• Aucun résultat trouvé

Un sermon de remontrances de la part des animaux

Dans le document La maison de Dieu Préface du Seigneur (Page 88-92)

1. Maintenant, tournons-nous vers l'école des hyènes et rendons visite à nos quatorze étudiants : nous allons entendre dans cet extraordinaire lieu d'enseignement ce que cette petite troupe a véritablement reçu pour l'élévation de son âme pendant ce court laps de temps.

2. Faites bien attention à ce qui va se passer, - et que personne ne veuille se boucher les oreilles ou fermer les yeux, - car il faut que vous écoutiez, les puissantes paroles sortant de la gueule de l'hyène que nous connaissons bien, de même que celles d'un tigre, d'un lion, d'un loup et d'un ours. - Les humains sont pleins de mensonges ; et pas un seul d’entre eux ne peut parler selon la vérité parce que, ainsi que l'expérience vous l'a déjà souvent démontré, les savants se trouvent dans l'erreur, et toutes leurs doctrines erronées sont remplacées par d'autres, lesquelles sont encore plus mauvaises que les précédentes. Aussi n'est-il pas superflu pour vous d'entendre le langage authentique de la nature plein de force et de vigueur, et l'écho que ces paroles éveilleront dans vos cœurs vous prouvera combien véritable, fidèle et sincère est votre Père à tous, Lequel est saint et éternel.

3. Vois : lorsque le délai se fut écoulé tel qu'il avait été prévu, l'hyène coléreuse vint à nouveau se placer devant l'assemblée pleine de frayeur, dans le but de forcer l'attention de ses auditeurs en les plongeant dans l'angoisse ; et, guidée par Moi, elle se mit à parler à langue déliée, la gueule grande ouverte :

4. "Relevez-vous de la mort ! Ainsi le veut le grand Dieu tout-puissant et le Seigneur de toutes les créatures sans nombre ! Le temps est court et vite passé ; les jours et les nuits alternent avec rapidité dans votre existence restreinte. Lorsque je vous conduisis ici pour la première fois, moi l'hyène guidée par la puissante volonté du Très-haut, vous avez pu voir la lune vous éclairer dans sa plénitude sur le sentier escarpé des hauteurs d'aspect chaotique qui mène à la grotte où j'habite avec mes enfants et que nous vous avons docilement cédée pour vous permettre de vous vivifier dans sa fraîcheur. Maintenant, la lune vous apparaît à nouveau, grande et pleine, après avoir perdu toute sa lumière, avoir été un enfant, puis un adolescent, et finalement un être plein de force et de majesté.

5. Ce que la lune vous montre par ce mouvement qui se répète en intervalles réguliers devrait vous inciter à l'imiter fidèlement une fois dans votre vie. Il faut que l'éblouissement causé par les choses du monde perde de son intensité - comme le fait la lumière de la lune, - afin qu'après votre complet abandon de cette fausse lumière, - laquelle est votre orgueilleuse intelligence, - vous deveniez capables de vous ouvrir à une nouvelle lumière venant des hauts cieux, laquelle est un véritable amour sans égoïsme et la grâce du grand et saint Dieu qui en résulte.

6. Voyez : autant suis-je capable de vous parler maintenant, autant chaque chose peut-elle aussi devenir apte à s'exprimer si la grâce de Dieu le permet. Mais si vos cœurs restent dominateurs et endurcis, alors tombez à terre devant nous ; pensez à tout ce qui vient de vous être dit, et rendez-vous

compte à quel point vous nous êtes inférieurs - et combien les enfants de Dieu nous sont supérieurs !

7. Dites-moi : quand avez-vous jamais vu un animal en dominer un autre ou s'approprier quelque chose qui ne lui appartenait pas ? Ou bien nous avez-vous vus nous assassiner mutuellement, nous mentir, nous tromper ou encore nous adonner à la fornication uniquement pour assouvir notre volupté.

8. Dites-le moi : quand avez-vous vu l'un de nous commettre une action qui n'aurait pas été totalement conforme à notre nature ?

9. Ne serait-ce pas plus indiqué que ce soit vous qui deviez apprendre aux bêtes le juste usage de leurs forces ? Et maintenant, comme vous le constatez, il faut que ce soit nous autres, bêtes féroces, qui devions vous enseigner la douceur et le sérieux de la vie ! Oh, honte à vous, maîtres du monde ! Un moustique qui bourdonne autour de mon oreille possède plus de sagesse que vous et tout le royaume d'Hanoc avec ses dix villes ! Car la durée de vie d'un tel insecte est limitée à quelques jours et son activité ne laissera pas de traces visibles : mais dans ce très court délai, il aura accompli infiniment plus que vous depuis le temps de Caïn avec toutes vos constructions de cités et vos tortures de frères, car il a réalisé la volonté de Dieu qui agissait en lui et s'est réjoui de son existence, aussi vaine et courte dût-elle paraître. Vous seuls humains, appelés à vivre éternellement, avez été capables d'oublier en esprit votre valeur, et plus encore, celle infinie du grand amour du Dieu éternel et saint !

10. Nous qui sommes des êtres morts, nous nous réjouissons de vivre, même si notre vie est courte et muette, tandis que vous autres vivants trouvez de la joie à lécher d'une langue avide les ordures de la mort !

11. O Toi, Dieu grand et saint, pourquoi n'as-Tu pas plutôt créé des hyènes, des tigres, des lions, des loups et des ours, puisqu'ils font toujours Ta sainte volonté ? Jamais Tu n'aurais dû penser à créer un seul humain, vu qu'il est capable d'oublier non seulement Ta volonté, mais de l'oublier Toi-même !

12. Oh, voyez, vous autres humains à la peau lisse et belle, voyez mon corps effrayant, velu et misérable ; ne donne-t-il pas l'impression d'être enveloppé dans la nuit de la malédiction de Dieu, alors que le vôtre, en revanche, est entouré de la plus grande bénédiction de l'amour éternel ?

13. Mais comment cela se fait-il que sous l'enveloppe de la mort habite la reconnaissance envers le Créateur, et que sous votre peau qui recouvre la bénédiction se trouvent mépris, raillerie, dédain et même le complet oubli de Dieu ?

14. Il en résulte que vous vous êtes destinés vous-mêmes à devenir des immondices de l'enfer par votre désobéissance, alors que ma race chemine depuis des milliers d'années sur cette terre dans la servitude de la puissance divine avant que vous y soyez, et, malgré le dur joug de sa sauvagerie, elle n'a jamais poussé l'ingratitude jusqu'à violer l'ordre qui lui fut dicté par Dieu.

15. Oh, réfléchissez bien à ces paroles venant d'une bête sauvage et relevez-vous pour recouvrer votre dignité de créatures ; et essayez de mériter qu'on vous appelle à nouveau des êtres humains. Et si vous y parvenez, n'oubliez pas combien les enfants de Dieu se trouvent encore bien plus haut que vous, et que vous devez tenter de leur ressembler, même si vous n'y parvenez pas entièrement, - ce qui n'est de toute façon ni possible ni désirable pour vous."

16. Vois : lorsque l'hyène eut achevé ce fulminant discours, un grand et puissant tigre sauta avec une hâte coléreuse devant l'assemblée intimidée, la regarda tout d'abord d'un air terriblement grave et s'adressa au porte-parole et chef de la troupe en agitant la queue, le scruta du regard pendant quelques instants puis, ouvrant tout grand sa gueule meurtrière, commença à parler :

17. "Sihin ! Que ce soit ton nom ! Il signifie que tu es un fils du ciel terrestre, qui est le ciel des animaux ayant une âme provenant du feu du soleil, laquelle s'est mise à parler à votre âme de provenance divine qui vous fut donnée pour votre plus grande honte en ma présence et en celle de tous les goûteurs de sang des forêts et des buissons, vu qu'elle avait oublié le grand Donateur, - alors que notre âme à nous ne s'est jamais risquée d'un

cheveu au-delà de Son ordre, bien que nous soyons pourvus des cinq sens qui sont les vôtres, que nous ayons une mémoire, des désirs, et puissions différencier la terre de l'eau, le feu de l'air, ce qui est mouillé de ce qui est sec, le jour de la nuit, ce qui est haut de ce qui est bas, ce qui est plat de ce qui est escarpé, et ce qui est chaud de ce qui est froid ; nous avons aussi une vue perçante qui ne laisse aucune chance à un esprit corrompu qui espère se cacher et se tiendra, mort de crainte, devant nous, car il sera en présence d'un juge inexorable, puissant et valeureux, qui est venu mettre en pièces sa demeure somptueuse remplie d'excréments et boire son sang impur, afin que les montagnes saintes n'en soient pas souillées.

18. Vous avez tous vu de vos propres yeux ce qui est arrivé à l'armée de Tatahar non loin d'ici. Pensez-vous que les ânes et les chameaux vous aient protégés de notre juste colère ? - Oh non, vous seriez bien dans l'erreur si vous étiez de cet avis ! Dieu nous avait ordonné de vous épargner ; et aucun de nous n'aurait refusé d'exécuter la volonté du puissant Créateur !

19. Et vous autres humains, qui possédez non seulement des sens les plus précieux, mais encore une âme immortelle qui abrite en elle un esprit divin, vous avez pu oublier Dieu et dédaigner Son saint nom et Sa volonté ?

20. O toi, misérable et exécrable race humaine, toi véritable monstre pourri qui vis sur notre grande planète ! Dis-moi, qui es-tu, ou qui veut-tu être si Dieu, le Saint, ton Créateur qui t'aime et par qui tu existes et subsistes - comme tout ce qui est créé, - si ce Dieu est devenu néant pour toi ? - Lui qui vous a donné en plus une liberté totale afin que vous autres, immondices de l'enfer, puissiez vous rapprocher de Son cœur aimant ! Et le salaire de tout cela ? - O Toi, grand Dieu, soutiens-moi afin que je puisse accomplir Ta sainte volonté, car mes forces m'abandonnent à la vue de ces monstres - oui, la récompense de tout cela est que ce Père le plus aimant et le plus saint est maudit et oublié ! Notre Père à tous, maudit et oublié !

21. Voyez l'herbe ! Elle loue Dieu, car elle Le connaît dans son existence muette ; mais vous, dans toute la liberté dont vous jouissez, vous ne savez rien de Lui ! Oui, regardez ces montagnes, ces pierres, cette eau, regardez-nous, et tout ce que vos yeux, vos oreilles et vos autres sens peuvent saisir : tout loue, honore et prie Dieu ! Et les cieux entiers sont remplis de Sa grâce, de Sa gloire et de Son honneur ! Et vous, de quoi êtes-vous remplis, vous qui avez pu Le quitter des yeux et du cœur ?

22. Bref, - mon discours touche à sa fin. Il ne me serait pas possible de vous regarder plus longtemps et de contenir ma juste fureur ! C'est pourquoi, pour obéir à la volonté du Très-haut, je vous quitte et vous dis encore en conclusion : si l'amour éternel veut vous conduire en liberté et vous établir en tant que peuple de la terre après vous avoir relâchés de nos douces griffes - comparées à vos mains encore fumantes du sang de vos frères, n'oubliez pas ce que vous a dit ici un tigre féroce, toutefois aussi doux qu'un agneau à côté de vous, bien que son regard trahisse son impérieuse soif de sang !

23. Ouvrez-vous à la voix de la nature, si votre cœur est devenu muet à celle de Dieu ! Amen."

24. Dès que le tigre eut achevé son discours, qui fit un profond effet sur ses auditeurs, ce fut le tour du lion qui, aux aguets derrière un taillis, bondit soudainement devant les yeux d'un Sihin déjà plus courageux, et, sûr de lui, s'installa devant l'assemblée ; la gueule grande ouverte, il se mit également à parler : "Ecoutez, vous qui êtes sourds et aveugles, vous tous qui voulez être les souverains de la terre, vous rois et princes puissants et seigneurs du monde dans votre faiblesse de moucherons ! Quel serait selon vous le premier devoir d'une créature libre qui peut user comme elle le veut de la force que Dieu lui a donnée et qu'aucun obstacle n'empêche de penser selon l'amour du grand et puissant Créateur ?

25. Voyez : vous me regardez comme si vous aviez le crâne fracassé et en savez moins qu'un tronc d'arbre moisissant ! Ne serait-ce pas votre premier devoir que de chercher à connaître la volonté de Celui qui vous donna la vie - comme Il le fit pour moi, - et plus précisément une vie

immortelle pour vous et une vie mortelle pour moi, et de suivre docilement cette volonté, afin d'accéder à nouveau à la grâce qui fut perdue par votre grande désobéissance ?

26. Vous est-il jamais arrivé de le faire, ou le faites-vous maintenant peut-être ? - Oh non, vous n'avez encore jamais reconnu Dieu ; et, en face

de ce qu'on ne connaît pas, on est dispensé de tout devoir, - telle est votre méprisable excuse ! Mais il faut que je vous le demande : comment est-il possible d'oublier Celui qui, chaque jour et chaque nuit, vous rappelle Sa puissance en faisant éclater Sa grande grâce par le soleil levant, la lune et les brillantes étoiles ?

27. Voyez : je suis un puissant et cruel habitant de cette région inhospitalière couverte de pierres mortes et de broussailles piquantes ; ma férocité naturelle me force à aller chercher péniblement une misérable nourriture et de prendre avec reconnaissance ce que le jugement de Dieu m'accorde chichement ; et je suis souvent tenaillé pendant plusieurs jours par une faim atroce. Et pourtant je vous le dis : si, dans ma détresse, je rencontrais quelqu'un qui veuille apaiser ma soif brûlante par quelques gouttes d'eau, rafraîchissant ainsi ma langue desséchée, je le suivrais avec reconnaissance comme s'il était mon ange gardien, partagerais avec lui ma dernière bouchée et mourrais alors, le cœur plein d'amour, pour mon bienfaiteur !

28. Mais vous autres humains, - non seulement vous battez et martyrisez vos frères qui travaillent pour vous, mais vous êtes encore ingrats envers Dieu ; vous maudissez Sa bénédiction, condamnez Sa grâce et transformez Son grand amour en ordures empoisonnées du serpent !

29. O Lémec, Lémec ! Tu voulais incendier les forêts pour nous détruire, vu que nous étions obéissants à la volonté du grand Dieu ! Que devons-nous te faire, à toi qui as a oublié Dieu et tue tes frères et voulais nous accuser de meurtre devant le très Juste ?!

30. Il faut que vous le sachiez : nous ne cherchons aucunement à nous venger de Lémec, bien que ses plans nous soient connus ; ce n'est que vous, êtres ingrats, qui voulez vous venger des innocents ! C'est pourquoi, faites comme moi et apprenez à être reconnaissants et obéissants ; et seulement après, vous pourrez quitter cet endroit et réaliser ce que le grand amour de Dieu a prévu pour vous ! Amen."

31. Vois : à peine le lion eut-il terminé son discours que le loup se glissa furtivement parmi le petit groupe déjà bien éveillé et qu'il fit bénéficier d'un bon sermon, les exhortant sérieusement au devoir de l'obéissance et de l'amour mutuel en Dieu et envers toutes Ses créatures. Il le fit de la façon suivante :

32. "Voyez : moi, le loup féroce et redoutable, je me tiens devant vos yeux et vos cœurs timides, appelé par le grand amour plein de compassion du Dieu saint et tout-puissant, lequel est une force éternelle pleine de la Vie la plus haute et la plus parfaite en elle-même, invisible à tous les êtres qui n'ont pas été sanctifiées par Sa grâce, car Il est le Très-Saint ; je suis là pour vous faire part de Sa sainte volonté que vous avez honteusement oubliée par votre conduite fratricide, poussés par votre égoïsme, votre amour de vous-mêmes, votre soif de domination, ce qui vous a amenés à l'oubli de tout ce qui pouvait vous rappeler l'existence du Très-haut et de Son inviolable sainteté.

33. C'est la raison pour laquelle l'Amour éternel nous a éveillés, nous autres animaux féroces les plus méprisés et les plus redoutables, - et ce pour votre grande humiliation et votre honte infinie, - afin que nous vous prêchions d'abord l'obéissance en toute douceur et humilité ; et ensuite pour vous montrer, à vous qui êtes aveugles, par nos actes et notre conduite, ainsi que par la parole de notre langue maintenant déliée, la volonté de Dieu vis-à-vis des créatures immortelles que vous devriez être et devenir.

34. Et cette sainte volonté, en laquelle se trouvent et se trouveront éternellement toute force, toute puissance et toute sagesse, ainsi que la Vie éternelle et une bienheureuse et douce liberté, se résume à ceci : "Vous êtes tous absolument égaux devant Dieu, par conséquent frères et sœurs ; il en résulte qu'aucun de vous ne doit même rêver d'obtenir quelque avantage qui le différencierait des autres. Car ni la puissance, ni la beauté, ni la jeunesse, ni l'âge, ni la vertu, ni la sagesse, ni quoi que ce soit ne vous donne un droit de supériorité ; au contraire, toutes ces choses qui vous sont données

doivent vous inciter à vous aider mutuellement et à secourir les plus dépourvus, de sorte que cela devienne pour vous une nécessité d'exercer la vertu divine de l'amour éternel implanté en vous par votre Créateur plein de miséricorde. Ce n'est que par le plus pur et le plus grand amour que la sainteté toute-puissante de Dieu S'est laissé attendrir pour vous créer, vous autres humains mauvais et ingrats, sans honneur ni amour, oublieux de votre origine,

et c'est aussi à cause de vous que furent créés une foule innombrable d'êtres de toutes sortes qui devaient vous servir de toutes les façons possibles et imaginables.

35. Mais, aveugles et sourds que vous êtes, vous ne distinguez rien de ce qui aurait dû vous être profitable depuis longtemps ; au contraire, voir sensualité éhontée et votre amour de la chair vous a obscurci la vue ni toutes choses et jetés dans les griffes d'une mort juste et méritée.

36. Rendez-vous compte de ce que vous pourriez être et de ce que vous êtes devenus : rien d'autre que des larves et des couvées de serpents appartenant à l'enfer.

37. Changez vos cœurs, ordonnez vos convoitises, purifiez-vous dans l'amour ; ressemblez-vous dans l'humilité, l'obéissance et la juste éducation de vos enfants ; ne vous adonnez plus jamais à la prostitution, procréez vos descendants avec la bénédiction de Dieu et soyez pour eux de vrais parents dans l'amour et la grâce du Très-haut ; apprenez-leur tout d'abord à obéir à votre amour empreint de sagesse et à trouver en lui le grand et véritable amour, la sainte volonté et la grâce inestimable de Dieu ; alors, vous pourrez reconnaître que nous ne sommes pas de méchantes bêtes, mais

37. Changez vos cœurs, ordonnez vos convoitises, purifiez-vous dans l'amour ; ressemblez-vous dans l'humilité, l'obéissance et la juste éducation de vos enfants ; ne vous adonnez plus jamais à la prostitution, procréez vos descendants avec la bénédiction de Dieu et soyez pour eux de vrais parents dans l'amour et la grâce du Très-haut ; apprenez-leur tout d'abord à obéir à votre amour empreint de sagesse et à trouver en lui le grand et véritable amour, la sainte volonté et la grâce inestimable de Dieu ; alors, vous pourrez reconnaître que nous ne sommes pas de méchantes bêtes, mais

Dans le document La maison de Dieu Préface du Seigneur (Page 88-92)