• Aucun résultat trouvé

3. Présentation et analyse des données

3.3. Le rôle des enseignants et des parents : perception des acteurs, types de rapports et

3.3.1. Le rôle des parents et des enseignants vu par les enseignants

3.3.1.1. Le rôle des enseignants : entre instruire et éduquer

Tous les enseignants interviewés s’accordent sur le fait que leur rôle principal est d’instruire.

Ils doivent planifier des leçons, transmettre les connaissances inscrites dans le plan d’études romand (PER) et chercher des solutions adaptées aux difficultés de leurs élèves afin de viser leur réussite scolaire. En effet, les enseignants souhaitent qu’ils puissent tous passer dans le degré suivant, qu’ils atteignent les objectifs dans chacune des matières scolaires et qu’ils puissent progresser du mieux possible :

Pour moi, l’objectif chaque année c’est que je puisse permettre à chacun de progresser selon où il en est dans son parcours et ses capacités à progresser. Enfin c’est vraiment ça. Après, c’est 21 manières différentes d’avancer et voilà, c’est au jour le jour et puis des fois on recule, des fois on avance. Là, j’ai une classe qui va plutôt bien en termes d’attitude de travail, de sérieux dans leur travail. Enfin, ils ont vraiment compris comment on apprenait en fait. Du coup, les objectifs c’est pouvoir avancer, faire le programme et puis qu’ils aient accès aux objectifs de la 7ème primaire. (Enseignante n°2, 7P)

SR : Quels sont tes objectifs avec tes élèves cette année ?

Enseignant : Mes objectifs, c’est qu’ils passent tous en 8P et si possible, sans mesure d’accompagnement.

SR : Et pour l’instant, ils sont atteints ?

Enseignant : Ouais, bon avec l’élève que tu as observé en deuxième ça va être difficile pour l’instant, car elle devrait même doubler à cause des maths, elle a moins de 3, mais elle ne doublera pas parce que c’est une grande donc on ne veut pas la mettre avec des petits. Donc la faire doubler ça ne servirait à rien, mais on va tout faire et là elle commence à crocher un peu pour les maths. Et d’autres élèves comme le dernier que tu as observé, j’aimerais qu’il finisse l’année avec au minimum 4 dans les branches où il a bien baissé parce qu’il en est capable. Ouais, moi je pense qu’ils sont tous capables de remonter. Un autre élève avec ses grandes difficultés, il est sous Ritaline, il est dyslexique, bon surtout pour le français II, mais ça commence à venir gentiment. Ça prend du temps aussi d’apprivoiser les élèves, qu’ils te connaissent et qu’ils savent pourquoi, qu’ils comprennent pourquoi ils sont là, pour eux et pas pour papa et maman. Leur faire comprendre que c’est leur boulot à cet âge-là, ce n’est pas facile. Y en a qui ont compris depuis des années et d’autres qui n’ont pas encore compris. (Enseignant n°4, 7P)

Dans ces deux extraits d’entretien post-observation, nous remarquons que, pour atteindre leurs objectifs, les enseignants mesurent l’importance que leurs élèves parviennent à comprendre pourquoi ils sont à l’école, pourquoi ils apprennent et qu’il s’agit de leur travail.

Les enseignants semblent d’avis que leur rôle est de leur apprendre le « métier d’élève » (Perrenoud, 2010) et de développer chez eux une attitude sérieuse à l’école afin qu’ils

126

puissent « être autonomes » et « prendre en charge leurs apprentissages ». Toutefois, les enseignants semblent avoir conscience de l’hétérogénéité de leurs élèves et de leurs besoins, ce qui rend difficile l’atteinte des objectifs inscrits dans le PER pour tous les élèves. De ce fait, leur rôle consiste également à adapter et à différencier leur enseignement afin que chaque élève puisse progresser en fonction de ses propres capacités et besoins, ce qui s’apparente à une posture d’individualisation (Payet, Sanchez-Mazas, Giuliani & Fernandez, 2011).

De plus, les enseignants semblent d’avis qu’ils doivent informer les parents de la situation scolaire de leur enfant. Ils réalisent effectivement tous les trois moments officiels de rencontre avec les parent et ils semblent en accord avec ces prescriptions qu’ils considèrent réellement comme faisant partie de leur rôle. Cela s’observe dans leurs discours lorsqu’ils expliquent que les parents pourraient aider à contrecarrer les difficultés de leur enfant :

SR: Et lorsque y en a qui rencontrent des difficultés, que fais-tu ? Que mets-tu en place ?

Enseignante : Alors y aurait plein de manières : y a du soutien dans l’école où on va pouvoir réfléchir avec les enseignantes chargées de soutien pédagogique et moi et l’enfant, parce que je pense que c’est important de voir comment l’aider, comment mettre des choses en place pour lui, mais ça passe aussi effectivement par une information aux parents, une prise d’informations auprès des parents aussi pour voir comment eux aussi sentent leur enfant à ce moment-là, donc savoir ce qu’ils ont observé à la maison, comment eux ils voient les choses, pour voir s’ils ont une explication. C’est aussi un partenaire les parents à ce moment-là et puis après on va mettre des choses en place avec l’enfant. Même dans la classe parfois, sans forcément les enseignantes d’appui. Ça va être dans la classe voir ce qu’on peut changer pour pallier à cette difficulté, pour que l’enfant puisse pallier à cette difficulté. (Enseignante n°2, 7P)

Cela semble démontrer que les enseignants considèrent les parents comme des partenaires.

Ainsi, ils doivent être disponibles pour pouvoir rencontrer les parents et prendre le temps de les informer. Pour cela, les enseignants reconnaissent l’importance d’être « francs » et

« transparents » face aux parents, ce qui permet d’établir une relation de confiance avec ces derniers et d’avoir une écoute de leur part : « Je n’ai pas biaisé, je crois que je suis toujours franc et transparent, je leur dis vraiment comment se passent les choses et ils l’entendent et ils l’acceptent » (enseignant n°4, 7P). Selon les enseignants, leur rôle consiste alors à être

« sincères » dans l’interaction afin de créer une relation de confiance avec les parents et d’éviter le développement d’une crainte de la duperie (Goffman, 1959/1973a). Cependant, une contradiction est présente du fait que les enseignants euphémisent les difficultés scolaires de leurs élèves face aux parents, comme nous l’avons identifié dans la partie 3.1 de notre analyse. Cela semble correspondre à une mise à distance des parents et à une logique de délégation (Favre & Montandon, 1989) dans laquelle les enseignants instruisent et les parents éduquent sans qu’il y ait de partage des tâches. Cela dénote également d’une faible croyance dans les capacités des parents, en particulier ceux de milieu populaire, à aider leur enfant.

En outre, les enseignants estiment qu’ils doivent écouter et prendre en compte les discours experts des parents sur leur enfant, bien qu’ils revendiquent leur rôle professionnel lorsqu’ils ont le sentiment que les parents souhaitent prendre leur place. Pour les enseignants, la collaboration n’est donc pas une simple transmission d’informations (cf. chapitre 3.2). En effet, selon, eux leur rôle consiste également à prendre des informations auprès des parents,

127

car ces derniers peuvent les aider à mieux comprendre les difficultés de l’enfant et à trouver des solutions adaptées à ses besoins. Cela est accentué par le fait que les enseignants estiment qu’ils doivent « être à l’écoute des parents » et « tenir compte de leur avis », car « ce sont eux qui connaissent le mieux leur enfant ». Nous remarquons ici une ouverture à la collaboration du côté des enseignants, qui semblent mesurer l’importance que les parents ont dans la scolarité de leur enfant. Nous pourrions alors penser que les enseignants se situent dans une logique de collaboration avec les parents, car « […] parents et enseignants sont attelés à la même tâche ; ils se complètent et s’appuient mutuellement ; d’où la nécessité de contacts fréquents et d’un effort permanent de concertation et de négociation » (Favre & Montandon, 1989, p.118). De plus, face aux propos qu’ils énoncent, les enseignants semblent d’avis qu’ils doivent aussi « se remettre en question » et « avoir un côté humble », car, bien qu’ils soient des professionnels de l’éducation, ils ne peuvent affirmer connaître mieux l’enfant dans sa globalité que les parents :

Faut savoir se remettre en question aussi, ça fait se questionner, mais je trouve hyper important d’écouter, d’entendre ce qu’ils disent. […] Donc je dois informer, écouter, prendre en compte ce qu’ils disent aussi et comme je disais avant, avoir aussi ce côté humble par rapport à ce que les parents savent de leur enfant. Je ne vais pas penser que, parce que je l’ai toute la journée sous les yeux, je le connais mieux qu’eux. (Enseignante n°2, 7P)

Les enseignants semblent dès lors suivre le principe de respect des parents qui représentent les principaux experts de leur enfant. Toutefois, il existe une contradiction dans leurs discours.

En effet, malgré cette reconnaissance du rôle expert des parents, ils considèrent qu’ils doivent parvenir à convaincre les parents et prouver qu’ils ont raison lorsqu’ils énoncent des constats et/ou des propositions d’action. Ils estiment alors que ce sont eux les mieux placés pour juger les difficultés de leurs élèves et les aides à leur apporter :

SR : Pourquoi vous voulez que l’enfant fasse un bilan ?

Enseignante : En fait, on soupçonne vraiment un problème de mémorisation. On se demande aussi si y a pas certaines capacités qui sont limitées. Et donc ça va faire un an fin mai qu’il est en classe d’accueil. Enfin, je trouve que y a des choses qui sont compréhensibles que tu puisses te mélanger avec les sons qui ne sont pas dans ta langue ou certaines lettres qui n’existent pas. Mais par exemple, dans le mot maison, même si je lui donne les sons séparés, il va lire toutes les lettres, mais pas le mot en une fois. Et du coup, lire une phrase, lire un texte, c’est impossible. J’ai dit au parent lors du premier entretien que je ne connaissais pas le son de la voix de leur enfant.

SR : Et les parents ont réagi comment lorsque tu leur as dit ça, quand vous leur avez proposé ça ?

Enseignante : Alors, au début psy et tout ça, le père a utilisé une grosse voix et tout ça et puis après il s’est calmé. Il a dit ok.

SR : Mais il réfutait ?

Enseignante : Non, ce n’est pas qu’il réfutait, mais en fait il disait qu’il faut être plus sévère, il faut être plus ci, il faut être plus ça et nous on était là « mais non non, ce n’est pas ça le problème ».

SR : Il essayait de trouver d’autres causes ?

Enseignante : Oui voilà, alors nous on a beaucoup essayé de leur dire qu’en fait, si tout d’un coup y avait un problème, enfin pas un problème, mais dire que ce bilan pouvait pointer là où leur fils a besoin d’aide pour que nous on puisse être efficaces. On a essayé de le vendre un petit comme ça, ce qui n’est pas faux en soi, mais nous on aimerait vraiment savoir si y a un déficit d’attention ou un problème de mémorisation ou alors si l’élève n’a juste pas envie. (Enseignante n°3, 7P)

128

Dans cette situation, l’enseignante ne semble pas tenir compte des explications du père qui considère qu’il faut « être sévère » avec son fils. Elle a donc essayé de le convaincre de l’importance de faire un bilan en le lui « vendant » comme le seul moyen permettant de pouvoir aider au mieux son enfant. Nous remarquons alors que les enseignants occultent rapidement l’avis des parents pour les convaincre que le leur est plus juste, mettant ainsi celui des parents à distance malgré le fait qu’ils les considèrent comme experts de leur enfant. Nous pouvons alors nous demander ce que vaut le principe de respect des parents à l’aune du principe du bien-être de l’enfant lorsqu’ils ne sont pas d’accord avec la vision parentale de ses difficultés. Les enseignants sont effectivement d’avis que, même s’ils doivent se remettre en question, ils ne doivent « pas entrer dans la justification », car ce sont des « professionnels » et ni eux, ni les parents ne devraient douter de leur jugement :

Des fois, j’étais un peu dans la justification et je pense que ce n’était pas une bonne chose. Des fois, on se remet trop en question parce que ça nous fait douter ou quoi que ce soit. Ce n’est pas forcément une bonne chose. (Enseignante n°2, 7P)

Cette vision de leur rôle semble s’opposer à l’établissement de rapports de type collaboratif et laisse place à une logique de délégation, de mandat, dans laquelle les enseignants considèrent qu’ils sont les seuls responsables de l’instruction des enfants : « ils ont officiellement le mandat d’instruire les enfants » (Favre & Montandon, 1989, p.120). Les enseignants revendiquent ainsi leur statut de professionnel de l’éducation, mais sans vouloir rendre de comptes aux parents et sans justifier leurs décisions, que ces derniers ne doivent pas contester afin de ne pas remettre en cause leur jugement professionnel :

Je ne vais pas dire au chirurgien quel scalpel il faut prendre pour faire son opération. C’est un pro et il sait ce qu’il fait. J’attends la même chose de la part des parents pour notre métier d’enseignant. (Enseignant n°4, 7P)

Cela démontre que les enseignants considèrent les parents comme des « amateurs » en matière d’enseignement et donc qu’ils « […] devraient leur faire entière confiance et ne devraient pas leur demander de rendre compte de ce qu’ils font, de même qu’on ne demande pas au médecin pourquoi il prescrit tel ou tel médicament » (Montandon, 1994b, p.195). Pourtant, aujourd’hui, un « vrai professionnel » doit rendre des comptes à ses clients contrairement aux personnes qui incarnent une responsabilité de type bureaucratique et ne rendent des comptes qu’à l’autorité qui les a engagées (Darling-Hammond, 1989 ; cité par Montandon, 1994b).

Nous pouvons alors nous demander si la volonté d’établir une relation de confiance avec les familles n’est pas également un moyen permettant aux enseignants de rechercher plus facilement le consentement des parents aux constats et aux propositions de solutions énoncés en les expliquant, mais sans avoir à les justifier :

Mon rôle à moi, je pense que c’est de réussir à mettre en confiance les parents pour leur faire comprendre que les décisions professionnelles qui sont prises, c’est pour le bien de leur enfant et t’as constaté que ça ne marche pas toujours. Mais franchement, c’est un cas sur 100. En principe, les parents, après discussion, ils comprennent parce que je crois que c’est assez simple. Quand tu regardes les notes par exemple en allemand.

Je fais des contrôles de vocabulaire toutes les 2-3 semaines qui sont informatifs seulement, parce que je mets atteint ou non atteint. Quand je regarde que c’est sur 18 mots et que y en a que deux qui sont appris, c’est basique de leur dire « si votre enfant n’apprend pas le vocabulaire, il ne va pas pouvoir avancer en

129

allemand ». C’est comme dans toutes les langues. Un adulte s’il va apprendre une langue, il va passer par l’apprentissage du vocabulaire aussi. C’est tout simple. […] C’est aussi simple que ça de faire comprendre aux parents je pense. Moi je leur dis simplement les choses comme ça, je fais basique. Et puis, en principe, les parents comprennent et ils adhèrent. (Enseignant n°4, 7P)

Le rôle des enseignants consiste donc aussi, selon eux, à proposer des solutions aux parents et à leur fournir des conseils éducatifs adaptés à leur enfant afin qu’il puisse réussir scolairement. Cette conception de leur rôle semble reposer sur une vision déficitaire des parents, et principalement ceux de milieu populaire qu’ils considèrent incompétents et ne pouvant pas apporter l’aide nécessaire à leur enfant (Giuliani & Payet, 2014). Les enseignants semblent alors vouloir remplacer les parents, ce qui correspond à une logique de substitution dans laquelle ils partageraient les fonctions éducatives avec les familles (Favre & Montandon, 1989) :

J’ai eu parfois à donner l’emploi du temps de l’enfant de quatre heures à huit heures du soir en disant « non madame, ça ne va pas, parce qu’il est complètement déstructuré, donc maintenant voilà ce que vous allez faire : de quatre heures à cinq heures et quart, vous le laissez rentrer tranquillement, vous le faites goûter et vous le laissez un moment jouer dans sa chambre. Ensuite de telle heure à telle autre heure, vous lui faites faire ses devoirs donc vous lui dites qu’il est dans sa chambre, qu’il s’assoit à son bureau et qu’il doit faire ses devoirs ». A un moment donné, ça dépend de comment je sens le parent, mais peut-être que l’enfant doit aider à la maison donc je lui suggère de l’appeler, de mettre la table et qu’il participe aux corvées de la maison. Alors oui, dans le quartier dans lequel l’école se trouve, les conseils aux parents ne me posent aucun problème. (Enseignante n°1, 8P)

Dans cet extrait, nous remarquons que l’enseignante ne semble pas gênée par le fait de proposer des conseils aux parents, ni même d’intervenir directement dans la vie des familles.

Nous pouvons alors nous demander si cela est lié au quartier dans lequel elle enseigne qui est défavorisé. En effet, l’intervention de cette enseignante repose sur une définition de la proximité avec les parents comme un moyen d’éducation des familles (Giuliani & Payet, 2014) plutôt qu’un moyen leur permettant de rechercher une relation symétrique basée sur la confiance mutuelle. Les enseignants ont alors une image négative du rôle éducatif des familles (Montandon, 1993) qu’ils mettent à distance, ce qui les rend méfiants. Ils sont ainsi d’avis que, si leur rôle comporte aujourd’hui une part éducative qu’il n’y avait pas avant, c’est parce que les parents « ne jouent plus leur rôle de parents » :

La cahier des charges a changé, on a une part éducative aujourd’hui qu’on n’avait pas y’a encore une dizaine d’années en arrière, même moins. Quand je parle de part éducative, c’est qu’il y avait des règles à la maison qu’il n’y a plus. Moi, je discute de l’écran de la télévision, que ce n’est pas bon, qu’on ne devrait pas faire trop d’écran, alors que pour moi ça devrait être purement du rôle parental, comme le fait de vérifier que les devoirs sont faits à la maison. Ça, c’est aussi purement parental. Y’en a qui ne le font pas, ok. Donc pour moi, ce que j’attendrais vraiment des parents, c’est que ils fassent leur devoir de parent. Ils ont fait, conçu un enfant pour qu’il grandisse, pour qu’il soit autonome et responsable dans la vie. (Enseignant n°4, 7P)

Malgré cela, les enseignants sont conscients qu’ils ne peuvent pas « forcer » les parents à accepter leurs propositions. De plus, ils ne peuvent pas vérifier dans les familles si les décisions arrêtées lors des entretiens sont respectées et mises en place par les parents. Ils

130

reconnaissent dès lors une limite quant à leur rôle qui consiste principalement à instruire et non à intervenir dans les familles, ce qui dénote à nouveau d’une logique de délégation :

Enseignante : Y a des fois c’est bien accueilli, ils sont contents de l’idée, mais ils ne feront jamais rien derrière. Y a aussi le côté « je fais semblant », je dis « oui oui, madame » et puis y a rien rien qui suit quoi.

SR : Oui et là tu ne peux pas agir dessus, c’est ça ?

Enseignante : Non, là c’est terminé, c’est fini. Dans le sens où j’ai fait ce que j’ai pu. Après, je ne peux pas

Enseignante : Non, là c’est terminé, c’est fini. Dans le sens où j’ai fait ce que j’ai pu. Après, je ne peux pas

Documents relatifs