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Distorsion de la séduction narcissique

psychopathologie parentale et constitution des troubles chez l’enfant

1.7.4 Distorsion de la séduction narcissique

Il semble que l’on retrouve les composantes de ce que P.C. Racamier 297 a décrit sous le concept de séduction narcissique interminable et dévoyée.

Pour avoir déjà exposé les notions de séduction et de relation narcissique, je me contenterai de rappeller ici que l’auteur postule une relation de séduction narcissique réciproque originelle, normale et nécessaire, qui se développe dès la venue au monde du bébé puis décroît et se transforme en suivant l’accès progressif à l’autonomie.

La séduction narcissique « réussie » correspond à une rencontre symétrique, promue par des mouvements similaires, entre le narcissisme de la mère et celui de l’enfant : chacun cherche à rencontrer l’autre, chacun est également disponible et en attente de l’autre.

Le terme naturel de cette relation répond au même principe de mouvement commun et synchronique vers l’autonomie : l’enfant cherche progressivement à se déprendre de la fascination pour sa mère et de sa propre substance pour se tourner vers le monde ; la mère

296 BARRACO M., LAMOUR M., (1998), op.cit.

297 RACAMIER P.C., (1996), op. cit.

encourage et soutient l’autonomisation de son bébé pour pouvoir elle-même se dégager des fantasmes de fusion, afin de réinvestir l’extérieur à la dyade. Mais P.C. Racamier décrit une pathologisation de cette séduction, lorsqu’elle est dissymétrique et interminable, du fait de l’état narcissique de la mère. Il décrit comment « certaines mères tiennent à demeurer en communion quasi substantielle et autant que possible éternelle avec leur enfant. » (p.34) 298 . Cette séduction-là est captatrice. Menée par la mère, mais consentie et approuvée par son partenaire, elle entrave la croissance. Elle fait de la dépendance émotionnelle un lien d’aliénation dissymétrique, dans lequel l’enfant est instrumentalisé au profit de l’avidité démesurée du narcissisme maternel, et investi en « objet incestuel ».

L’attente narcissique de la mère est excessivement élevée ou précise, elle est originellement inextinguible, et, de ce fait, elle l’emporte sur la considération de l’attente narcissique de l’enfant. Lorsque l’adulte impose son propre narcissisme au détriment de celui de l’enfant, P.C. Racamier parle d’ « abus narcissique ». (p.85)

Une mère reçue en consultation appelle son fils « mon bouchon ». Il semble que l’on puisse comprendre de deux façons ce surnom. Dans notre région, un « bouchon » est un champignon. On nomme ainsi les cèpes à peine sortis de terre, qui n’ont pas encore développé leur chapeau. C’est un mets très apprécié. Selon cette référence, on peut imaginer ainsi la mise en symbole de pulsions orales cannibaliques, organisées dans des fantasmes de dévoration et d’incorporation chez cette mère. Mais on peut aussi entendre « bouchon » dans le sens littéral. En ce sens, on peut supposer que, dans le fantasme, l’enfant, investi en objet partiel, joue un rôle de bonde pour les « trous » du narcissisme maternel, qui la menacent sans cesse d’écoulement, de vidage subjectif, finalement d’effondrement dépressif. Dans les deux cas, le fantasme sous-jacent est construit à partir de la nécessité de dénier la menace de la séparation.

Le niveau d’individuation de l’enfant dans les représentations et le discours de ces parents est très faible. Le moteur de la relation est un fantasme d’agglomération (p. 86), qui est une dégénérescence des fantasmes précoces de peau commune, au profit d’un noyau compact.

La mère d’Irène m’expliquait ainsi à propos de son enfant : « C’est ma photocopie, mon double. Elle n’a pas besoin de me parler, je sais tout ce qu’elle ressent, car elle ressent tout exactement comme moi. »

Dans cette configuration, le parent ne fait pas, ou très peu, la différence entre ses besoins et ceux de son enfant.

Quelques exemples issus d’observations réalisées en Centre Maternel 299 :

Une mère ne donne pas de biberon à son bébé le matin parce qu’elle-même ne déjeune pas car elle fait un régime. Une autre ne supporte pas que son enfant dorme lorsqu’elle-même n’a pas sommeil : elle met de la musique très fort juste à côté du berceau. Une autre mère donne un biberon brûlant et dit « Pour moi, ce n’est pas chaud ».

Il semble par conséquent très difficile pour ces parents d’amettre que leur enfant a des ressentis et une pensée propres, différents des leurs, et de chercher à s’identifier à lui. Cela peut participer à la constitution d’une situation de déni de la position subjective de l’enfant.

298 Voir à ce sujet : RACAMIER P.C., (1979), De la psychanalyse en psychiatrie, études psychopathologiques : Travaux réunis, Payot, Paris

299 MOUHOT F., (2001), Observation mères-enfants à risques en maison maternelle, in Neuropsychiatrie de l’enfant et de l’adolescent, 49, pp. 469-476

Il est investi en objet narcissique, objet partiel, foncièrement impersonnalisé. P.C. Racamier va même jusqu’à parler de « désobjectalisation » (p. 77). « L’objet-non-objet incestuel est interdit de désirs propres ainsi que de valeur narcissique propre. »

Du fait des projections narcissiques dont il est l’objet, l’enfant est astreint à la mission d’entretenir les fantasmes symbiotiques garants de la pérennité du mode d’investissement de son parent. Selon P.C. Racamier, l’enfant est investi en miroir du parent, chargé de renvoyer une image incessamment flatteuse et rassurante. Il est à la fois un instrument et un complément. Il semble que la fonction fantasmatique de ce complément indispensable ne relève pas uniquement du complexe de castration et du désir phallique chez la mère : il n’est pas seulement le pénis destiné à la rendre achevée, complète. Il est investi de façon bien plus existentielle, il est le garant de l’identité maternelle, la preuve de sa valeur personnelle. Par délégation narcissique, il remplace et incarne les objets internes défaillants ou manquants du monde interne de la mère. Les assises narcissiques de celle-ci dépendent de l’enfant. Aussi doit-il combler en permanence les attentes disproportionnées de gratification, de démonstration de reconnaissance et de preuves d’importance exclusive.

Ce n’est jamais suffisant, jamais acquis. La preuve doit sans cesse être renouvelée. Il est important de souligner encore la dissymétrie de cette relation, puisque l’enfant est là pour répondre aux besoins d’un parent sans que celui-ci lui rende la pareille. Gratifications et reconnaissance ne fonctionnent qu’à sens unique. Enfin, pour remplir ses fonctions, l’enfant fantasmatique doit être « insécable et indéfectible » (p. 36), ce qui interdit à l’enfant réel d’investir ailleurs, d’autres personnes que le parent, et de manifester opposition ou désaccord vis-à-vis des désirs et des projections parentaux.

A-delà même, il devient persécuteur dès qu’il ne répond pas à ces attentes, dès qu’il tente de se dérober aux projections parentales. Toutes les manifestations de tentatives de séparation-individuation sont intolérables, et les conflits irrecevables car, pris dans le fonctionnement narcissique de la relation, ils demeurent inélaborables. Ils sont vécus comme des attaques sadiques de la part de l’enfant à l’encontre du narcissisme parental.

« Pourquoi me fait-il cela ? » demandent ces parents, avec une grande détresse. « Vois combien tu fais de la peine à maman/papa si tu n’es pas obéissant. »

Ce phénomène peut être à l’origine de mouvements de séduction ou de représailles plus ou moins conscients, plus ou moins agis. Il motive notamment le terrorisme de la souffrance.

J’ai observé que la réponse à un mouvement d’opposition de l’enfant peut être métaphorisée par ce que j’ai choisi de nommer « la figure de la Pietà ». Le parent prend l’apparence de ces représentations picturales de la Madone à la descente de croix de Jésus-Christ. Profondément affligée, mais résignée, soumise à la volonté de Dieu. Cette figure du dieu mythologique despotique, tout-puissant, qui a droit de vie et de mort sur les hommes, à laquelle j’ai déjà fait allusion. Cette figure spécifique chez le parent me semble être le pendant de celle dont est investi l’enfant dans la relation incestuelle. P.C. Racamier écrit :

« L’objet incestuel est investi telle une idole. Mais cet investissement n’est pas à perte : l’idole a impérativement pour fonction d’illuminer l’idolâtre en retour. Paré en secret (…) de toutes les qualités qu’on lui prête, l’objet incestuel est ébloui et fasciné, avant que d’être finalement (et à tous les sens du mot) confondu. Il incarne un idéal absolu. Il a tous les pouvoirs. » (p.74)

Le parent se laisse malmener sans réagir. Il ne manifeste son désaccord que par l’exposé de la blessure que l’attitude de l’enfant lui fait vivre. Il prend un air souffrant et résigné à l’impuissance. Il montre ostensiblement à l’enfant et à l’entourage qu’il souffre en silence,

avec noblesse. J’ai souvent été frappée par le fait que la jouissance affleure sous le masque de la douleur, comme si les attaques de l’enfant et la non-réaction du parent venaient nourrir l’image idéale et sainte du parent exemplaire qui supporte tout, et le fantasme de l’amour inconditionnel. Doit-on y voir un effet des traces inconscientes perverties d’une certaine culture religieuse, selon laquelle le Salut passe par la souffrance et où la persécution sans riposte est valorisée? Toujours est-il que, dans la réalité clinique, l’interaction est régie par le souci spéculaire, et l’idéal du moi malade, hypertrophié et insatiable du parent.

Cette attitude parentale est redoutable car elle déclenche une culpabilité immense chez l’enfant, vis-à-vis de mouvements internes qu’il ne maîtrise pas et qui le débordent.

Faisant cela, le parent désinvestit le conflit, et le terrain relationnel, il abandonne l’enfant à l’envahissement pulsionnel et anxieux. Du côté de l’enfant, c’est un dilemme insoluble : comment continuer à s’opposer, à se différencier, quand cela suscite, apparemment, de tels dommages, et semble menacer si fort la pérennité de l’investissement parental ? Comment poursuivre dans la voie de l’affirmation de soi alors que cela ne rencontre ni reconnaissance, ni encouragement, ni guidance contenante de la part de parents qui le ressentent comme une attaque personnelle ? A partir de l’expérience répétée de désaveu subjectif, comment ne pas concevoir une représentation de soi et de l’activité pulsionnelle négative, dangereuse, potentiellement destructrice ?

Ainsi, en réalité, le retrait parental manifeste, la mise en scène de la position masochiste, semblent plutôt participer à une stratégie d’emprise inconsciente. « Si tu ne te conformes pas à ce que j’attends de toi, si tu m’échappes, je t’abandonne en te faisant sentir que tu l’as bien cherché. » L’angoisse activée chez l’enfant est celle de la perte de l’amour de l’objet, la perte du lien à l’objet.

P.C. Racamier propose d’appréhender cette situation sous l’angle du « contre-fantasme d’immersion » (p. 87). Il s’agirait de l’immersion dans la tendresse, la passivité et l’abandon, qui consituerait une menace immédiate de castration, de déchéance et, finalement, de mort.

Dans cette situation, il semble qu’il ne reste que deux possibilités, également pathogènes :

∙ soit continuer à attaquer avec rage ce parent dans sa tour d’ivoire afin de lutter contre le retrait, et susciter la réaction espérée, ou au moins de tenter de rejeter hors de soi l’insupportable culpabilité.

∙ soit, pour reprendre le point de vue de D. Stern 300 à propos du « faux-self » issu du « soi-désavoué », réprimer toute manifestation d’une position subjective authentique afin de « coller » aux attentes supposées de l’objet sur lequel la figure de « dieu mythologique» est projetée. En ce cas, l’unité est retrouvée sous l’égide partagée de cet objet interne inconscient. Cette évolution présente au moins l’avantage de conserver l’amour de l’objet et de préserver, de façon précaire, la relation avec lui.

Voici deux exemples, tirés des multiples situations où j’ai observé la présence active de séduction narcissique pathologique :

∙ Une mère rencontre son fils placé âgé de 6 ans, après plusieurs mois de disparition.

Elle n’est pas venue aux visites précédentes, n’a pas donné de nouvelle ni

d’explication. Il s’agit d’une jeune femme très belle, habillée et maquillée avec soin.

Elle semble une vraie princesse de conte de fées. Dès l’arrivée de l’enfant, elle le prend dans ses bras et lui dit à quel point il lui a manqué. Elle dit qu’elle a pensé sans cesse à lui. L’enfant contemple sa mère, béat, sans lui demander pourquoi,

dans ce cas, elle ne lui a ni écrit ni téléphoné. Sa mère lui demande, sur un ton de reproche, pourquoi il ne lui a pas amené de dessin et précise qu’il n’est pas gentil.

Elle demande : « Tu n’es pas content de me voir ? ». Or, elle-même est venue les mains vides. Elle ne parle que de sa souffrance pendant la séparation, mais ne l’explique pas. Elle ne demande pas non plus ce que l’enfant a ressenti. Bien qu’elle sache que le juge des enfants a prononcé une mesure de placement pour deux ans, elle lui chuchote qu’elle va le reprendre avec elle, qu’ils formeront une vraie famille, qu’ils seront heureux et qu’il n’aura plus de problème, elle le berce contre son sein, comme un bébé. L’enfant est subjugué par cette femme si belle, qui lui promet une vie de rêve. Il s’empresse d’acquiescer, il ne lui pose aucune question, ne lui adresse aucun reproche, ne lui parle pas de ses sentiments d’abandon, ni de sa famille d’accueil… Après cette visite, il va mal pendant plusieurs jours. Il se montre insupportable dans sa famille d’accueil, et dit que de toute façon, sa mère va venir le chercher. Mais sa mère ne se manifeste plus pendant plusieurs mois à nouveau.

Le père de Jonathan, 9 ans, rencontre son fils en visite médiatisée deux fois par mois, depuis que les parents ont divorcé et que la mère a obtenu la garde exclusive de l’enfant. Jonathan a assisté, impuissant et terrifié, depuis son plus jeune âge, à des scènes violentes entre son père et sa mère. Il a subi des violences physiques et psychologiques de la part de son père. Il en a été profondément affecté. Il a très peur de l’impulsivité et de l’imprévisibilité de son père, et refuse de le rencontrer seul. Pendant les visites, le père répète inlassablement combien la séparation lui est insupportable, combien il souffre. Profondément déprimé, il répète qu’il ne peut pas aller mieux sans retrouver la garde de son fils. Il a les yeux rouges, soupire, se montre très souffrant. Jonathan essaie maladroitement de consoler et de rassurer son père. Il lui répète qu’il l’aime, qu’il ne doit pas se faire de souci. Son père paraît ne pas l’entendre, il répète qu’il sait que c’est « foutu », que son fils s’éloigne de lui, qu’il va finir par l’oublier. Jonathan dément et pleure lorsque son père dit que sa seule source de souffrance est son fils. Jonathan se sent alors extrêmement coupable. Il dit à son père que lui aussi est très malheureux, qu’il ressent la même chose que lui, que lui aussi est très en colère contre tous les intervenants qui l’empêchent contre son gré de retourner chez son père, ce qui est faux. Entre les visites, Jonathan est plutôt joyeux, il se préoccupe de ses relations avec ses camarades, il travaille assez bien à l’école. Il ne dit pas que son père lui manque, il traîne les pieds pour aller aux rencontres. Après cette visite, en dehors de la présence de son père, Jonathan dit qu’il lui a dit cela parce qu’il veut lui faire plaisir, « pour être gentil », « pour ne pas qu’il se mette en colère », « parce que j’ai peur qu’il se tue et que ce soit (sa) faute ». Il ajoute aussi qu’il a très peur que son père raconte cela au Juge, et que le Juge décide de le renvoyer chez son père. Jonathan est très angoissé pendant plusieurs jours après ce genre de visite. Lors d’une visite, son père lui demande s’il est d’accord pour qu’il demande au juge d’accorder que Jonathan passe certains week-ends chez lui. Jonathan blêmit, s’agite, cherche désespérément notre regard, puis « bafouille » qu’il ne se sent « pas encore cap’ ». Il parvient à dire qu’il a toujours peur que son père se mette en colère, car il n’oublie pas les scènes d’autrefois. L’idée que son fils puisse ne pas souhaiter passer du temps avec lui est inacceptable pour le père, qui se met aussitôt très en colère. Son regard change et se fait noir. Il crie que ce n’est pas la pensée de son fils, il accuse la mère et notre équipe de lui avoir fait un

« lavage de cerveau », de l’avoir manipulé. Il tempête et menace. Jonathan le supplie de l’écouter et s’acharne à démentir. Il se met à pleurer en disant : « Je te jure que c’est moi qui pense cela, écoute moi ! Pourquoi tu ne veux pas me croire ? » . Son

père ne se calme pas, ne l’écoute pas. Jonathan finit par abandonner. Effondré, il se recroqueville dans un coin de la pièce, il nous regarde d’un air désolé. Son père continue à se plaindre d’être victime d’une cabale, il ne prête pas attention à l’état de son fils, ne fait aucun geste dans sa direction. Puis il lui dit avec hargne : « Fais ce que tu veux, de toute façon, tu le regretteras plus tard, c’est ton problème, tu devras assumer. » Jonathan, se précipite aux genoux de son père, il le supplie à nouveau.

Son père se détourne, l’air à la fois hautain et ravagé. « Non, laisse-moi, ce n’est pas la peine, je sais ce qui me reste à faire… » Jonathan est dans un tel état de panique et de culpabilité qu’il finit par dire qu’il a changé d’avis, que son père a raison, que ce sont « les autres » qui ne veulent pas qu’il aille chez son père, qu’il est d’accord pour aller chez son père, pour rester toujours avec lui. A ce moment son père ce calme, il sourit à Jonathan et le câline en disant : « Ah, je savais bien que ce n’était pas tes idées. Je sais ce que tu ressens. Toi et moi, on est pareil. »

L’investissement narcissique de l’enfant et les angoisses qui le sous-tendent et le motivent peuvent empêcher un parent de reconnaître la souffrance et la gravité des troubles du développement qui en découlent. En effet, l’état de l’enfant n’est perçu que dans sa dimension de reflet de l’échec personnel, et cela déclenche des sentiments de culpabilité intenses, souvent insupportables. Il est alors si douloureux pour le parent d’y être confronté que de redoutables mécanismes de clivage et de déni se mettent en place. Ceux-ci peuvent empêcher non seulement la reconnaissance des troubles de l’enfant, mais également entraver l’implication thérapeutique : le parent peut ainsi être empêché de devenir acteur pour les progrès potentiels de son enfant. « L’appareil psychique familial est dysfonctionnel dans sa tâche de contenance, de symbolisation, donc dans sa tâche d’individuation des membres de la famille » dit F. Fustier. 301

Je n’ai pas le loisir de développer plus longuement la problématique de la dysparentalité dans le cadre de ce travail. Elle a été longuement étudiée par de nombreux auteurs, qui ont mis en évidence la complexité, les enjeux et les vicissitudes narcissiques de la construction de la parentalité. On peut citer en particulier, et donc de manière non exhaustive, outre P.C.

Racamier (1978, 1979, 1992, 1996) 302 , D.W. Winnicott (1969) 303 , R. Clément (1994) 304 , D. Houzel (1999) 305 , P.-L. Ben Soussan (2000) 306 , A. Bruel, J. Faget, L. Jacques, M.

Joecker, C. Neirinck, G. Poussin (2001) 307 , A. Bouregba (2002) 308 … Je vais toutefois en

Joecker, C. Neirinck, G. Poussin (2001) 307 , A. Bouregba (2002) 308 … Je vais toutefois en

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