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Asmahael, l'étranger

Dans le document La maison de Dieu Préface du Seigneur (Page 160-167)

La confession d'Adam

Chapitre 58 Asmahael, l'étranger

(4 février 1841) 1. Vois : après ces paroles, à la demande d'Adam, Enosch se pencha vers l'homme aux cheveux noirs, le releva, et sollicita du patriarche et de Seth la permission de dire quelques mot avant de quitter cet endroit.

2. Tous acquiescèrent à l'unisson à son désir.

3. Vois, Enosch s'inclina, remercia de l'autorisation reçue et prononça un discours bien senti qui disait :

4. "Pères et enfants ! Il m'est venu une pensée impérieuse à l'esprit, tel le rayon d'un puissant éclair qui se serait imprimé dans mon âme agitée autrefois, j'ai rêvé - c'était un jour où j'étais resté endormi après le lever du soleil et on m'en avait fait le reproche - j'ai donc rêvé que nous nous trouvions ici, comme maintenant, et que nous contemplions cette magnifique région ; nous ressentions beaucoup de joie à la vue de nos nombreux enfants que nous avions également invités à prendre part au sacrifice du sabbat imminent. Et voyez, alors que nous nous réjouissions ainsi, une forme très lumineuse nous apparut, et nous fumes effrayés par sa puissante lumière ! Mais l'apparition ne nous laissa pas longtemps dans notre peur et se révéla bientôt à nos yeux éblouis.

5. O pères et enfants, cette forme était celle d'Abel, et elle conduisait un être semblable à lui devant la face du patriarche ; elle dit d'une voix douce :

6. "Ecoute, père ! Excepté moi, personne n'a subi de mal de la part de Caïn : seul, mon corps charnel fut perdu pour toi. Vois, j'ai pardonné de tout cœur à mon frère, et cela d'autant plus facilement que je n'ai jamais eu de rancune envers lui ! Lorsque plus tard, il s'enfuit devant son fils Hanoc en direction du sud au bord des plus grandes eaux de la terre, accompagné de quelques-uns des siens qui avaient réussi à s'échapper, il souffrit

grandement de la chaleur, de la faim, de la soif et de la peur ; avec la permission du Père saint et éternel, je vins en ce lieu et me manifestai à lui ; je le trouvai, versant des larmes de vrai repentir, et il me fit pitié jusqu'au plus profond de mon être. Je lui enseignai alors à tresser une grande corbeille qui ne laissait pas passer l'eau, et le conduisis avec les siens sur les flots menant vers une terre lointaine, sûre et féconde.

7. Et je fis de même pour plusieurs de ses descendants venant d'Hanoc qui avaient de bons sentiments.

8. Mais jamais je n'ai osé conduire vers toi, ô père, un seul des habitants d'Hanoc, la grande cité de Caïn, car je connaissais bien la juste colère que tu ressentais envers lui. Cependant, je savais aussi ce que le Seigneur a dit à Caïn lorsqu'il s'enfuit sur la vaste terre, plein d'un amer repentir ; Il avait dit, pour le protéger : "Qui frappera Caïn à mort sera maudit sept fois !"

9. Mais à présent, selon la volonté de Jéhovah, je t'amène un fugitif sorti des profondeurs et cherchant Dieu ; c'est pourquoi, donne-lui ce qu'il désire et accueille-le dans ton amour paternel ; car ton sang coule aussi dans ses veines !

10. Eveille-le par ta bénédiction, et le Seigneur éveillera tes descendants, afin qu'ils soient capables de prêcher Son nom de façon merveilleuse aux enfants des profondeurs en vue d'un éventuel salut de la terre !

11. O pères et enfants ! Je vois maintenant le même être ici, parmi nous, ainsi que je le vis autrefois dans mon rêve, et je viens d'apercevoir Abel en vision lumineuse quittant ces lieux ; Hénoc l’a vu également, et c'est pourquoi il est silencieux. A présent, j'ai terminé mon récit ; - pensez-en ce que vous voulez, et agissez comme il vous plaira ! Amen."

12. Hénoc confirma immédiatement les dires d'Enosch en disant : "Oui, cela s'est passé exactement ainsi !"

13. Vois : lorsque Adam eut entendu cela, il fut très surpris et demanda avidement : "Où se trouvait Abel ?"

14. Enosch et Hénoc montrèrent simultanément une seule et même place, ce qui fait qu'Adam les crut fermement, vu qu'ils n'avaient pas été d'avis différent en montrant l'endroit où Abel avait manifesté sa fidélité et son amour devant Adam.

15. Il se fit ensuite décrire secrètement par chacun d'eux l'aspect extérieur d'Abel ; vu que leurs descriptions concordaient et correspondaient une fois de plus à la vérité, aucun doute ne subsista en Adam, qui accepta aussitôt l'authenticité de cette vision.

16. Tout à fait convaincu, Adam s'écria joyeusement: "O Abel! Amène-moi qui tu veux, je l'accueillerai toujours, fût-ce Caïn en personne ! 17. Par conséquent, qu'on conduise le protégé d'Abel jusque vers moi, afin que je le bénisse et l'accueille parmi nous ; je lui ferai aussi

comprendre que je suis le premier humain de cette terre et que je ne suis pas né comme les autres, mais que j'ai été créé directement par la main toute-puissante de l'Amour éternel ; je lui montrerai aussi la mère de tous les humains, laquelle provient de moi - et enfin je lui parlerai de Celui dont la grandeur, la puissance, la sainteté et l'amour sont reconnus fidèlement par toutes les éternités et les infinis peuplés d'êtres vivants, ainsi que par nous tous à qui fut donné un esprit éternel venant de Dieu Lui-même !"

18. Alors, ils amenèrent l'homme aux cheveux noirs ; Adam le toucha, le bénit trois fois et lui demanda son nom. L'homme répondit : "O grand et sublime premier-né de Dieu, du puissant Roi de la terre, toi sage père de tous les pères de ce monde, pardonne-moi ma témérité, moi pauvre fugitif venant des profondeurs qui fus conduit ici par la main d'un être lumineux, arraché des mains meurtrières de Lémec ! Vois : je n'ai pas de nom, car je n'étais qu'un esclave attaché à la besogne, et ceux-ci, dans les profondeurs, n'ont pas de nom ; on les appelle comme des bêtes par des cris inarticulés et vides de sens. Ils ont le droit de comprendre le langage, mais non celui de le parler. Celui qui voudrait émettre un son intelligible serait immédiatement puni de la mort la plus inhumaine qui soit !

19. C'est pourquoi, ne te fâche pas que moi, pauvre esclave, ne puisse te donner ce que tu demandes ; car vois, les profondeurs sont très cruelles, et il n'y a pas un seul être qui n'y soit en danger de mort. Si quelqu'un essaie de s'enfuir, il est aussitôt rattrapé par les surveillants et les soldats de Lémec, et tué sur place de la façon la plus atroce, sans grâce ni compassion !

20. O toi, le plus grand des pères de la terre ! Les horreurs qui se passent dans les profondeurs ne peuvent être relatées par une langue humaine ! La cruelle mise à mort des esclaves muets n'est longtemps pas le pire ; car on peut encore en parler avec des mots. Mais il se commet des horreurs si innombrables que je n'oserais jamais les décrire ici, afin que les hauteurs n'en soient pas profanées ! Amen."

21. A l'ouïe du récit de l'homme sans nom, Adam fut épouvanté et voulut proférer une malédiction sur les profondeurs ; mais le fugitif mit un frein à l'élan de sa colère en disant :

22. "O bon père des pères de la terre, garde-toi de prononcer des mots lourds de conséquences ! Ecoute plutôt : ta malédiction n'est pas ce qui faut à ceux d'en-bas, car ils y sont plongés jusqu'au cou. Un Lémec suffit à la terre tout entière. Car si le grand Roi qui habite au-dessus des étoiles voulait faire tonner sa malédiction la plus terrible sur notre monde, Il n'aurait qu'à envoyer un autre Lémec ; et toi, ô père de la terre, tu peux être assuré que, avant que le soleil ne se lève et ne se couche cent fois, pas un seul être vivant n'existerait plus sur notre planète, excepté Lémec !

23. C'est pourquoi, ô père des pères de la terre, au lieu de vouloir maudire encore davantage, oh écoute ma prière, et veuille plutôt bénir ces profondeurs accablées par une lourde malédiction; car si tu voulais encore augmenter la somme des horreurs en les maudissant, alors malheur, malheur aux pauvres et misérables esclaves muets de ces lieux de désolation!

24. De toute façon, leur sang abondamment versé crie déjà vengeance, tel une tempête mugissante qui monte jusqu'aux étoiles ; si tu maudissais encore plus les profondeurs, des vagues de sang baigneraient bientôt les sommets des saintes montagnes !

25. O père des pères de la terre, bénis, oui bénis ceux que tu voulais maudire à bon droit ! Amen."

26. Vois, en entendant cette prière, Adam fut ému et loua le jeune homme sans nom, puis il lui demanda : "Ecoute, toi, malheureux fils né du sang de Caïn ! Comment cela se fait-il que ta langue soit presque aussi habile que celle de Kénan, alors qu'il t'était interdit de parler là d'où tu viens ?

27. Car tu t'exprimes comme si tu étais depuis toujours un chanteur consacré à Dieu parmi nous ; tes paroles sont bien mesurées, et leur sens est des plus justes. Dis-moi sincèrement d'où tu tiens tout cela ?"

28. Vois : le fugitif sans nom s'exécuta immédiatement et répliqua : "O père des pères de la terre ! Tu t'étonnes de ma facilité d'élocution et mon cœur se réjouit de pouvoir faire devant toi l'éloge du plus sage des maîtres dont tu es le père !

29. Oh, écoute bien : le maître qui m'a appris à parler si sagement est celui qui m'a fidèlement conduit devant toi, père des pères ! Tu le connais et l'as connu avant tous ceux qui t'écoutent et t'entourent ici : c'est Abel, ton fils rayonnant de lumière, c'est lui qui, poussé par un amour sublime, a délié ma langue hésitante, afin que je puisse parler selon la vérité d'une façon agréable devant toi et tes descendants comblés de grâces et de bénédictions.

30. O père des pères, tu connais maintenant l'explication de ce qui te semblait étrange ; oh, permets-moi, pauvre fugitif échappé des

profondeurs, de rester sur les hauteurs saintes pour chercher parmi vous le puissant Souverain plein de justice et de bonté dont toutes les étoiles, la lune et le soleil sont les merveilleux témoins !

31. O père des pères de la terre, laisse parler ton amour. Amen."

32. Après avoir entendu ce discours, Adam fut si ému qu'il ne put prononcer une seule syllabe, et on vit briller dans ses yeux des larmes de joie et de compassion.

33. Lorsqu'il put maîtriser son émotion, il dit à l'homme sans nom : "Ecoute, cher étranger qui viens des profondeurs de l'horreur ! Puisqu'il en est ainsi, ce dont je ne doute pas, car je crois à tes paroles, et que par ce moyen Dieu t'a merveilleusement témoigné une grande grâce, il n'est que justice que nous autres, Ses enfants, n'agissions pas autrement envers toi que notre Père grand et saint l'a fait dans Sa compassion infinie. Qu'il soit fait selon ce que ton cœur souhaite !

34. Regarde ici, à ma droite, le très jeune Hénoc ! Vois : il est devenu un orateur béni de Dieu ; à présent, il sera ton enseignant en Dieu, notre Père plein d'amour et Seigneur de l'infini !

35. Et vu que tu n'as pas de nom, je vais t'en donner un et tu t'appelleras "Asmahael", ce qui signifie "Fidèle étranger qui cherche Dieu" ! Car ici, chaque chose a un nom et chaque acte se définit par un mot ; il en va de même pour la nature des choses et les qualités qui lui sont inhérentes et doivent être justement désignées ; il faut pouvoir indiquer exactement comment, quand, où, pourquoi et par quoi une chose arrive ; c'est la raison pour laquelle un être humain ne peut rester sans nom.

36. Mais chaque nom doit correspondre parfaitement à celui qui le porte ; celui qui a reçu un nom doit lui rester fidèle et le respecter.

Maintenant que tu en as un, réfléchis d'abord à sa signification, puis agis loyalement selon ce nom, sinon tu deviendras un menteur devant Dieu et tous Ses enfants, et tu te sentiras anéanti devant le plus petit brin de poussière qui ne fait jamais honte à son propre nom !

37. Je vais te bénir encore une fois et te dis : "Asmahael ! Moi, Adam, le premier humain de la terre sorti de la main de Dieu, notre Père éternel, saint et plein d'amour, je te bénis au même titre que mes enfants, afin que tu sois digne de ton nom !

38. Je pose ma main sur toi et t'élève au rang de mes enfants.

39. Et maintenant, chers enfants, suivez mon exemple et devenez ses pères, et toi, cher Hénoc, deviens son frère et son enseignant ! 40. Mais toi, Jéred, tu seras son supérieur pour toujours, au lieu d'être celui d'Hénoc qui est devenu un habitant de ma hutte ! 41. Que le Seigneur ouvre ton cœur et tous les sens de ton âme à la Vie éternelle de ton esprit en Dieu ! Amen."

42. Aussitôt, Asmahael tomba aux pieds d'Adam, les baisa, et Me remercia d'une voix forte pour la grande grâce qui lui était accordée de pouvoir rester sur les hauteurs auprès de Mes enfants, car il commençait déjà à ressentir les bienfaits de la bénédiction reçue, - ce qui le fit jubiler et dire :

43. "Asmahael, quel nom magnifique, que je ne suis certes pas encore digne de porter ! Toutefois, je suis d'avis qu'un nom donné dès le début de

la vie impose légitimement le devoir de lui rester fidèle aussi loin que les connaissances de celui qui le porte le lui permettent. Et si quelqu'un était obligé par l'engagement relié à son nom de parcourir les chemins reculés du soleil et des étoiles, il devrait le faire joyeusement et fidèlement à cause de la grande grâce qui lui serait échue, - et ce, même si l'engagement envers son saint nom nécessitait encore de plus grandes exigences ! O père, et vous, pères de la terre, pour celui qui fut si souvent confronté à la mort, oh écoutez bien, pour celui-ci, le chemin qui mène à la vie éternelle n'est pas

vraiment difficile à suivre ; car si l'on doit se frayer une voie à travers la boue la plus sombre de l'horreur du péché par un combat constant afin

d'obtenir une pauvre lumière et une vie encore plus misérable, laquelle est la plupart du temps étouffée dans ses premiers germes fragiles par des doutes torturants, - oh, écoutez bien, qu'il est aisé par contre de suivre le chemin lumineux et vivant qui mène à la Vie !"

44. "Asmahael", ô nom magnifique, étoile qui me conduit vers les saintes hauteurs éternelles de la lumière et de la Vie ! Oh, écoutez l'étranger ne portera pas pour rien le don sacré d'une pareille grâce, amen, amen, oui, je vous le dis : amen !"

Chapitre 59 De l'humilité

(8 février 1841) 1. Dès qu'Asmahael eut fini de parler, Adam se leva à nouveau, et dit, très ému : "Vois, Hénoc, c'est une fois de plus ton tour de parler ! Après tout ce qui a été dit, il est bien d'entendre des paroles venant des hauteurs, afin de pouvoir agir plus tard tout à fait selon la volonté du Seigneur. Vois, j'y ai déjà quelque peu contribué, de la façon qui m'a semblé le mieux convenir à l'amour qui m'habite ; toutefois, notre amour n'est pas toujours pur, et nous nous demandons parfois si c'est bien lui qui nous pousse à agir, ce qui fait que le résultat de nos actes n'est pas nécessairement celui que l'on aurait espéré. C'est pourquoi, le moment est tout à fait propice pour que toi, cher Hénoc, nous fasses entendre la voix vivifiante qui parle à travers toi.

2. Parle, et montre-nous le chemin qui convient le mieux à ton protégé. Amen."

3. Après avoir entendu ces paroles, tous se levèrent et s'inclinèrent devant Adam et le remercièrent d'avoir pris cette disposition. Seth sauta presque de joie, car il était le plus grand partisan et admirateur du talent rhétorique d'Hénoc ; c'est pourquoi il ne put s'empêcher de vite lui adresser quelques mots d'encouragement avant qu'il ne prenne la parole.

4. "O cher Hénoc, vois, moi qui désire ardemment entendre depuis longtemps déjà, je vais être comblé, et ce, grâce à mon Père et au vôtre qui agit toujours selon Son ordre juste et bon. Oh, que je me réjouis de connaître la volonté divine dans cette affaire ! Car il arrive souvent que ce que nous faisons nous semble équitable ; toutefois, c'est une autre question de savoir si nos conjectures se révèlent justes ou non !

5. Et c'est là exactement ce que tu devrais nous montrer ! Commence donc à parler en laissant libre cours à la Vie que Dieu répand en toi !"

6. Hénoc se leva aussitôt et se mit à adresser à son auditoire le discours suivant, non sans s'être préalablement tourné vers Moi dans son cœur, disant en lui-même :

7. "O Toi, Père des plus saint, rempli d'amour, Seigneur et Dieu, répands Ta grâce sur moi qui suis si faible, afin que je sois capable de révéler Ta volonté à mes pères en tout amour et toute humilité, et de leur donner en abondance ce à quoi leur cœur aspire.

8. Toutefois, ô Père tout-puissant, que seule Ta sainte volonté soit faite éternellement ! Amen."

9. Vois : J'éveillai alors pleinement Hénoc et il se mit à parler comme suit : "O pères bien-aimés, ce que vous demandez n'est que justice, - car l'amour de Dieu vient toujours en première place, et toutes choses sont soumises à Sa volonté ; - mais que vous m'appeliez pour que je vous révèle dans ma faiblesse ce que toutes les éternités ne saisiront jamais, voyez, chers pères, cela ne convient pas à votre dignité !

10. Pensez-vous que le Seigneur ait des préférences et ressente moins d'estime envers une personne qu'envers une autre, alors que chacune d'elles veut faire Sa volonté ? O mes chers pères, vous êtes tout à fait dans l'erreur, car il n'en est pas du tout ainsi !

11. Levez le regard vers les espaces lumineux de l'infini ! Qui de vous pourrait bien prétendre ne pas être capable de distinguer ces fleuves de lumière et toutes les choses qui s'y baignent? ! Nos oreilles ne perçoivent-elles pas la plus légère brise soufflant sur le feuillage desséché ? Se trouve-t-il parmi nous quelqu'un qui n'ait pas des sens aiguisés et un cœur qui sent la vie battre en lui ?

12. Puisque tout ce qui vient du Seigneur est le propre de chacun, sans aucune exception, comment serait-il possible que quelqu'un soit

davantage ou moins favorisé par le Seigneur, alors que nous tous sommes sortis de Lui et aimerions retourner en Lui ? O pères, si un enfant venait vous trouver pour vous demander conseil, pourriez-vous refuser de l'écouter et ne pas lui donner ce dont il a besoin ?

13. Puisque vous êtes même capables de compassion envers des étrangers, vous qui êtes des êtres déchus, à combien plus forte raison notre bon

13. Puisque vous êtes même capables de compassion envers des étrangers, vous qui êtes des êtres déchus, à combien plus forte raison notre bon

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