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Adam raconte sa chute

Dans le document La maison de Dieu Préface du Seigneur (Page 106-110)

(14 septembre 1840)

1. Lorsque Adam eut entendu le récit de Seth, d'Enosch et du très pieux Hénoc, il se réjouit grandement, car il vit là combien Mon amour est bien plus élevé que celui de tous les humains, et il s'étonna beaucoup en s'apercevant que cet amour s'était même abaissé jusqu'à descendre dans les profondeurs de la malédiction où se trouve la perfide couvée du Serpent. Très ému, il prononça un discours qui resta longtemps célèbre et se conserva jusqu'au déluge ; toutefois, il ne fut pas noté, mais retransmis oralement. Ces paroles étaient les suivantes :

2. "O mes enfants ! Que vos yeux s'ouvrent tout grands pour embrasser les vastes campagnes de la terre qui, maintenant, aussi loin que se porte votre regard, sont déjà parsemées par mes enfants bénis ! Abaissez aussi vos yeux vers les profondeurs et contemplez leurs étendues obscures, et voyez là-bas, vers l'orient, cette haute montagne qui crache constamment du feu ! Embrassez du regard la terre tout entière si vous pouvez le faire, et

regardez-moi, le premier humain de cette planète, oui, je vous le dis, regardez-moi, moi qui devais être la première créature qui précéda en esprit toutes les autres, qui fus plus brillant que le centre du soleil, et voulus être plus grand que Dieu ! Et Dieu me montra la puissance de Sa sainteté ; je fus

maudit, puis jeté dans les profondeurs infinies de l'océan de Sa colère ; je fus projeté d'une vague de fureur à l'autre en passant par des gouffres sans fond, et cela pendant des éternités : et, dans ce néant sans limites, il n'y avait pas la moindre petite place où j'aurais pu trouver un quelconque lieu de repos.

3. Et lorsque je tombai ainsi d'un infini à l'autre, tombai perpétuellement, sans discontinuer, sans relâche, éternellement, je commençai à me rendre compte de la grandeur, de la puissance infinie et absolument permanente de Dieu ; et je vis clairement la vanité de mes efforts.

4. Toutefois, je pensais en moi-même : "A quoi peut bien me servir cette constatation maintenant ? Je me suis trop éloigné de Dieu et il est impossible qu'Il se souvienne encore de moi ; car, dans ce néant sans fin ne règne rien d'autre que l'éternel oubli de Dieu. Je suis tombé pendant des éternités d'une vague de colère dans l'autre ; des flots de feu frappaient mon front sans relâche, et de larges langues flamboyantes léchaient mes viscères et me brûlaient davantage qu'une plaque de métal chauffée à blanc ; et maintenant, j'ai sombré dans les profondeurs éternelles des fleuves de la colère divine. Où se trouve le Dieu dans Sa fureur, et où suis-je ! - Ici n'existe que la nuit sourde et sans fin !"

5. Voyez : alors que de telles pensées de repentir s'élevaient en moi, je remarquai tout à coup qu'un être qui me ressemblait descendait des hauteurs et planait vers moi. Il m'atteignit à la vitesse de l'éclair, me saisit d'une main puissante et me considéra avec un doux sourire, puis dit :

"Lucifer, toi pauvre esprit tombé, Me reconnais-tu ?"

6. Je répondis : "Comment pourrais-je te reconnaître dans ce néant obscur où ne se trouve aucun vivant ? Si tu peux me détruire et me rendre semblable à celui qui jamais ne fut, n'est, ni ne sera, alors fais-le, et je t'en remercie d'avance, afin qu'après ma destruction tu ne quittes pas ce lieu sans

avoir reçu un signe de gratitude, lorsque tu retourneras vers tes hauteurs que je ne connais pas !"

7. Voyez ce que l'inconnu me répondit : "Ecoute ! Je ne veux pas t'anéantir, mais bien plutôt te laisser tel que tu es et te reconduire par des chemins qui te sont inconnus jusqu'au point où ton grand et coupable orgueil t'a fait tomber !"

8. Je lui répondis : "Fais ce qui est en ton pouvoir ; mais considère bien l'étendue de la colère de Dieu ! Car j'étais grand, et fus anéanti ; c'est pourquoi, serais-tu créé encore plus grand que moi, - pense que Dieu est éternel et infini, et plein d'un ardent courroux !"

9. L'inconnu répliqua : "Ne t'es-tu donc jamais rendu compte de la puissance de l'amour qui existe en Dieu ? - Vois : si Sa colère est grande, Son amour s'étend même jusque là où le fleuve profond de Sa fureur tarit à jamais, sur les rives sans fond de l'infini, là où un deuxième infini prend son commencement."

10. Je répondis à cela : "Vois : alors que j'étais encore un prince de lumière, on me montra une petite flamme sans éclat. J'aurais dû l'adorer, car elle était l'amour éternel de Dieu. Dans mon brillant rayonnement, je ne pus y croire et considérai ma propre lumière comme infiniment supérieure à cette petite flamme qui luisait si modestement. Et vois, le sentiment de ma supériorité me poussa à me mettre en colère. Je m'enflammai encore plus et voulus détruire complètement la petite flamme avec ma propre lumière ; toutefois, ce fut là que la colère divine me saisit, et je fus projeté ici, dans ce vide éternel et obscur, que je n'atteignis qu'après des éternités.

11. Voyez : soudain, je vis la petite flamme planer au-dessus de la tête de l'inconnu, et celui-ci me parla à nouveau : "Lucifer, Me reconnais-tu maintenant ?" - Et je répondis : "Oui, Seigneur, je Te reconnais ; Tu es l'Amour de Dieu qui est plus grand que les flots infinis de Sa colère. Regarde-moi du haut de Ta grâce et crée pour Regarde-moi une petite place fixe, afin que je puisse trouver le repos dans ce vide sans fin !"

12. Voyez : alors, une larme tomba de l’œil clair de l'Amour éternel jusqu'au fond des espaces obscurs de l'infini et elle donna naissance à de grandes eaux. Et l'Amour souffla sur ces eaux de la profondeur, qui se partagèrent pour former des gouttes sans nombre. Et, en un clin d’œil, la petite flamme qui se trouvait au-dessus de la tête de l'Amour éternel se dilata et enflamma les gouttelettes en de grands soleils ; les soleils firent jaillir des terres dans la chaleur de l'amour éternel, et ces terres firent à leur tour jaillir des lunes.

13. Voyez : au milieu de la larme de Dieu, je vis flotter cette terre qui montait vers moi ; l'Amour la bénit et souffla sur elle, et elle fleurit comme un jardin ; elle était lisse, belle et unie ; mais on n'y apercevait encore aucun être vivant. Alors, l'Amour regarda la terre, et toutes sortes de vies se mirent à fourmiller dans les océans et les différentes eaux, ainsi que sur la terre ferme et dans les airs en mouvement.

14. Voyez, je vis tout cela et en suis maintenant tout à fait conscient, ceci par la grâce particulière du Seigneur. - Dès que la terre fut progressivement achevée par la volonté de l'Amour de Dieu et selon Son ordre éternel, Celui-ci dirigea Ses yeux vers les hauteurs divines et dit :

15. "Permets-Nous, sainte puissance du Père, de créer l'être humain et de lui donner une âme vivante, afin que ce qui est tombé trouve un lieu de repos et s'humilie devant Toi et Moi, et devant toute la puissance de Notre sainteté !"

16. Un bruit de tonnerre retentit de l'espace infini rempli de feu ; ce tonnerre était la voix de Dieu, et seul l'Amour la comprit. Alors, avec une argile très fine, Il forma ces pieds, qui me portent déjà depuis plus de neuf cents ans, ces mains et - bref, me fit tel que vous me voyez devant vous ; c'est ainsi que me créa l'Amour éternel.

17. Bientôt, je fus achevé. Mais j'étais encore mort, incapable de me mouvoir et de ressentir quoi que ce soit. Alors, l'Amour éternel Se pencha sur cette forme sans vie, et, avec Son haleine, lui insuffla à travers ses narines une âme vivante dans ses viscères ; et voyez, je devins vivant, comme je le suis maintenant, moi, le premier être humain de cette vaste terre ; et je contemplai la grande création, mais je n'éprouvai aucune joie et devins fatigué de mon existence où je ne côtoyais que des merveilles ; je ne pouvais pas comprendre quand et comment j'étais arrivé ici, ni d'où je venais, et pourquoi

je me trouvais là ; car ma forme vivante et animée ne pouvait apercevoir l'éternel Amour dans Son travail créateur.

18. Alors voyez : l'Amour fit tomber cette forme dans un premier sommeil et me dit : "Regarde, voici ton lieu de repos ! Entre dans le cœur de cette vivante demeure ; car Je l'ai préparée pour toi avec soin. Tu y trouveras une table bien pourvue où est inscrite la volonté de Dieu en grands traits de feu ; tu te conformeras à elle et renonceras à ta propre volonté que tu remplaceras par celle de Dieu.

19. Car vois : c'est là ce chemin inconnu par lequel Je veux te faire revenir à Moi. Ne considère jamais ta propre volonté, mais uniquement celle de la table de Dieu ! Alors, tu vivras éternellement et régneras depuis ton trône sur l'infini tout entier. Mais malheur à toi si tu tombes encore une fois ; car alors même l'amour deviendra pour toi une malédiction ! Et Je donnerai à l'être humain un autre esprit, lequel sortira tout d'abord de Moi ; - mais toi, il te faudra à nouveau quitter ce lieu pendant des éternités, et il ne te sera jamais plus donné d'autre temps que celui du feu éternel de la colère de Dieu et de la malédiction de l'Amour !

20. Par conséquent, pense à ce que cela signifie ! La colère de Dieu peut être adoucie si l'amour est médiateur ; mais si même l'amour se met à te maudire, qui pourra bien te protéger contre la fureur éternelle de la Divinité, et qui sera le médiateur entre la colère divine et toi-même ? Je te le dis ; il ne te restera plus rien d'autre que le jugement et la condamnation ! Car tu es une œuvre de Dieu qui provient de Moi. Mais où se trouve l'être qui voudrait toucher à la magnificence de Dieu ? Car, soit tu dois devenir une œuvre selon la volonté de la libre puissance de l'éternelle sainteté de Dieu, - et c'est la raison pour laquelle la libre volonté te fut donnée, laquelle te permet de reconnaître celle de l'éternelle puissance de Dieu en toi, - soit, si tu n'en veux pas, c'est que cela ne t'importe guère, et tu apprendras alors à connaître la puissance infinie de Dieu lorsqu'elle te bannira dans l'éternel néant de feu.

21. Car, devant Dieu, aucun être n'est l'objet d'une quelconque considération, et, pour Lui, des milliards d'esprits tels que tu en es un n'ont absolument aucune importance ; car en un instant, Il peut faire surgir une infinité de milliards d'esprits encore plus grands que toi, pour les détruire ensuite à jamais s'ils ne correspondent pas à Son éternelle magnificence !

22. Pour cette raison, réfléchis à ce que Dieu est et à ce qu'Il veut, et aussi à ce que tu es toi-même et à ce que tu devrais vouloir avec la libre volonté qui t'a été prêtée, afin que la gloire de Dieu puisse t'être révélée, ainsi qu'à tous ceux que tu as créés et que tu as entraînés dans ta chute !

23. Contemple le vaste tombeau de la terre et celui de tous les innombrables mondes stellaires ! Je te prends le grand fardeau de ceux qui sont tombés avec toi et les place maintenant sur la terre et sur toutes les étoiles ; et là, pas une seule petite poussière ne doit planer inutilement, mais porter en elle un être vivant qui t'est semblable jusqu'au temps déterminé.

24. Et voyez : l'Amour saisit l'esprit et le plaça dans la forme endormie ; et cela plut à l'esprit d'être en moi, car il vit qu'il était en sécurité et libéré d'un grand fardeau qui l'avait accablé depuis très longtemps ; et maintenant, il était porté dans la demeure vivante que l'Amour éternel lui avait préparée.

25. Dès que, de cette façon, je fus devenu un avec l'esprit, voyez, l'Amour éternel me réveilla. Je m'éveillai et me retrouvai, homme solitaire, en face de toute la création dans sa grandeur infinie, et je ne vis personne d'autre que moi, l'herbe de la terre, ses buissons et ses arbres, ainsi que le soleil brillant dans l'immensité du bleu firmament. Alors, je commençai à m'inquiéter. Je quittai cet endroit, cherchai une compagnie, mais ne trouvai pas un seul être qui me fût semblable !

26. Lorsque, fatigué de mes recherches, je tombai sur le sol, un doux sommeil s'empara de moi. Et voyez, je fis le rêve suivant : au centre de mon cœur, je vis un être infiniment attirant qui me parla de la sorte :

27. "Regarde comme je suis belle et charmante ; j'ai une forme semblable à la tienne et suis capable de la contempler facilement ! Autrefois, ma forme n'était qu'une grande lumière qui envoyait ses rayons tout au long des espaces sans fin et se consumait elle-même avec un tel débordement que je

ne pouvais jamais la distinguer, car j'étais moi-même cette lumière, laquelle renfermait des formes innombrables."

28. Voyez : j'éprouvai vraiment un grand plaisir d'être ce que j'étais. Et alors que je dormais de plus en plus profondément dans cet état d'agréable bien-être, je vis une main lumineuse me traverser de part en part jusqu'au centre de mon cœur et saisir mon deuxième moi. Celui-ci se hérissa tout d'abord, mais dut bientôt se soumettre aux doigts puissants de l'Amour de Jéhovah ; car la main lumineuse était celle de l'Amour éternel !

29. Alors, le puissant doigt de Dieu brisa une côte de mon deuxième moi, pénétra à l'intérieur de celui-ci et extirpa bientôt un ver de ses viscères

; finalement, il referma l'endroit où il s'était fait un chemin pour ôter l'amour égoïste de soi-même. Après cela, mon second moi n'eut plus l'air aussi charmant ; sa forme était semblable à la mienne, et je n'avais plus la même attirance envers elle ; mais nous fûmes tous deux menés par l'Amour éternel.

Puis je vis l'esprit s'assoupir et, pendant son repos, il se désagrégea et s'écoula dans toutes les parts de mon corps, et nous devînmes tout à fait un.

30. Voyez : alors que je rêvais encore de cela, une voix douce me réveilla soudainement : cette voix était celle du Seigneur et disait : "Adam, fils de la terre, éveille-toi et vois ta compagne ! - Alors je vis Eve devant moi et me réjouis outre mesure, car je voyais mon second moi qui était sorti de ma forme et montrait beaucoup de plaisir à ma vue ; et ma joie fut le premier amour que je ressentis, moi, le premier être humain qui n'étais pas encore né, et je vis ma femme bien-aimée pour la première fois ; - et je l'aimai d'un cœur pur, dans le giron de la pureté divine de l'Amour éternel et dans toute la plénitude de la première vie !

31. Voyez encore : je vécus trois jours et trois nuits dans la douceur d'un tel sentiment. Puis je ressentis soudain un certain vide en moi, et je ne sus pas ce que je devais en penser et ce qui pouvait bien en advenir !

32. Ce fut le désert dans mon cœur et la sécheresse dans ma bouche : et voyez : tout à coup, l'Amour éternel Se tint devant moi, rayonnant de douceur ; Il souffla sur moi, me donnant de nouvelles forces, et dit : "Adam, vois, tu as besoin de manger et de boire, et il en va de même pour celle que tu aimes et qui s'appelle Eve. Regarde les arbres que je vais bénir maintenant ; mangez leurs fruits pour fortifier votre corps et votre âme. Mais ne touchez pas à l'arbre qui se trouve là-bas, au milieu du jardin, avant que Je ne revienne pour le bénir et vous bénir également ; car le jour où tu en mangeras, la mort entrera en toi. A vrai dire, tu seras tenté ; mais résiste trois fois, et ainsi tu anéantiras le ver de la mort qui ronge cet arbre ; tu purifieras Eve et prépareras ainsi pour toi, pour elle et pour tous ceux que tu créas et créeras une vie des plus libre, bienheureuse et éternelle en Dieu.

33. Vois : c'est pour cette raison que J'ai créé le temps, afin que ton épreuve soit courte face à la Vie éternelle qu'elle peut apporter.

34. Tu n'as à combattre aucune force étrangère, mais dois seulement te vaincre toi-même ; car J'ai fait de sorte que tout te soit soumis ; mais toi, Je ne pouvais ni ne devais t'assujettir, afin que tu puisses entrer en possession de la Vie. C'est pourquoi, ne sous-estime pas ce commandement facile à suivre, et élève-toi au-dessus de toi-même afin que tu puisses vivre éternellement !

35. Vois : le ver représente le mal qui existe en toi dès sa racine et porte l'aiguillon de la mort en lui ; c'est pourquoi, ne mords pas dans

l'aiguillon du ver que J'ai tiré de ton cœur dans ton sommeil ; c'est avec celui-ci que J'ai formé Eve, que tu aimes, parce qu'elle a pris naissance dans ton amour, et sa chair est née de ta concupiscence, ce qui fait qu'en elle est restée la racine de la mort que tu devras vivifier par ton obéissance !

36. Mon Adam bien-aimé, vois, Moi, l'Amour éternel de Dieu, de qui jaillit toute vie, Je t'en prie : n'abîme pas la grande œuvre que J'ai créée pour toi ! Tu sais bien combien d'éternités se sont écoulées depuis le moment où J'ai arrêté ta chute sans fin qui t'entraînait de la vie à la mort ! Vois, il se peut bien qu'un milliard d'années terrestres se soient écoulées - si le temps avait déjà existé à ce moment-là - et Je ne ménageai pas Ma peine pour te sauver toi, mon frère bien-aimé que J'ai créé, afin que nous puissions être réunis à tout jamais et former un seul amour. Amen."

37. Alors, l'Amour me quitta. Et moi, je mangeai, bus et fus fortifié pour n'en devenir que plus désobéissant ! O enfants, écoutez bien, je désobéis à l'Amour !

38. La terre pourrait vous raconter l'étendue de mon crime ; car il n'y resta pas une seule pierre, et l'infini fut saturé de la violence inouïe de la colère de Dieu !

39. Alors, je me cachai et pleurai d'amères larmes de repentir ; et l'Amour ne méprisa pas mes larmes, et les pleurs d'Eve lui furent agréables. O enfants, écoutez bien : l'Amour répara tout ! - Je péchai à nouveau le jour du sabbat et pleurai bruyamment sur mon infamie. Voyez : l'Amour m'envoya un ange et me fit conduire hors du jardin de la tentation dans un pays que Seth connaît encore fort bien et où j'ai eu l'occasion de m'améliorer, un pays

39. Alors, je me cachai et pleurai d'amères larmes de repentir ; et l'Amour ne méprisa pas mes larmes, et les pleurs d'Eve lui furent agréables. O enfants, écoutez bien : l'Amour répara tout ! - Je péchai à nouveau le jour du sabbat et pleurai bruyamment sur mon infamie. Voyez : l'Amour m'envoya un ange et me fit conduire hors du jardin de la tentation dans un pays que Seth connaît encore fort bien et où j'ai eu l'occasion de m'améliorer, un pays

Dans le document La maison de Dieu Préface du Seigneur (Page 106-110)