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Fournir les matières premières pour la construction du palais du ro

TCL 12 80 01 Id nà-lugal-ur

8. Les fautes administratives dans la construction

8.3. Fournir les matières premières pour la construction du palais du ro

YOS 7 168 (= PBSA 38 28) et Kessler, BaM 30, p. 166 [BM 113434] ont été considérés comme des documents associés à un événement commun, à savoir la construction du palais du roi, par K. Kessler. Par la suite, lors de la rédaction d’AOAT 358, K. Kleber a proposé d’ajouter un autre écrit, YOS 7 173, et d’y lier les deux documents cités supra.

Les deux premiers furent rédigés le même jour et YOS 7 173 fut écrit seulement deux jours avant. Ces trois documents comportent tous la clause pénale-hīţu. Ces trois écrits ont été

419 Janković 2013 : 37.

420 Henkelman et Kleber 2007 : 167. 421 Tolini 2008 : 2-3.

157 rédigés par l’autorité du temple pour demander d’effectuer des travaux spécifiques pour le palais du roi à son destinataire.

Outre les similarités énumérées précédemment, des différences existent également, comme les contractants et les spécificités du travail.

Il serait intéressant d’étudier leurs différences afin de connaître le sens de l’utilisation de la clause-hīţu dans ces situations. Ainsi, nous commencerons par le document YOS 7 168 (= PBSA 38 28) :

YOS 7 168 (= PBSA 38 28)

01. a-di qí-it šá iti gan mu 4-kám

02. Ikam-bu-zi-ia lugal tin-tirki lugal kur-kur

03. Iìr-ia a-šú šá Idnà-dù-šeš a Ire-mut-dbe

04. lú šá muh-hi gišbán šá zú-lum-ma šá dinnin unugki

05. 5 lim bil-tu4 šá gišhu-şa-bi i-na-áš-ši-ma

06. ina é gal šá lugal šá i-na muh-hi é-an-na šak-na 07. a-na Idnà-šeš-mu lú sag lugal lú en sig

5 é-an-na i-nam-din

08. ki-i la it-ta-šu-ú hi-ţu šá Igu-ba-ru lú nam

09. tin-tirki u e-bir i

7 i-šad-da-ad

10. e-lat ri-ha-a-nu šá ina muh-hi-[šu] 11. [b]il-tu4 1 me gi-di-mu i-n[am-din]

12. lú mu-kin-nu Idutu-gin-a a-šú šá [Iddi-ku

5-šeš-meš-mu]

13. a Iši-gu-ú-a Idnà-a-mu a-šú š[á Iden-din-iţ]

14. a lú šá-mun-há-šú Idnà-dina-šú 15. šá <I>ina-é-sag-gìl-numun a Ilú-dbe

16. lú umbisag Igi-mil-lu a-šú Idin-nin-numun-mu

17. unugki iti apin u

158 18. Ikám-bu-zi-ia lugal tin-tirki

19. lugal kur-kur

01-19. Avant la fin du mois de Kislimu de la quatrième année du règne de Cambyse, roi de Babylone, roi des pays, Ardiya, fils de Nabû-ban-uşur, descendant de Rēmūt-Ea, le Fermier général aux dattes d’Ištar d’Uruk, apportera 5000 charges de branches de régimes de dattes et les donnera dans le palais du roi (au titre de ce) qui est à la charge de l’Eanna, à Nabû-ah-iddin, l’officier royal chef de l’administration de l’Eanna. S’il ne les apporte pas, il subira le châtiment de Gubaru, gouverneur de Babylone et de la Transeuphratène. Non compris les reliquats qui sont à sa charge : il doit livrer 100 charges de branches de régimes de dattes. Témoins, Šamaš- mukīn-apil, fils de [Madanu-ahhē-iddin], descendant de Šigûa, Nabû-apla-iddin, fils de [Bēl- uballiţ], descendant de Ša-ţabti-šu, Nabû-uballiţ, fils d’Ina-Esagil-zēri, descendant d’Amēl-Ea, Scribe, Gimillu, fils d’Innin-zēr-iddin Uruk, le septième jour du mois d’Arahsamnu de l’an quatrième année de Cambyse, roi de Babylone, roi des pays.

À quel titre le temple a-t-il demandé un tel service ? Pour répondre à cette question, il faut connaître le destinataire, la personne qui supporte l’obligation ; dans le document c’est un homme dénommé, Ardiya, fils de Nabû-bān-ahi, descendant de Rēmūt-Ea. Cet homme était le responsable des palmeraies du temple, autrement dit, la ferme générale aux dattes, la première fondée par Šum-ukīn, transmise à sa mort à Kalbaia et qui se trouvait finalement entre les mains d’Ardiya, excepté le verger-hallatu des prébendiers422. Afin de connaître son obligation

vis-à-vis des autorités, il pourrait être utile de prendre connaissance du contrat qui les liait ; le document PTS 2044423 a été conclu entre Ardiya et les autorités du temple le sixième jour du

mois d’Aiaru de la huitième année du règne de Cyrus :

« Nabû-mukīn-apli, šatammu de l’Eanna, fils de Nādin, descendant de Dābibī, et Nabû-ah-iddin, officier royal, responsable de l’Eanna – bēl piqitti é-an-na ont donné la terre arable plantée

d’arbres de palmeraie, appartenant au trésor de la Dame d’Uruk, autant qu’il y a, mis à part le verger-hallatu, qui est à la disposition des rab banê, sur l’ordre de Gobryas, gouverneur de Babylone et de l’Ebir Narî à Ardiya, fils de Nabû-[ban-ahi] [fils de Rēmūt-Ea] [pour 12 000 gur de datte] en tant que contrat de fermage-sūtu du verger. Il donnera 12 000 gur de dattes par

422 Janković 2013 : 219.

159 ans. Il creusera le canal [nécessaire]. Il devra fournir de l’eau. Il donnera les branches et les fibres. Il donnera 12 000 gur de dattes chaque année [hormis le reliquat impayé]. Il donnera [également] [x] bœufs et du pe[tit bétail] en tant que cadeau namurtu au roi, (ce qui est) imposé sur les dattes (comme impôt) »

Il s’agit ici de la clause associée au sous-produit dérivé du palmier ; cependant, aucune notion n’est faite dans cette clause du bois-huşabu qu’il devait fournir à Nabû-ah-iddin. Comment doit-on interpréter cette absence ?

D’autres cas similaires pourraient nous donner des pistes pour la comprendre. Malheureusement, les contrats de location de terre arable soit d’orge, soit plantée de palmiers dattiers liés à la ferme générale parvenus jusqu’à nous ne couvrent pas la totalité des documents de ce genre rédigés à cette époque. Cependant, ces documents fournissent un échantillonnage suffisant pour permettre de faire quelques remarques d’ensemble. La forme de ces différents contrats ne varie guère ; tous sont dialogués et suivent à peu près le même schéma. Outre la location de la terre arable, il y avait d’autres obligations inscrites dans le contrat : 1) Maintenir le canal d’irrigation 2) Donner les sous-produits du dattier 3) Payer l’impôt royal, namurtu ša

šarri concernant le gros bétail 4) Le droit de pâture.

Concernant les prestations accessoires, elles n’existent pas systématiquement dans tous les contrats. D. Cocquerillat a précisé l’irrégularité de sa présence en ces termes424 : « Le

document prévoit deux sortes de prestations accessoires : les rations alimentaires d’orge et de dattes des administrateurs des domaines, dont le chef de district de l’Esagil (AnOr 8 63) ; sous cette formule, il faut sans doute compter les rations d’entretien que ce personnel récolte pour le dieu Bēl et celles dont il bénéficie personnellement ; le montant n’en est pas précisé. Il faut ajouter les sous-produits du dattier. ». De plus, la clause de la prestation accessoire varie au cours du temps : aucune n’est imposée les premières années de Nabonide ; c’est Bēl-šar-uşur qui a institué les prestations pour le dieu Bēl et pour les administrateurs des domaines. Même si l’on n’observe pas les prestations accessoires à l’époque précédente, d’après D. Cocquerillat, les offrandes au dieu Bēl (peut-être celles de la Dame d’Uruk) étaient peut-être encore bénévoles à cette époque-là et la ferme générale possédait probablement sa propre administration chargée de les recueillir et de les acheminer vers le temple425.

424 Cocquerillat 1968 : 44. 425 Cocquerillat 1968 : 39.

160 Mais cette explication ne s’applique pas à notre document, car on a la clause des sous- produits du dattier seulement avec l’absence de notre mot-huşabu. Il vaut mieux qu’on le considère comme une simplification de la clause plus ou moins fixée. Parce que l’on a un autre document426 où l’on peut trouver le mot-huşabu inséré :

l. 29-30. À partir du mois de Tammuz de la deuxième année, Bēl-gimilanni s’occupera de ces fermages, il donnera une charge d’élagage de palmes, de rejets et de spathes par gur de dattes.

D’après ce contrat, il est tout à fait normal que l’Eanna ait demandé à Ardiya, fils de Nabû-ban-uşur, descendant de Rēmūt-Ea, de fournir huşabu - l’élagage de palmes.

La trace de cette pratique est repérée également dans le domaine privé dans le billet à ordre. Ce type de documents liés à location du verger est attesté comme étant les plus nombreux en son genre427. Il s’agit de billets à ordre écrits pour bien clarifier le revenu du bénéficiaire428.

C’est là où l’on trouve des clauses intéressantes ; en voici un exemple :

Camb 55

01. 10 gur zú-lum-ma zaq-lu šá

02. fgéme-ia u fqu-da-šú dumu-munus-meš šá

03. Idnà-su dumu Idim-mu-uri

3 ina ugu

04. Ihaš-da-a a-šú šá Idnà-su a lú šu-ha

05. ina iti apin ina ha-şa-ri ina ugu 1-et rit-tu 4

06. it-ti 1 gur tu-hal-la gi-pu-ú 07. man-ga-gu bil-tu4 šá hu-şa-bi

08. i-nam-din sis-sin-nu ul e-ţir

426 TCL 13 182, C’est le dernier transfert de terre de ferme générale que nous connaissons. Il a été opéré par une

décision juridictionnelle de l’assemblée de l’Eanna en faveur de Bēl-gimilanni, la deuxième année de Darius. Voir Cocquerillat 1968 : 44.

427 Il s’agit de contrats passés entre le teneur et le preneur, pas forcement liés à la ferme générale. 428 Jursa 2005 : 23.

161 01-08. Dix gur de datte, estimation forfaitaire d’Amtia et Qudašu, filles de Nabû-erība, descendant de Bunene-šum-uşur ont à la charge de Hašdaia, fils de Nabû-erība, descendant de pêcheur. Il donnera (les dattes) au mois d’Arahsamnu, en une seule fois, à l’entrepôt-haşaru avec le panier en feuilles de palme, le panier (pour les dattes)429, les fibres de palme (quantité

mesurée par la règle coutumière) par gur. Le salaire pour le jardinier n’est pas encore versé. Le billet d’estimation forfaitaire était rédigé normalement juste avant la saison de la récolte, autrement dit au mois d’Ulûlu et de Tašrîtu430. Conformément à cette règle, notre

document fut rédigé au mois d’Arahsamnu à peu près un mois plus tard que les autres. La date de rédaction de ce document attire notre attention car, d’après D. Cocquerillat, le mois de la cueillette des dattes « ţamar » en Irak méridional est le mois de septembre, et pour les « zahidi », plus tardives, la fin du mois de septembre ou le début du mois d’octobre ; il en était de même en Mésopotamie ancienne, à savoir entre le mois de Tašrîtu (septembre/octobre) et d’Arahsamnu (octobre/novembre)431. En outre, la quantité de huşabu demandée (5 000) était

incomplète par rapport à ce qu’il devait donner selon le contrat (12 000).

On peut se demander si le retard est dû à l’existence de la clause pénale-hīţu dans ce document. Ainsi, malgré le statut honorifique d’Ardiya dans la société babylonienne de l’époque, nombre de reconnaissances de dette rédigées à cause du retard à rendre l’estimation forfaitaire qu’il aurait dû donner au temple, témoignent de ses difficultés financières. D’ailleurs, il n’était pas le seul fermier général à être confronté à des problèmes de remboursement : Šum- ukîn, le premier fermier général, fut également loin de connaître une fin paisible à cause de ses dettes. Selon G. Tolini, il apparaît ainsi clairement qu’en l’an 7 de Nabonide, le total de la dette de Šum-ukîn a atteint un niveau tel que le temple procéda à une saisie sur ses biens. On remarque qu’au cours de cette même année, l’Eanna récupéra plusieurs maisons, dont une située dans le quartier du temple d’Anu à Uruk, qui appartenait à Šum-ukîn432. Un autre document

affirme que ce type de situation n’était pas rare pour la ferme générale. Il s’agit d’une décision juridictionnelle de l’assemblée de l’Eanna en faveur de Bēl-gimilanni, la deuxième année de Darius. La terre arable, ainsi que les laboureurs, les bœufs et l’orge de semence, prêtés à l’Eanna par Gimillu, oblat d’Ištar d’Uruk, furent récupérées par l’Eanna ; il fut ensuite concédé à Bēl- gimilanni. Selon les autorités de temple, la faute ayant entraîné cette situation était la violation

429 CAD G : 85-86.

430 Jursa 2005 : 23. Pour le choix de l’exemple, nous avons suivi celui de M. Jursa. 431 Cocquerillat 1968 : 34.

162 d’un contrat passé entre les autorités du temple et Gimillu ; plus précisément, celui-ci n’a pas pu verser la redevance prévue dans son contrat433.

Cependant, notre document ne paraît pas comporter la clause pénale-hīţu à cause d’un retard. En effet, si c’était le cas, la durée du retard aurait dû être plus longue qu’un mois. De plus, l’on ne constate pas, malgré la très importante quantité de leurs dettes, de sanction imposée à la ferme générale supérieure à la confiscation de ses biens. En outre, l’année où le document fut rédigé était une année bissextile. La particularité du calendrier pourrait être une piste pour comprendre le décalage d’un mois.

D’après la ligne l. 06-07 de YOS 7 168, le devoir de fournir 5000 charges de branches de régimes de dattes a été imposé à l’Eanna pour la construction ou la réparation du palais. Ardiya devait peut-être fournir ces charges de branches de régimes de dattes, mais le temple lui avait demandé de ne pas les lui donner et de les transmettre directement à Nabû-aha-iddin, responsable du chantier de construction. Cette particularité est, semble-t-il, un fait important pour comprendre la présence de la clause-hīţu dans ces séries de documents. Observons maintenant un autre document.

K. Kessler, BaM 30, [BM 113434]434

01. a-di u4-mu 15-kám iti še mu 4-kám I ka-am-bu-zi-iá

02. lugal tin-tirki lugal kur-kur Ina-di-nu a-šú šá Idin-nin-numun-dù

03. ú Idnà-i-d15 a-šú šá Iìr-dinnin lú engar-meš

04. lú rig7-meš I15 urukki 2 lim ma-ak-şar-ru šá ti-ib-nu

05. 2 lim bil-tu4 šá šam-mu ha-mi-ri ù hi-şib-tu4 šá é-gal

06. šá ina muh-hi-šú-nu šak-na i-na-áš-šu-‘-ma 07. ina é-gal šá lugal šá ina muh-hi é-an-na šak-na

433 TCL 13 182

163 08. a-na Idnà-šeš-mu lú sag lugal lú en pi-qit-ti é-an-na

09. i-nam-din-nu ki-i la it-ta-áš-šu-ú 10. hi-ţu šá Igu-ba-ru lú nam tin-tirki

11. ù e-bir I7 i-šad-da-du

l. 01-11. Avant le quinzième jour du mois d’Addaru de la quatrième année du règne de Cambyse, roi de Babylone, roi des pays, Nādinu, fils d’Innin-zēr-ibni et Na’id-Ištar, fils d’Arad-Innin, les laboureurs-ikkaru, oblats de l’Ištar d’Uruk, emporteront 2000 bottes de paille, 2000 balles de pâture sèche et pièces de bois435 du palais, à leur charge pour le palais, ensuite ils les donneront

en tant que charges de l’Eanna pour le palais du roi à Nabû-ah-iddin, officier royal, chef de l’administration de l’Eanna. S’ils ne les apportent pas, ils encourront le châtiment de Gobryas, gouverneur de Babylone et de l’Ebîr Narî.

Les protagonistes de ce document sont oblats, donc dépendant du temple. Du point de vue du temple, il est tout à fait normal de demander à ses dépendants d’effectuer les travaux imposés par l’autorité suprême. Mais qui sont-ils vraiment parmi les nombreux dépendants du temple ? À quelle catégorie appartiennent-ils ? Contrairement à l’époque de Cyrus, la période du règne de Cambyse nous fournit de nombreux documents relatifs à l’institution agricole. Nādinu, fils d’Innin-zēr-ibni, et Na’id-Ištar, fils d’Arad-Innin, se présentent en tant que chefs de laboureurs au moins à partir de la deuxième année du règne de Cambyse ; ils apparaissent comme les chefs de charrue436. Le rôle de ces derniers était plus vaste et plus important que ne

l’indique l’intitulé de ce titre. Ils collectaient les récoltes des mains des laboureurs et les fiefs. Ils avaient le rôle d’intermédiaire entre le temple et les fiefs437. Le document décrit précisément

le matériel que les deux agents doivent fournir : 2000 makşaru ša tibni, 2000 biltu ša šammu

hamiri u hişibtu. En français, il s’agit de 2000 bottes de paille et 2000 balles de pâture sèche et

pièces de bois du palais. Il est probable que les deux protagonistes de notre document n’étaient pas à l’origine de ces productions, mais les intermédiaires. Durant l’époque néo-babylonienne, comme à d’autres époques, la paille était essentielle pour la construction. Elle était utilisée à la

435 K. Kessler l’a traduit par « Bedarf », à savoir, « necessité ». Mais hişibtu est traduit dans CAD H : 203 par

« wood shaving », à savoir, « pièce de bois ».

436 TCL 13 152. 437 Janković 2013 : 97.

164 base de la structure pour lier les briques ; avant de poser les briques pour la reconstruction sur le sol ou entre des murs anciens, on plaçait de la paille438. Le vol de paille était considéré comme

un crime aussi grave que le vol de bois, d’argent ou d’or, car une pénalité de trente fois le prix était exigée dans ce cas également439. Les 2000 balles de pâture ont sûrement été demandées

pour les animaux utilisés sur les chantiers de construction.

Les trois documents démontrent que ces écrits étaient rédigés pour fournir les éléments nécessaires à la réparation ou à la construction du palais du roi. La clause-hīţu est utilisée pour que les services demandés soient réalisés correctement et ponctuellement.

Au final, les clauses pénales, la clause-hīţu, attestées en ce qui concerne la construction sont associées soit à la matière première, soit à la main-d’œuvre. Il semble que leur application ne soit pas systématique, car seulement les documents mentionnés supra qui contiennent la clause- hīţu parmi les nombreux documents du même type.

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