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Activités d’apprentissage Solutionnaire

Dans le document FONDEMENTS DE LA COMPTABILITE DE GESTION (Page 48-55)

La comptabilité de gestion et l’environnement de l’organisation 23

5. La (Le) fournit des informations aux personnes œuvrant au sein de 1 l’organisation. La (Le) procure des informations aux parties à l’extérieur de l’organisation.

6. La comptabilité et les rapports remis à la direction aux ns de contrôle de l’organisation portent le nom de .

7. En général, le gestionnaire responsable du service de la comptabilité est connu sous

le nom de .

8. Le rapport comparant les données prévisionnelles aux données réelles pour une période précise porte le nom de .

E1.2L’environnement de l’organisation Voici une liste de termes et d’expressions :

budget processus

chaîne de valeur proposition de valeur faite au client gestion des risques d’entreprise stratégie

gouvernance d’entreprise système de gestion intégré d’entreprise modèle de la production optimisée tire

Travail à faire

Dans la liste ci-dessus, choisissez l’expression ou le terme permettant de compléter chacun des énoncés suivants.

1. Un(e) est un ensemble d’objectifs et de moyens qui permet à une entreprise d’attirer des clients en se distinguant de ses concurrents.

2. Un(e) est une série de tâches qu’on doit réaliser pour accomplir une activité donnée dans une entreprise.

3. Le système qui permet de diriger et de contrôler une entreprise porte le nom de .

4. Le processus qu’utilise une entreprise pour reconnaître les risques auxquels elle s’expose et pour élaborer des moyens de s’en protéger de façon à s’assurer, dans la mesure du possible, de réaliser ses objectifs porte le nom de .

5. Un(e) consiste en des fonctions de l’entreprise qui ajoutent de la va leur à ses produits et à ses services, telles que la recherche et le développement, la con-ception de produits et de services, le cycle de production, la commercialisation, la distribution et le service après-vente.

6. Un(e) intègre les données de toutes les fonctions d’une organisation dans une seule base de données centralisée, permettant ainsi aux employés d’avoir accès à un ensemble commun de données.

7. Un(e) est une méthode de gestion en cinq étapes qui organise les res-sources en fonction du ux des processus et qui les unités à travers les étapes de ces processus en réponse aux commandes des clients.

8. Une entreprise ne peut réussir que si elle donne à ses clients une raison de la choisir de préférence à ses concurrents. C’est ce qu’on appelle un(e) .

9. Un(e) est un plan détaillé pour l’avenir, généralement formulé de façon quantitative.

E1.3 Les fonctions de gestion

Chacun des exemples indépendants ci-dessous illustre une ou plusieurs des quatre prin-cipales fonctions assumées par les gestionnaires de Sons et Images, un fabricant de télévi-seurs et d’équipements audio haut de gamme pour la maison : planication, direction et motivation, contrôle et prise de décisions.

a) Les directeurs des ventes préparent des estimations de la demande de l’année suivante en ce qui touche la dernière gamme de téléviseurs 4K intelligents. Cette information servira à préparer le budget annuel.

1 b) En consultant les rapports mensuels sur le contrôle de la qualité, la directrice de la production responsable des systèmes de cinéma maison a remarqué qu’un nombre anormalement élevé d’appareils présentait des défauts. Elle s’affaire à mettre sur pied une équipe d’employés chargée de faire la lumière sur ce problème.

c) Les gestionnaires du service Recherche et développement élaborent une recomman-dation en faveur de l’un des deux modèles retenus pour la gamme d’enceintes acous-tiques de sol de l’entreprise.

d) Le dernier rapport de performance mensuel révèle des résultats décevants pour ce qui est des ventes de téléviseurs DEL en mai. Les ventes sont nettement inférieures aux prévisions budgétaires et le directeur responsable du produit analyse plusieurs questions, notamment la façon de motiver les détaillants à augmenter leurs ventes ; le calendrier de production des trois prochains mois ; et, à plus long terme, la possibilité d’abandonner cette gamme de produits.

Travail à faire

Pour chaque exemple, nommez la ou les fonctions remplies par le gestionnaire et expli-quez brièvement votre choix ou vos choix. Certains des exemples ci-dessus peuvent illus-trer plusieurs types de fonctions.

E1.4 La gestion des risques et la chaîne de valeur

Sons et Images, un fabricant de téléviseurs et d’équipements audio haut de gamme pour la maison, a mis en place les contrôles ci-dessous dans le cadre de son programme de gestion des risques.

a) Des dispositifs de sécurité sur son site internet an de bloquer l’accès non autorisé aux données des cartes de crédit de ses clients.

b) L’inspection des matières premières provenant de ses fournisseurs an d’atténuer le risque que des matériaux défectueux ou inférieurs aux normes de qualité soient utilisés dans la production.

c) Un mécanisme de délivrance de permis en vertu duquel le détaillant qui veut devenir un distributeur accrédité doit satisfaire à plusieurs exigences relatives à sa situation géographique, à son expérience au sein de l’industrie, à la taille de son magasin et de ses effectifs de vente, etc.

d) Des pare-feu pour empêcher les pirates informatiques d’accéder à l’information sen-sible sur les nouveaux produits en cours de développement.

e) Le recours à des groupes de discussion pour tester les nouvelles campagnes publici-taires an d’évaluer leur attrait, la clarté de leur message et leur impact.

f ) Des protocoles de test rigoureux par lesquels l’entreprise s’assure que tous les nou-veaux produits sont conformes aux règles de sécurité avant d’en lancer la production.

Travail à faire

Pour chaque point ci-dessus, indiquez, parmi les six fonctions de l’entreprise qui forment la chaîne de valeur, la fonction à laquelle le contrôle se rapporte le plus directement.

E1.5L’éthique en affaires

Marie Mercier travaille dans un restaurant-minute connu ; elle est chargée de la prise des commandes et de la caisse. Peu après son embauche, elle surprend une conversation au cours de laquelle un employé se vante auprès d’un ami de ne pas rendre la monnaie exacte aux clients. Choquée, Marie affronte l’employé, qui lui répond aussitôt, d’un ton cassant :

« Occupe-toi de tes affaires. Tous les employés en font autant, et les clients ne s’en plaignent jamais. » Marie ignore comment réagir à cette position ferme.

Travail à faire

Si les caissiers de ces établissements ne rendaient plus la monnaie exacte aux clients, quelles seraient les conséquences d’un tel comportement sur l’industrie de la restauration rapide et sur les consommateurs ?

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P1.6 L’éthique en affaires

Paul Sauvé est le contrôleur de gestion d’une société dont les actions ne sont pas cotées en bourse. L’entreprise vient d’obtenir un brevet sur un produit qui devrait lui rapporter des bénéces importants dans un ou deux ans. Toutefois, en ce moment, elle éprouve des difcultés nancières et, à cause d’un fonds de roulement insufsant, elle risque d’être incapable de rembourser un billet détenu par la banque.

À la n de la période la plus récente, le chef de la direction de l’entreprise a enjoint à M. Sauvé de ne pas enregistrer plusieurs factures à titre de comptes fournisseurs à payer.

Le contrôleur a protesté, car ces factures représentaient des passifs à court terme. Le chef de la direction a néanmoins insisté pour qu’il ne les enregistre qu’après la n de la période, moment auquel l’entreprise pourrait s’attendre à obtenir un nancement supplémentaire.

Après avoir présenté ses objections avec beaucoup d’acharnement au chef de la direction ainsi qu’aux autres membres de la haute direction, M. Sauvé a nalement obéi aux direc-tives de son patron.

Travail à faire

1. M. Sauvé a-t-il agi d’une manière conforme à l’éthique ? Expliquez votre réponse.

2. Si le nouveau produit ne rapporte pas les importants bénéces escomptés et que l’entreprise devient insolvable, les gestes que M. Sauvé a posés pourront-ils être jus-tiés par le fait qu’il obéissait aux ordres de son supérieur hiérarchique ? Expliquez votre réponse.

P1.7 L’éthique dans les entreprises

Alice Guillemette a récemment été engagée comme adjointe au contrôleur de gestion chez Gro-Chem, une entreprise qui traite des produits chimiques entrant dans la composition d’engrais.

MmeGuillemette a été choisie pour ce poste en raison de son expérience dans l’industrie du traitement des produits chimiques. Au cours de son premier mois dans l’entreprise, elle s’est fait un devoir de rencontrer toutes les personnes chargées des activités d’exploitation de l’usine et d’apprendre la façon habituelle de procéder chez GroChem.

Au cours d’une conversation avec le directeur adjoint de l’usine, MmeGuillemette l’a interrogé sur la procédure de l’entreprise en matière d’élimination des déchets toxiques.

Le directeur adjoint lui a répondu qu’il n’avait rien à voir avec cette élimination et qu’elle aurait avantage à ne pas se poser trop de questions sur le sujet. Cette réponse a renforcé la détermination de la jeune femme à aller au fond des choses pour éviter à l’entreprise un procès coûteux.

Après avoir fait une recherche plus approfondie, MmeGuillemette a découvert des preuves que GroChem utilisait la décharge d’un secteur résidentiel du voisinage pour se débarrasser de ses déchets toxiques — une procédure illégale. Il semble que certains membres de la direc-tion de la société aient été au courant de la situadirec-tion et pourraient même avoir participé à l’organisation de cette solution. Toutefois, l’adjointe du contrôleur de gestion a été incapable de savoir si son supérieur immédiat était impliqué dans ce processus.

Hésitant quant à la procédure à suivre, MmeGuillemette a commencé à étudier les solutions qui s’offraient à elle en indiquant les trois lignes de conduite suivantes :

• Demander conseil à son supérieur, le contrôleur de gestion.

• Communiquer anonymement l’information au journal local.

• Discuter de la situation avec un membre du conseil d’administration, qui n’est pas employé de GroChem et qu’elle connaît.

Travail à faire

1. Expliquez les raisons pour lesquelles Alice Guillemette a la responsabilité éthique d’agir au sujet de l’élimination par GroChem de ses déchets toxiques dans une décharge locale. Servez-vous de l’encadré 1.1 (voir la page 12) pour appuyer vos réponses.

Problèmes

1 2. Expliquez si chacune des lignes de conduite indiquées par Mme Guillemette est appropriée suivant les pratiques éthiques présentées dans l’encadré 1.1.

3. Supposez que Mme Guillemette consulte son supérieur immédiat et découvre qu’il est impliqué dans cette affaire d’élimination des déchets toxiques. Décrivez les étapes qu’elle devrait suivre pour régler ce problème.

(Adaptation d’un problème de CPA Canada)

P1.8 L’éthique des affaires

Jean Breton, CPA, est contrôleur chez Aliments Délices, une importante société privée de transformation alimentaire située dans le sud de l’Ontario. À titre de contrôleur, M. Breton coordonne la préparation du budget d’exploitation annuel, qui comprend les prévisions des revenus et des dépenses de l’année suivante. Une fois ce budget approuvé par Martin Ménard, le président d’Aliments Délices, il est intégré dans le rapport de per-formance mensuel, qui compare les données réelles aux données budgétisées.

L’année dernière, an d’inciter ses cadres supérieurs à prendre des décisions protables pour l’ensemble de l’entreprise, Martin Ménard a mis sur pied un programme de primes.

Les mois où le bénéce d’exploitation réel (soit les revenus moins les dépenses) est supé-rieur au montant budgétisé, tous les cadres supésupé-rieurs, y compris le directeur nancier, le contrôleur, le vice-président de la production et le vice-président du marketing, ont droit à une prime. Le programme est entré en vigueur l’année dernière et les cadres ont touché des primes pour 5 des 12 mois de l’année nancière.

Vendredi dernier, en n d’après-midi, alors que M. Breton s’apprêtait à naliser le budget d’exploitation pour la prochaine année nancière, il a reçu un appel de Richard Nolet, le directeur nancier d’Aliments Délices. Voici un extrait de leur conversation :

Nolet : Salut Jean, où en es-tu dans la préparation du budget ? Nous rencontrons Martin Ménard la semaine prochaine et je veux juste m’assurer que nous serons prêts.

Breton :Tout va bien, Richard. Je mets la dernière main aux prévisions budgétaires ; je te remettrai une première version du budget à la première heure lundi matin.

Nolet :Parfait. Comment les chiffres relatifs au bénéce d’exploitation se comparent-ils aux résultats de l’année dernière ?

Breton :De façon positive. Compte tenu du succès remporté par quelques-uns de nos nouveaux produits l’année dernière, de notre nouvelle campagne de marketing et du scandale des aliments contaminés qui a éclaboussé l’un de nos principaux concurrents, j’ai budgétisé un bénéce d’exploitation mensuel nettement plus élevé que l’année dernière.

Nolet :Un bénéce mensuel nettement plus élevé ? Tu en es sûr ?

Breton :Aussi certain qu’on peut l’être quand on fait des prévisions budgétaires. Mais je suis certain que mon budget est fondé sur des attentes raisonnables. J’ai parlé à tous les principaux gestionnaires de la production et du marketing et ils s’entendent pour dire que mes prévisions sont très raisonnables.

Nolet :Tu as bien fait tes devoirs, comme d’habitude. Toutefois, je pense que nous devrions peut-être nous montrer un peu plus prudents dans nos prévisions budgétaires.

Breton :Je ne te suis pas. Mes prévisions ne sont pas trop optimistes. Comme je l’ai dit, tous les gestionnaires principaux estiment que mon budget est raisonnable et que nous pouvons le respecter si nous nous retroussons les manches.

Nolet : Je comprends. Je dis juste que, vu le nouveau programme de primes que Ménard a créé l’année dernière, nous devrions peut-être prévoir des budgets mensuels que nous sommes certains de pouvoir respecter ou dépasser. Tu me suis ?

Breton :Hé ! un instant. Es-tu en train de dire que nous devrions fausser délibérément les prévisions budgétaires juste pour obtenir nos primes chaque mois ?

Nolet :Je préfère parler d’estimations prudentes. De plus, je ne te demande pas de rapporter incorrectement les revenus et les dépenses mensuels réels. Ce serait contraire à l’éthique puisque nos créanciers et le sc utilisent ces données réelles.

Breton : Je ne sais pas, Richard. Budgétiser délibérément des montants que nous sommes certains de dépasser juste pour pouvoir encaisser nos primes me paraît aussi contraire à l’éthique que de fausser les chiffres réels.

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Nolet : Je ne suis pas d’accord. Les budgets remplissent seulement une fonction 1 interne. Qu’y a-t-il de mal à être prudents ? En outre, nous travaillons tous très dur et nous méritons nos primes mensuelles. Ménard n’en saura jamais rien. Il est tellement pris par ses activités philanthropiques ces jours-ci qu’il ne mesure pas vraiment ce qui est réa liste en matière de budget annuel. Tu sais très bien que, la plupart du temps, il approuve nos recommandations sans trop discuter.

Breton :Mais ne risque-t-il pas d’avoir des soupçons quand il verra que les chiffres réels dépassent les chiffres budgétisés chaque mois ?

Nolet :Bien sûr que non. Il sera enchanté de voir que nous dépassons les attentes ! C’est une situation gagnant-gagnant, Jean. Nous toucherons nos primes et Ménard sera heureux que les affaires marchent bien. Je dois y aller, mais je me réjouis d’avance de lire ces prévisions prudentes à la première heure lundi matin.

Travail à faire

1. Quels aspects du code de déontologie énoncé à l’encadré 1.1 (voir la page 12) devraient guider la conduite de Jean Breton quand viendra le temps de décider s’il accédera ou non à la demande de Richard Nolet ?

2. Que recommanderiez-vous de faire à M. Breton et pourquoi ? P1.9 L’éthique et le gestionnaire

La société Richmond inc. exploite une chaîne de grands magasins situés au Québec. Le premier magasin a ouvert ses portes en 1965. Depuis, Richmond inc. n’a cessé de croître et compte aujourd’hui quatre succursales. Il y a deux ans, le conseil d’administration de Richmond inc. approuvait la réorganisation complète de ses magasins an d’attirer une clientèle plus prestigieuse.

Avant de naliser les plans, Richmond inc. réorganise deux de ses quatre succursales à titre de test. On demande alors à Linda Poulin, contrôleuse adjointe, de surveiller les rapports nanciers de ces magasins pilotes. On lui offre, ainsi qu’au personnel de direction, des primes basées sur l’accroissement des ventes et des bénéces des deux suc-cursales. Au moment de la préparation des rapports nanciers, MmePoulin découvre des stocks appréciables de marchandises périmées qui auraient dû être soldées ou retournées au fournisseur, et discute de la situation avec ses collègues de la direction. Le consensus atteint consiste à omettre de déclarer ces stocks considérés comme périmés pour éviter de diminuer le bénéce de Richmond inc. et les primes des employés concernés.

Travail à faire

1. Selon le code de déontologie des comptables professionnels, serait-il conforme à l’éthique que Linda Poulin évite de déclarer ces stocks considérés comme périmés ?

2. Dans le contexte, serait-il plus facile pour Linda Poulin d’adopter un comportement conforme à l’éthique ?

(Adaptation d’un problème de CPA Canada)

P1.10 La gouvernance d’entreprise et la responsabilité sociétale d’entreprise

Les problèmes éprouvés par Toyota Motor Corporation au début de 2010 et liés au coincement de la pédale d’accélérateur et aux freins défectueux de certains de ses modèles illustrent l’importance de reconnaître et de gérer les risques, même pour une société jouissant d’une excellente réputation. L’entreprise a été critiquée entre autres pour avoir tardé à émettre des avis de rappel, lesquels visaient quelque 14 millions de véhicules dans le monde, selon certaines estimations. De plus, les rapports laissent entendre que Toyota n’a pas avisé les organismes de réglementation fédéraux canadiens des problèmes liés à la pédale d’accélérateur dès qu’elle en a été informée. Elle a préféré lancer d’abord les avis de rappel. Certains ont insinué que la croissance rapide de la production et des ventes de

1 voitures Toyota à l’échelle internationale a relégué au second plan le maintien des normes de qualité rigoureuses de la société. En réaction à la crise, Toyota a fermé temporairement certaines usines de Grande-Bretagne et de France, le rappel ayant entraîné une baisse de la demande de ses voitures. La société a également promis des rabais importants dans l’espoir de regagner la conance de ses clients nord-américains. En décembre 2012, elle a annoncé qu’elle verserait plus d’un milliard de dollars pour régler des centaines de pour-suites reliées aux pédales d’accélérateur défectueuses.

Travail à faire

1. Nommez les parties prenantes qui ont sans doute subi le contrecoup des problèmes auxquels s’est heurtée Toyota.

2. Dans quelle mesure une gouvernance d’entreprise efcace peut-elle diminuer la pro-babilité de rencontrer les types de problèmes rencontrés par Toyota ?

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Comprendre les coûts Simon Kirani possède et exploite l’entreprise Services de pelouse et de déneigement limitée (SPD ltée) près de Trois-Rivières. La compréhension des coûts constitue un aspect important du travail de M. Kirani. Par exemple,

s’il veut xer un prix approprié pour l’entretien de la pelouse d’un client, il doit connaître les coûts directs qui sont engagés. Ceux-ci englobent les coûts directement reliés au travail exécuté pour le client, tels que le coût de l’essence utilisée dans la tondeuse et les autres équipements, les coûts matériels comme l’engrais et le salaire horaire des employés qui font le travail.

Pour évaluer la rentabilité globale de son entreprise, M. Kirani doit aussi prendre en compte les coûts qui ne sont pas directement rattachés à un client particulier, mais qu’il doit engager pour exploiter son entreprise, comme le coût d’acquisition des tondeuses, dont il doit calculer l’amortissement et la

Pour évaluer la rentabilité globale de son entreprise, M. Kirani doit aussi prendre en compte les coûts qui ne sont pas directement rattachés à un client particulier, mais qu’il doit engager pour exploiter son entreprise, comme le coût d’acquisition des tondeuses, dont il doit calculer l’amortissement et la

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