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Critère X (anciennement IV) contenir les habitats naturels les plus représentatifs et les

2.2 A l’échelle Européenne

2.2.1 Le travail du conseil de l’Europe

Cette instance regroupe 46 nations dont 27 de l’Union Européenne. En 1999, le gouvernement islandais a demandé au Secrétariat de la Convention de Berne d’étudier la possibilité d’y faire apparaître le patrimoine géologique en incluant dans le réseau Emeraude des SIG (Sites d’Intérêt Géologique) (Ottoson, 2003). L’Islande a alors conduit l’élaboration d’un rapport et d’un projet de recommandations au Comité permanent de la Convention de Berne. Ce dernier a été examiné lors de la réunion du Comité permanent de la Convention en 2001. Les difficultés liées à la prise en compte tardive d’une nouveau type de patrimoine naturel ont conduit le Conseil de l’Europe à se tourner plutôt vers la Convention européenne du paysage. Un groupe de travail a été créé, sous la présidence de Jon Gunnar Ottoson, directeur général de l’Institut islandais d’Histoire naturelle. Dépendant du comité pour les activités du Conseil de l’Europe en matière de diversité biologique et paysagère (CO-DBP), il s’est réuni pour la première fois à Strasbourg en 2002. Le groupe de travail proposa l’élaboration d’une recommandation sur « La conservation du patrimoine géologique et des zones d’intérêt spécial pour la géologie » que Tony Weighell fut chargé de rédiger. Lors de la seconde réunion du groupe de travail, la recommandation a été étudiée, discutée et corrigée afin d’être envoyée par le Secrétariat à la réunion du CO-DBP le 27 Janvier 2004.

Après des considérations générales sur l’importance du patrimoine géologique, le texte recommandait que les gouvernements des états membres :

“Identifient sur leur territoire les zones d’intérêt géologique particulier, dont la préservation et la gestion peuvent contribuer à la protection et à l’enrichissement du patrimoine géologique national et européen ; tiennent compte, dans ce contexte, des organisations existantes et des programmes de conservation géologique actuellement mis en œuvre ;

Définissent pour la protection et la gestion des zones d’intérêt géologique des stratégies et des lignes directrices nationales intégrant les principes d’établissement des inventaires, de la classification des sites, du développement des bases de données, de la surveillance de l’état des sites et de la gestion des touristes et visiteurs, afin d’assurer l’usage durable des zones d’intérêt géologique par une gestion appropriée.

Renforcent les instruments juridiques existants ou en élaborent de nouveaux, afin de protéger les zones d’intérêt spécial pour la géologie et les éléments meubles du patrimoine géologique, en utilisant toutes les ressources des conventions internationales existantes.

Soutiennent les programmes d’information et d’éducation pour promouvoir des actions dans le domaine de la conservation du patrimoine géologique

Renforcent la coopération avec les organisations internationales, les institutions scientifiques et les ONG dans le domaine de la conservation du patrimoine géologique.

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Allouent davantage de crédits pour financer les initiatives proposées.”

Le comité des ministres du conseil de l’Europe adopta lors de sa 883e session, le 5 mai 2004, la recommandation concernant la conservation du patrimoine géologique et des zones d’intérêt spécial pour la géologie.

D’autres mesures de protection mises en place par le Conseil de l’Europe peuvent contribuer à la protection des sites géologiques :

La convention européenne du paysage dont l’ouverture à signature s’est faite le 20 octobre 2000 à Florence. Elle vise à encourager les autorités publiques à adopter aux niveaux local, régional, national et international des politiques et mesures de protections, de gestion et d’aménagement des paysages européens. Elle concerne tous les paysages, extraordinaires et ordinaires, qui déterminent la qualité du cadre de vie des populations. Elle est entrée en vigueur le 1 mars 2004 lorsque le seuil de sa ratification par 10 états a été atteint.

Le diplôme européen des zones protégées destiné à protéger des sites d’intérêt européen qui peuvent ne relever que de la géologie : le site d’Ipolytarnoc (Hongrie), celui du paysage karstique de la réserve de Karlstejn en république Tchèque et enfin les sites volcaniques de Teide en Espagne font partie des lauréats.

2.2.2 L’association PROGEO

En 1969, un groupe de travail sur la géoconservation voit le jour au Pays-Bas avec pour objectif la réalisation d’un inventaire, à l’échelle nationale, de tous les sites géologiques utiles pour la science ou l’éducation. Les difficultés sont nombreuses à l’époque pour faire reconnaître l’importance de ce patrimoine. Il faut alors attendre 1986 pour qu’un rapprochement soit conduit en direction de collègues anglais sensibles à ce thème, puis 1988 pour que 5 nouveaux pays (Autriche, Danemark, Finlande, Irlande et Norvège) y adhèrent. L’association devient le Groupe de travail Européen sur la Conservation dans les Sciences de la Terre et nomme son premier président : George Black, pétrologue anglais.

Des colloques sont organisés afin de promouvoir la notion de patrimoine géologique et de créer des groupes nationaux qui vont aider à leur échelle à la protection de celui-ci. En 1989, un congrès se tient à Bregenz en Autriche, il marque l’entrée de la Suisse dans ce réseau, un autre est organisé à Lom en Norvège l’année suivante et voit l’arrivée de la France et de la Belgique. Le réseau désormais bien structuré va prendre en 1993 le nom de « Association Européenne sur la conservation du Patrimoine Géologique - ProGeo ». Depuis, une trentaine de pays se sont associés et le réseau est subdivisé en 3 groupes de travail qui représentent l’Europe du Sud-Est, l’Europe centrale ainsi que le nord de l’Europe, tandis qu’une délégation existe en Angleterre. Ses missions demeurent :

la préparation d’une politique européenne coordonnée en matière de géoconservation le soutien et la participation à toute initiative dans le champ de la géoconservation la diffusion et la collecte d’informations relatives au patrimoine géologique la tenue régulière de réunions

la promotion de ce patrimoine auprès du public et des politiques. Cette association est un partenaire des travaux de l’UNESCO et de l’IUGS.

Les groupes de travail se réunissent régulièrement, assurant des échanges dynamiques au sein de ce réseau.

2.2.3 Le programme Géoparcs européens

Sous l’impulsion de Guy Martini, directeur de la réserve géologique de Haute-Provence, un réseau informel s’est créé, en 1991, à la suite du premier colloque international sur le géotourisme qui s’est tenu dans la réserve, accueillant 145 chercheurs de 30 pays et s’achevant

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par la signature de la « déclaration des droits de la mémoire de la Terre ». Des groupes de travail se sont alors constitués sur des critères linguistiques, géographiques ou thématiques. Cinq ans plus tard, lors du 30e Congrès Géologique International qui s’est tenu à Beijing, Guy Martini et Nikolas Zouros ont évoqué l’idée de créer un réseau européen qui permettrait de protéger le patrimoine géologique dans une perspective de développement territorial durable (Jones, 2008).

Le réseau était en place pour répondre au premier appel à projet européen LEADER (Liens entre actions de Développement de l’Economie Rurale) financé par trois fonds structurels européens : le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER), le Fonds Social Européen (FSE) et la section « orientation » du Fonds Européen d’Orientation et de Garantie Agricole (FEOGA) (Bryden, 2006). Quatre territoires sont devenus des groupements d’action locale (G.A.L.) afin d’établir une coopération transnationale sur le géotourisme : la réserve géologique de Haute-Provence, la Forêt pétrifiée de l’île de Lesvos en Grèce, le Géoparc de Vulkaneifel en Allemagne et le Maestrazgo-Teruel en Espagne (Mc Keever, Zouros 2005). L’objectif du programme de coopération était de valoriser le patrimoine géologique des différents territoires, aussi bien en le faisant connaître qu’en se servant de lui comme support d’une activité économique pour le territoire. Ainsi, les G.A.L. projetaient le développement organisé de produits dérivés de façon à éviter la concurrence et pouvoir vendre tous les articles sur l’ensemble des G.A.L. du projet.

Les 20 000 écus financés par l’Europe servirent à organiser des visites de chacun des partenaires par l’ensemble des techniciens, à diversifier l’offre touristique des sites afin que le développement local ne soit pas uniquement porté par une entrée géologique.

Le réseau European geoparks fut créé en juin 2000 par les quatre territoires fondateurs. Dans le but d’élargir le réseau, des congrès annuels ont été tenus : à Molinos, Maestrazgo en Espagne en 2000, à Lesvos en Grèce en 2001, à Kamptal en Autriche en 2002, en Crète en 2003, en Sicile, au géoparc Madonie en 2004, à Lesvos à nouveau en 2005, en Ecosse, au Northwest Higlands Geopark , en 2007.

Dans un second temps, un nouveau volet du projet fut déposé dans le cadre du programme INTERREG III C région sud pour un financement d’un million d’euros. Le partenariat s’est agrandi ; outre les 4 géoparcs initiaux, se rajoutèrent : le Madonia natural park et le Rocca du Cerrere cultural park en Sicile, le Psiloritis natural park en Crète, le Parc naturel d’Eisenwurzen en Autriche, le Parc naturel de Terra Vita en Allemagne, le Marble Arch Caves et le Mont Cuilcagh d’Irlande du Nord. Ce sont donc 9 partenaires officiels : réserves naturelles, région, G.A.L. qui furent associés au projet.

En février 2004, les géoparcs du Marble Arch Cave, Copper Coast, Vulkaneifel et le Geological survey of Northern Ireland ont déposé un dossier INTERREG III B North West Europe pour un montant de 4 millions d’euros (Figure 1.9). En 2005, c’est un projet INTERREG III C qui permit d’animer la partie nord du réseau. Enfin un projet Leader + C associant 11 géoparcs a été accepté en 2006 sous l’appellation : Geoparks : Ideal destination for alternative tourism and educational activities in rural areas in Europe.

Figure 1.9 : Evolution du soutien du financement européen à la progression du réseau « European Geoparks ».

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Figure 1.10 : Progression du Nombre de géoparcs en Europe.

Ce réseau, très actif, réunit trois fois par an un comité de coordination composé de deux représentants de chaque géoparc, l’un relevant de l’expertise géologique, l’autre de l’expertise management/développement. Les nouvelles candidatures y sont examinées et le retrait du label à certains géoparcs existant peut être décidé.

Le comité décisionnel comporte 7 personnes, l’IUGS et l’UNESCO y ayant leur représentation.

Le suivi annuel du nombre de nouveaux géoparcs labellisés aurait dû aboutir à un réseau de 39 partenaires en 2008 (Figure 1.10). Il n’est en fait que de 34 car quatre géoparcs ont perdu leur label : l’Astroblème de Rochechouart en France, le Moutain park en Irlande du Nord, le Cultur Kamptal en Autriche ainsi que Abberley et Malvern Hills Geopark en Grande-Bretagne. Le géopark Rocca di Cerrere, en Italie, a été une première fois labellisé en 2001 puis, après avoir perdu son label, a rejoint à nouveau le réseau en 2008.

Des réunions plus ouvertes ont également lieu chaque année afin d’élargir le réseau.

La charte sur laquelle repose le label stipule que chaque géopark est ”un territoire qui inclut un patrimoine géologique remarquable ainsi qu’une stratégie de développement territorial

soutenable aidé par un programme européen de soutien au développement. Il doit avoir clairement défini des limites et une surface suffisante pour assurer un réel développement économique.

Un géopark européen doit comprendre un certain nombre de sites géologiques d’importance particulière en matière : d’intérêt scientifique, de rareté,

d’esthétique ou de valeur éducative. La majorité des sites présents sur le territoire d’un Géopark Européen doit appartenir au patrimoine géologique mais leur intérêt peut aussi être archéologique, écologique, historique ou culturel.”

(Article 1 de la charte du réseau).

En 2008, 34 géoparcs sont reconnus dans 13 pays européens (Figure 1.11).

Figure 1.11 : Répartition des géoparks (source : Europeangeoparks.org).

Quatre d’entre eux sont situés dans les Alpes (Figure 1.12) :

La Réserve géologique de Haute-Provence : créée en 1984, elle couvre un territoire de 2000 km2 répartis sur les départements de Haute-Provence (86 %) et du Var (14 %) et englobant 55 communes. L’inventaire du patrimoine de la réserve géologique, réalisé en 2000 a comptabilisé 600 sites dont 51 relèvent d’un intérêt international et 18 sont classés par l’arrêté de création de la réserve (Barde, 2006). Les plus connus et qui ont fait l’objet d’une mise en valeur touristique sont : la dalle aux ammonites de Digne, l’Ichtyosaure de la Robine et les sirènes de Castellane. Les gestionnaires de la réserve ont été à l’origine du

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programme du « European Geopark » et celle-ci a donc fait partie de la première série de sites a avoir obtenu le label en 2000 (Guiomar, 2009).

Le parc naturel Einsenwursen : créé en 1996, c’est le plus grand d’Autriche. Il s’étend sur 586 km2, englobant 7 communes de la région de Styrie. Il a intégré le réseau des géoparcs enropéen en 2002 et le réseau mondial en 2004. De nombreux outils de mise en valeur géotouristique ont pu être réalisés dans le cadre d’un programme « Geoline » développé grâce au projet LEADER + : Geoparks : ideal destination for alternative tourism and educational activities in rural areas in Europe d’un montant de financement de 1 939 000 €.

Le parc naturel régional de la Beigua, en Ligurie : créé en 1995, il s’étend sur 871,5 km2 dont 392,3 constituent le géoparc qui a été labellisé en 2005. Ses principales richesses géologiques reposent sur une zone ophiolitique importante ainsi que des sites géomorphologiques et paléontologiques d’âge tertiaire remarquables. Depuis quelques années, le parc réoriente son offre géotouristique vers sa côte en créant des itinéraires géomorphologiques côtiers qui permettent de découvrir sur terre et sous la mer le patrimoine géologique de cette partie du parc.

Le parc naturel Adamello-Brenta, en Lombardie : son extension dépasse celle du parc naturel régional du même nom et couvre 1146,45 km2. Il a reçu le label en 2008 principalement pour : le gisement fossilifère du Val Formiga représentatif de la limite Toarcien/Bathonien, le paléo éboulement de Sasso Rosso du Crétacé supérieur, ses formations dolomitiques et bien sûr son domaine glaciaire.

Figure 1.12 : Répartition des quatre géoparcs alpins.

Alors qu’il existe 34 géoparcs en Europe, seuls quatre ont vu le jour dans le massif alpin. Il est regrettable qu’au cœur d’une chaîne de montagne, où la géologie est un élément clé de compréhension de chacun des paysages, si peu de collectivités territoriales se soient encore lancées dans la démarche de labellisation. Le Chablais (Haute-Savoie, France) est à l’étude, le Syndicat Intercommunal d’Aménagement du Chablais (SIAC) a en effet choisi ce label afin de promouvoir une identité partagée à l’échelle des 62 communes qui le composent. Dans ces

Le patrimoine géologique de l’arc alpin : de la médiation scientifique à la valorisation touristique N. Cayla, 2009. Thèse de l’Université de Savoie, Laboratoire EDYTEM 41 Préalpes, où l’eau et la géologie sont intimement liées, ce label devrait permettre de tisser de nouveaux liens entre Haut-Chablais tourné vers la pratique du ski et Bas-Chablais tourné vers le Léman.

D’autres projets sont actuellement en réflexion dans le massif subalpin des Bauges, le parc naturel régional souhaite mettre en place une politique de différenciation de son offre touristique face à la concurrence des autres parcs naturels, comme celui du Vercors. Son patrimoine karstique exceptionnelle mais aussi les contraintes liées à la gestion de la ressource en eau dans le massif sont des thèmes qui seront mis en avant dans le dossier de candidature.

2.3 Les programmes à l’ échelle de l’arc alpin

Les programmes INTERREG, comme les programmes LEADER, ont été mis en place par la communauté européenne afin de participer au développement de zones éligibles situées dans l’espace communautaire. Ils sont divisés en trois volets :

volet A : la coopération transfrontalière qui peut s’exercer même entre un pays de la CEE et un autre pays (la Suisse dans notre étude).

volet B : la coopération transnationale qui réunit des pays aux intérêts communs, comme l’arc alpin.

volet C : la coopération interrégionale qui réunit des régions discontinues ayant un projet commun.

Les volets A et B ont donné lieu à de nombreux projets réalisés au sein de l’arc alpin, le volet C a largement contribué, comme cela a été dit plus haut, au développement du réseau des géoparcs.

2.3.1 Le programme « Iron route » du programme INTERREG III B lié à l’espace alpin

Ce programme, dont le chef de file était la communauté de communes de « Valle Seriana e di Scalve », a associé 9 partenaires. Des acteurs politiques : la région Lombardie, la Région autonome du Val d’Aoste, et la région autonome du Frioul Vénétie Julienne ; des acteurs institutionnels : la communauté de communes du Val Trompia et la communauté de communes des vallées de Seriana et de Scalve ainsi que des acteurs du tourisme minier : le musée de la ville de Gorenjske et la mine de Mezica en Slovénie ainsi que les mines de Hüttenberg en Autriche. Ces acteurs autrichiens, italiens et slovènes avaient un passé minier commun et la nécessité de réorienter leur activité économique en raison de la fermeture de ces mines.

Le projet a eu pour objectif la revalorisation des anciens bassins miniers par la création de la Route alpine européenne des métaux. D’une durée de trois ans, de janvier 2005 à décembre 2007, le financement associé (1.756.240 €) a permis :

- la mise en place du réseau des Routes alpines des métaux

- la création d’un portail Internet (http://www.ironroute.org/site-it/index.asp) - l’élaboration d’itinéraires touristiques, culturels et pédagogiques

- le renouvellement ou la création de musées et de centre de documentation - la tenu de trois conférences internationales.

2.3.2 Les programmes INTERREG III A

Les pays alpins ayant une frontière commune ont déposé, dans le cadre du programme INTERREG IIIA, des projets transfrontaliers dont un certain nombre porte sur la protection ou la mise en valeur touristique du patrimoine géologique. Ainsi, dans le cadre du programme Alpes Latines Coopérations Transfrontalières ( ALCOTRA ), pour la période 2000-2006,

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