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L'hymne de Kénan des dix colonnes

Dans le document La maison de Dieu Préface du Seigneur (Page 114-125)

1. Après que Seth eut fait cette brève et peu chaleureuse remarque à ses compagnons, Kénan, Mahalaleel et Jéred se joignirent à eux et les saluèrent avec beaucoup d'affection ; ils Me remercièrent de la grâce qui leur était accordée de les revoir, et Seth les bénit tous en Mon nom, afin qu'ils puissent parler devant la face de Mon Amour et devant la sienne, lui le deuxième ancêtre de la lignée hautement bénie après Adam, lignée que Je terminai Moi-même corporellement dans le grand temps des temps.

2. Lorsque ces trois furent bénis, Kénan le premier prit la parole et dit : "Chers pères et chers enfants, écoutez bien ce que je vais vous dire, car je veux vous relater fidèlement tout ce que j'ai vécu lors d'une vision nocturne. Cette vision me montra dix colonnes qui s'élevaient au-dessus de grandes eaux qui les frappaient souvent avec violence. Sur la première colonne se tenait Adam, qui parlait aux flots : "Ecoutez, enfants de Dieu ! Le Seigneur Sabaoth, le puissant, le grand et très saint Père de tous les enfants que j'ai engendrés, est l'unique Dieu qui soit ! De même qu'Il m'a créé unique humain de la terre, Il est depuis des éternités le seul Dieu, et, en dehors de lui, il n'y en a pas d'autre ; car d'éternité en éternité, l'infini est entièrement rempli de Sa gloire, de Sa sainteté et de Son amour. C'est pourquoi vous, les flots, croyez que le Seigneur est le seul et unique Dieu, grand, éternel, tout-puissant, saint, juste, plein de sagesse et d'amour, de grâce et de miséricorde, de bonté et de sublimité, et de ce fait notre Père à tous. Par conséquent, soyez calmes, vagues agitées, et devenez claires, afin que la lumière de ce Dieu unique puisse luire à travers vous jusqu'au tréfonds de votre vie ! Amen !"

3. Voyez : les vagues se calmèrent autour de la colonne d'Adam, et une puissante lumière tomba des hauteurs de Dieu sur la surface lisse et miroitante des eaux ; elle brilla comme un soleil, et, du fond de la mer, un chant de louanges unanime s'éleva, tel un nuage lumineux ; et, rayonnant de plus en plus clairement, il monta vers les hauteurs éternelles et saintes du Père tout-puissant qui est le seul et unique Dieu.

4. Ecoutez encore, vous pères et enfants aimés, ce que j'ai vu de merveilleux dans ma vision nocturne, à vrai dire non pas avec mes yeux

charnels, mais avec ceux de l'esprit !

5. Non loin de la colonne d'Adam s'en dressait une autre, sublime, et presque semblable. Les vagues animées osaient à peine dresser leur tête brillante comme des éclairs vers l'admirable colonne et se mouvaient autour d'elle avec un doux balancement plein de vénération, comme si elles voulaient dirent : "Vois, être mortel, vois le nom du Très-Haut, Lequel, saint et plein d'amour, S'appelle Jéhovah ! Jamais ce nom ne doit être prononcé par une langue sacrilège ; le nom du Père est saint, très saint, des plus saint ! O humains, ô enfants, - disaient les vagues mouvantes - réfléchissez, oui, réfléchissez bien à qui appartient ce nom, oui, sachez bien que Celui à qui il appartient est Dieu !"

6. Voyez : après avoir entendu avec étonnement le langage des vagues qui se mouvaient doucement, je pus alors lever craintivement mon regard surpris jusqu'au faîte de la colonne de l'Esprit et vis - oh, je ne peux presque pas décrire à quel point je me sentis traversé par une chaleur bienfaisante ! - oui, je te vis, toi, mon cher père Seth, debout sur la hauteur scintillante de la colonne, et ton visage exprimait le plus grand sérieux. Tu répétais aux vagues se mouvant doucement ce que j'avais dit précédemment ; et je les ai entendues me le rapporter fidèlement ; - car je ressentais en moi-même leur message comme si je l'avais entendu prononcer par le bruissement des flots qui entouraient la colonne sainte d'où tu leur avais parlé ; et j'ai décrit exactement ce que j'ai vu.

7. Ecoutez encore, vous pères chéris, et vous aussi, enfants obéissants ! Voici ce que je vis non loin de la colonne de Seth entourée de vagues brillantes ! J'en vis une troisième qui se dressait, plus sublime que toutes les autres, comme baignée par une lumière rougeâtre ; toutes les vagues qui se mouvaient de plus en plus impétueusement autour des autres colonnes étaient calmes ici, et, de leurs sillons frémissants, s'élevait un chant de louanges passionné, pénétré de vénération et d'amour envers le Seigneur et le Père saint et éternel.

8. Je voulus guetter le chemin que pouvaient prendre ces ardentes émanations, - et voyez, presque aveuglés par l'éclat merveilleux qui montait du calme des eaux pures, mes yeux aperçurent sur la sainte hauteur de la troisième colonne entourée de nuages brillants comme l'éclair le troisième d'entre vous, chers pères, et c'était Enosch !

9. Oui, toi, père Enosch, tu te tenais debout sur la troisième colonne et parlais avec feu aux vagues calmes et attentives ; et tu leur disais : "O vous, eaux de la terre, écoutez ! Ecoutez le langage venant de la Hauteur et le son des saintes paroles ! Vous pouvez vous agiter et ondoyer dans la succession joyeuse de six jours et de six nuits ; mais quand arrive le septième jour béni du repos sacré, le sabbat du Seigneur, qui est un jour saint, alors faites bien attention : vous devez aussi le fêter et honorer le Père très saint par la prière et les louanges qui Lui sont dues, car il est conforme à l'ordre éternel que tout ce qui respire le souffle vivant de Dieu et qui ressent dans son cœur l'amour du Père tout-puissant doive respecter le repos du jour saint.

C'est la très sainte volonté du Seigneur que toutes les eaux puissent travailler, s'agiter et ondoyer de façon tumultueuse pendant six jours ; mais, le jour du sabbat, un calme sanctifié doit descendre sur elles ; et cet état de choses fait penser à des nuages pleins de feu qui invitent à la fête et flottent très haut par-dessus les eaux silencieuses et attentives !"

10. Ecoutez encore, vous, pères chéris, et vous, enfants obéissants, tout ce que je vais vous rapporter fidèlement et avec exactitude !

11. Ecoutez la suite avec patience, pères bien-aimés, et vous aussi, enfants pleins d'amour ! Ecoutez tout ce que j'ai vu avec les yeux de l'esprit étonnés par les merveilles de l'amour divin et de la grâce lumineuse ! O pères et enfants, comme vous me voyez ici et m'entendez, tremblant d'ardeur, vous raconter ce que j'ai vécu, oui, en toute vérité je vous le dis, je me tenais là-bas, dans ma vision, en tant que quatrième, baigné par une lumière rougeâtre sur une colonne un peu moins sublime, mais lumineuse comme les trois premières et entourée elle aussi par des vagues animées se mouvant en tous sens. Plein d'étonnement d'être placé si soudainement à égalité avec les pères, je remarquai avec tristesse que les vagues devenaient de plus en plus sombres et impétueuses autour de la colonne ; avec un zèle ardent, elles soulevaient leur tête couronnée d'écume, innombrables, inconstantes, pareilles à des montagnes fumantes, se dressant bien au-dessus de la colonne où je me tenais debout, accablé de soucis et de peine, semblables à des enfants désobéissants qui s'efforceraient méchamment de renverser la colonne de leur père et de leur mère, et se moquant de leur chute avec des

langues blasphématoires, les foulant avec des pieds où collaient des masses de poussière meurtrière de leur noire ingratitude.

12. Alors que, le cœur meurtri, je contemplais encore cette scène pendant quelques instants, une violente tempête se leva soudainement, et la tourmente hurla au-dessus des têtes écumantes des vagues énormes. Et voyez, la puissante tempête qui était partie de la colonne ne dura pas longtemps, et la bataille des flots tumultueux déchaînée par la puissance de l'ouragan vengeur s'apaisa en un calme béni ; seul, de temps à autre, le rare et doux murmure des sillons qui rayaient la surface de ces grandes eaux et s'aplanissaient docilement jusqu'à s'effacer tout à fait interrompait de façon plutôt agréable les effluves lumineux s'écoulant de la bouche divine. Dès que le puissant amour du Père éternel et saint eut rétabli le calme béni par des moyens si étonnants, un son des plus exquis commença à jaillir de ma bouche. Et voyez, ce son retentit comme une parole divine s'écoulant du cœur aimant du Père éternel et saint et venant des plus grandes hauteurs, là où se trouve l'éternelle lumière de toutes les lumières qui éclairent les sphères lumineuses et infinies, - et se déversa en de larges fleuves brillants qui se faisaient entendre de loin en se répandant sur la surface sans fin et attentive des grandes eaux ; comme on me l'a montré, je vous transmets fidèlement le sens des sons émis par une voix aussi divine. Et ce sens me fut donné d'une façon merveilleuse :

13. "Ecoutez" disait la voix sainte, "vous autres flots, vagues frémissantes qui ne voulez qu'assaillir, vous devez obéissance et amour à la colonne de Kénan ; vous voulez depuis longtemps humidifier les crevasses mortes et dures de la terre ; mais malheur aux vagues écumantes qui voudraient jamais s'élever comme des montagnes au-dessus de la colonne lumineuse de Kénan !

14. Lorsque des montagnes par trop béantes voudront s'élever très haut, Je les durcirai subitement par la force éternelle de Ma colère et de Mon courroux, et Je les tiendrai immobiles par des tourments autant terrestres que spirituels dans le bourbier brûlant de Mon éternelle malédiction !

15. Toutefois, les flots tranquilles et obéissants pourront bientôt, par Ma miséricorde, reprendre ici-bas et pour l'éternité leurs ondoiements dans la lumière de l'amour éternel du Père très saint, avec leurs flots vifs et joyeux qui coulent vers les mers de la Vie éternelle.

16. Ne vous élevez donc jamais au-dessus de la colonne sainte et lumineuse de Kénan. C'est ainsi que le veut le Père éternel et saint des pères, et le Juge des vagues mugissantes des mers de Vie dans ses rangs sans fin et ses fleuves impétueux venant de Dieu !" - Voyez, pères chéris, et vous aussi, enfants au cœur plein d'amour, tout s'est passé comme je vous le raconte fidèlement ; c'est la vérité telle que je l'ai vue par une vision intérieure me révélant toutes les merveilles et les grandes actions de l'amour éternel qui se trouve en Dieu et vient de Lui.

17. Ecoutez encore le récit de tous les miracles de l'amour divin que je vis en esprit et à mon grand étonnement, comme si ces choses rares avaient été placées réellement devant les yeux clairvoyants de mon corps charnel !

18. Je me trouvais encore debout sur la quatrième colonne lumineuse et regardais un peu en avant, en direction de la cinquième ; et voyez ma surprise à la vue du nouveau prodige de l'amour divin du Père saint et éternel!

19. La colonne était sombre de la base au sommet, et les flots qui la frappaient violemment ressemblaient à des minerais incandescents qui chercheraient à se détruire dans leur colère ; la mort rugissait à travers les profondeurs brûlantes des eaux courroucées, et, les unes après les autres, les vagues se solidifiaient, saisies d'une colère ardente.

20. Je regardai dans la nuit des profondeurs rugissantes de la mort et y vis des choses - oh, croyez-moi, la langue humaine pourrait bien se glacer plutôt que de relater les horreurs des vagues furieuses, devenues tout à fait incandescentes dans leur colère meurtrière !

21. Après que mes yeux de l'esprit ouverts dans le cœur de l'âme de la chair m'aient suffisamment fait voir ce spectacle, j'élevai mon regard jusqu'au commet de la sombre colonne, le cœur inquiet, et je t'aperçus là-bas, oh écoutez bien, toi, Jéred, le fils de mon fils Mahalaleel qui fus son premier amour béni, et tu implorais des plus sérieusement l'amour du Père saint et éternel pour les flots brûlants de colère qui se heurtaient, s'égorgeaient et se tuaient les uns les autres !

22. Et lorsque tu suppliais de la sorte, mon Jéred, il tomba soudainement des cieux grands ouverts un abondant flot d'amour compatissant sur les vagues écumantes et solidifiées par les braises de la colère meurtrière. Oh, écoutez-moi ! Alors, la surface figée de cette mer saturée de mort rugit à nouveau, les vagues déjà durcies dans la mort se mirent à se défaire de leur dureté exaspérée et coulèrent comme des frères et sœurs, ondoyant doucement, s'agitant, se pénétrant et s'aidant, satisfaites dans les bras et les cœurs réchauffés par l'amour éternel.

23. Tandis que je regardais cette scène, une épée flamboyante fut soudainement lancée par des mains puissantes dans celles, tremblantes, de Jéred. Celui-ci la saisit promptement et la brandit, conduit par une inspiration divine, aussi haut qu'il était possible de le faire ; et alors, je pus comprendre distinctement ces mots :

24. "Que vous autres, flots tumultueux et infidèles, n'ayez jamais l'impudence de tuer des êtres créés enfants de Dieu par l'Amour éternel ; car je suis le Seigneur de la vie et de la mort ! Celui qui tuera ses frères et sœurs dans la colère sera en toute certitude aussitôt puni par la mort éternelle de son esprit et de son âme. C'est pourquoi personne ne doit heurter, frapper, maudire ou tuer qui que ce soit ; car je suis le Seigneur et le Dieu puissant de la vie, ainsi que de la mort, qu'elle soit temporelle ou éternelle !"

25. Et voyez, pères très chers, et vous aussi, enfants affectionnés : tout ce que je vous ai raconté fidèlement s'est réellement passé ainsi dans tous les détails.

26. Lorsque j'eus entendu et vu clairement toutes ces choses, je dirigeai aussitôt mon regard vers le sixième pilier et ce que je vis là, ô pères très aimés et vous autres, enfants chéris - ma langue frémit de décrire devant vos yeux investigateurs les terribles abominations que moi, votre Kénan, ai dû voir en relation avec la sixième colonne.

27. Je la vis qui baignait dans le sang et une fange horrible ; et, au lieu des vagues alertes qui entouraient les précédents piliers, écoutez, - rampaient des vers les plus affreux, les plus dégoûtants et les plus épouvantables qui soient.

28. Et la colonne elle-même, la magnifique colonne, était souillée et salie comme aucune autre de la base au sommet par le sang de l'infamie des abominables vers ! Souvent, ils rampaient même jusqu'au sommet, s'élevaient par masses vers la hauteur, de façon à ce que personne ne puisse

apercevoir la merveilleuse manifestation de la volonté divine.

29. Aussi loin que l’œil de l'esprit était capable d'apercevoir quelque chose, il ne pouvait rien distinguer d'autre que des tas et des tas de vers qui, s'écrasant dans une ardeur effroyable, fusionnaient entre eux et devenaient plus grands, rampant les uns sur les autres, se tordant justement autour de la colonne de Mahalaleel couverte de fange, voulant ainsi lui ôter tout à fait la forme divine par laquelle la sainte volonté du Père éternel doit être

annoncée aux flots pacifiques des grandes eaux de la Vie, dans l'océan infini de l'amour divin provenant du cœur du Dieu éternel et saint.

30. Mais écoutez bien ce qui arriva ensuite ! Soudainement, les cieux en feu se mirent à gronder ; le soleil s'éteignit, et la lune ne put plus rayonner la douce lumière de sa fidélité ; et les étoiles tombèrent du ciel rougeoyant en foules innombrables.

31. Ecoutez ! Quand cela fut arrivé, un nombre inimaginable de morts commencèrent à gémir et à hurler de toutes les profondeurs de la fange puante, et ils disaient : "Oh couvrez-nous, étoiles détruites, afin de nous empêcher à jamais d'apercevoir le visage de Mahalaleel ; car il est venu au nom du Dieu éternel et plein de courroux, comme un fléau ardent, pour nous frapper, nous autres misérables vers qui avons envahi la haute et magnifique colonne.

32. Ecoutez ! Lorsque tout cela eut surgi des sombres profondeurs de la mort, les cieux se fendirent et, de ses failles ouvertes, de puissants flots de feu divin se répandirent sur la colonne de Mahalaleel.

33. Et celui-ci, pénétré par l'Esprit du Seigneur, dit : "Ecoutez, flots puants qui avez pris la forme de vers, l'amour éternel est saint et pur ; c'est

pourquoi vous ne devez pas faire ce qui est défendu !

34. Le temps est arrivé où un feu sacré venant du ciel va vous laver dans le brasier éternel de la colère, vers puants que vous êtes, si vous ne voulez pas vous laver pour redevenir des flots pacifiques et alertes, pénétrés par l'amour et la grâce !"

35. Après que ces puissantes paroles eurent jailli des lèvres brûlantes de Mahalaleel, accompagnées par de constants éclairs et d'un violent bruit de tonnerre, écoutez bien : des masses et des masses de vers commencèrent à descendre de la colonne. Et, lorsqu'elles se furent rangées en une surface plane, ces formes affreuses et dégoûtantes s'écoulèrent comme des minerais sous le feu jaillissant de la forge sombre, troubles tout d'abord, puis s'éclaircissant peu à peu pour devenir des vagues paisibles, tantôt unies, tantôt emmêlées, et se séparant parfois aussi avec dignité.

36. Et voyez : ainsi l'ordre, l'ordre merveilleux et divin, fut bientôt rétabli ; alors, je portai mon regard avide sur les étendues infinies de la surface blanchâtre des grandes eaux maintenant purifiées ; et je n'aperçus plus aucune forme insolite ; seules, de temps à autre, des vagues plus sombres s'approchaient des plus claires et s'éclaircissaient elles-mêmes à leur contact, devenaient si pures qu'à la fin elles se mettaient même à briller.

Détournant les yeux des horizons infinis de la surface mouvante des grandes eaux, je ramenai mon regard vers la colonne de Mahalaleel, laquelle, lavée de toute infamie sanglante et entourée de vagues lumineuses, brillait harmonieusement dans la lumière blanchâtre.

37. Ecoute bien, Mahalaleel : je te vis alors agenouillé et remerciant le Seigneur, le Père des flots lumineux ; et vois, chaque parole de remerciement que prononçaient tes lèvres tremblantes s'envolait tel un soleil éblouissant vers les hauteurs du Père saint et éternel !

38. Sachez-le bien, très chers pères, et vous aussi, enfants qui nous aimez : tout ce que je vous ai raconté correspond véritablement à ce que j'ai vu et entendu.

39. Puisque vous m'avez docilement écouté dans votre cœur jusqu'à maintenant, laissez encore votre Kénan vous raconter d'autres merveilles nocturnes de l'amour divin et de la grâce rayonnante du Père saint et éternel :

40. Voyez : lorsque mes yeux furent rassasiés de ce spectacle baignant dans la lumière radieuse de la grâce, laquelle descend des hauteurs

40. Voyez : lorsque mes yeux furent rassasiés de ce spectacle baignant dans la lumière radieuse de la grâce, laquelle descend des hauteurs

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