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Les astrophysiciens qui développent leurs recherches dans le cadre ouvert par la Re-lativité générale présentent les trous noirs comme un envers de l'espace-temps : Le temps et l'espace sont donc inversés.

Plusieurs fois dans ses écrits, Charon a insisté sur le fait que dans une physique ap-plicable à tout notre univers, des postulats concernant de minuscules particules élé-mentaires pouvaient être identiques pour d’autres objets notamment les objets cos-miques : C’est notre principe d’homologie. Si l'on devait accepter pour le plus grand un espace-temps « particulier », il fallait aussi traiter cette propriété à l'espace-temps traitant du plus petit. En ce qui concerne les trous noirs, les astrophysiciens, pour comprendre la physique des trous noirs, ont, dans leurs investigations théori-ques, découvert que l'espace et le temps échangent leurs rôles quand on traverse la bouche d'entrée d'un trou noir. Donc dans les trous noirs, le temps est inversé ; le temps est négatif (Schwarzbild). Nous conseillons, à notre cher ami-lecteur, de visi-ter le site Invisi-ternet : Www-dsm.cea.fr, afin de visionner l'absorption progressive et émouvante d'une étoile par un trou-noir : L’ogre dévorant sa proie. La densité gi-gantesque du trou-noir est telle que la lumière ne peut plus s’en échapper à cause de sa gravité énorme, c’est la raison pour laquelle le pulsar en fin de vie est appelé plus familièrement trou noir, car il est invisible puisque rien ne peut s’en échapper. Le trou-noir devient inobservable. On ne peut l’imaginer que par les effets induits qu’il exerce, notamment par l’absorption d’étoiles qui arrivent dans son champ gravita-tionnel extrêmement fort.

1 2 3 = 1

Fig. 19.2 Cycle d’une pulsation

Ci-dessus est représenté la pulsation et la période ou cycle d’un corps ou de notre univers. Dans le cas de notre univers, il faut, pour passer de l’état 1 à 2 (pulsation) et revenir à 1 (= une période) 2 x 2 370 milliards d’années selon la théorie de Cha-ron. Ce nombre n’est évidemment pas définitif, car il faut tenir compte des ap-proximations volontaires et nécessaires, afin de simplifier l’écriture mathématique de cette théorie.

La pulsation du coeur est d’environ 0,5 seconde, la période d’une seconde (ce que l’on ressent en prenant le pouls est la pulsation (cycle 1 à 2), on ne ressent pas la ré-traction du cœur (cycle 2 à 3 = 1) ; on parle donc de pulsations ; celle du poumon est d’environ 3 secondes et la période de 6 secondes.

13.6 L’ÉLECTRON

L’électron est un objet sphérique fermé dont le rayon est d'environ 1/1 000 de mil-liardièmes de millimètre ; « fermer » veut dire un espace indépendant de notre propre espace.

L’électron est une petite sphère en pulsations ; le rayon moyen, dans son état d'ex-pansion maximum, est supérieur de 10 fois à son état d’exd'ex-pansion minimal (voir figure 19). La période de pulsations est extrêmement rapide. Les battements de l’électron sont de 5 x 1022 pulsations par seconde (soit 5+22 zéros pour passer de l’état 1 à l’état 2, par seconde). La densité de matière de l'électron varie d'un facteur 1 000 durant la pulsation de l'électron. La température de l'électron varie d'un fac-teur 10 durant cette même pulsation. Pour le micro univers de l'électron, la tempé-rature du rayonnement noir (disons la tempétempé-rature à l’intérieur de l’électron) varie de telle sorte que la température moyenne est de l'ordre de mille milliards de degrés. La densité moyenne est équivalente à celle du proton. Cette température correspond à celle d'un rayonnement dit rayonnement noir, formé par un gaz de particules de lumière que l'on appelle photons ; c'est cette lumière dite noire ou ce rayonnement noir que l’on ne peut pas voir puisqu’elle est à l’intérieur de l’électron, qui va conte-nir toute la connaissance stockée dans l'électron. Charon appelle cet ensemble d'in-formations, les « caractéristiques spirituelles » de l'électron. Pour l'instant, nous ne parlerons pas de caractéristiques spirituelles, mais uniquement d'informations ; nous noterons toutefois que le terme information ou connaissance contient implicite-ment la notion d'organisation ; en effet, seule une information organisée permet d'être compréhensible.

De même que les ordinateurs utilisent le système binaire (voir annexe), c'est-à-dire des 1 et des 0 (1 étant équivalent au courant qui passe et 0 étant l’absence de cou-rant), il en est de même à l'intérieur de l'électron. Les particules de lumière, c'est-à-dire le gaz de photons (puisque le photon est la particule constituant la lumière),

doivent être considérées comme un gaz formé de tous petits aimants lumineux sus-ceptibles de prendre deux directions opposées comme l'aimant d'une boussole qui donne la direction nord-sud et l'aimant d’une autre boussole donnant la direction sud-nord. En fait, ces aimants sont appelés en physique état de spin de l'électron (voir une explication du spin en annexe). L'électron enregistre les informations au fur et à mesure qu'elles lui sont fournies. De cette manière, l'électron qui est « vieux » d'un milliard d'années aura stocké toute la connaissance qu'il aura reçue depuis le premier jour de sa longue vie.

13.7 POSITRONS

L'électron peut être considéré comme une toute petite boule de billard creuse, qui est 1840 fois plus légère que le proton ou le neutron ; cette petite boule de billard tourne autour du noyau, composé de neutrons (bleus) et protons (rouges).

IMAGE DUN ATOME

Fig. 19.3 Image d’un atome

À ce jour, on n'est jamais arrivé à diviser l'électron. Ce n'est pas le cas du proton et du neutron. En bombardant les protons avec des particules on peut les casser et on obtient alors parmi les morceaux un neutron et un positron ou une particule plus une autre particule. Le positron possède les mêmes caractéristiques que l'électron sauf que sa charge électrique est positive, c'est-à-dire inversée par rapport à l'tron ; de cette manière, la somme des charges électriques d'un posil'tron et d'un élec-tron donne une charge électrique égale à 0. L'atome a une durée de vie probable-ment infinie. Ainsi, l'être humain composé de ces mêmes atomes pourrait donc avoir une vie infinie ou éternelle sauf accident de parcours. À chaque particule élé-mentaire citée ci-dessus correspond une antiparticule de même masse et de charge opposée (ce qui représente notre principe de l’action étendue). Il faut ajouter que chacun des couples positronium, soit un positron (électron positif) additionné d’un électron est instable. Le couple ne peut plus se transformer en photons. Un photon ne peut pas prendre un état de spin >1 s'il n'est pas dans un espace à temps négatif. Autrement dit, les positroniums les plus informés, et donc les plus conscients, ne peuvent plus faire retour à la lumière, c'est-à-dire se transformer en photons. On en déduit que, à un certain degré d'information contenu dans la particule, notre uni-vers cosmologique ne peut plus retourner à la lumière et au néant. Ce degré de

mé-moire ou d’information est appelé par Charon, un peu rapidement selon nous, « degré de conscience ». Mais nous remarquerons, par la suite, à l’aide de notre théorie, l’intuition remarquable de Charon et nous démontrerons que c’est vraiment un degré de conscience de la particule atomique. L’univers va donc repartir pour un nouveau cycle. Un cycle d'expansion et rétraction, soit un cycle de pulsation de 2 370 milliards d'années, selon la théorie de la Relativité Complexe ; ce qui est à peine le temps d’une chiquenaude pour notre Créateur. « À chaque cycle, le degré de mémoire des électrons (que Charon appelle éons) retenus sera supérieur et ainsi la conscience de notre univers sera supérieure elle aussi ; et ainsi de suite jusqu'à la fin des temps ».

L’électron est le représentant le plus connu de cette catégorie de particules : Les lep-tons. Le seul qui soit stable (les autres leptons ne vivent que quelques millionièmes de seconde tout au plus). Cette minuscule particule électriquement chargée négati-vement tourne comme une planète autour du noyau des atomes. L'électron est selon les termes de Charon un univers-trou ou micro-trou-noir ou micro-univers ; le terme de micro-univers est utilisé par Charon, car selon la théorie de la Relativité Complexe, un électron, un proton ou un neutron peuvent contenir tout le savoir de l’univers. L'électron est une particule possédant une masse non nulle, mais se com-portant, dans toutes ses interactions avec d'autres particules, comme s'il possédait un volume nul, à l'image d'un point mathématique. L'électron – et plus générale-ment les leptons chargés – est une particule entièregénérale-ment logée dans l'espace invisi-ble, ce serait un univers-trou ou micro-univers à l'échelle particulaire, et cela expli-que qu'il possède un volume observable nul, en dépit du fait qu'il possède une masse non nulle ; l'électron est simplement ailleurs que dans l'espace observable, il est dans l'espace invisible, avec seulement un point de contact avec l'espace observa-ble. Sa charge électrique prend la forme d'un gaz de photons enfermés dans son vo-lume invisible (mais non nul) ; et, bien sûr, l'électron peut aussi jouer au passe-muraille avec la matière, dans la mesure où il se déplace dans un autre espace que celui où se loge la matière, il passe à côté de la matière, il ne la traverse pas. L'élec-tron naît de la rencontre de deux photons (particules de lumière), et utilise l'énergie de ces photons pour se créer. Son espace dense est rempli de photons à très haute température (de l'ordre d’un milliard de degrés). Jouant le rôle des particules de ma-tière dans ce dernier, on trouve dans l'espace de l'électron une particule, tournant continuellement en rond dans cet espace, que les physiciens nomment un neutrino. Les photons composant le gaz de lumière enfermée dans le corps de l'électron, que les physiciens nomment un rayonnement noir, duquel rien ne peut s’échapper puis-que cette particule possède un espace refermé sur lui-même, dont rien ne peut en sortir. Ce qui nous fait dire que l'électron est un véritable univers en-soi, un uni-vers-trou ou micro-univers ou micro-trou-noir ; néanmoins, l'électron parvient à communiquer avec les mondes qui ne sont pas le sien propre, mais les physiciens diront qu'il s'agit d'une communication ou une interaction virtuelle ; cela signifie que lorsqu’un électron communique, par exemple, avec le monde extérieur qu'est notre univers observable, il n'y a aucun message réel qui transite du monde électro-nique à notre univers observable. Mais si un photon du monde électroélectro-nique change soudain de sens, alors il faudra qu'un photon du monde extérieur observable vienne, en quelque sorte, compenser exactement l'acte qui a eu lieu dans l'électron... et un photon du monde extérieur changera donc lui aussi de sens. Cet échange virtuel d'impulsion entre un photon du monde électronique et un photon du monde exté-rieur est une communication virtuelle. C'est ainsi que les physiciens rendent compte, par exemple, de l'interaction entre deux électrons, qui se repoussent sous

l'effet de ces échanges d'impulsion virtuelle ; c’est ce que l’on nomme : Interaction électrostatique.