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Les successeurs d'Hanoc

Dans le document La maison de Dieu Préface du Seigneur (Page 66-70)

1. Alors, Farak se leva une fois de plus et dit : "Vois, frère Thahirak, Dieu, ainsi que tous les esprits libres ne peuvent pas effacer ce qui s'est passé dans toutes les éternités des éternités, et nous autres humains le pouvons d'autant moins ! Je pense que tu seras d'accord avec moi si je te dis que si quelqu'un possède la moindre étincelle de sagesse, il sera forcé de raisonner de la façon suivante :

2. "Cet homme a grandement failli par méchanceté, car il ne possédait pas la grâce d'En-haut et était prisonnier de son égoïsme pour son plus grand dommage ; mais l'amour miséricordieux du Seigneur lui envoya un brûlant éclair accompagné d'un fort tonnerre, ce qui lui permit de se rendre compte de toute son infamie et de ses nombreux crimes. Alors, si un tel homme se mettait à avoir peur et regrettait toutes ses mauvaises actions du plus profond de son cœur en se refusant dorénavant à toute méchanceté, soumettant ainsi sa volonté à la grâce de Dieu, - dis-moi, que ferais-tu toi-même de lui ? Tu me répondrais sûrement que tu lui pardonnerais et le considérerais comme s'il n'avait jamais fauté, et tu ressentirais une grande joie de voir qu'un égaré se soit retrouvé lui-même et ait réussi à sortir des ténèbres de la folie pour atteindre à la lumière de la grâce divine ! - Laisse-moi te dire que tu as bien répondu, toi qui n'es qu'un être humain ; imagine-toi alors combien le Dieu de toute sagesse et de tout amour approuverait ton attitude, Lui qui connaît mieux que quiconque toutes les raisons qui nous poussent à faillir si souvent !

3. Sache bien que nous autres, gens sans amour, jugeons nos frères égarés selon le nombre de leurs crimes, qu'ils se repentissent ou non. Dieu, Lui, dans Son amour et Sa sagesse, ne juge pas les repentis, mais uniquement les pécheurs non repentis. Mais ce qui est arrivé restera à jamais inscrit dans l'impérissable mémoire de Dieu en tant que tache indélébile marquée sur la ligne de notre vie ; cette ligne ne passe pas en jugement dès son début, ni même en son milieu, mais seulement à sa fin, vu qu'elle peut grandir et s'allonger soit en un trait droit qui correspond à l'amour et à la justice

découlant de notre vie, soit en un trait courbe, conforme à la méchanceté et à l'injustice qui furent les attributs de celle-ci.

4. Et vois, la force de la sagesse émanée de Dieu a rectifié la ligne courbe de ta vie ; c'est pourquoi il ne faut pas que tu te juges toi-même, mais que tu prolonges cette ligne en suivant la bonne direction, laquelle te mènera vers le Dieu véritable en toute obéissance et justice ; ne perds pas des yeux cette ligne de vie que Dieu corrigea pour toi, afin que tu ne quittes plus jamais le droit chemin ; et si tu devais constater quelque déviation de ce chemin-là, corrige-la aussitôt en demandant la grâce d'En-haut, laquelle te montrera le but élevé de ta vie dans toute sa lumière dans le royaume de l'amour éternel et de toute Vie qui en découle.

5. A présent, va ; accepte en toute obéissance ce qu'Hanoc t'ordonnera et souvenez-vous tous des paroles que je vous ai dites, moi votre frère appelé "le cruel", et soyez également des frères pour Hanoc, des frères entre vous et des frères du peuple que vous aurez à gouverner selon la volonté du Dieu tout-puissant et fort, plein de sagesse et d'amour.

6. Après ce discours final, tous se levèrent et s'inclinèrent devant Farak en disant : "Farak, tu es un sage selon l'ancienne sagesse de Dieu ! Nous reconnaissons tous ta grande puissance et ton incompréhensible discernement en toutes choses ; bien que nous ne comprenions pas comment tu es arrivé à obtenir de telles facultés, nous allons faire tout ce que tu juges bon que nous fassions, car nous voyons que ta sagesse repose sur l'amour, lequel ne lèse personne si l'on veut suivre ses voies faciles, ce que nous allons tous faire en nous soumettant à tes raisons.

7. Mais toi, veille à remettre également Hanoc sur le droit chemin, comme tu l'as fait avec nous, amen !"

8. Et vois, ils quittèrent leur place et se rendirent dans leurs villes où ils agirent selon les bons conseils de Farak ; et tout le peuple fut plongé dans l'allégresse sous leur sage domination.

9. Lorsque Farak eut également converti Hanoc tout aussi facilement que les autres, celui-ci se leva et, saisissant la puissante main de son frère, lui dit : "O frère, tu as bien parlé et agi sagement ; car là où une créature, est encore vivante existe aussi l'espoir d'obtenir amour et grâce d'En-haut, comme c'est le cas pour moi ; mais là où se trouve la mort, tout est fini. Maintenant, moi et le peuple sommes encore vivants - et tous les espoirs me sont permis de pouvoir réparer bien des torts. C'est pourquoi le veux guérir toutes les plaies que j'ai infligées à mes frères, et ceci en restant à tes côtés, toi qui, par ta vue intérieure des choses as pu m'éviter un grand malheur, à moi le méchant trompeur, ainsi qu'à mon pauvre peuple !"

10. Et vois, ce gouvernement dura pendant plus de cinq cents ans, apportant une certaine amélioration au peuple, toutefois avec des hauts et des bas, passant par les mains des fils et petits-fils d'Hanoc, tels son plus jeune fils Irad (le violent, élève de Farak) qui régna cent ans, puis son fils

Mehujaël (le fataliste ou le prédicateur du destin) dont le règne dura égalaient cent ans, ensuite le plus jeune fils de ce dernier, Metuschaël (celui qui fixe des buts et l'explorateur de la nature et de ses forces), qui régna durant cent dix ans, et finalement son fils Lémec (l'inventeur de la peine de mort qui devint coutume sous son règne), lequel M'oublia presque totalement, et qui régna pendant deux cents ans.

11. Mais vois, en ce qui concerne Lémec, Je dois M'arrêter un peu plus longtemps sur son histoire, car, avec lui, la royauté fait place à l'idolâtrie et au culte de Mammon, de même qu'à la maudite philosophie de la nature qui est la pièce maîtresse de la méchanceté sans limites du Serpent.

12. Vois ; en somme, en sa qualité de fils aîné, Lémec n'avait pas le droit de régner, car, selon les coutumes les plus anciennes, seul le plus jeune fils y était autorisé. En cas de mort ou de quelconque incapacité de ce dernier, le pouvoir revenait au premier-né : ce n'était qu'à la mort de celui-ci qu'un fils du rang du milieu pouvait gouverner.

13. Vois : Johred (le sage caché à la manière de Farak depuis longtemps trépassé), fils aîné de Metuschaël, vivait encore et jouissait d'une parfaite santé, et il en allait de même pour son plus jeune frère Hail (élève fidèle de Jéred et souverain légitime).

14. Vois, Lémec, un homme brutal, sombre, ambitieux et parjure, qui avait su par des arguments astucieux convaincre son entourage qu'il possédait les mêmes droits au pouvoir que ses frères, se mit intérieurement en colère contre ces vieilles coutumes de succession au trône. Secondé par une bande de méchants qui lui ressemblaient, il convoqua une assemblée de traîtres en vue de s'emparer du pouvoir ; car Metuschaël venait de mourir, et son fils Hail allait lui succéder, et Lémec voulait sonder le terrain avec ses complices en vue de réaliser ses plans maléfiques.

15. Vois : un de ceux-ci, qui se nommait Tatahar (voici un homme sanguinaire, un buveur de sang), lui donna un horrible conseil, disant : "Nous sommes soixante-dix-sept, forts comme des ours, audacieux comme des tigres, courageux comme des lions et cruels comme des hyènes ; et toi, tu es notre maître, car tu nous surpasses en tout ; c'est pourquoi nous pensons que cela ne devrait pas t'être difficile de mettre un point final à la sagesse de Johred avec l'aide d'une solide massue, là-bas dans la forêt qui se trouve près des montagnes où nous avons chassé le tigre dernièrement. Et lorsque quelque hyène vorace aura broyé ses os de ses dents bien aiguisées et puissantes, tu pourras lui donner en dessert pour la remercier son jeune frère Hail, ce qui sera un repas bienvenu pour ces bêtes des bois toujours affamées. Puis nous dirons au peuple qu'au cours d'une partie de chasse, ils ont dû payer leur trop grande témérité basée sur la confiance exagérée en leur sagesse secrète, et qu'ils sont devenus la proie des hyènes des montagnes qui les ont déchirés et dévorés témérairement. Et qui pourrait bien te disputer ta place au pouvoir, vu que tu es le seul descendant légitime de Caïn, d'Hanoc, d'Irad, de Méhujaël, et le fils de Métuschaël ?

16. Eh bien, Lémec, qu'en penses-tu ? Ce conseil ne nous mène-t-il pas plus que tout autre droit au but ? - Décide-toi et agis ; nous sommes à tes côtés, et le succès est hors de doute !"

17. Vois : cette proposition était exactement ce que Lémec voulait entendre, et il chercha immédiatement à la mettre à exécution, ce qui lui réussit le jour suivant avec l'aide du Serpent. Remarquant que Johred et Hail s'en allaient joyeusement vers les bois, il les devança rapidement en passant par le côté opposé et, accompagné de sa bande de malfaiteurs, il attendit les deux frères, caché derrière les arbres touffus. Et lorsque ceux-ci se

trouvèrent à sa portée, il se précipita sur Johred et l'abattit d'un coup, puis il fit le même sort au jeune Hail selon le conseil de Tatahar.

18. Vois : ceci arriva aux deux frères parce qu'ils étaient devenus orgueilleux de leur sagesse ; en tant que fils de prince, ils avaient oublié que la vraie sagesse se trouve uniquement dans la plus grande humilité et que si on place celle-ci au second plan, la sagesse est aussitôt profanée ; et vu qu'il en était ainsi pour eux, il était impossible de les conseiller ou de les aider sans porter atteinte à leur liberté, ce que Je ne puis faire le moins du monde, car la plus petite part de liberté a infiniment plus de valeur que la vie qui anime les choses naturelles et les corps de tous les êtres vivants de cette terre.

C'est la raison pour laquelle le déploiement de la puissance dans les guerres est permis, afin de respecter s'il le faut la volonté et la liberté d'action d'un seul être humain.

19. Que ceci soit aussi un avertissement à ton adresse, toi qui es pour Moi un instrument dont Je suis passablement satisfait, si tu voulais

présumer de tes forces spirituelles devant tes frères, (que ce soit secrètement ou ouvertement) vu que Je t'ai fait don de sagesse. Car vois, si tu devenais impudique ou voleur dans le besoin, si tu faisais ripaille ou quelque autre fripouillerie, alors ce don que l'on rencontre rarement chez les humains commencerait à perdre de sa force en toi ; et s'il devait arriver que tu en ressentes de l'orgueil, Je te le retirerais immédiatement, te laisserais nu et abandonné dans le monde de l'erreur ; les bêtes féroces s'approcheraient alors de toi et te dévoreraient, et il ne resterait finalement de toi qu'un nom déprécié.

20. Vois : c'est dans l'humilité que tu as obtenu ce don, et c'est dans cette même humilité que tu pourras le conserver pour en faire cadeau à tous tes frères.

Chapitre 30 Lémec devient roi

(le 3 juin 1840) 1. Voyons plus loin ! Lorsque Lémec, à la tête de la bande de Tatahar, eut perpétré son crime envers ses deux frères dans les bois, il retourna tout content dans sa ville et fit savoir à tout le peuple d'Hanoc et des environs, ainsi qu'à celui des dix villes et des alentours de celles-ci, ce qui était arrivé aux deux frères téméraires, c'est-à-dire à Johred et à son disciple Hail ; tous ces peuples furent épouvantés à l'ouïe de cette nouvelle ; les plus raisonnables d'entre eux se rassemblèrent au nombre de trois mille, sans leurs femmes et enfants, lesquels restèrent à la maison.

2. C'est ainsi que cette petite troupe d'hommes se rendit dans la ville d'Hanoc auprès de Lémec, et l'un d'eux prit la parole et lui dit : "Où se trouve la forêt où ont péri le jeune roi et son sage frère Johred ? Laisse-nous rechercher le lieu du drame pour y trouver quelques malheureux restes de leurs corps ou peut-être des traces qui nous convaincront de la vérité d'une telle nouvelle, afin que nous puissions pleurer sincèrement un si funeste événement et rechercher l'hyène qui le provoqua ; elle doit certainement avoir encore la gueule ensanglantée ; nous allons l'étrangler et exterminerons toute sa race avec nos gourdins et nos lance-pierres pour venger la mort de Johred et d'Hail."

3. "Oui", dit Lémec, "vous avez pris là une juste résolution ; en qualité de votre roi légitime, je vais vous seconder dans vos recherches, et mon premier serviteur Tatahar sera notre guide avec ses compagnons bien armés !"

4. Vois : la réaction rapide et bienveillante de Lémec plut aux délégués du peuple qui dirent alors : "Voyez, voyez, et écoutez bien ! Huhuhorah !

(ce qui signifie : il existe encore un juste roi !) Puisqu'il est sage, qu'il soit notre roi !"

5. Là-dessus, ils se levèrent tous et, escortés de Lémec, partirent vers la forêt des hyènes et des tigres. Ils trouvèrent bientôt le lieu d'horreur souillé de sang, s'affligèrent et pleurèrent sur cette place, puis rassemblèrent les lambeaux de vêtements éparpillés pour en faire le triste objet de leur vénération.

6. Après avoir terminé leur besogne et réuni les quelques reliques sans valeur des deux frères, ils quittèrent le théâtre du drame et, pleins

d'amertume, s'enfoncèrent dans la forêt à la recherche de l'exécrable hyène par bandes de cent, séparés les uns des autres d'une trentaine de bras tendus ; vois, il ne virent aucun animal et encore moins d'hyène. Ils dirent : "Cette sale bête s'est certainement enfuie dans les montagnes ! Courage ! Bien que depuis Caïn aucun mortel ne se soit aventuré à poser son pied sur une montagne, nous allons cette fois-ci agir en protagonistes ; car nous avons une bonne raison de le faire et aucun Dieu ne désapprouvera cette initiative, vu que c'est notre bon droit de punir ces bêtes infâmes et voraces. C'est pourquoi nous nous disons une fois de plus : courage ! Et dussions nous en périr !"

7. Vois : Lémec répondit : "Votre voix est le porte-parole de ma volonté et signifie un ordre que je vous donne. C'est pourquoi, allez à la forêt et portez à exécution ce que vous avez l'intention de faire. Je vais vous attendre ici avec la troupe de Tatahar et ferai attention à ce que la bête que vous cherchez n'échappe pas à vos gourdins !"

8. Les trois mille furent ainsi satisfaits et s'en allèrent d'un pas hésitant, osant à peine tourner la tête, pris de vertige à la vue des hauteurs escaladées et des profondeurs parcourues. Et vois, durant trois jours, ils cherchèrent l'hyène, mais ne l'aperçurent jamais ; lorsqu'ils furent lassés, ils se mirent à frapper de leurs gourdins les abruptes parois rocheuses hautes de plus de douze toises qui les empêchaient de s'avancer plus loin et maudirent les forêts et les montagnes, lesquelles étaient pour eux la demeure de tous les monstres ; puis ils demandèrent des comptes aux arbres, aux rochers et aux parois rocheuses, et crachèrent sur la terre pour lui faire honte d'avoir bu le sang des deux victimes ; ils la maudirent jusque dans ses fondements, maudirent le soleil qui avait éclairé un tel acte d'horreur, et toutes les étoiles et la lune, qui avaient été capables de contempler une pareille infamie.

Parmi eux, il y en avait un, le plus grand et le plus fort de tous qui s'appelait Méduhed (le plus fort). Il se tourna vers ses compagnons et adressa un court discours des plus approprié à la foule brûlante de colère.

9. "Que comptez-vous obtenir par ces absurdités ? Voyez : vous cassez vos gourdins et les faites voler en éclats contre cette paroi morte, dure et invincible et rendez glissant le chemin du retour avec votre salive ! Et si en rentrant nous rencontrons des hyènes, des tigres, des lions, des ours et de grands serpents, comment allons-nous nous défendre ? Si le vieux Dieu a mis ici un terme à notre vengeance aveugle et stérile, Il peut facilement en placer un autre beaucoup plus effroyable sur le chemin du retour ! Par conséquent, rendez-vous compte qu'il n'est pas bon de se quereller avec le Vieux, car Il pourrait rendre vivants les arbres et les pierres s'Il avait trop peu d'animaux pour nous tuer à cause de notre folie et de notre désobéissance, vu que nous avons foulé la montagne malgré les ordres sévères de Caïn, d'Hanoc et de Farak, lui le plus sage de tous et le plus juste. Qui sait si au-dessus de cette paroi n'habitent pas des êtres plus élevés que nous et dont notre peuple pourrait avoir encore quelque faible souvenance ; car ces montagnes ne sont pas là pour rien ! Si un seul de ces êtres nous apercevait, que ferions-nous, nous autres moucherons, en face d'un géant de Dieu ? C'est pourquoi, retournons sur nos pas pendant qu'il fait encore jour afin de ne pas périr dans la malédiction de la nuit, laquelle fut de tous temps notre ennemie ; le jour n'est pas non plus un bienfait pour nous, mais il ne présente toutefois pas les mêmes dangers que la nuit. Je pense que nous ferons bien d'agir selon mon conseil de prudence. Amen."

10. Vois: lorsque grâce à ces paroles ils eurent recouvré leurs esprits, ils s'exhortèrent mutuellement au calme et décidèrent de prendre le chemin du retour ; mais tout à coup, Méduhed aperçut un homme de grande taille debout sur une saillie de la paroi rocheuse ; cet homme était Seth, un fils d'Adam et remplaçant d'Abel qui s'en alla plus tard avec Adam et Eve dans le pays promis en suivant les instructions que Je lui avais fait parvenir par l'intermédiaire de l'ange Abel ; ils devaient habiter dans les montagnes, d'où ils pouvaient apercevoir au lointain l'ancien Paradis dont Je vais parlerai

plus tard en détail.

11. Vois : Seth leur parla d'une voix ferme, car il appartenait encore aux humains qui connaissaient le langage propre à toutes les créatures. Il leur dit : "Ecoutez, rudes enfants de Caïn, le fratricide, qui avez totalement oublié le Seigneur ! Quelle punition veut-Il vous infliger, Lui qui est mon Dieu et celui d'Adam - lequel vit encore et est le père de tous les habitants des hauteurs - pour que vous ayez été poussés pour votre perte dans nos bras

11. Vois : Seth leur parla d'une voix ferme, car il appartenait encore aux humains qui connaissaient le langage propre à toutes les créatures. Il leur dit : "Ecoutez, rudes enfants de Caïn, le fratricide, qui avez totalement oublié le Seigneur ! Quelle punition veut-Il vous infliger, Lui qui est mon Dieu et celui d'Adam - lequel vit encore et est le père de tous les habitants des hauteurs - pour que vous ayez été poussés pour votre perte dans nos bras

Dans le document La maison de Dieu Préface du Seigneur (Page 66-70)