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Préhistoire du peuple chinois

Dans le document La maison de Dieu Préface du Seigneur (Page 98-103)

(10 août 1840) 1. Avant que nous ne retournions vers Hanoc, il faut que je vous donne quelques informations indispensables sur les habitants de la Chine. Tout d'abord, en ce qui concerne la grandeur des enfants de Mon amour et successeurs d'Adam, il serait erroné de vous représenter une grandeur corporelle si Je vous indique ces six cent soixante-six pouces, car ce chiffre signifie la capacité totale de Mon amour contenu dans l'être humain. Le mot "pouce"

indique la mesure du bien provenant de l'amour envers Moi ; de ces pouces, six cents Me reviennent, soixante sont pour le prochain, et les six qui restent sont pour lui. Et la mesure pour la femme est identique à celle de l'homme en ce qui concerne l'amour divin ; toutefois, l'amour du prochain et l'amour de soi de la femme présente une différence de soixante-six pouces, ce qui signifie que la femme doit absolument obéir à son époux en tout ce qui concerne ces deux points-là. Vu qu'elle a été formée par l'amour que l'homme ressentait envers lui-même, elle ne peut s'aimer elle-même qu'à travers lui si son amour veut être équitable ; et vu qu'elle vient tout d'abord de l'homme, son amour du prochain se tourne d'abord vers lui, - ce qui explique la différence du chiffre mentionné.

2. Par ailleurs, ces deux -là, comme tous les enfants d'Adam, étaient bel et bien considérablement plus grands que les enfants de condition fort affaiblie de Caïn, car leurs muscles, leurs veines et leurs viscères étaient beaucoup plus forts et vigoureux.

3. (NB : la ressemblance entre le nombre qui se rapporte à l'être humain et celui qui se rapporte à Mon adversaire provient du fait que, pour ce dernier, c'est justement le cas inverse, afin qu'il soit l'être le plus abominable qui existe devant Mes yeux.)

4. Voyez maintenant : Sihin fut le premier qui tourna son cœur vers Moi, parce qu'il était un fils des plus soumis à ses parents et dirigeait scrupuleusement ses frères dans l'obéissance ; c'est pourquoi, Ahujel le bénit le premier en Mon nom en présence d'Aza et des autres et lui dit :

5. "Sihil, je te bénis au nom de mon Dieu, qui est aussi le tien ! Ce pays portera ton nom. Prends ta sœur la plus belle comme épouse et procrée avec elle dans l'ordre béni des enfants semblables aux enfants de Dieu et appelle-les "fils du ciel" et "filles de la terre" ; et lorsque ma grande race sera ôtée de la terre par l'amour de Dieu, que tes descendants soient des guides pleins d'amour et de sagesse pour la postérité de tes frères.

6. Cherche l'amour, et la sagesse te sera donnée ; et ta race ne mourra pas jusqu'à la fin de tous les temps, car le Seigneur fera sortir d'elle une lignée nombreuse, afin que ton nom vive lui aussi jusqu'à la fin des temps.

7. Tu n'auras qu'une seule femme ; toutefois, dans les temps à venir, les hommes prendront plusieurs femmes en suivant une stricte discipline pour continuer la race ; mais ne vous adonnez surtout pas à la fornication ou à une procréation non bénie. Si vous tenez compte de toute cela, dans mille ans, votre peuple sera aussi nombreux que les brins d'herbe de la terre et les étoiles du firmament.

8. Avec mes descendants, qui ne seront pas très nombreux, je vous bénirai et vous dirigerai encore pendant cinq cents ans ; ensuite, ce sera ton tour jusqu'à la fin des temps. Vous pourrez mesurer le temps d'après la maturité d'un fruit, lequel mûrira cinq fois au cours d'une révolution de la terre autour du soleil. Toutes les fois que vous aurez reconnu la signification d'une chose quelconque, regardez en vous-mêmes : vous y découvrirez un signe correspondant, et, avec ce signe, vous désignerez toujours cette même chose, afin de vous la représenter. Par contre, vos actes seront exprimés par différentes lignes adéquates qui seront effectuées à l'aide de points, selon leurs caractéristiques. Ainsi, vous noterez tout ce que nous vous dirons et vous apprendrons à l'avenir, pour en laisser l'essentiel à vos enfant jusqu'à la fin des temps, en témoignage de la mauvaise couvée du Serpent. Amen !"

9. Toutefois, la liberté d'esprit de ce peuple ne resta pas toujours intacte. Quelque cent-vingt années après le déluge, les descendants de Sihin se multiplièrent jusqu'à devenir un peuple important qui fut l'objet de différentes discordes ; plusieurs partis se formèrent, qui se distinguaient par leurs coutumes et leurs services divins. Quelques-uns affirmèrent que seuls les premiers-nés étaient capables de diriger le peuple ; d'autres étaient d'avis que le droit d'aînesse ne valait pas grand-chose, vu que le premier enfant était souvent une fille, - c'est pourquoi le commandement devait être accordé au cœur le plus raisonnable ; ici, d'autres représentants du peuple allaient jusqu'à dire : "Puisqu'on parle déjà du cœur, pourquoi ne pourrait-on pas aussi considérer le cœur d'un frère cadet et lui confier la direction des choses ?" Toutefois, quelques-uns rejetèrent toutes ces propositions en disant : "Ce qui fit ses preuves dès le début continuera de le faire jusqu'à la fin des temps !" D'autres encore affirmèrent que le mieux était de toujours demander conseil à Dieu pour chaque chose et de ne jamais porter de jugement ni d'agir de façon arbitraire. A quoi il leur fut répondu : "S'il en est ainsi, chacun de nous a la possibilité de le faire lui-même ; pour quelle raison devrions-nous chercher à élire un ou plusieurs chefs ?" A quoi certains répondirent : "Que chaque voyant fasse part aux autres de ce qui lui a été dit et qu'on laisse la direction des choses à Dieu ; ainsi, nous n'avons plus besoin d'aucun supérieur !"

Mais quelques-uns firent alors la remarque suivante : "Qui nous garantit que les paroles d'un tel voyant et instructeur soient vraiment de source divine ?

" Ce qui provoqua ce commentaire : "Si ce n'est plus possible de croire absolument aux enseignants, alors à quoi peuvent bien nous servir ces gens-là ?"

Et les railleries de continuer sur ce ton-là, ce qui rendit le terrain propice à la fondation de nombreuses sectes et, de ce fait, le pays se divisa en

provinces de types d'enseignement fort différents ; il continua d'être morcelé jusqu'à l'an 3700 après la naissance d'Adam, époque où le constructeur de la muraille de Chine nommé Tschi-Hoang-Ti - (ce qui signifie "l'Unique sage guide du peuple") lequel est même connu de vos meilleurs historiens en tant que ressortissant de la lignée Hehu-Tsin's - fit son apparition et se mit à prêcher aux habitants de la Chine dans un langage puissant, prophétisant qu'un grand peuple non loin des limites de leur pays les avait secrètement épiés ; et que si tous n'unissaient pas étroitement leurs forces pour construire un mur haut et épais tout autour du royaume, ce peuple y pénétrerait en masse et avec violence afin de les mettre tous à mort.

10. Il leur dit encore que grâce à la force que Je lui avais donnée, il pourrait mettre un frein à cette invasion jusqu'à ce que le mur soit

complètement achevé, toutefois pour dix ans seulement. C'est pourquoi il les exhorta à s'y employer avec le zèle le plus diligent, pour achever le plus tôt possible cette grande et sainte œuvre qui devait s'accomplir selon Ma volonté qui lui avait été révélée, sinon cela pourrait avoir pour eux des conséquences funestes.

11. Alors, ils unirent tous leurs forces pour se mettre à l'ouvrage, du plus petit au plus grand et, en huit années et demie, le mur fut achevé sur une longueur de plus de huit cent soixante-dix mille mesures d'homme, une largeur de neuf et une hauteur de dix-neuf mesures ; de cent en cent mesures, il fut pourvu d'une tour de guet haute de dix mesures, dans laquelle se tenaient constamment cent hommes de garde en alternance ; mais cet état de choses ne fut pas de longue durée, car ce faux prophète dévoila lui-même son infamie lorsqu'il fit confisquer tous les documents religieux et détruisit tous ceux qui ne convenaient pas à son esprit de véritable despote.

12. Ainsi, uniquement par la force, il parvint à réunifier ce grand royaume devenu très divisé et à régner pendant soixante ans comme un véritable usurpateur. Son fils, qui porta le même nom, fut mou et tiède ; le fils de celui-ci, le troisième descendant de ces deux usurpateurs, poursuivit encore plus cruellement la sanglante persécution religieuse que son grand-père avait commencée à pratiquer, mais paya ce crime de sa vie.

13. Ensuite, le royaume se morcellera à nouveau jusqu'à ce que, finalement, en l'an 3786. Liehu-Pang (un brigand de grands chemins) réunit une

armée de sympathisants et, en tant que commandant en chef, soumit tout le pays, puis s'éleva lui-même au rang d'empereur et Fils du Ciel. Il collectionna tous les vieux écrits et toutes sortes de légendes cachées, mit de l'ordre dans la religion, institua des prêtres qui devaient veiller sur le sanctuaire, et divisa le peuple en différentes classes (ou castes) que chacun, sous peine de mort, était tenu de respecter.

14. Il fonda ainsi le soi-disant royaume céleste ou la grande dynastie (Han) et agrandit considérablement celle-ci même au-delà du mur

occidental. Et c'est ainsi que ce royaume persista jusqu'au quatrième siècle avant la grande Incarnation de Ma Parole, puis il fut l'objet d'une importante division où il perdit une grande partie de la Tartarie et de la Mongolie et fut séparé en trois royaumes où régnaient la discorde, qui furent nommés Tschenkue ; plus tard, quatre cents ans après la grande Incarnation de Ma Parole, cette race s'éteignit, et le royaume redevint céleste à cause du peuple et des prêtres, sous le règne d'un souverain mongolo-tartare provenant du lac Baïkal ; et ce pays se trouve encore de nos jours sous son acceptable tutelle.*( NDT. C'est-à-dire en 1840.)

15. Vous avez là très brièvement toute l'histoire de la Chine. Que celui qui éprouve des difficultés à croire ce qui vient d'être dit se rende là-bas et se convainque de la véracité de ces paroles. Mais cela ne lui servira pas davantage que s'il entreprenait un voyage au Japon. Une lanterne n'aide pas les aveugles, même en plein jour ; toutefois, la lumière du soleil suffit à ceux qui sont capables de voir !

16. Maintenant que nous nous sommes si bien occupés de nos quatorze élèves, nous allons retourner pour un bref laps de temps vers la cité d'Hanoc, afin d'observer les faits et gestes insensés de Lémec ; lorsque, rassasiés de colère, nous serons revenus en arrière jusqu'à l'époque de Noé, nous ferons une courte visite à Adam, le père originel, et, aussitôt après, nous ouvrirons les écluses du ciel. Amen.

Chapitre 38 La famille de Lémec

1. Vous pouvez facilement vous représenter qu'après une si forte émigration en une année, Hanoc, ainsi que les dix autres villes, s'était vidée de ses habitants ; en outre, Lémec avait perdu ses fidèles partisans et sa puissance, dont il tirait tant de vanité, était devenue nulle et vaine.

2. Si vous considérez cet état de choses, vous comprendrez sans peine que pendant au moins trente ans, Lémec dut nécessairement relâcher quelque peu les rênes de son gouvernement, afin que le peuple lui redevienne soumis et recommence à travailler pour lui et les siens, leur permettant ainsi de se gonfler de nourriture sans soucis, comme des porcs ou du bétail.

3. Ses proches se composaient de deux femmes, à savoir Ada (ce qui signifie "la vertu bien conseillée dans la bonne humeur") et Tsilla ("la calme soumission et la tolérance"). Ada avait deux fils, Jabal ("père des habitants des cabanes au pied de la montagne") et Jubal ("le musicien inventeur de la flûte de berger et du violon", instrument quelque peu semblable au vôtre, mais qui consistait en une seule pièce de bois qu'il avait fabriquée avec beaucoup de peine au moyen d'un outil tranchant et d'un polissoir).

4. Tsilla avait un fils nommé Tubal-Caïn et une fille du nom de Naama. Par Ma grâce, ce fils devint maître dans l'art de travailler les métaux ; Naama, elle, domptait les bêtes sauvages, ce qui permettait à son frère et à ses aides d'accéder aux montagnes pleines de minerais. Son corps était d'une beauté merveilleuse, et elle avait une âme humble, mais d'autant plus courageuse ; ses yeux reflétaient une si grande force que, sous son regard, les pierres perdaient leur dureté et devenaient tendres comme de la cire, et les dents des bêtes féroces prenaient la douceur du duvet de la colombe.

5. Voyez : telle était la famille de Lémec, entourée de quelques serviteurs qui lui étaient restés, ainsi que de quelques femmes de chambre et concubines de peu de valeur, en tout une trentaine de personnes qui devaient travailler avec assiduité pour obtenir de quoi se nourrir et couvrir leur nudité, et ce, comme Je l'ai déjà dit, pendant trente ans ; puis le peuple se mit à revenir à Hanoc, davantage à cause des bonnes inventions dont il avait entendu parler que pour Lémec lui-même, c'est-à-dire pour y acheter d'utiles objets en métal, ce qui donna naissance à un échange de marchandises. Il arriva ainsi que les habitants des autres villes se rendirent à Hanoc pour entendre la musique de Jubal, laquelle parlait à leur cœur, ce qui les rendit à nouveau bien disposés envers Lémec. La grande beauté de Naama attirait également tous les cœurs, et celui qui n'avait jamais pu voir son visage se considérait comme si malheureux qu'il en pleurait et s'en lamentait des jours durant.

6. Afin que vous puissiez juger vous-mêmes de la beauté de Naama, Je vais vous en faire ici une petite description. Sa silhouette était identique à celle qui fut l'épouse d'un forgeron et également une déesse de la beauté nommée "Vénus", laquelle se perdit dans le plus ancien et le plus sombre paganisme. Depuis Sarah et Rachel, jamais une forme aussi belle que celle de Naama n'est apparue sur la terre. Selon vos mesures, sa taille était de cinq pieds. Ses cheveux étaient plus noirs que du charbon ; son front blanc comme de la neige fraîchement tombée se colorait légèrement à proximité de ses grands yeux, d'un bleu des plus intenses ; la pupille était d'un noir profond, les paupières fraîches et douces, ainsi que les sourcils bien marqués. Le nez très droit se terminait en douceur, le bout délicat, au-dessous duquel les narines offraient un charmant tableau par leur forme arrondie. La bouche ne dépassait pas la grandeur d'un œil, et ses douces lèvres relevées étaient plus éloquentes que le langage de la plus belle rose. Ses joues parfaites, ornées d'un gai sourire, étaient teintées du rouge le plus doux et le plus délicat ; son teint faisait penser à une rose couverte de neige faisant scintiller jusqu'à sa surface les derniers rayons d'amour de cette reine des fleurs. Il en allait de même de son menton, lequel n'avait pas son semblable dans n'importe quel visage humain. Son cou était ni trop long ni trop court, mais de forme parfaite, lisse et rond, sans le moindre défaut. Le début de la poitrine se

différenciait du cou par une douce élévation, et les épaules et la nuque se présentaient également dans des proportions de la plus haute perfection. La poitrine ressemblait davantage à une pulsation de vie par son aspect éthéré, d'un blanc très tendre, plutôt qu'à n'importe quelle chair, et, sur ses deux opulentes et douces rondeurs paraissaient deux jeunes roses sereines. Ses bras étaient si ronds, si tendres et si doux que vous ne pouvez pas vous en faire la moindre idée, car de tels bras n'existent que dans les cieux. Et toutes ces proportions merveilleuses étaient revêtues du brillant éclat de la neige dans sa douceur et sa délicatesse aériennes.

7. Naama devint la femme de son frère, qui engendra avec elle sept fils, lesquels furent d'aspect lourdaud et difforme, ressemblant fortement à vos débiles. Cet état de choses s'explique du fait que Naama devait se prêter à des fins impudiques pour satisfaire la soif de pouvoir de son père ; car, ainsi, tout le peuple masculin redevenait soumis à Lémec. Tous les yeux étaient dirigés vers Naama et toutes les oreilles attentives aux ordres cupides de Lémec. Naama resta l'objet d'admiration des hommes jusqu'à sa quatre-vingtième année, et, pendant ce temps, le peuple s'accrût beaucoup et suivit les conseils de Lémec. Celui-ci vit bientôt combien il était devenu puissant, aussi devint-il toujours plus sévère et plus dur, et instaura la cruelle peine de mort déjà mentionnée pour les récalcitrants.

(le 28 août 1840) 8. C'est précisément à l'époque de Naama que, sur Mon ordre, les enfants d'Adam envoyèrent des montagnes un bon messager vers les régions basses d'Hanoc pour annoncer Mon nom en ce lieu, et plus précisément à la cour même de Lémec. Et vois : Lémec accueillit fort bien ce messager ; celui-ci était petit-fils d'Adam de la période d'avant Seth et s'appelait Hored le terrible). Il était grand, sage, et n'avait ni femme ni enfant. Et lorsque Lémec fit un retour sur lui-même après avoir entendu le message d'Hored, il voulut lui marquer sa déférence et fit venir toutes ses femmes, priant le messager de choisir la plus belle. Et vois, contre Ma volonté, Hored porta son choix sur l'épouse de Tubal-Caïn et il fallut que celle-ci obéisse à l'ordre de Lémec sous peine de mort.

9. Bien que Naama fût déjà âgée de presque quatre-vingts ans, elle était cependant si belle qu'une plantureuse jeune fille de dix-huit ans n'aurait jamais pu la concurrencer. De toute façon, Tubal-Caïn était habitué depuis toujours à son infidélité ; aussi ne prit-il pas cet événement très à cœur, et

cela d'autant moins qu'Hored lui donna l'assurance que les bêtes sauvages ne pouvaient rien contre ses armes et vêtements métalliques, et qu'il lui procurerait dans les montagnes plusieurs aides puissants qui le protégeraient de tout danger et lui montreraient la véritable façon de transformer les métaux en toutes sortes de choses utiles.

10. Tubal-Caïn fut ainsi pleinement satisfait et l'affaire fut conclue de cette honteuse façon. Hored quitta Hanoc et retourna dans les montagnes avec sa femme.

11. Toutefois, en ce qui concerne l'aide des hommes d'En-haut, cela ne resta qu'une promesse, car Hored ne se rendit pas chez les siens avec sa femme ; au contraire, il se chercha un lieu isolé pour n'être envié de personne dans son bonheur.

12. Une telle tromperie eut pour conséquence de forcer Tubal-Caïn à convaincre son frère Jabal, fils d'Ada, de s'unir à lui, c'est-à-dire de l'aider à construire des huttes sur le flanc de la montagne et de les habiter pour faire le guêt, ce qui lui valut d'être connu en tant que premier habitant des

12. Une telle tromperie eut pour conséquence de forcer Tubal-Caïn à convaincre son frère Jabal, fils d'Ada, de s'unir à lui, c'est-à-dire de l'aider à construire des huttes sur le flanc de la montagne et de les habiter pour faire le guêt, ce qui lui valut d'être connu en tant que premier habitant des

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