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LES CONSTANTES FONDAMENTALES DE NOTRE UNIVERS

Les physiciens ont mis de nombreux siècles pour s'apercevoir que le Créateur avait basé sa construction de notre univers sur quelques paramètres fondamentaux que l'on appelle en physique les « constantes de l’univers » ; ces constantes permettent de créer un univers avec des caractéristiques bien précises ; si ces constantes changent, notre univers n'est plus le même. Nous disons notre univers, car il y a probablement une multitude (une infinité ?) d’univers dans l’infinité de l’extracosmos.

Selon des théories de physique nucléaire élaborées, ces constantes sont au nombre de 7. Les deux premières sont la constante de gravitation « G » et la température « téta » de l'espace, calculée en termes du rayonnement noir emplissant l'espace de notre univers cosmologique, à l'instant où le temps = 0 lors du big bang de notre univers. Les 5 autres constantes sont : La constante de Planck « h », la vitesse de la lumière « c » et la valeur des masses propres des 3 leptons chargés, actuellement connus : La masse « m » de l'électron, celle du muon « mu » et celle du deuxième lepton « tau ». Aujourd'hui, ces constantes ont les valeurs qui sont mentionnées dans l’annexe. Il est donc nécessaire et suffisant de changer l'un de ces 7 paramètres pour avoir un univers différent. Ceci pour les constantes fondamentales de physique gérant notre univers actuel. Mais il y a d'autres constantes dont la physique ne tient pas compte, car ce n'est pas encore son domaine, ce sont les « constantes » fondamentales du Vivant.

5.1 LES CONSTANVARIANTS FONDAMENTAUX DE L’ÊTRE HUMAIN Les constantes (ou plus correctement les constanvariants) fondamentales de l’être humain sont également au nombre de 7.

Les 5 constantes de l'être humain sont : 1. Boire (x litres par jour par personne) ; 2. Manger (y calories par jour par personne) ; 3. Respirer (u litres d'air par jour par personne) ; 4. Dormir (v nombre d'heures par jour par personne). Ces 4 constantes permettent au Vivant, donc à l'être humain, de vivre, mais non pas de se développer en tant qu'être humain. Nous en revenons à ces exemples d'êtres humains aban-donnés dans la forêt et élevés par des loups ou autres animaux. On se souvient que ces humains sont restés à l'état animal. Il est donc nécessaire d'introduire une autre constante, soit la constante sociale : 5. Se développer dans un environnement social humain, car l’être humain sans l’humain n’est rien.

Nous avons donc 5 constantes humaines fondamentales. Nous remarquerons, en passant, que les 4 premières constantes sont aujourd’hui attaquées par notre société dite évoluée : L’eau est majoritairement polluée, la nourriture est infectée par les pesticides ou par les manipulations alimentaires (vache folle) et génétiques, l’air des villes est difficilement respirable et le bruit permanent est une autre source nuisible. Si une seule de ces constantes manque, l’être humain ne peut vivre. Ainsi, seules et seulement 5 constantes fondamentales de l’être humain lui permettent d’exister. Nous placerons la chaleur dont l’être humain ne peut se passer pour survivre

comme implicitement incluse dans nos constantes humaines, car ni le manger, ni le boire, ni le respirer, ni le dormir, ni le social ne peuvent s’effectuer dans des tempé-ratures impropres aux êtres humains. Nous nommerons ces 5 constantes, des cons-tanvariants. Car contrairement au monde physique où les constantes sont invaria-bles (par définition), les constanvariants humains fondamentaux peuvent évoluer. Pour donner un exemple facile à comprendre, prenons l’être humain : À chaque naissance nous avons bien un être humain et pourtant chaque être humain est diffé-rent ; c’est cela la constanvariance : On a toujours des êtres humains (la constance), mais tous différents (la variance) : La constance dans la variance égale la constanva-riance. Un autre exemple est que chaque humain doit boire, mais la quantité de li-quide qu’il ingurgite varie selon chacun.

5.2 LES DEUX CONSTANVARIANTS IMMATÉRIELS

Le Bien et le Mal comme le yang et le yin existent et existeront toujours, et en ce sens, ce sont bien des constantes de l'humanité. La conscience du Bien et du Mal peut être modifiée par la morale humaine, par les lois sociales, par le type de société, par la culture choisie, par l'attitude et le comportement de chaque être humain. En ce sens, la valeur de ces constantes peut évoluer au cours du temps, mais elles reste-ront toujours présentes ; d'où le terme de constanvariants pour le Bien et le Mal également. Nous utiliserons ces termes, dans le cadre de notre théorie exclusive-ment, parce qu’ils possèdent une connotation particulière à celle-ci. Nous avons donc les deux constanvariants immatériels fondamentaux de l’éthique, qui sont : 1. Le Bien pur, le Bien absolu ; 2. Le Mal pur, c’est-à-dire le Mal absolu.

Ce concept de constanvariants fondamentaux est important, car il définit une struc-ture qui nous permettra de la concevoir comme un cadre de réflexion propre à une approche mathématique. Sans les constantes physiques fondamentales dont les va-leurs ont été données plus haut, notre univers tel que nous le connaissons aujour-d'hui serait différent. Un jour, peut-être, lorsque toutes les théories éthico-spatio-temporelles seront unifiées, pourrons-nous connaître l'état d’univers avec des valeurs de constantes différentes. On pourrait rêver d'un nouvel univers où le Mal serait absent. Mais nous remarquerons, plus loin, que la notion de Mal est relative. Le Bien pur et le Mal pur sont des constanvariants, car ils sont l'essence ou le fonde-ment de toute action humaine ; ils existent et existeront en tous lieux et en tout temps dans chaque action humaine.

Nous avons donc 7 constanvariants ce qui est parfait ; ceci pour 5 raisons. 1. La pre-mière raison est que le nombre 7 est un nombre fondamental de notre univers comme nous le démontrerons plus loin avec la notion de triade mathématique, car la triade contient 7 sous-ensembles ; 2. La deuxième raison est qu’il y a 7 constantes fondamentales en physique ; 3. La troisième raison est qu’il y a 7 équations pour définir les lois de la physique classique27 ; la 4e raison est que le Bien pur et le Mal pur sont les deux pôles de l’action humaine. Il y a donc 7 constanvariants : 5 + 2. On doit donc écrire que le Mal pur et l’Amour, et non le Mal, le Bien et l’Amour, sont l'essence même de toute action humaine et existent potentiellement, en tous lieux et en tout temps, dans chaque action humaine. La 5e raison, plus symbolique, est que la Création a duré 7 jours.

En effet, le don de Bien pur est, par définition, l’Amour absolu et ne forme qu’un constanvariant. D'autre part, le Mal pur A = Mp et le Mal A = Bp + Mp ou A est

gatif ne doivent pas être confondus. C’est une erreur de linguistique et de raison-nement que votre ami-auteur a commis pendant de nombreuses années en nom-mant indifféremment ces deux Mals : « Le Mal », au lieu de les distinguer respecti-vement en « Mal absolu ou pur », et « Mal ou Mal relatif ». Cette erreur est d’autant plus inexcusable que selon notre définition de l’action il est bien précisé que l’action est constituée d’un nombre positif et d’un nombre négatif, mais au début de l’écriture de ce livre nous avions écrit Bien et non Bien pur et Mal et non Mal pur. Notre équation était A = Bien + Mal = B + M et non A = Bien pur + Mal pur= Bp + Mp. Par contre, sur le plan mathématique nous avions écrit A = B + M, ce qui pou-vait sous-entendre que B était un Bien pur et M un Mal pur, mais nous ne l’avions pas enregistré comme tel dans notre conscience. Ceci démontre à nouveau la puis-sance de l’écriture mathématique.

L'intérêt d'établir le concept de constanvariants immatériels humains fondamentaux réside aussi dans la prise de conscience générale de ces valeurs. Il ne devrait pas exis-ter d’autres constanvariants si nous nous référons au nombre 7. Affirmation qu’il est toujours présomptueux de faire à long terme ; le constanvariant que nous placerons au sommet est le constanvariant d'Amour. Il paraît comme étant le plus important et, particulièrement dans le cadre de cette théorie. Car aucun savoir ne peut se transmettre dans notre univers s’il n’est pas donné ; il n’y a que les humains dits, par erreur, évolués, qui vendent leur savoir. Les riches vendent, les simples (d’esprit) donnent. La grande difficulté dans la quantification, c'est-à-dire l'attribution d'un nombre de la valeur d'une action réside dans l'attribution de nombres à des états psychologiques (tension, angoisse, stress, bonheur, joie...) liés à une action. Le bien ou le tort moral est très difficile à établir, car il peut varier considérablement d'un individu à un autre. Ces valeurs sont probablement gaussiennes. On comprend dès lors que la construction de cette théorie s'établira avec des manquements ou des la-cunes dès le départ, c’est-à-dire le manque de résultats chiffrables pour l'attribution de nombres à ces valeurs psychologiques. Ce n'est toutefois pas trop problémati-que ; ce sont des carences qui seront comblées par la suite.

Regardons au niveau de notre humanité ce que cela implique. Dans la construction mathématique de notre théorie de l’éthique, nous avons défini le Bien et le Mal sur la planète Terre pendant un laps de temps comme la somme de toutes les actions de la population mondiale pendant un laps de temps déterminé. Nous avons donc, Ac-tion = Bien + Mal = Bpm + Mpm (pm = population mondiale). L’expression « Bpm » exprime tout le Bien créé par la population mondiale pendant un laps de temps dé-terminé « t », Mpm reflète tout le Mal créé par la population mondiale pendant un laps de temps déterminé « t ». Notre équation symbolise, en théorie mathématique, le Bien et le Mal pendant un instant « t » dans le monde. Par exemple, le 16 juillet 2002 de 8 heures à 22 heures précises. Il est évident que, pour l'instant, ce type de calcul est totalement impossible parce que nous n'avons pas la possibilité d'étudier toutes les actions dans le monde pendant un laps de temps déterminé « t ». Comme lorsque l’on pratique des sondages, par exemple en politique, on prendra un échan-tillon d’environ 1 000 personnes et l’on étudiera le Bien et le Mal de cet échantil-lon, représentatif de la population choisie pendant le laps de temps t, ce qui nous donnera une approximation de la qualité de l’action globale de la population son-dée. Élargissons l'ensemble et prenons l'ensemble d'un pays. L'ensemble des actions des citoyens d'un pays va générer du Bien et du Mal au niveau national. Mais les actions des individus sont conditionnées par de nombreux facteurs, dont certains seulement seront mentionnés ici parmi les milliers existants : 1) le carcan législatif ; 2) les cultures nationales et étrangères ; 3) les religions nationales ; 4) le type de

dé-mocratie ou dictature adoptée ; 5) les structures sociales ; 6) la perception fiscale… et ainsi de suite. En bref, tout le tissu environnemental des citoyens. Le but d'une nation civilisée est d'optimiser les facteurs environnementaux, c'est-à-dire, créer l'environnement idéal dont un individu a besoin pour développer son potentiel « psychogénétique » de façon maximale. Ainsi, un environnement social et culturel optimal est un environnement dont chaque individu a besoin pour développer son potentiel humain de façon maximale, on ne peut pas parler de potentiel génétique seulement, car cela n’a pas de sens puisqu’aucun gène ne peut se développer dans un environnement qui ne soit pas socioculturel.

Ce tissu environnemental optimal tel que défini ci-dessus est plus complexe que le tissu social habituellement compris puisqu’il a le projet fondamental de donner à l’être humain tout ce dont il a besoin. Ici, le tissu environnemental optimal com-prend toutes les interactions matérielles et immatérielles qui touchent l'être humain face à son environnement. Il permet à l'être humain de se développer en tant qu'être humain. Néanmoins, l'être humain se développera plus ou moins harmonieusement suivant l'adéquation entre sa psyché, dont l’âme, et l'être humain formé, c'est-à-dire ayant utilisé plus ou moins adroitement, grâce à l’environnement socioculturel op-timal, son potentiel d’Amour. On peut faire ici la comparaison simplifiée ou sim-pliste selon les goûts, avec le lien entre la graine et la plante finale. La graine est le potentiel génétique de la plante. Suivant la qualité de la terre (la « terre » sociocultu-relle pour les humains), les soins apportés à la plante, en bref, et pour reprendre l'expression ci-dessus, l'environnement complet de la plante, cette graine donnera une belle plante qui aura utilisé tout son potentiel ou sera, au contraire, rachitique, dans le cas où son environnement complet n'est pas adapté. Il en sera exactement de même pour l’enfant et l’adulte.

Qu'est-ce à dire ? Que l'environnement est déterminant pour le développement de l'être humain, cela, tout le monde le sait ! Mais que la quantité de Bien, de Mal et d'Amour sont les facteurs fondamentaux de ce développement, avec évidemment les 5 constanvariants matériels – boire, manger, respirer, dormir et l’environnement social – cela, moins de personnes en sont conscientes. Que voulons-nous donc insi-nuer ? Qu'il faut une approche nouvelle opposée à celle, sur laquelle se sont bâties toutes nos civilisations actuelles : La suspicion et la haine de l'autre. Cette nouvelle approche est celle d’une société qui peu à peu élimine le Mal.

CHAPITRE 6