m’a mis
dernière-* Eau-de-vie commune.
* Soldat de police. ‘
%» A2
€
tendu le nez dans le
verre...
regarde! Pas plus que d'eau sous un moulin à vent, Ce n’est pas pour me vanter, mais je puis-bien direque...
chose ! que mon ventre est pourl'eau-de-vie ce que la poche d’un Krartâlny * est pourles grivenik
?
plusvive l’eau-de-vie:!on y en met,vive laplus il enbièretient.! viveAinsi donctoutce qui enivrevive la!joie!Eh:
! mes braves, faisons bombance : Daréz gouliâtséa! —Dardi,davâi! » — Le peuple russe est en goguette.
Si vous rencontrez quelque parten Russie une sale maison
en bois avec une horrible entrée sur laquelle toutes les im-mondices ont pris consistance de croûte , avec deux fenêtres de front placées probablement comme décor , tant la crasse qui en recouvre les vîtres est impénétrable à la lumière, avec une enseigne qui se laisse plutôt deviner que lire, et dont
voicila teneur, sauf l'orthographe et quelques variantes : Bou-tique de bière avec vente de bière et d'hydromel; ce bougé in-fect, pourri parsa base et penché comme un vieil ivrogne qui s'essaie à marcher, s'appelle un Kabak (cabaret). Quant à l’intérieur , je ne vous en dirai rien et pour cause
;
je défie unchrétien de s’en approcher à la distance d’une toise sans vi-naigre des quatre voleurs. Eh bien , c’est là-dedans que le peuple russe va chercher ses plus vives jouissances
;
c’est làque l'ouvrier vasedédommager dans une dégoûtante débauche de toutes les privations d'une vie misérable et sans avenir;
c’est là qu’il va oublier un instant qu’il vaudrait mieux pour lui être un chien de chasse qu’un homme. Sans doute , vous bonnes gens de là-bas, vous prenez .cette dernière compa-raison pour une impertinente exagération de rhéteur; eh bien,
il n’en est rien ; car un bon chien de chasse est estimé quel-quefois mille roubles etau-delà , tandis qu’uneterre est bien vendue à raison de cent roubles par âme, c'est-à-dire par tête d'homme 3,
Que si l’on recherche la source dela dégradation morale indiquée par
cette
absencede toute délicatesse dans les appé-tits purement physiques, on peut la ramener à deux causes, dont l’une n'est peut-être qu'une conséquence de l’autre. Le fond du caractère du peuple russe est une insouciance qu’on pourrait presque comparer au fatalisme des Orientaux : cedéfaut estd’autanl plus remarquable qu’il semble moins com-patible{avec l'énergie constante que nécessite le climat rigou-reux du Nord. En effet, on conçoit le dolcefor nientede l’Tia-lien,fla sieste de l'Espagnol
et
la stupide imimnobilité du Turc:
toutes ces populations
se
laissent allerà une doucevie
devégé-tation qu’expliquent suffisamment la beauté d’un ciel sans frimats et la fertilité exubérante d’un sol qui nedemande rien
à l’homme. Mais là, où une lutte perpétuelle estétablie entre les éléments et la créature, on devrait croire que le naturel
a pris la trempe de l'acier, qu’il s’est obstiné à dompter la nature!rebelle , qu’il s’est efforcé de la plier aux exigences de
* Officier de quartier.
‘2 Petite pièce d'argentde la valeur d'environ 40centimes.
3 La raison duroubleenassignution au franc de Franceest comme
84à100. °
l'humanité. Eh bien non ! L'homme a refusé le combat, il s'est arrêté devant l'obstacle sans essayer de le franchir, il a
baissé la tête sous le joug d’une destinée qu’il aurait pu vain-cre. D'avance il s’est soumis avec résignation à tontes les éventualités, ne s'étonnant de rien , n'opposant à toutes
les
misères que la résistance inerte d'une patience infructueuse.
De là, grossière sensualité et dénuement, de là , décadence objecte dans les mœurs, L'homme du peuple en Russie ne s'inquiète d'aucune des aisances de la vie, de rien de ce qui fait le luxe du pauvre
il
ne les connnaît même pas, il n’ena pas le sentiment : la malpropreté la plus révoltanteest l’at-mosphère ambiante dans laquelle il se complait. Que
lui
im-porte le bien-être, pourvu qu’il ait l'indispensable ! Que
lni
importe une maison, si un abri peut lui en tenir lieu !
Qu’a-1-i) besoin d’un lit, si le plancher desa chaumière ou le fu-mier de sa basse-cour lui procurent le sommeil! De même l’ouvrier russe n’invente rien, ne perfectionne rien , parce qu’il ne songera jamais à se rendre le (ravail facile, parce qu'il préfèrera se servir de l’outil le plus défectueux plutôt que de se donnerla peine de lui faire subir une modification qui le rendrait commode, Cette insouciance sur les choses du présent va bien plus loin encore pour tout ce qui regarde l’a-venir. Le lendemain n'entre jamais dans ses prévisions, et, bien qu’il répète quelquefois le proverbe : Il faut se garder
quelque chose pour lejour noir, i\ ne l’ajamais misen pratique
:
il dévorera sans profit en un jour tout ce qui aurait pu amé-liorersonsort et luiprocurerdesjouissances durables. Qu’est-ce que l'avenir? Avas!... (Peut-être!) — Boh dast! (Dieu
donnera
!)-
;L'autre cause de cette maladie morale réside dans
la
flé-trissure qu'imprime le servage aux individus. Comment vou-lez-vous que des pensées nobles , grandes, germent dans des esprits habitués dès l'enfance à la contrainte , à la ruse, à la tromperie , enfin à tous les vices qu’engendre une ignorance favorisée par système ; comment voulez-vous qu’elles se fas-sent jour sous l’oppression si souvent brutale, toujours in-quiète et jalouse des seigneurs! Comment voulez-vous qu'un homme dépense tout ce qu’il a de volonté , d’énergie , de vie, à la production d’une œuvre dont le bénéfice ne lui est pas assuré ; qu’il recherche une noble
illustration
dans la culture des beaux-arts, quand il ne dépendra que d'un caprice du maître pour qu’il soitenvoyé à la garde despourceaux!.Mieux vaut pour lui croupir dans la fange où ont croupi ses pères,et...
ainsi fait-il.Or donc
ie
peuple s’amuse. Voyez ce malheureux à peine vêtu ; qnand ilaura bu son dernier kopek *il vendra sa pelisse de mouton , il vendra son bonnet, il vendra ses bottes pourse procurer le plaisir de passer encore quelques heures de béatitude sous la table d’un kabak; puis, quand
il
ne luires-tera plus que sa chemise et ses grègues de toile, ilcèdera la place à un nouveau venu pour
aller
reprendre son sommeil4 Pièce de monnaie delavaleur d'un peu plus d’un centime.
se 45 4x
auprès d’une borne , et attendre que la compatissante solHci-tude d'un cosaque vienne à coups de nogdzka ! lui montrer
le
chemin du violon. Va, mon brave, va toujours ton train!
Demain je
te
rencontrerai sur la voie publique, décoré surledos d'une belle croix en craie enchassée dans un cercle de même métal , et occupé à balayer lesrues de la Ville aux blan-ches pierres, ce qui n’est pas peu de chose pour ceux qui achètent du cirage. Va, mon ami, ne te gêne pas pour le quart d'heure : tu auras bien mérité dela patrie.
O vous, braves gens, qui n'avez jamais vu la fuméed'un sa-movar ? russe, si vous êtes jamais tenté devenir prendre du
tlhié infusé dans de l'eau de la Moskwa-réka , permettez-moi,
dans
le
cas où votre arrivée coïnciderait avec les fêtes de Pâ-ques, de vous donner un bon conseil. Ayez au moins deux paires de bottes, deux pairesde...
ce qu'on ne nomme pas enRussie sous peine de passer pour un Français, deuxgilets,
deux perruques si vous en portez, enfin deux de tout. Que
si
vous me demandez, mon garçon , la raison de la chose , je vous répondrai par une supposition : vous vous en allez, les deuxmains dans les poches de votre paletot, flanant sur les trottoirs, regardant dans les fenêtres, vu qu’il n’est pas de
mode
ici
d'avoir des rideaux; et préoccupé par lessujets d'ob-servalion que vous rencontrez , par les Impressions que vous recueillez sur votre calepin, vous n'apercevez pas devant vous un individu au regard aviné, qui à force de chercher la grande route, tantôt àdroite tantôt à gauche, puis en avant et enar-rière, se décide enfin.à passer outre : malheureusement vous vous trouvez sur la ligne de ses explorations, etd'un croc-en-jambe il vous envoie coutre une borne faire connaissance avec le fond de votre chapeau, pendant que lui-même essaie d'en-foncer une porte cochère. Vous vous relevez pour saluer ce monsieur qui pourtant ne tient pas à celle politesse ; mais après les compliments d’usage vous
vous
apercevez, ôterreur,qu’il y asolution de continuité quelque partdanslevêtement...
que vous savez et qui n’a pas de nom en Russie. Alors mal-heur à vous, mon brave , si vous ne vous êtes pas avisé de la précaution que je vousai indiquée ! Vous garderez forcément lesarrêts jusqu'après le dimanche blanc
;
car, fussiez-vousle
maître de donner en cadeau lagrosse cloche fêlée * qui se re-pose comme un invalide au pied de la tour d'Iran Féliky, ou son voisin legros canon, dans la bouche duquel deux soldats peuvent jouer aux cartes, vous ne trouveriez pas un ouvrier qui en voulût, si à ce prix il devait poser un appareil sur votre blessure. Narôd gouliaîetséa !
Le peuple se promène —et ne travaille pas!
lln'estpas, comme vouspourriez lecroire, que ces fêtesn'aient un théâtreparticulier où toute la ville se donne rendez-vous:
à ses jours de grandes réjouissances lepeuple veut
voir
et être vu; il faut qu’il montre ses‘habits de gala, s’il en a, ou que* Sorte de fouet court
et
épais.> Bouilloire.
* Elle pèse 10,000 poudes
:
16 Y; kilogrammes.
lepoude est de 40 livres russes, soit
du moins il admire.ceux des autres ; le peuple est comme une soubrette qui se pâme d'aise en voyant sa maîtresse en robe debal, et qui , de derrière la porteoù elle dérobe au passage quelque bribe du festin, prend aussi sa part des plaisirs du salon. À Moscou donc, ce lieude rendez-vous général est Pod-Navinsky.
Pod-Navinsky est un boulevard situé entre les extrémités
de la Nikitzkaïa et de l’Arbate, deux grandes rues qui , comme toutes celles de cette capitale, vont aboutir au Kreml , ainsi que les rayons delacirconférence au centre. Ce boulevardest bordé de chaque côté par un pavé qui le sépare des maisons
:
le côté gauche , quartier tout aristocratique, présente une
| longue ligne de belles et somptueuses habitations ; c’est aussi le quartier appelé à jouir plus particulièrement du spectacle qui se donne là pendant huit jours. —
Un peu avant la semaine du carnaval (que,
soit
dit enpas-sant, on appelle en russe lasemaine du beurre, Maslianitza, parce que les viandes sont déjà interdites) on construit sur presque toute la longueurde
cette
place unesérie
debalhagd-nes* ou barraques en bois dans lesquelles vient se loger toute une population de saltimbanques, d'acrobates et autres gens de même farine , pour la plupart étrangers. Quoique les ré-jouissances de carnaval
ne
diffèrent guèresdecelles
de Paques, on peut dire pourtant qu’elles n'en sont que le prélude. En eflet, c’est pour l’imagination un dévouement quelque peu sombre que l’arrivée du grand carême : ce rude jeûnequi
proscrit, outre la viande , toutce qui provient d'un-animalà
sang chaud , par conséquent le laitage, les œufs, etc., et même àquelques époques
le
poisson , ne laisse au peuple de ressource pour sa nourriture que dans un petit nombre de mets malsains , dontla
seule présence fait soulever le cœur,tantils sont infectés d’un abominable condiment, L’appréhen-sion Ôte donc
ici
à la joie une partie de son élan, tandis que plus tard tout concourt au contraire à la pousser en dehorsde toute limite.
Or
ces
pauvres balhagânes,si longtemps silencieux, si long-temps abandonnés, ont enfin fait crier les gonds rouillés de leurs portes; ils ont jeté de nouveau sable dans leur arène, barbouillé leurs scènes délabrées, remplacé lesverres cassésde leurs quinquets, donné une robe neuve à Colombine , un chapeau neuf à Pierrot, et rapiécé la veste d’Arlequin, Et
ainsi tout beaux, tout parés, ils ont.attendu
la
foule avec cén-fiance.Eh bien, la voilà qui arrive comme un torrent débordé;
la voilà se pressant, se poussant, se heurtant
,
se coudoyant,se ruant
et
faisant retentir l’air de mille cris joyeux : puis du hautdes
trétaux, vingt musiques militaires lui répondent, et4 À propos de balhagänes, je crois devoir faire ici une petite re-marque philologique : on trouve ce mot dansun dictionnaire français, peut-être même dans piusieurs, mais avec cette orthographe
:
ba/agen,et avec la définition suivantel’habitation d'hiver s'appelle :zèas,: « Habitation d’été des Kamtchadales» C’estuneerreur
;
carce mot russe;
signifie tout simplement darrague en planches; de même izbas,, qu’on doitécrire izbn, ne signifieautrechose que maisonde paysan, chaumière
5
AAqu
les sons se croisent, se multiplient, se brisent, s’éteignent, se raniment avec une discordance-merveilleuse. La foule un moment stupéfaite d'admiration reprend sa course désordon-née , et.c’est un. flux et-un reflux perpétuel, un brouhaha immense : chacurr cherche à s'orienter, chacun veut se choisir un pointde départ. Cependant
les
pavillons de toutes couleurs flottent au gré d’une bise légère, et lesimmenses programimnes de toile , tissés le long des parois, étalent à tous les yeuxles
|merveilles de cc séjour enchanté : ici, ce sont.des sauvages nus échelonnés les uns sur les autres en forme de pyramide et emportés de toute la vîtesse de deux chevaux sur lesquels ils se tiennent de bout;
là,
ce sont des animaux arrivés de toutes les parties du monde , un rhinocéros, des singes , deslions, des porroquets et fuéfi quanti; plus loin, c’est une femme qui coupe fort grâcieusement la tête à son mari,
et
trouve inoyen de la lui remettre ; plus loin , une galerie de figures en cire ; plus loin, les éternellement nouvelles aven-tures d’Arlequin; plus loin et tout enbas, le modeste Poli-chinelle grimaçant et nazillant à travers une fente de sa bar-raque. Ses paillasses font la culbute, dansent sur la tête, jettent leurs bonnets en l’air , mangentde
la
filasse,vomis-sent de la fumée , attrapent des coups de pied de l’un, des soufflets de l’autre , et finissent par vous engager avec toutes sortes de politesses grotesques à prendre un billet d’entrée.
Vient l’orateur de la troupe, qui fait signe de la main qu’il va prononcer une harangue , mais
,
au moment d'ouvrir la bouche , sa mémoire lui fait défaut, etil se contente de crier :Hé , hé! cioudâ, cioudé., cioudé! (Par ici, par
ici!)
« Fôndourak Niémetz! Voilà un imbécile d'Allemand! » reprend un farceur de la foule
,
« il s’est encore mis en tête de parler la-langue orthodoxe, quand le bon Dieu l’acondamné lui et son frère le diable à ne jamais parler que le bredouillement des Boussourmânes, (des infidèles)! »Et
les rires éclatent de plus belle ; le vacarme redouble,, ct vous ne distinguez plus que de temps à autre les cris aigres des colporteurs :« Achevez mes preâniki!! Sbitiègne; tout chaud? ! Sauçisses, saucisses! » — Par
le
grand Jupiter!
c’est beau à voir, maisde loin.
Quelque soit partout ce tumulte , le pêle-mêle n’est pas aussi complet que vous pourriez le penser
;
car la civilisation a étendu jusque là ses distinctions sociales. Unepetitebalu-strade en bois divise dans toute sa longueur
ce
longquadrila-tère de têtes humaines
:
il y a le côté des pelisses de mouton et le côté des habits de drap; la promenadedes moujik etudes bâba $, et celle des mentons .généralement rasés,,Malbeur
aux possesseurs naturels des secondes
places,
s'ils s'oublientau point d'élever leurs prétentions jusqu'aux premières ! Un | Khajahl à la mine peu avenante leur caresscra Jesépaules du bout d’une badine avec laquelle il se promène sansfaire sem-.
blant de rien,
+ Sortede païns d'épice. ; ;
* Boisson préparée avec dumiel et des framboises sèches.
3 Paysans et Paysannes.
Ainsi du côté des habits
de
drap -vous voyez d'abord:les officiers de tout plumage, se dandinantd’une
manière fort peu militaire, et ne trouvant rien de beau comme le cliquetis d'un sabretraînant
sur le pavé; puis les seigneurs qui ont besoin d'exercice pour digérer leur déjeûner ; puisles petits
marchandsbarbus ou non , ayant dans leur sacoche suffisarn-ment de quoi acheter leur commissaire de quartier quand
ils
en ont besoin ; puis-des cadets de dix à douze ans, ensevelis
sous des shakos plus grands qu'eux; puis des- Persans, des Arméniens et quelques T'atares; puis enfin le commun de ceux qui ne sont ni ceci ni cela : quant aux jeunes-beaux et aux ex-beaux, (car Moscou n’est pas enreste de
perfectionne-ment
social)
toute cette-race de honceaux-avortés qui n’ont du vrai lion qu'un costume plus ou moins excentrique; qu’une crinière plus ou moins longue, plus où moins pommiadée, plus ou moins bien frisée, ils se‘tiennent en évidence surles degrés d'un café provisoirement établiau haut du boulevard, drapés dans les poses les plusfatalesdu romantismele
plus caverneux:, La soite ménagerie que celle-là!Ce n'est que le matin que quelques grandes dames osent
se
hasarder dans cette cohue ; l'après-midi est abandonné aux bourgcoisesde toutes dénominations, aux énormes épicières plaquées de blanc et de rouge, aux faiseuses de mode et àleurs escadrons volants, aux brunes bohémiennes à la désinvolture lascive etau costume quelque peu asiatique, enfin auxgrisettes
de tous numéros et de tout acabit.
Cependant
tout
cela n’est encore que la moitié du spectacle.Dès les onzeheures du matin il se forme unelongue file d’é-quipages, qui va toujours en augmentant jusqu’à la nuit tom-bante ; elle longe une première fois le boulevard, puis, se repliant sur clle-mênie , revient en se serrant le long des maisons au point d'où elle est partie. Si maintenant vous
vou-lez juger du mérite extrinsèque , quelquefois même intrin-sèque de tous ces nouveaux personnages qui nous arrivent, vousn'avez qu'à examiner, Ce somptueux équipage acheté à Vienne ou à St-Pétersbourg, et attelé de quatre beaux che-vaux,entraîne un grand seigneur qui a quelques mille serfs et des mines en Sibérie. Les panneaux sontlargement armoiriés,
le cocher ct te postillon sont habillés richement, et les deux
le cocher ct te postillon sont habillés richement, et les deux