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L’apprentissage du maillon intermédiaire « Chanter la chanson de Bernie »

« Bernie passeur de savoirs »

2. L’apprentissage au sein du dispositif de formation DF1 20

2.1. L’apprentissage du maillon intermédiaire « Chanter la chanson de Bernie »

Le moment « Bernie passeur de savoirs » démarre de façon ritualisée par le même chant qui parle de la marionnette. Les élèves sont assis sur les bancs en face de l’enseignante et chantent pour Bernie qui dort encore dans sa maison. Ils tentent ainsi de le réveiller.

Le résultat relatif à l’apprentissage du maillon intermédiaire « Chanter la chanson de Bernie » porte sur l’enseignement et l’apprentissage de la règle se rapportant à l’utilisation du chant pour capter l’attention des élèves.

L’analyse de l’activité du pair formateur permet de mettre au jour le système de règles mobilisé par ce maillon intermédiaire.

Pour le pair formateur, chanter la chanson de Bernie permet d’obtenir différents résultats dont, notamment, l’attention des élèves. C’est ce que montre l’extrait suivant.

Extrait 2 (PFR21 – EAC – Pratique spécifique « Bernie passeur de savoirs ») Notes d’observation

La séance démarre. Les élèves sont dans la salle de classe, ils sont assis sur des bancs disposés en U. La maîtresse est assise en face de ses élèves et elle chante avec eux une chanson « Bernie, réveille-toi, Bernie, nous ne sommes pas tous là. Bernie, réveille-toi, Bernie, nous ne sommes pas tous là. Bernie, réveille-toi. »

Extrait de l’EAC

PFR (26’50’’) : donc là comme on voit on a une chanson, qui introduit ce temps, qui permet en même temps en amont de se rappeler si tout le monde est là. Parce qu’après on est là, ou on n’est pas tous là. On réveille Bernie, les paroles changent dans la chanson en fonction, si tout le monde est là ou pas. C'est un moment pour rassembler le groupe, c'est un moment où tout le monde chante. Ce moment capte l'attention des élèves pour annoncer l'arrivée de Bernie. Pour ceux qui seraient encore dans l'activité physique d'avant ou pour ceux encore… on voit bien que Élia est dans la seule préoccupation de la couronne22. Et Guillaume aussi.

Chercheur : ils ont préparé leur coup.

PFR : c'est vrai que ma question était est-ce que je diffère ce moment-là ou pas ? Après Bernie il ne sort que là. Il ne vient qu'à ce là donc voilà c'est une chanson qui amène ce moment-là, qui amène Bernie à sortir. Donc là Bernie sort de sa boîte, Bernie sort de sa maison.

Au cours de cet extrait, le pair formateur rend compte de son activité en énonçant les règles [« (Chanter) « Bernie, toi, Bernie, nous ne sommes pas tous là. Bernie, réveille-toi, Bernie, nous ne sommes pas tous là. Bernie, réveille-toi. » vaut pour « (chanter) une chanson (la chanson de Bernie) » ce qui obtient pour résultats « introduit ce temps » et « se

21 Le sigle « PFR » désigne le Pair Formateur

22 Lors de cette séance, les élèves avaient prévu une surprise pour Bernie. En effet, ils lui ont préparé une couronne

rappeler si tout le monde est là »] et de plus [« (chanter la chanson de Bernie) vaut pour « un moment où tout le monde chante » ce qui obtient pour résultats de « rassembler le groupe », de

« capter l'attention des élèves » et « amène Bernie à sortir (de sa maison) »].

L’enseignante chante avec ses élèves la chanson de Bernie. Lors de l’EAC, le pair formateur explique que ce chant est chanté par tous les élèves. La participation de toute la classe rassemble les élèves « rassembler le groupe » et ainsi concentre leur attention « capter l'attention des élèves » dans les circonstances où les élèves peuvent être préoccupés par autre chose « Pour ceux qui seraient encore dans l'activité physique d'avant ou pour ceux encore…

on voit bien que Élia est dans la seule préoccupation de la couronne ». Ce chant est également l’introduction du moment de Bernie et invite la marionnette à rejoindre les élèves « c'est une chanson qui amène ce moment-là, qui amène Bernie à sortir ».

Lors de l’enseignement ostensif, le pair formateur attire l’attention du pair formé sur le fait qu’elle chante afin de marquer ce moment, d’attirer l’attention des élèves et d’introduire l’arrivée de la marionnette. C’est ce que montre l’extrait suivant23.

Extrait 3 (Enseignement ostensif PFR – PFÉ24) PFÉ (0’29’’) : c’est la chanson ?

PFR : voilà.

PFÉ : nous on n’en a pas.

PFR : c’est une chanson qui nous permet…

PFÉ : donc il nous faut une chanson…

PFR : … ben déjà de marquer le temps, de ce moment-là de la journée, qui permet d’attirer l’attention de chacun sur l’activité dans laquelle on entre quoi. Voilà. En même temps, ça crée le suspense. Et puis l’objectif, c’est que ce soit eux petit à petit qui chantent cette chanson. Donc c’est vraiment quelque chose qui est ritualisé. Et c’est ce qui introduit l’arrivée de Bernie.

Lors de cet extrait, le pair formateur enseigne au pair formé la règle [« (chanter la chanson de Bernie) » vaut pour « (chanter « Bernie, réveille-toi, Bernie, nous ne sommes pas tous là. Bernie, réveille-toi, Bernie, nous ne sommes pas tous là. Bernie, réveille-toi. ») » ce qui obtient pour résultats « de marquer le temps, de ce moment-là de la journée », « d’attirer l’attention de chacun sur l’activité dans laquelle on entre » et « ça crée le suspense »].

Le pair formé identifie la chanson de Bernie « c’est la chanson » puis constate qu’il lui faut à elle aussi une chanson « donc il nous faut une chanson ». Le pair formateur lui explique alors les résultats et les attentes qu’elle associe à cette action. Selon elle, cela permet de marquer le moment de la marionnette dans la journée des élèves, de capter leur attention et de créer de

23 Les notes d’observation ont été ajoutées aux extraits d’enseignement ostensif lorsqu’elles apportaient un éclairage pour l’analyse. En dehors de ce cadre elles n’ont pas été présentées afin d’éviter les redondances.

l’attente « marquer le temps, de ce moment-là de la journée », « attirer l’attention de chacun sur l’activité dans laquelle on entre » et « (créer) ça crée le suspense ».

Lors de la mise en œuvre 1 le pair formé utilise elle aussi une marionnette « Épic ». Elle chante la chanson d’Épic et constate notamment que cela crée le moment d’attente et rend les élèves attentifs. C’est ce que montre l’extrait suivant.

Extrait 4 (PFÉ – EAC – Mise en œuvre 1) Notes d’observation

Les élèves sont assis sur les bancs disposés en « U ». La maîtresse est assise en face sur une petite chaise. Elle annonce « On va réveiller Épic avec sa chanson ». Puis elle chante avec ses élèves

« Épic, beau Épic, c’est l’heure de se réveiller. Épic, beau Épic, maintenant nous t’attendons. » Extrait de l’EAC

PFÉ (1’53’’) : donc là, c’est une petite chanson. Je n’en avais pas. Mais que l’on a depuis vendredi. On avait déjà tenté une autre fois avec la classe vendredi dernier, et donc lundi voilà.

On a réveillé Épic par sa chanson.

Chercheur : d’accord, donc là tu chantes… et tu en penses quoi du fait de chanter à ce moment-là ?

PFÉ : ben, c’est top parce qu’ils sont tous calmes finalement. Ils sont tous dans le chant… je n’ai pas vu si tout le monde chantait, enfin ils ne le connaissent pas forcément tous. Mais voilà, ils attendent, ils chantent une chanson pour Épic et ils attendent qu’il se réveille. Il y a tous les regards qui sont tournés vers la maison d’Épic. Parce qu’Épic a aussi une maison maintenant.

Chercheur : eh oui, oui. J’ai vu, il a sa maison.

PFÉ : voilà, il a une belle maison ! Donc il dort bien dans sa maison. Et là maintenant on l’appelle avec une petite chanson et on le réveille.

Chercheur : Et là, le fait de chanter au début du moment d’Épic, ça apporte quoi à la situation ? PFÉ : ben ça y est, ils s’attendent à ce qu’Épic se réveille. Et que du coup il explique maintenant les ateliers de la journée. Ça y est, là c’est le moment où ils deviennent… ils savent qu’il faut être attentif. On commence la journée.

Au cours de cet extrait, le pair formé rend compte de son activité en énonçant la règle [« (chanter la chanson d’Épic) » vaut pour « on l’appelle avec une petite chanson et on le réveille (avec la chanson : Épic, beau Épic, c’est l’heure de se réveiller. Épic, beau Épic, maintenant nous t’attendons) » ce qui obtient pour résultats « ils sont aux aguets, ils sont impatients », « ils attendent Épic », « ça crée le moment d’attente »].

Le pair formé chante elle aussi une chanson au nom de la marionnette avec ses élèves.

Lors de l’EAC, le pair formé explique qu’elle utilise pour sa pratique une marionnette dénommée « Épic ». Cette marionnette dispose également d’une maison « voilà, il a une belle maison ! Donc il dort bien dans sa maison ». Mais aussi d’une chanson. Pour le pair formé, cette chanson produit différents résultats. Elle permet de réveiller la marionnette « On a réveillé Épic par sa chanson », de créer une situation d’attente « ils attendent, ils chantent une chanson

pour Épic et ils attendent qu’il se réveille » et de rendre les élèves attentifs « là c’est le moment où ils deviennent… ils savent qu’il faut être attentif ».

L’analyse de cet extrait montre que l’action du pair formé est conforme à celle du pair formateur, de plus les attentes de résultats associées à cette action par le pair formé sont relativement semblables à celles du pair formateur.

Lors du contrôle de cette mise en œuvre, le pair formateur valide ce suivi de règle. C’est ce que montre l’extrait suivant.

Extrait 5 (Contrôle Mise en œuvre1 PFR – PFÉ)

PFÉ (0’58’’) : tu as entendu la chanson, tu m’as entendu chanter ça y est ? PFR : ouais. Bien.

PFÉ : bien ?

PFR : ben oui, on voit qu’ils sont tous… et puis on aperçoit Leïla tu vois l’effet de… l’intérêt accordé… le fait de fédérer tout le monde sur un temps, sur un temps fort. Donc là tu vois que tu captes… on voit que ton auditoire est…

Chercheur : comment s’appelle la petite fille tu dis ?

PFR : Leïla, elle se lève et… elle… on la voit… elle s’agite, tu vois, on sent que… le plaisir que…

donc le plaisir après d’écouter et de rentrer dans cette activité.

PFÉ : ouais, elle est vraiment dans l’ambiance du moment d’activité d’Épic.

PFR : voilà, c’est un moment qui permet de poser, d’éveiller l’attention de chacun, on sent bien qu’ils sont tous attentifs là. C’est ce qu’on attend. Qu’ils soient attentifs et disponibles.

Chercheur : et du coup tu penses quoi du chant ?

PFR : ben le chant, il joue bien son rôle. Il est bien amené, le résultat est là. Le plaisir, l’attention…

voilà. On sent qu’ils sont disponibles là. Ils sont dans une disponibilité, dans une attention pour rentrer dans ce temps.

PFÉ : c’est juste après le sport, parce qu’on sort du sport et c’est vrai que je ne m’attendais pas à ce qu’ils soient aussi… captivés quoi.

Au cours de cet échange entre les deux enseignantes, le pair formé attire l’attention du pair formateur sur le chant. Puis le pair formateur estime que le suivi de règle est correct « le chant, il joue bien son rôle. Il est bien amené, le résultat est là ». Elle indique ensuite que le résultat attendu quant à l’attention des élèves est bien obtenu « voilà, c’est un moment qui permet de poser, d’éveiller l’attention de chacun, on sent bien qu’ils sont tous attentifs là. C’est ce qu’on attend. Qu’ils soient attentifs et disponibles ».

Dans la mesure où l’action du pair formé est conforme à celle du pair formateur et dans la mesure où le pair formé associe l’attente de résultats adéquate à cette action, il est possible d’avancer que la règle relative au chant pour capter l’attention des élèves est suivie correctement.

Cette première section sur les apprentissages du pair formé est également l’occasion de mettre en exergue « la validation tacite du pair formateur » lors des activités de contrôle. En effet lors du second contrôle de mise en œuvre, bien que le pair formé suive à nouveau correctement la règle relative au chant, les deux enseignantes n’arrêtent pas la vidéo pour une validation supplémentaire.

Les EAC effectués sur les entretiens de contrôle de mise en œuvre mettent en lumière un accord tacite des deux enseignantes quant aux suivis corrects de règles. En effet, il apparaît que sans même avoir eu à se parler sur ce sujet, les deux enseignantes conviennent que l’absence de validation explicite d’un suivi correct vaut pour une validation. C’est ce que montre l’analyse des extraits suivants.

Extrait 6 (PFR – EAC – Contrôle de la Mise en œuvre 2)

Chercheur (1’22’’) : là, tu décides de ne pas intervenir sur la chanson de PFÉ.

PFR : non. Je suis déjà intervenue, on n’en a déjà parlé. En fait, moi j’avais une interrogation la première fois que je l’ai écoutée, c’était de savoir pourquoi ils avaient chanté une deuxième fois.

C’est pour ça que l’on me voit, j’avance, pour essayer d’entendre les propos… et donc ils chantent une première fois, je me dis bon il vous a entendu. Et puis après ils chantent une deuxième fois, c’est vrai que moi j’avais parlé de ça, du rôle de cette chanson, c’est de rentrer dans ce moment et de capter l’attention des enfants. Et, ça m’arrive parfois qu’on le chante plusieurs fois, jusqu’à ce que cette attention soit captée.

Chercheur : d’accord

PFR : c’est moi qui module, et qui fais sortir Bernie quand je sens que tout le monde est dans l’activité. Et avec PFÉ, ben elle ne l’a chanté qu’une seule fois. Et là, je me suis dit « tiens, ils la chantent 2 fois pourquoi ? » Et en fait, c’est parce que, en écoutant, j’ai compris qu’il y avait un enfant qui avait continué à chanter et donc du coup… c’était venu des enfants et non pas d’elle…

voilà. Moi je n’avais rien à dire de particulier par rapport à ça.

Chercheur : et là, tu penses que PFÉ, elle parvient à appliquer le chant à bon escient ?

PFR : ben oui, oui, oui, on les voit tous très attentifs, présents, et conscients que c’est le moment où Épic va arriver.

Chercheur : donc là finalement, le fait de ne rien dire est un fait… est-ce que tu peux dire, puisque ça fonctionne, tu n’interviens pas ? moi… je ne vais pas dire prône… mais ce que moi je mets en œuvre, et sur ses initiatives. Voilà.

C’est plutôt là-dessus que j’ai centré nos échanges. Après la chanson on l’avait déjà abordé, enfin ça y est, ben voilà. Comme quoi elle y était arrivée, et ça jouait le rôle escompté. Donc, c’est vrai que je n’ai pas conforté ça. Ce n’est pas là-dessus que j’ai…

Chercheur : puisque ça fonctionne, ce n’était pas nécessaire que tu interviennes…

Au cours de cet extrait, le pair formateur explique que lors du contrôle de la mise en œuvre 2 elle constate à nouveau un suivi correct de la règle « on les voit tous très attentifs, présents, et conscients que c’est le moment où Épic va arriver. » Néanmoins au cours de ce

contrôle, elle n’intervient pas. Interrogée par le chercheur sur cette absence d’intervention, elle en vient à livrer la règle qu’elle suit lors du contrôle de mise en œuvre [« je suis plus intervenue sur les choses qui m’interrogeaient » vaut pour « (intervenir sur ce) qui me posait problème, par rapport à ce que moi je voulais transmettre », « je me suis appuyée sur ce qui me semblait ne pas être en adéquation avec ce que moi… je ne vais pas dire prône… mais ce que moi je mets en œuvre, et sur ses initiatives » ce qui obtient pour résultat « c’est plutôt là-dessus que j’ai centré nos échanges »]. L’énonciation de cette règle montre que le pair formateur fait le choix d’intervenir sur les suivis incorrects plutôt que sur les suivis corrects. Par ailleurs, le discours du pair formateur semble avoir une portée générale et ne pas s’appliquer seulement au cas du suivi de la règle relative au chant. En effet le pair formateur évoque « les choses qui m’interrogeaient », « ce qui me posait problème » …

La règle suivie par le pair formateur peut-être mise en parallèle avec l’avis du pair formé sur l’absence d’intervention du pair formateur. Cette comparaison dévoile un accord tacite entre les deux enseignantes. C’est ce que montre l’extrait suivant de l’EAC du pair formé sur le contrôle de la mise en œuvre 2.

Extrait 7 (PFÉ – EAC – Contrôle de la Mise en œuvre 2)

Chercheur (1h50’11’’) : tout ce que PFR ne te dit pas, tu le vois comment, par exemple elle ne parle pas du chant, elle ne te parle pas de la maison…

PFÉ : ce sont des choses qui conviennent finalement, c’est rentré, elle ne va pas me parler de choses que je sais faire, l’objectif ce n’est pas ça, ce n’est pas de me féliciter sur ce que je sais faire, c’est de pointer du doigt…

Chercheur : si elle n’attire pas ton attention dessus, pour toi c’est…

PFÉ : ben c’est que ça convient pour l’instant. Je veux dire que PFR, je sais si elle a un truc à te dire, elle va le dire. Maintenant si elle ne le dit pas, c’est que ça ne l’a pas choqué, ou même si elle ne le fait pas forcément pareil, mais ce n’est pas que ça posera problème.

Pour le pair formé, le pair formateur suit les règles [« tout ce que PFR ne dit pas » vaut pour « ce sont des choses qui conviennent finalement, c’est rentré, elle ne va pas me parler de choses que je sais faire »] dans les circonstances où « l’objectif ce n’est pas ça, ce n’est pas de me féliciter sur ce que je sais faire, c’est de pointer du doigt… » de plus [« si elle (le pair formateur) n’attire pas ton attention (l'attention du pair formé) dessus » vaut pour « c’est que ça convient pour l’instant »] dans les circonstances où « je sais si elle a un truc à te dire, elle va le dire. Maintenant si elle ne le dit pas, c’est que ça ne l’a pas choqué, ou même si elle ne le fait pas forcément pareil, mais ce n’est pas que ça posera problème ». Finalement les deux collègues n’échangent pas sur ce qui est correct, puisque de façon tacite elles s'accordent sur l'idée que les interventions du pair formateur portent sur ce qui ne convient pas et que l'absence

Ce résultat d’accord tacite entre le pair formateur et le pair formé sur l’absence de validation explicite explique, par exemple, l’absence de validation du suivi correct de la règle relative à l’utilisation de la voix de la marionnette. C’est ce qui se produit pour le résultat suivant.

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