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Absence de cahier des charges

Le Directeur général de la DGEO reconnaît le caractère pratique que revêtirait l’existence d’un cahier des charges pour les enseignants à l’école obligatoire, du fait qu’il regrouperait en un seul document des informations actuellement dispersées en divers emplacements de nature variée, notamment!:

• la Loi scolaire et son Règlement d’application37, décrivant très en détail et cadrant – toutefois de manière dispersée en leur sein – l’ensemble des principes inhérents au rôle de l’enseignant!;

• le Plan d’étude vaudois38 et les grilles horaires qu’il contient, fournissant les indications nécessaires concernant les contenus enseignés à l’école ainsi que les orientations didactiques voulues par la DGEO!;

• la Déclaration de la CIIP du 30 janvier 2003 relative aux finalités et objectifs de l’École publique39 insistant sur la dimension socio-éducative de l’école, et donnant des indications quant à l’évolution du métier et le rôle de l’école à ce sujet et, partant, le rôle des enseignants!;

• le Référentiel de compétences professionnelles de la HEP-VD40 décrivant les compétences attendues des étudiants au sortir de leur formation à l’enseignement.

Cet ensemble de documents permet de tenir en l’absence d’un cahier des charges, car d’eux découlent les compétences nécessaires à l’exercice du métier d’enseignant. Toutefois, le Directeur général de la DGEO admet qu’il serait confortable de

37 Canton de Vaud (1984), respectivement Canton de Vaud (1997)

38 Direction générale de l’enseignement obligatoire (2007)

39 Conférence intercantonale de l’Instruction publique de la Suisse romande et du Tessin (2003). Il est à noter que cette déclaration est reproduite dans les pages introductives du Plan d’études vaudois.

disposer d’un document de synthèse qui rassemble l’ensemble de ces éléments afin de formuler de manière rigoureuse le rôle des enseignants. Et, par effet inverse, ce document pourrait servir à identifier des éventuelles lacunes parmi ces divers documents prescripteurs. Enfin, selon le Directeur général de la DGEO, les objectifs de la formation continue devraient émaner du cahier des charges, plutôt que de se baser sur cet ensemble de textes fondateurs comme cela se produit aujourd’hui (DGEO, ll.!39-43 et 117-145).

Le Directeur interrogé pense que la parution d’un cahier des charges pour le métier d’enseignant à l’école obligatoire pourrait conduire à des pratiques de contrôle, du fait de l’éventuelle introduction dans ce cahier des charges d’une obligation de suivre des cours de formation continue. Cette parution pourrait également conduire à la conduite d’entretiens individuels avec les personnes qui n’arrivent pas à s’inscrire dans ce cahier des charges, le Directeur les aiguillant

éventuellement vers les cours de formation continue qui lui semblent pouvoir contribuer à combler leurs lacunes!; voire à une généralisation de l’entretien individuel avec l’ensemble des enseignants (Dir., ll.!206-209 et 214-216)!:

Peut-être que le cahier des charges – admettons qu’on ait quelqu’un qui s’occupe après de la formation, enfin des RH –!; en fonction du cahier des charges, en fonction de l’entretien qu’on doit de toute façon avoir avec l’enseignant, ça déboucherait sur, peut-être, une approche différente. Parce que là on contraindrait, on dirait!: «!Ben écoutez, là on a parlé de ça, trouvez-moi des formations qui vous conviendraient.!» C’est ce qu’on fait avec les secrétariats, où avant l’entretien, on leur demande de venir avec des idées de formation continue. (Dir., ll.!260-265)

Pour le Directeur interrogé, la parution d’un cahier des charges ne devrait pas avoir pas de grandes conséquences sur l’offre contenue dans le programme de formation continue de la HEP-VD. En effet, selon lui le cahier des charges ne pourrait de toute façon pas être aussi vaste que l’est l’offre de formation continue. Sa définition pourrait tout au plus conduire à développer un thème ou un autre que l’on constaterait éventuellement être sommaires dans le programme de formation continue!; et une nouvelle offre pourrait être la mise sur pied d’une journée pédagogique pour expliciter le cahier des charges. D’après ce Directeur, le programme de formation continue ne serait donc pas chamboulé par la parution d’un cahier des charges pour le métier d’enseignant à l’école obligatoire (Dir., ll.!201-206, 209-214).

Pour la SPV, comme pour le Directeur général de la DGEO il existe suffisamment de documents prescripteurs!; notamment le Plan d’étude vaudois ainsi que les fiches du Répertoire des emplois-types et métiers de l’Administration cantonale vaudoise41. Selon le Président de cette association, cet ensemble de documents fourniraient suffisamment de pistes pour élaborer une offre de formation continue qui couvre le champ des compétences mobilisées pour exercer le métier d’enseignant à l’école obligatoire (SPV, ll.!351-357).

Relevons toutefois que la SPV milite pour la publication d’un cahier des charges, davantage cependant pour les clarifications qu’apporterait ce document en termes de droits et d’obligations de la part des parties respectives, entre autres en termes de formation continue!; cette association considère le cahier des charges comme quelque chose qui protège, davantage que comme quelque chose qui oblige (SPV, ll.!312-314 et 322-323).

Les Responsables de l’IFC de la HEP-VD requièrent que les formateurs, lorsqu’ils font des propositions de formations, se réfèrent au Référentiel de compétences professionnelles en usage dans cette Institution. Ce document, qui est un référentiel de formation, pallie pour eux le défaut de cahier des charges pour le métier d’enseignant à l’école obligatoire!; par ailleurs, il n’aurait jamais été remis en cause par la DGEO. Si un cahier des charges pour le métier d’enseignant à l’école obligatoire devait être publié par la DGEO, les Responsables de l’IFC de la HEP-VD n’ont pas l’impression que cela les aiderait à affiner leur offre. Toutefois s’ils devaient constater que des pans entiers étaient totalement absents de leur offre – ce dont ils doutent –, cela les engagerait à les combler. Pour eux, si un cahier des charges des enseignants devait voir le jour, il serait essentiellement utile aux enseignants!: cela les aiderait en ce sens qu’ils auraient une meilleure appréhension des attentes de la DGEO et pourraient ainsi mieux identifier leurs espaces de développement en termes de formation continue (HEP,

ll.!100-114 et 190-197).

41 Canton de Vaud (2008) et Canton de Vaud (2009). Voir «!Annexe 7!: Répertoire des emplois-types et métiers de l’ACV!»

p.!105, et «!Annexe 8!: Répertoire des EMplois-types de l’État de Vaud!» p.!113. Le second répertoire constitue l’évolution du premier suite à la réforme DECFO-SYSREM.

Droits et obligations en matière de formation continue

Selon le Directeur général de la DGEO, le fait que la HEP-VD ne soit pas en mesure de dispenser l’ensemble des quatre42 jours de formation continue annuels par enseignant ne constitue pas un problème en soi. En effet, pour le cas où il y aurait pléthore de demandes, les modalités de formation demanderaient à être redéfinies de manière à ce que cette formation puisse être offerte. Par ailleurs, les enseignants ont la possibilité de se tourner vers d’autres prestataires de formation continue, notamment les Universités, d’autres Hautes écoles en Suisse romande, ainsi que le CEP depuis cette année (DGEO, ll.!147-157).

Le Directeur interrogé effectue la multiplication correspondant à 4 jours annuels de formation pour 8’000 enseignants!; il peut donc bien imaginer que la HEP n’ait pas la capacité d’offrir 32’000 jours de formation annuels, même en regroupant les enseignants comme cela se fait dans la pratique. Cela ne constitue toutefois pas un problème pour lui (Dir., ll.!217-219)!:

Pour l’instant ce n’est pas un problème, je n’ai aucun enseignant qui est venu me trouver en me disant!: «!Mais je veux faire ma formation continue, et puis on est dans l’impossibilité de me l’offrir.!» (Dir., ll.!219-220)

Il mentionne toutefois les quelque cas pour lesquels une formation avait été planifiée en partenariat avec la Direction pour des enseignants qui avaient des difficultés dans leur travail, et dont plusieurs cours avaient été annulés faute de

participants!; toutefois il concède qu’il s’agit d’une part infime de toute la formation continue que les enseignants suivent.

Par ailleurs, il indique que quelques enseignants de son établissement effectuer une part de leur formation continue hors du dispositif mis en place par la HEP-VD (Dir., ll.!220-222 et 246-252).

Pour ce Directeur, la formation continue suivie par un groupe d’enseignants de son établissement pose un problème d’un autre ordre. En effet, s’il peut trouver jusqu’à trois remplaçants pour un même moment, il n’a pas les ressources suffisantes en remplaçants si une dizaine d’enseignants se sont inscrits à la même formation de manière à ce que soit les formateurs de la HEP-VD qui se déplacent. Bien qu’il fasse tout pour l’éviter, il se trouve alors contraint à mettre l’ensemble des classes concernées en congé, ce qui est un problème pour lui en termes d’image de l’école (Dir., ll.!222-226)!:

Je trouve que dans l’enseignement, l’image de l’école pâtit de la mise en congé des élèves!; dans la population ça passe très mal!: «!Ils ont pourtant bien assez de temps, il y a le mercredi, il y a le samedi, il y a les vacances, ils ont trois mois de vacances…!»!Donc on entend ce genre de remarques, et pourtant – en tout cas chez moi – ils font tous en tout cas la moitié sur leur temps libre. Beaucoup même font le samedi, le mercredi après-midi. Donc il y a pas du tout d’abus de côté-là, mais ça, ça nous crée un problème. (Dir., ll.!227-231)

Pour diminuer le nombre de mises en congé des élèves pour cause de formation continue des enseignants, ce Directeur organise une journée pédagogique le dernier jeudi des vacances d’été, suivie le vendredi de la conférence des maîtres de la rentrée. Il conclut que l’application stricte de la Loi concernant le droit et l’obligation pour les enseignants de suivre 4 jours de formation continue par année, dont la moitié sur temps d’école, contraindrait à mettre souvent des élèves en congé (Dir., ll.!231-236).

Pour le Président de la SPV, l’obligation qui serait donnée par un cahier des charges constituerait un levier de promotion de la formation continue. Le problème du cahier des charges serait qu’il obligerait les deux parties, l’employeur étant tenu de fournir les prestations de formation continue auxquelles l’employé a droit (SPV, ll.!302-304, 314 et 318-319)!:

Or à 10’000 enseignants fois deux jours sur temps scolaire, c’est 20’000!; et quatre jours, c’est 40’000. On voit bien que c’est juste pas possible de réaliser ça, donc c’est pas étonnant d’une certaine manière qu’il y ait pas une définition claire de cette formation continue de cette façon-là. (SPV, ll.!319-322)

42 Relevons qu’au moment de la rédaction de ce mémoire, ce chiffre constitue davantage un usage qu’une règle, en raison de l’absence de textes légaux en la matière. En effet, le Règlement d’application de la loi scolaire stipule!:

Art."121a – Formation continue personnelle": 1!Par année scolaire, un maître peut prendre sur son horaire d’enseignement la moitié de sa formation continue obligatoire, telle que définie par l’article 79 du règlement de la Haute école pédagogique […]. (Canton de Vaud, 1997)

Dès lors la SPV, compte tenu du fait qu’il est impossible que la HEP-VD et la DGEO seules répondent à la demande ou à l’obligation, souhaite que de meilleures solutions de financement des formations continues dans des Instituts privés soient trouvées (SPV, ll.!375-382). Nous y reviendrons dans la description par la SPV de la vision idéale de l’offre de formation continue de la HEP-VD.

Les Responsables de l’IFC de la HEP-VD ont calculé que les enseignants suivent actuellement 1,8 jours de formation continue en moyenne par année. Ils estiment donc avoir la capacité de fonctionner correctement avec 2 jours de formation continue annuels par enseignant. Toutefois, ils ne cantonnent pas la formation continue uniquement à la participation à des cours (HEP, ll.!198-201)!:

La formation continue n’est pas toujours formalisée, il y a tout plein d’enseignants qui se forment en lisant des bouquins, en travaillant en collectif, en se faisant accompagner dans la gestion d’un projet, en allant visiter d’autres collègues!; donc il y a tout plein de modalités de formation continue qui sont informelles ou qui ne sont pas formalisées. (HEP, ll.!206-209)

De plus, la HEP-VD ne se considère pas comme le prestataire unique de formation continue, et les Responsables de l’IFC de la HEP-VD ne disposent d’aucune information quant aux cours suivis par les enseignants en-dehors de la HEP. En conséquence, il leur semble très compliqué de poser des indicateurs de suivi pour mesurer la participation annuelle des enseignants à quatre journées de formation continue. En tous les cas, si la HEP-VD devait dispenser quatre jours annuels de formation continue par enseignant, elle n’aurait pas, dans les conditions actuelles, les ressources suffisantes en termes de formateurs. Toutefois, les Responsables de l’IFC de la HEP-VD déclarent avoir une forme de contrat de prestations avec le Département, si bien que si ce dernier exigeait que quatre jours soient effectués à la HEP-VD, il s’agirait juste pour cette Institution de renforcer ses ressources!; ceci nécessitant un appoint financier (HEP, ll.!199-200, 205-206 et 209-213).

Évaluation

Par la HEP-VD

Cela semble entrer dans une démarche qualité normale pour le Directeur général de la DGEO que l’IFC de la HEP-VD tire des bilans des prestations dispensées en regard des prestations proposées. Il lui semblerait important que les effets produits soient également mesurés, à savoir l’effet sur la pratique de l’enseignant que pourrait avoir le fait d’avoir suivi un cours.

Toutefois, il reconnaît la difficulté à mettre en œuvre de manière rigoureuse et scientifique une telle mesure de l’efficacité, qu’il imaginerait pouvoir être menée par la HEP-VD dans le cadre d’une recherche-action. Par ailleurs, il délègue à ses Directeurs généraux adjoints la prise de connaissance des rapports de la HEP-VD relatifs à la formation continue (DGEO, ll.!196-198 et 200-211).

Le Directeur interrogé constate que la HEP-VD dresse un bilan, puisqu’il se souvent le recevoir reçoit au terme de l’année.

Ce bilan contiendrait selon lui notamment le degré de satisfaction des participants au terme des formations. (Dir., ll.!337-340) À l’IFC de la HEP-VD, le bilan des formations dispensées dans l’année est dressé selon des couches successives. Quand une formation est terminée, un bilan «!à chaud!» est obtenu à l’aide d’une feuille d’évaluation comportant cinq critères qui est complétée par les participants. De son côté, le formateur donne son retour dans un document de fin de prise en charge.

Cet ensemble est lu et compulsé dans ce que les Responsables de l’IFC de la HEP-VD nomment un «!tableau de bord!». En même temps, le secrétariat de l’IFC de la HEP-VD dresse des statistiques avec les degrés de satisfaction émis par les participants.

Vers le mois de septembre, toutes les unités sont rentrées et l’IFC de la HEP-VD dispose d’un panorama de l’ensemble des formations dispensées pendant l’année écoulée. Sur cette base, une fois les statistiques générales observées et les thématiques qui ont eu le plus, respectivement le moins de succès identifiées dans le tableau de bord, les Responsables de l’IFC de la HEP-VD établissent le rapport d’activités de l’année.

Ce rapport d’activités est fourni à la commission consultative de l’IFC de la HEP-VD pour y être discuté, et ce retour est intéressant pour les Responsables de l’IFC de la HEP-VD. Les UER donnent également un retour d’informations. L’IFC de la HEP-VD n’est pas tenu de remettre le rapport d’activités à la DGEO, toutefois les Responsables de cet Institut le font tout de

même. En outre, lorsqu’en début d’année scolaire ils adressent le nouveau programme de formation continue aux Directeurs d’établissements, ils joignent quelques statistiques de l’année précédente pour leur signaler les tendances.

Toutefois, les Responsables de l’IFC de la HEP-VD résisteraient à diffuser l’entier de leurs statistiques, car ils craindraient qu’elles ne puissent être mal interprétées (HEP, ll.!269-291)!:

Par exemple, quand on regarde les statistiques du nombre de fréquentations, on s’aperçoit que les maîtres primaires sont beaucoup plus assidus à la formation continue à la HEP que ceux des gymnases. Mais il faut savoir que pour le gymnase, on a un centre de perfectionnement suisse, que les maîtres de gymnase vont beaucoup à l’Université, que etc. (HEP, ll.!291-294)

Les chiffres que l’IFC de la HEP-VD est en mesure de fournir ne concernent donc que cet Institut, et les Responsables de l’IFC de la HEP-VD imaginent que, mal informées, des entités pourraient faire un usage erroné de ces données. C’est pourquoi ils isolent celles qu’ils estiment pertinentes pour donner des informations sur les contenus et les éléments de formation continue, et ne diffusent que celles-ci. Les autres statistiques leur sont utiles à l’interne à des fins de pilotage (HEP, ll.!294-298 et 301)!:

Elles nous permettent, par exemple, d’identifier qu’au secondaire II on a du boulot, et puis qu’on a un marché à disposition, et qu’il faut aller travailler sur ce marché-là. Donc ça nous invite sur des collaborations avec l’Uni, etc., etc., des prises de contact avec les chefs de file des gymnases, tout un travail de prospection là. (HEP, ll.!298-301) Un questionnement des Responsables de l’IFC de la HEP-VD rejoint celui du Directeur général de la DGEO!: cela concerne l’évaluation de l’efficacité des cours. En effet, ils déclarent que la mesure du transfert dans la pratique des apports des cours de formation continue est très difficile à établir (HEP, ll.!360-361)!:

Un enseignant qui vient suivre un cours!; alors je sais ce qu’il en dit quand il sort du cours, et puis on a 97!% de taux de satisfaction. Alors c’est génial, tant mieux, ça veut dire que les cours marchent bien. Mais ça ne dit rien du transfert dans la pratique, ça ne dit rien… Je sais pas du tout ce qu’ils en font, les enseignants, aucune idée, vraiment!; ou alors c’est des fantasmes. Mais réellement, concrètement, je ne sais pas ce qu’ils en font. Parfois ça rebondit deux ou trois ans après, où on a un groupe qui demande quelque chose!: «!J’avais travaillé avec tel formateur, il m’avait parlé de ça et j’aimerais bien qu’on aille plus loin!; et puis mes collègues aimeraient faire avec moi!». Alors on a des choses comme ça. Ce que je ne sais pas c’est!: est-ce que suivre un cours sur une unité de formation définie, est-ce que c’est efficace ou pas!? (HEP, ll.!361-369)

Le manque de savoir sur cette question a conduit les Responsables de l’IFC de la HEP-VD à lancer une recherche pour viser à recueillir des éléments de réponse (HEP, ll.!360 et 373-374).

Par la DGEO

Selon son Directeur général, il est délicat que la DGEO entreprenne l’évaluation du concept de formation continue élaboré par la HEP-VD. En effet, cet Institut de formation est indépendant, dès lors la DGEO peut exprimer des besoins, mais en aucun cas remettre en cause le concept. Et comme indiqué plus haut, c’est à la Direction pédagogique que se ferait ou pourrait se faire l’évaluation de la pertinence des cours d’une manière générale. Par ailleurs, pour le Directeur général de la DGEO, la formation continue des enseignants est une affaire de spécialistes, entre les enseignants eux-mêmes et l’IFC de la HEP-VD. Pour lui, le critère de validité et de pertinence de l’offre est l’intérêt des enseignants à s’inscrire aux cours dans un

Selon son Directeur général, il est délicat que la DGEO entreprenne l’évaluation du concept de formation continue élaboré par la HEP-VD. En effet, cet Institut de formation est indépendant, dès lors la DGEO peut exprimer des besoins, mais en aucun cas remettre en cause le concept. Et comme indiqué plus haut, c’est à la Direction pédagogique que se ferait ou pourrait se faire l’évaluation de la pertinence des cours d’une manière générale. Par ailleurs, pour le Directeur général de la DGEO, la formation continue des enseignants est une affaire de spécialistes, entre les enseignants eux-mêmes et l’IFC de la HEP-VD. Pour lui, le critère de validité et de pertinence de l’offre est l’intérêt des enseignants à s’inscrire aux cours dans un