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L’apprentissage du maillon intermédiaire « Utiliser la maison de Bernie »

« Bernie passeur de savoirs »

2. L’apprentissage au sein du dispositif de formation DF1 20

2.3. L’apprentissage du maillon intermédiaire « Utiliser la maison de Bernie »

La pratique spécifique « Bernie passeur de savoirs » tend à faire rentrer les élèves dans un imaginaire autour de la marionnette. Parmi les artifices utilisés par le pair formateur afin de donner vie à Bernie il est possible de citer « la maison de Bernie ».

Le résultat relatif à l’apprentissage du maillon intermédiaire « Utiliser la maison de Bernie » porte sur l’enseignement et l’apprentissage du système de règles se rapportant : à l’utilisation d’une maison pour donner tout son sens à la marionnette et à l’utilisation d’une maison pour dévoiler des référents d’apprentissage.

L’analyse de l’activité du pair formateur permet de mettre au jour le système de règles mobilisé par ce maillon intermédiaire.

Pour le pair formateur, utiliser une maison permet d’octroyer une identité à la marionnette en demandant aux élèves de respecter des règles autour de sa vie (sommeil et réveil). C’est ce que montre l’extrait suivant.

Extrait 12 (PFR – EAC – Pratique spécifique « Bernie passeur de savoirs ») Notes d’observation

La maîtresse arrête de chanter et prend en main la marionnette « Bernie ». L’enseignante change de voix. La marionnette s’étire comme pour se réveiller et dit bonjour aux enfants. Les enfants lui répondent.

Extrait de l’EAC

PFR (31’29’’) : Bernie se réveille. Il est là, il arrive, il attend que l'on soit disponible pour lui.

Chercheur : donc on suppose que Bernie dort quand il n'est pas là.

PFR : c'est ça. Quand il n'est pas là il dort. Il dort dans sa maison. Donc cette chanson le réveille et l'amène à…

Chercheur : d'où la fonction de la chanson aussi ?

PFR : aussi, bien sûr aussi. C’est vrai, elle a aussi une double fonction, amener l'attention des élèves et réveiller Bernie et...

Chercheur : et préparer sa venue...

PFR : et préparer sa venue dans la classe. Je n'avais pas de maison avant. Maintenant, voilà c’est quelque chose que j’ai introduit, voilà, il dort dans sa maison. Et c’est une maison à laquelle on n’accède pas. Il vient à ce moment-là parce que le reste du temps il dort. Si on le réveille, il est de très mauvaise humeur. Donc là, voilà, il arrive, il aime bien qu'on lui dise bonjour, qu’on l'accueille.

Au cours de cet extrait, le pair formateur rend compte de son activité en énonçant la règle [« Quand il (Bernie) n'est pas là » vaut pour « Il dort dans sa maison » ce qui obtient pour

conséquence qu’ « (il faut) préparer sa venue dans la classe », « on n’accède pas (à sa maison) », « (on ne le réveille pas, car) si on le réveille il est de très mauvaise humeur »].

Suite au chant pour la marionnette, l’enseignante sort Bernie de sa maison et simule son réveil. Lors de l’EAC, le pair formateur explique que le sommeil de Bernie permet d’expliquer aux élèves l’absence de la marionnette aux autres moments de la journée « Il vient à ce moment-là parce que le reste du temps il dort ». Ce sommeil s’effectue non pas à la vue de tous les élèves, mais dans une maison « Quand il n'est pas là il dort. Il dort dans sa maison ». De plus il s’agit de ne pas réveiller la marionnette à tout moment de la journée « si on le réveille il est de très mauvaise humeur ». Afin de sortir la marionnette de son sommeil, les élèves chantent le chant de Bernie « Donc cette chanson le réveille ». Lors de ce réveil, la marionnette s’adresse aux élèves qui à leur tour doivent s’adresser à elle « il arrive, il aime bien qu'on lui dise bonjour, qu’on l'accueille », permettant ainsi aux élèves de mobiliser le langage oral.

Le maillon intermédiaire « Utiliser la maison de Bernie » est également régi par une règle visant le dévoilement de référents d’apprentissage afin de capter l’attention des élèves. C’est ce que montre l’extrait suivant.

Extrait 13 (PFR – EAC – Pratique spécifique « Bernie passeur de savoirs ») Notes d’observation

Un élève va chercher le panneau des apprentissages, puis le place à côté de l’enseignante. Sur le panneau figurent des photos des lieux de la classe et des supports pédagogiques utilisés par les élèves.

Extrait de l’EAC

Chercheur (52’31) : il y a toujours un panneau ?

PFR : oui il y a toujours un panneau. Il y a toujours ce panneau avec des référents visuels. (…) Chercheur (57’) : tu utilises des photos c'est ça ?

PFR : Alors, voilà, ça peut être une photo. Ça peut être... alors des fois, ça peut arriver que Bernie n'ait pas tout dévoilé et qu'il y ait des choses dans sa maison. C'est pour avoir un effet de suspense, pour tenter de capter à nouveau le groupe. Des fois il n’y a rien. Il y a juste l'espace et il n’y a rien dessous. On va chercher dans la maison quand il y a du matériel, des objets, en mathématiques par exemple. Ça peut être aussi des photos d'enfants dans l'action. C'est quelque chose que l'on a repris, comme ça on a la mémoire de ce qui a été fait avant. Et on va aller à l'étape suivante. Là c'était notamment les feuilles de route qu'ils ont. Et qui leur permet de pointer ce qu'ils ont fait ou pas fait aux ateliers autonomes.

Au cours de cet extrait, le pair formateur évoque une règle relative à l’utilisation de la maison [« (ne pas dévoiler sur le panneau des apprentissages tous les référents) Bernie n'ait pas tout dévoilé » vaut pour « (mettre des référents dans la maison) qu'il y ait des choses dans

sa maison » ce qui obtient pour résultat « avoir un effet de suspense, pour tenter de capter à nouveau le groupe »].

La pratique spécifique « Bernie passeur de savoirs » s’appuie également sur l’utilisation d’un panneau des apprentissages. Ce panneau est utilisé par l’enseignante afin de présenter aux élèves les ateliers de la matinée. Elle fait ainsi figurer sur le panneau un référent du lieu où se déroulera l’activité (photo du lieu), et un référent de l’activité d’apprentissage en elle-même (photo d’élève en action, support pédagogique…)25.

Lors de cet extrait, le pair formateur évoque le fait que certains référents d’activité peuvent être dans la maison de la marionnette « des fois, ça peut arriver que Bernie n'ait pas tout dévoilé et qu'il y ait des choses dans sa maison ». Ces éléments sont non dévoilés dans la circonstance où ce sont des objets « On va chercher dans la maison quand il y a du matériel, des objets, en mathématiques par exemple ». L’intention du pair formateur en agissant ainsi est d’obtenir l’attention de ses élèves « C'est pour avoir un effet de suspense, pour tenter de capter à nouveau le groupe ».

Lors de l’enseignement ostensif de ce maillon intermédiaire, le pair formateur évoque la règle relative au dévoilement des référents ainsi que celle portant sur l’octroi d’une identité à la marionnette.

C’est ce que montre l’extrait suivant.

Extrait 14 (Enseignement ostensif PFR – PFÉ)

PFR (13’10’’) : Donc le choix du référent… ce n’est pas toujours facile de trouver quelque chose.

Alors des fois, quand ça ne peut pas être matérialisé par un écrit, Bernie met dans sa maison. Et il sort… tu vois, il dévoile…

PFÉ : au fur et à mesure il dévoile les choses…

PFR : voilà.

PFÉ : il me faut une maison aussi.

PFR : oui il faut que tu lui trouves quelque chose… j’ai fonctionné au départ sans… mais c’est vrai que la maison dans laquelle il vit… ça lui donne vraiment tout son sens.

PFÉ : oui, toute sa dimension. Il va se coucher, il se réveille, c’est bon il va au calme maintenant…

PFR : oui voilà… et puis quand ils savent qu’il est dans sa maison, ils n'y touchent pas. Il est dans sa maison, chute, on ne fait pas de bruit.

PFÉ : oui, c’est ça.

PFR : Il dort, et puis on ne le réveille qu’à ce moment-là. Puis après il se met près du panneau des ateliers pour observer, pour matérialiser l’endroit quand ce temps-là finit. Et puis ensuite il retourne dans sa maison. On le retrouve le lendemain à la même heure.

25Ces éléments seront plus amplement détaillés lors de la section suivante « L’apprentissage du maillon intermédiaire « Utiliser le panneau des ateliers » »

PFÉ : d’accord, donc moi il faut que je fasse tout ça alors ? Tout ça pour lundi…

PFR : après, je ne peux pas te dire que je te prête la maison de Bernie… ça n’a aucun sens.

PFÉ : non, non, il lui faut sa maison, il lui faut sa propre maison.

PFR : ben, tu vas au marché de Saint-Leu le samedi matin. C’est là où j’ai acheté la maison de Bernie.

PFÉ : oui, mais… j’irai au petit chinois-là, il y a des choses, il y a des petites maisons toutes jolies en plus.

PFR : donc tu vois… voilà tu as déjà repéré. C’est bon.

PFÉ : oui, oui.

Lors de cet extrait, le pair formateur enseigne au pair formé différentes règles relatives à l’utilisation d’une maison pour la marionnette. La première est relative au dévoilement de certains référents d’apprentissage [« (Mettre des référents dans la maison) Bernie met dans sa maison » obtient pour résultat « et il sort… tu vois, il dévoile… (Dévoiler le référent) »] dans les circonstances où « (le référent) ça ne peut pas être matérialisé par un écrit ». La seconde règle porte sur l’octroi d’une identité à la marionnette [« (utiliser une maison) la maison dans laquelle il vit » obtient pour résultat « ça lui donne vraiment tout son sens »]. Le pair formateur décrit de plus certaines actions associées à la maison, tel que : demander aux élèves de ne pas toucher la marionnette quand elle est dans sa maison « quand ils savent qu’il est dans sa maison ils n'y touchent pas. Il est dans sa maison, chute, on ne fait pas de bruit », ne réveiller la marionnette qu’au moment de Bernie « Il dort, et puis on ne le réveille qu’à ce moment-là ».

Le pair formateur indique également au pair formé qu’il faut une maison spécifique pour la marionnette Épic « après, je ne peux pas te dire que je te prête la maison de Bernie… ça n’a aucun sens ». Le pair formé précise alors au pair formateur qu’elle sait déjà où trouver la maison de sa marionnette « j’irai au petit chinois-là, il y a des choses, il y a des petites maisons toutes jolies en plus ».

L’analyse de l’activité du pair formé permet de déceler des traces d’apprentissage du maillon intermédiaire « Utiliser la maison de Bernie ».

Lors de la mise en œuvre 1, le pair formé utilise également une maison et réveille la marionnette (qui dort). C’est ce que montre l’extrait suivant.

Extrait 15 (PFÉ – EAC – Mise en œuvre 1) Notes d’observation

Les élèves sont assis sur les bancs disposés en « U ». La maîtresse est assise en face sur une petite chaise. Elle annonce « On va réveiller Épic avec sa chanson ». Puis elle chante avec ses élèves

« Épic, beau Épic, c’est l’heure de se réveiller. Épic, beau Épic, maintenant nous t’attendons. » Extrait de l’EAC

PFÉ (1’53’’) : donc là, c’est une petite chanson. Je n’en avais pas. Mais que l’on a depuis vendredi. On avait déjà tenté une autre fois avec la classe vendredi dernier, et donc lundi voilà.

On a réveillé Épic par sa chanson.

Chercheur : d’accord, donc là tu chantes… et tu en penses quoi du fait de chanter à ce moment-là ?

PFÉ : ben, c’est top parce qu’ils sont tous calmes finalement. Ils sont tous dans le chant… je n’ai pas vu si tout le monde chantait, enfin ils ne le connaissent pas forcément tous. Mais voilà, ils attendent, ils chantent une chanson pour Épic et ils attendent qu’il se réveille. Il y a tous les regards qui sont tournés vers la maison d’Épic. Parce qu’Épic a aussi une maison maintenant.

Chercheur : eh oui, oui. J’ai vu, il a sa maison.

PFÉ : voilà, il a une belle maison ! Donc il dort bien dans sa maison. Et là maintenant on l’appelle avec une petite chanson et on le réveille.

Chercheur : Et là, le fait de chanter au début du moment d’Épic, ça apporte quoi à la situation ? PFÉ : ben ça y est, ils s’attendent à ce qu’Épic se réveille. Et que du coup il explique maintenant les ateliers de la journée. Ça y est, là c’est le moment où ils deviennent… ils savent qu’il faut être attentif. On commence la journée.

En plus de montrer le suivi de règle relatif à la chanson de la marionnette, cet extrait indique l’utilisation d’une maison spécifique. En effet, lors de cet extrait le pair formé précise au chercheur que la marionnette Épic a aussi une maison « il a une belle maison » et qu’il dort dans cette maison « Donc il dort bien dans sa maison ». Le discours du pair formé montre que ces actions sont conformes à celles du pair formateur (notamment quant à l’utilisation d’une maison spécifique dans laquelle la marionnette dort et d’où il est possible de la réveiller).

L’analyse de l’EAC de la mise en œuvre 1 montre également le suivi de la règle relative au dévoilement des référents d’apprentissage. C’est ce que montre l’extrait suivant.

Extrait 16 (PFÉ – EAC – Mise en œuvre 1) Notes d’observation

Épic présente les ateliers d’apprentissage qui sont sur son panneau. Puis il interroge les élèves sur un espace laissé libre « Et puis, là regardez. Il y a un problème ici. » Un élève répond « Il n’y a rien ! » Épic reprend « Et oui, il n’y a rien. » Après quelques questions, les élèves comprennent que c’est un atelier qui se déroulera avec la maîtresse. Épic demande alors aux élèves « Est-ce que vous voulez voir ce que maîtresse a préparé ? » Les enfants répondent en chœur « Oui ! » Épic annonce « Alors, je reviens ». L’enseignante dirige alors la marionnette dans la maison et saisit une boîte. Un élève dit alors « C’est caché dans la maison ! »

Extrait de l’EAC

PFÉ (51’52’’) : effectivement, j’ai caché… on jouait sur le jeu des boîtes à empiler, un jeu de numération pour apprendre à comparer des quantités, et on jouait dans les boîtes. Ils ont déjà fait l’activité la semaine d’avant. Donc ils connaissent qu’on va parler des nombres. Donc j’ai fait le choix, comme je n’avais pas de feuilles, rien, de mettre la boîte dans sa maison. Donc ils me voient me diriger vers la maison, donc forcément… c’est caché dans sa maison. Effectivement oui. La boîte était cachée dans la maison d’Épic. Et là, ils attendent tous. Ils sont curieux, ils attendent tous. Dans le silence forcément. (…)

PFÉ (53'9'') : ils pensaient donc, que c’était une boîte pour la nourriture d’Épic. Donc non, je leur ai expliqué après qu’Épic, c’était moi qui le nourrissais quand ils rentraient chez eux. Avant que

je rentre chez moi, je lui donne à manger et à boire. Comme ça la journée il ne réclame rien. Donc ce n’est pas à manger, le fait qu’il se trouve dans la maison c’était peut-être à manger. Donc non.

Chercheur : donc tu as décidé… tu aurais pu photographier la boîte…

PFÉ : non. Ça change un peu de support aussi. Mine de rien. Ils étaient sur feuille depuis tout à l’heure, là on prend un peu d’attention pour un truc manuel finalement. Rester sur feuille…

Chercheur : je veux dire… pour annoncer l’activité et tout…

PFÉ : j’aurais pu, mais non.

Chercheur : tu voulais varier un peu… c’est ça ?

PFÉ : oui. De temps en temps je prenais la boîte de KAPLA devant. À l’époque quand je n’avais pas la maison. Donc non, je varie un petit peu. Je ne reste pas sur le même support. Enfin j’essaie en tout cas de prendre l’attention qu’ils donnent. Parce que ça fait quand même… 12 minutes.

Écoute, ils sont assis, ils sont calmes et tout… donc j’essaie un peu de varier la chose quoi. Donc là on change de support ça y est on les intéresse à nouveau, on les captive à nouveau sur ce que l’on va faire et voilà. Ça marche puisque du coup ils sont tous intéressés par cette boîte finalement.

Et je ne sais pas si c’est moi qui le dis ou pas.

Au cours de cet extrait, le pair formé rend compte de son activité en énonçant la règle [« j’ai caché » vaut pour « j’ai fait le choix, comme je n’avais pas de feuilles, rien, de mettre la boîte dans sa maison » obtient pour résultats « Ça change un peu de support aussi », « Je ne reste pas sur le même support », « on les intéresse à nouveau, on les captive à nouveau sur ce que l’on va faire »].

L’enseignante décide de ne pas mettre un référent d’apprentissage sur le panneau des ateliers. Elle attire ensuite l’attention de ses élèves sur cette absence. L’enseignante prend enfin le support pédagogique qu’elle avait au préalable caché dans la maison de la marionnette.

Lors de l’EAC, le pair formé explique qu’elle a fait le choix de dissimuler l’un des référents dans la maison de la marionnette « j’ai fait le choix (...) de mettre la boîte dans sa maison » dans les circonstances où il ne lui était pas possible de l’afficher sur le panneau « je n’avais pas de feuilles, rien ». Son intention en agissant ainsi est de varier la nature des référents utilisés au cours de l’activité « Ça change un peu de support aussi ». Cette action a pour résultats de permettre aux élèves d’être attentifs de nouveau « Donc là on change de support ça y est on les intéresse à nouveau, on les captive à nouveau sur ce que l’on va faire ».

En procédant ainsi, l’action du pair formé est conforme à celle du pair formateur (elle décide de cacher un objet dans la maison de la marionnette). Elle agit dans les circonstances qui ont été également évoquées par le pair formateur lors de l’enseignement ostensif (le référent ne peut être matérialisé par un écrit). Conformément à l’action du pair formateur, le pair formé dévoile ensuite le référent caché. Le résultat qu’elle obtient est alors semblable à celui du pair formateur (évoquée lors de l’EAC sur la pratique spécifique « Bernie passeur de savoirs »), il s’agit de l’attention des élèves.

Dans la mesure où l’action de l’enseignante est conforme à celle du pair formateur, et dans la mesure où leurs attentes de résultats sont comparables, il est possible d’avancer que le suivi de cette règle est correct et qu’une « interprétation » a été produite par le PFÉ. Cette inflexion du suivi correct d’une règle témoigne d’un développement de l’activité professionnelle du PFÉ qui ajuste à ses « circonstances » d’action le suivi des règles apprises sous l’étayage du PFR.

L’analyse du contrôle de la mise en œuvre 1, montre que le pair formateur valide ce suivi de règle. C’est ce que montre l’extrait suivant.

Extrait 17 (Contrôle Mise en œuvre1 PFR – PFÉ)

PFR (51’8’’) : j’avais mis… il y avait quand même la photo de l’espace ? ou pas ? PFÉ : il n’y avait rien, il n’y avait pas… rien.

PFR : pourquoi ?

PFÉ : parce que, parce que je n’avais pas fait de photos, c’était le coin regroupement, je m’étais dit de toute façon je vais leur parler directement au coin regroupement. Et je n’ai pas pris de photos de l’activité parce que je pensais que c’était trop long de présenter Épic, le panneau, tout ce qui allait avec…

PFR : après la photo ce n’était peut-être pas ce qu’il fallait. C’était l’effet de surprise que… c’était ça ce que tu voulais mettre en avant ?

PFÉ : c’est ça.

PFR : c’est ça…

PFÉ : c’est ça et puis… les sortir un peu de ce qu’ils faisaient depuis le début quoi, depuis 10 minutes.

PFR : oui.

PFÉ : réveiller un peu au cas où ils étaient un petit peu trop partis quoi.

PFÉ : réveiller un peu au cas où ils étaient un petit peu trop partis quoi.

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