations.

Alors que la population est parfois salariée, on retrouve ici les modes opératoires et organisationnels des professions libérales. Le référent y est plus l’association libre que le syndicat d’employés. On retrouve ici l’assertion fréquente dans les travaux fonctionnalistes de l’incompatibilité entre stature professionnelle et syndicalisation, entre associations professionnelles syndicales et non syndicales (Dorak, 1963).

Cette thèse est particulièrement prégnante dans les études sur les associations professionnelles qui paraissent d’autant plus fortes et conservatrices qu’elles ont obtenues des délégations d’autorité de l’État pour contrôler certaines activités. Inversement, le mode d’action jugé typique du syndicalisme et du monde ouvrier, la grève, est jugé moins performant que la négociation directe avec les autorités politiques et administratives. Elle est jugée comme un moyen de défendre seulement les intérêts de ses membres, se souciant peu de rendre plus profitable à la collectivité la fonction sociale que ses membres remplissent . A l’opposé, les associations professionnelles ont aussi prétention à ne pas défendre leurs seuls intérêts corporatifs dans la mesure où elles peuvent interdire d’exercice à des praticiens en leur sein dont l’incapacité ou le manque de déontologie serait démontré.

Chez les hydrogéologues, le mode privilégié d’organisation de l’action collective demeure la structuration en association professionnelle. Le diplôme d’ingénieur ou de scientifique rend la profession des hydrogéologues compatibles avec les aspirations sociales des classes moyennes plus tournées vers le modèle de la profession libérale que vers l’ouvriérisme. On trouve d’autres phénomènes d’émulation de ces dernières parmi les hydrogéologues.

192 2.1.4.1. Formalisation des formations. Nul n’entre ici s’il est géologue.

La défense du métier s’accompagne ici aussi d’une attention particulière aux diplômes des actifs, gage de qualité de la formation auprès des publics. Le contrôle des formations par les associations permet en contrepartie de réserver le droit d’exercer à ceux ayant suivi une formation étudiante longue, délivrée dans des établissements spécialisés. Pour les deux terrains en Inde et en France, cette condition de contrôle des formations diplômantes est renforcée pour l’insertion dans les o rganisations publiques, soit qu’il s’agisse de la passation d’un concours, soit que l’intégration nécessite un parcours de titularisation.

Dans les deux pays, la formalisation des profils s’opère en amont par un cursus en géologie, doublé d’une spécialisation en hydraulique au niveau post master. En Inde , la place prépondérante de la géologie dans les cursus des hydrogéologues s’incarne également dans les modalités des concours de la fonction publique indienne.

La structure organisatrice des concours publics, la Commission de l’Union de la Fonction Publique (UPSC), est active depuis 1926. Son existence et ses fondamentaux sont inscrits dans la Constitution de l’Union Indienne (Chapitre II, partie XIV, article 315). Le site internet de l’UPSC affiche de manière permanente les informations suivantes portant sur la présence permanente et régulière au concours de postes dédiés :

« L’épreuve nationale de géologie s’adresse à deux catégories : catégorie I, qui concerne la Carte Géologique de l’Inde (GSI) catégorie II, qui concerne les postes du Central Ground Water Board (CGWB).

[…]

L’UPSC invite les candidats de nationalité indienne éligibles aux métiers d’Assistant Hydrogéologie (groupe B) et d’Hydrogéologue Junior du CGWB (groupe A), établissement sous tutelle du Ministère des Ressources en Eau de l’Inde à soumettre leur candidature.»

Pour le groupe B : « tout diplôme de niveau post-licence (post graduates) en

Géologie/Hydrogéologie/Géologie Appliquée/Géologie Maritime de toute université ou institut dûment reconnu. »

Pour le groupe A : « tout Master en Géologie/Hydrogéologie/Géologie Appliquée/Géologie Maritime

d’une université ou institut dûment reconnu. »

Le concours national de Géologie est scindé en deux branches : celle de la catégorie I, qui correspond aux métiers de géologue de la Carte Géologique de l’Inde (GSI). La catégorie II concerne les métiers d’hydrogéologues au sein du Central Groundwater Board (CGWB). Un hydrogéologue junior ayant

193 intégré le CGWB nous explique son expérience propre de la passation du concours. Il a candidaté au concours commun des Géologues de la fonction publique. L’épreuve principale, commune aux deux catégories, porte sur un sujet de Géologie. Afin de candidater au CGWB, il a passé une épreuve en hydrogéologie, qui s’avère uniquement optionnelle. Ainsi, un impétrant qui se destine à l’hydrogéologie doit être titulaire de diplômes qui corresponde à des conditions d’éligibilité fortement orientés sur la géologie.

Un membre senior du CGWB revenait sur le mode de sélection des impétrants en soulignant l’importance des compétences en géologie reflétée par le nom même du concours.

« Les hydrogéologues sont considérés avant tout pour leurs compétences en géologie. Regardez, le nom

du concours est « Epreuve Nationale de Géologie » [« All India Geologist Examination »]. C’est ce qu’ils doivent réussir pour devenir hydrogéologues. Ceux qui visent les postes en hydrogéologie passent un second examen annexe en plus. Le critère des connaissances en hydrogéologie et d’éligibilité se joue seulement au niveau des options du Master. Si vous avez un Master en extraction minière de Dhanbad ou de toute autre institution avec quelques cours en hydraulique, vous êtes éligible. »

En France, la voie de titularisation comporte des critères de sélection et de condition d’éligibilité selon les diplômes fortement orientés sur la Géologie. La maîtrise de la discipline constitue le point de contrôle de l’accès au métier. C’est aussi par son biais que s’exprime les volontés de droit de regard sur les formations des jeunes actifs et des candidats. Les commentaires peu amènes envers les structures de formation, le bagage universitaire des spécialistes en charge des eaux souterraines en France revient souvent dans les conversations, visant à faire valoir indirectement un souci du professionnalisme et de l’exigence :

« Il faut dire que trop peu d'Université ou Ecole forment correctement et trop peu [sic] les

hydrogéologues. Bien souvent les postes des collectivités territoriales ou dans les structures privées (bureau d'étude et ONG) initialement définis comme poste d'hydrogéologue sont occupés par des personnes qui n'ont pas reçues une formation d'hydrogéologue ».

Déplorer la déperdition des formations d’hydrogéologue est une attitude à double enten te : soit que les nouveaux venus sur le marché ne sont pas considérés comme des hydrogéologues suivant les formations établies : cursus de géologie puis spécialisation en hydrologie ou hydraulique. Soit que la force prégnance de la Géologie vis-à-vis de l’hydrogéologie dans les cursus classiques soit remise en question. Si le travail de formulation reste peu fourni à ce niveau de réflexion, ces deux assomptions ne sont pas forcément incompatibles. Elles démontrent dans les deux cas un jugement fort, si ce n ’est une volonté de contrôle des formations ayant pour enjeu les gages de qualité et de responsabilité.

194 2.1.4.2. Identifier pour dénombrer et se reconnaître

Ces initiatives de formalisation participent autant qu’elles en sont la condition d’un processus d’identification double. Dans un premier mouvement, selon le sens de la création d’une liste de praticiens. Ensuite, dans le sens d’une reconnaissance des similarités de pratiques, de vision et d’intérêts communs entre ces derniers. Si les eaux souterraines rasse mblent une nébuleuse d’actifs aux activités disparates, la constitution en association montre que les actifs se reconnaissent dans un titre commun d’hydrogéologue. Ce titre unifié n’étant pas une essence qui irait de soi : il nous incite à questionner le processus de rassemblement d’actifs en charge d’activités variées sous une acception commune. Cette appellation motive tout autant qu’elle requiert des mécanismes de mobilisation et d’organisation sur la base du volontariat, qui prennent la forme d’association.

Les différentes organisations présentées ci-après ont constitué un point d’entrée dans la population cible ; elles ont aussi été par la suite vecteur de diffusion de notre enquête quantitative.

Sur les deux terrains, les associations professionnelles sont moins actives en Inde qu’en France. Si ce point peut s’expliquer par les spécificités historiques du développement de la discipline dans un creuset français, il est aussi tributaire de dimensions structurelles plus contemporaines. Les hydrogéologues indiens officient dans des organisations dédiées, où le sentiment d’isolement peut être estimé moindre que dans les structures françaises où l’hydrogéologue peut être le seul actif mobilisé pour les eaux souterraines. La défense des intérêts collectifs y a lieu à l’intérieur de la structure employeuse, ou via les organisations syndicales transverses de la fonction publique indienne. L’adhésion associative est cependant souvent multiple sur les terrains en France et en Inde. Les adhésions à une association dédiée aux hydrogéologues s’accompagne parfois d’une adhésion à une association consacrée aux géologues. Ce fait n’est guère surprenant, si on considère l’imbrication disciplinaire structurelle de l’hydrogéologie au sein de la géologie. Au niveau des actif s, l’imbrication s’exprime par le fait que des géologues ont des activités en lien avec les eaux souterraines, ainsi que par la prégnance de la géologie dans la formation et les activités des hydrogéologues.

2.1.4.2.1. Société Géologique de France : rassembler la dispersion

Nous avons choisi de nous intéresser à la Société Géologique de France (SGF) ancienne Union Française des Géologues (UFG), dans la mesure où des hydrogéologues étaient membres de son bureau. Dans ses statuts, cette organisation se présente comme : une « association de professionnels des sciences

195 1999, l’association entreprit une initiative visant à lister l’ensemble des associations professionnelles impliquées dans les géosciences, à échelle européenne. L’exercice visait à la « publication d’un

annuaire, afin de recenser et préciser, voire découvrir le domaine d’activités des Associations, Groupements, Comités et Syndicats professionnels ou scientifiques » (Reynaud, 1999).

L’initiative est d’autant plus instructive qu’elle constitue un exercice d’établissement de l’écologie d’un champ professionnel, fait par les acteurs eux-mêmes. Les résultats de l’enquête parurent sous le titre suivant : « Associations, Comités, Groupements… Rassemblement ou dispersion ? » (Reynaud, 1999).Le titre de l’enquête met en exergue la multitude des entreprises de rassemblement corporatiste et le paradoxe inhérent à un tel tissu associatif : la profusion des initiatives de regroupement, si elle est signe de volonté de ralliement, prése nte un risque d’éparpillement. Deux décennies plus tard, on ne peut que constater l’absence de poursuite de cet effort de recension. Une grande partie des organisations listées sont disparues ou en sommeil. Il est également possible que l’absence des effets de synergies espérés avec la construction européenne n’ait pas joué en faveur de la pérennité de l’entreprise.

Une troisième enquête réalisée par la SFG plus récemment a aussi attiré notre attention. Il s’agit d’un questionnaire porté par le volet Action Emploi de l’association. L’enquête était intitulée « Pour l’Union Française des Géologues : agir et communiquer ». Elle consistait en un questionnaire général à destination de ses adhérents. Le but en était de recueillir les attentes des membres de l’association quant aux actions visant à promouvoir les opportunités d’emploi, ainsi que la reconnaissance extérieure des métiers des sciences de la Terre, dans un souci de prendre en compte les différentes spécialités. L’exercice présente, sur une base nationale, un exemple d’écologie large du groupe professionnel. L’enquête laisse apparaître trois points saillants : la diversité de profils des personnes enquêtées, celles de leurs motifs d’adhésion à l’association, ainsi que des besoins exprimés au sein des diverses communautés de métier. L’observation de la variété des situations et de la différenciation des conditions d’exercice permettent d’établir des principes de comparaisons, desquels on peu t dégager les propriétés d’une unité des pratiques, qu’elles soie nt réelles ou revendiquées (Rainwater & Strauss, 1962).

Avec un périmètre plus spécialisé que la SGF, les associations professionnelles spécifiquement dédiées aux hydrogéologues n’en conservent pas moins un niveau plus ou moins élevé d’inclusivité. La présentation ci-après des différentes organisations met en avant les partis-pris de mobilisation à l’œuvre dans cette plus ou moins grande ouverture.

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2.1.4.2.2. Association Internationale d’Hydrogéologie : un réseau global ouvert à toutes et à tous

En Inde, le chapitre indien de l’Association Internationale des Hydrogéologues (INC-IAH) comportait 89 membres en 2016. A titre de comparaison, le réseau AIH global compte 4 000 membres répartis sur 135 pays. Créé en 1984, l’INC-IAH est une association dédiée au regroupement des hydrogéologues indiens, de manière généraliste. A l’instar du chapitre français, elle ne pratique pas une sélection de ses adhérents suivant leur profil et leur structure d’emploi.

L’inscription y est libre, sans parrainage. Semblable dans l’esprit au réseau global IAH, elle se présente « en forum pour les scientifiques et les ingénieurs actifs dans le domaine de l’hydrogéologie, de la

gestion et de la protection des eaux souterraines, dans une perspective nationale et internationale ».

Suivant cette optique, les ateliers et rencontres qu’elle organise sont ouverts à toutes et à tous moyennant participation financière, sans que les informations produites par le rése au ne soient limitées. L’adhésion n’est pas restreinte par des critères de profil : diplômes ou expérience. Nous avons pu ainsi devenir nous-même adhérente, donc inscrite dans le fichier des membres du chapitre indien en 2016.

En revanche, on constate une forte présence du CGWB dans le bureau de l’association. Le Président de l’INC-IAH est un ancien directeur du CGWB, aujourd’hui retraité. Sur une composition de neuf membres, cinq sont des employés du CGWB. Les trois autres membres comportent un employé d’un groupe d’extraction minière, un ingénieur d’une entreprise de travaux public, et un universitaire. Le fichier des membres présente sur 89 individus 60 affiliations au CGWB et 6 employés des bureaux d’irrigation des États Régionaux. Le reste des membres est constitué d’étudiants, et de retraités n’ayant pas renseigné leur ancien organisme de rattachement.

2.1.4.2.3. Association of Global Groundwater Scientists : une orientation universitaire en Asie du Sud avec un prérequis dans les profils

Une autre association dédiée à former un réseau d’hydrogéologues est présente en Inde, intitulée Association of Global Groundwater Scientists (AGGS). Comme dans les cas rencontrés en France d’adhésion multiple à plusieurs réseaux consacrés aux eaux souterraines, on retrouve dans son organigramme des noms connus. Le vice-président de l’INC-IAH, au profil académique, est aussi président de l’AGGS. La principale activité de cette association consiste en l’organisation de l’International Groundwater Congress (IGWC), événement annuel consacré à la recherche en hydrogéologie : « cette conférence vise à rassembler scientifiques, chercheurs, étudiants, ingénieurs,

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spécialistes des ressources hydriques, administrateurs, représentants d’ONG, ainsi que tous ceux intéressés aux eaux souterraines et aux problématiques environnementales, dans une plateforme commune, afin de fournir l’opportunité d’échanger idées, compétences, savoir-faire, expérience et techniques des différents aspects de la recherche hydrogéologique produite ces dernières années en Inde et au-delà des frontières ».

En dépit de la mention internationale, cette conférence est fréquentée par un public à dominante largement indienne. Une étude du programme présente des orientations très universitaires et indo-centrées. Les conditions d’adhésion comportent cependant un prérequis de diplômes ou d’inscription dans une formation dans l’un des différents domaines : « sciences ou l’ingénierie des sols et de la conservation de l’eau » ; « ingénierie civile » ; « sciences géophysiques » ; « sciences de la Terre » ; « hydrogéologie ». La structure des frais d’adhésion de l’AGGS inclut également différentes catégories significatives d’une ouverture, y compris des actifs du secteur privé (« entreprise privé » ; « personne

qualifiée à travailler dans le domaine des eaux souterraines »). En dépit de ses marqueurs d’ouverture

vers un public cible large, l’association compte 100 adhérents dans son fichier. Qu’ils soient ou non corporatifs, les thèmes défendus par les associations ne préexistent pas purement et simplement chez leurs adhérents : les associations contribuent à déterminer le champ des revendications possibles dans lequel s’inscrivent la défense des intérêts. Sous le label commun d’hydrogéologue, le groupe professionnel est une communauté dont on ne peut se dispenser d’étudier les formes d’intégration et de différenciation.

2.1.5. Les choses sans frontières : un groupe professionnel traversé de grands tropes

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