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I M EXPOSITION SINGULIERS

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-quatre paquets en contenaient beaucoupd'autres pluspetits renfermantdepetitespartiesdoterre qu'il n'estpaspossible dodécrite.Undecespaquets,en forme debourse, contient uneléteenémailnoirdolagrosseurd'unepetitenoix et d'une6g'uro hideuse,danslaquelleestun papier contenant unepetite partie d'ossetnent.

•Unautrepaquet detoileblanchegomméecontenait les

o--«cmenUd'un cadavreelune lèlesurlaquelleilyavait plu-iiwirsdépôtsdesélénite,ouplâtre cristallisé.Nousn'yavons

•.i»strouvélesosdubassin.Nousavonsaussitrouvéune oa.'.dodoparcheminportantcesmots:Hicjacclhumalum sanclne eorpniGmctefa». Plus unstylodocuivre,en forme depelled'uncoté etpointudel'autre;cetinstrumentservait aux anciensà tracersurde»lablellesdecire

»Cellechassea été faiteen701*.,parleci-devantsoi-disant saintEloi,orfèvre etévèquodoParis.Elleaétéréparée on 1614, parNicole,orfèvredeParis.Ilparaitquec'està celte époque quol'on asubstituédespierres faussesenplacedes finesqui yétaient.Le corpsdelachàssoestdeboisde cliéne Ires épais.Entreautreschosesfort ridicules elfort ex-traordinaires,nous avonsremarqué surcettechàssoune agategravée en creux, représentant MutiusScœvola, brû-lantsamain pourlapunird'avoirmanquéletyran Porscnna;

au-dessousestgravéCvntlanlia...Touslesornementsqui couvrentla châsse sontdosplacagesd'argentdorétrès minces.

Les émissaires d'Hébertetde Chuumelte arrachèrent donc lesossements desainteGeneviève dolachâssequi,pendant treize siècles, les avaitgardés fidèlementcommelepalladium otlagloiredolacapitaledu royaume ci-devanttrès chré-tien;et, pourcompléterleurviolationsacrilège,ilsles li-vrèrent auxllamnies.Mais«lepieusesmainsleur avaient déjà enlevé furtivement unepartiedutrésor qu'ilsanéantissaient sansleconnatiro; etce sontlesquelques ossementsdela douceviergede Nanterre, sauvésalorsdu bûcher révolution-naire,quiaujourd'hui, placésdans une châsse de vermeil de lafurmeetdolagrandeurdecellequolescreusetsdela monnaie nationaleréduisirentenlingots,ontreprisavec pempeetaumilieud'unpeupleenthousiasmélochemin de lasainle collineou nos pèreslesavaientvénérés duranttant dosiècles.

JUGEMENT SANS

PAREIL.

Le jugo depaixde Vincennesvientde rendre une sentence digneduroidVvelol.Deux habitants dosacommunes'élunt réciproquementinjuriés, parsuitede rapportsfaits riel'un chezl'autrepar un apprentiâgé de quinzeans,chacun des délinquantsa étécondamnéacinqfrancsd'amende,ellu petitgarçon, causedu scandale, tenuà s'allerconfesser huit jours desuilo,et arapporterchaque jour unbilletde con-fessionau juge depaix.Ceciparaitincroyable, elpourtant l'arrêta étéexécutéà lalettre,etdanstoutVincenneset Saint-Mandé,iln'estbruitquo decela.

I

M EXPOSITION

SINGULIERS.

Onvient d'ouvriràLondresunegrando Exposition do vo-lailles.Ilyfigureenviron3,000échantillonsdela racoeni-plumée.Ilseraitdifficilededonnerun aperçu decelle exhi-bition.Ilsuffiradecilerlescuriosités qu'ellerenferme.On yvoitun dindon qui pèse 30livres,un magnifique pigeon d'Australie, trois oiespesant ensemble4Mlivres,deuxoiseaux delaCochinchine estimésà2">guinées,un oiseaurarequi en vaut 30àluiseul,quatrevolatilesdelamémocouvée, lecoqettroispoules, cotés 60guinées.Ona déjàvendu 102lotscomprenant

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oiseaux delaCochinchine anprix do360liv.st.Loprixleplus élevé atteintpartête estdo 20guinées. Ilya,outrolesoiseaux,unemagnifique col-lectionde lapins, arrivés à undéveloppement extraor-dinaire.

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2?Janvier!883.—Qr*Tur«N#3Si.

(TVuJutttonriêtrvit.)

LE

JOURNAL DU GRAND MONDE.

Je disais

l'au-trejour quo, mal-gréla sai-son plus que

béni-'

gne,les fourrures sontfortà lamodo.Kn effet, com-mocelle annéeelles nesontpas d'unenécessité rigoureuse, ellesdeviennentun objetde luxeotcellesquol'onvoitparaître sontdune richesse toutemoscovite.Cesont lesplus bellesfourruresdu Nord,lesmartres, les zibelines,lesherminesvéritables qui seules osentsemontrer.Onengarnit lesmanteaux de veloursàlahauteurde40 centimètres;la fourrurecontinuedevant surunelargeurdei'A ou30 centimètres seulement, puis tourne sur lesépaulesen|>alalinearrondie;lesmanches en sontégalementornées.Voilàcequel'on voit paraître aussitôtquelecieldaigne,pour quelquesinstants,fermerses cataractes,que lesoleilnousenvoie,avecun joyeux rayon, une légère brisepourrafraîchirl'airlourd et

hu-A

mide danslequelnous végétons, nous pauvres humains,alorsquetoutbourgoonneet fleurit autourdenous,un peu intempeslivement,il fautl'avouer.

Revenonsànosfourrures.Unepetite nou-veautétrèsrecherchéeestunepalatine droite, dunelongueurtotaledet mètre,largede iOcentimètres, etterminée à chaque extrémité par deuxpetitesqueues,faisant fourche,ce qui est fort laid,par parenthèse; mais, que voulez-vous,c'estlamode,et jevousl'apprends.

Cette petite palatine, disgracieuse, a cepen-dant un boncôté:parcetemps depluie,les affectionsdepoitrinesontnombreuses,et l'es-pèced'éloledontjevousparle adu moinsle méritede préserver du froidetdol'humidité lesbronches,larégiondu larynxetdes amyg-Cehs appelle,selon lesuns.un rMA«j! est-coparcequ'onpeutlemettre dansune courseàcheval?jenesais.D'autresle nom-mentun zéphyr, une zéphyrineetmêmeuno sevignéI

Commeon nesauraitsupporter des vêle-ments dhiver bienchauds, bien comforta-bles,bienfourrés,onlesfaittrès riches et très élégants.C'est ainsiquelesmagnifiquestissus queje\ousaidécritsnaguère ontfait si com-plètementoublier les étoffes pluschaudes,les velourset surtout les lainages,quenulled eniro

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longs bouts descend purderrière. Lesbrides sont enrubann«30 encadré desalin,le des-sousestornéd'une guirlande derosesdehaies etdeblondes.Dechaquecotédu visage deux rosesépanouies,etsurleresledelaguirlande desfeuilles etdes boutons seulement.

Nousavonsremarqué,à roté,une capote en satin rose, entièrement recouverte de blonderiche àlarge dessinenrosaces; surlo fondsetrouve posée une demi-guirlande de co-ques de ruban coupé en landestransversalesde laffetasrose et salinblanc;parderrièreun nœudàlongsbonis.Cettemodesemble entiè-rement revenue. Lesbrides sonten rubanro.*o n°22, àdeux nuances encadrées deBletade satin blanc.Souslapasse,decharpie cotédu

\l-.IL nousn'asongéà lesregretter. C'est ainsique, silesmanteaux,les confectionssontpeu ou point ouatés,enrevancheilssontd'unegrande richesse etornésdedentelleguipure,celle gracieuseinventionquiaélésipromplement etsigénéralementadoptée. Ce quej'aivu de plusbeau en cegenreesllemanteau joyeux avènement delamaison Charvet;c'estun man-teaudroit,envelours,fortgracieuxpar de-vant,extrêmementricheparderrière;ile>t entièrement couvert detroisrangs dedentelle guipurede 30centimètresdehauteur. Ce deuxième rang,c'està-dire celuidumilieu, formecommeunemanche,parcequelafente du manteaus'ouvre h sahauteuretlamainso trouveainsiencadréededentelle;lesautres rangsdedentelle s'arrêtent,l'un àl'épaule et celuidu bas surlecôté.Unrang de galon gui-pure, pailletédejais,encadrelomanteautout autour,monte surlesdevantsettourne au-tourdel'encolure.

Larot itba,autreconfection, estplussimple peut-être,maisnrnmoins élégante;elleest fortconvenable pourpromenadesà pied. Ello secompose d'un doubletalmapardevant;

niaisce double talmas'arrêteàl'épaule cl surlecoté;parderrièreilestseulement si-mulé par un galon moiré do 5 centimètres;le manteauétanttotalementencadré dece £''1°".il

enrésulteque parderrièreilyadeux rangs de galons,tandisque sur chaquebattantdouble dis(levantsiln'yenaqu'unseul.Larosalba sefermeélevantpartroisnœudsde moirésà longsbouts.

Ce que nous recherchons surtout, avons-nousdit,cesentiesmodesgracieuses, distin-guée?:aussine saurions-nousmieuxfaireque dedirigernos pasverslamaison Plé-Horain.

Làtout e»tcharmant,etl'accueilquivousy estfaitet lesdélicieusesnouveautés qui vous passentsouslesyeux.Esl-ilriendeplus co-quetquecelle joliepe'.itecapole desatinblanc oualé?Lescapotesoualéesonttoujoursélé fortrecherchéesparles femmesquisavent vraiments habiller.Donc,cettecapotedesatin blanc,quiaeubonnombred'éditionsde di-versescouleurs,estborduréedune blonde blanchecoupée d'un rouleau desatin.Lefond estentièrement formedotroisrangées de coquesoubouillonnésde rubans,coupés en coquesetainsidisposés:deux rangsen ru-bans desalinbordurés de blonde,etceluidu milieuenrubangaze, aussibordure deblonde.

Aumilieudelaforme,etpar conséquent des bouillonnés,une agrafe desatinblancsemble

retenirlestraversesàlacapote.Un nœudà\coude?

MonDieu,oui,seulementonles

;o,deschrysanthèmes blanchesetroses, puisautourdelablondeetdesnœudsde ve-loursfollet.

L'examen deces fraîches toilettesdevillene nousfilpoint oubliercependantque nous som-mesenpleine saisondefêtes,de réunionsdu soir,etque,par conséquent,lescoiffures de-vaient attirer notre attention.Entrebeaucoup d'autres, voici celleque nous avons remarquée poursagrâceetsonoriginalité. C'estlacoiffure reined'Ecosse;ellesecompose d unetorsade develours bleuformant aulourdelatêteune sortederéseau.Surcelletorsadeserpenteun galond'argent.Lo réseauserésoutpar der-rièreencolimaçon;pardevantun bandeau descend surlefront, etau-dessusdu bandeau s'élèveunelargo nattede cheveux. Les che-veuxse coiffentenbandeauxbouffants, et,dans lecreux formé parcesbandeaux,se placeun bouquet devolubilis blc,usargentésetde char-donsd'argent. Jene puis vousdiretoutlo charmanteffetdecelte coiffure.

La forme des robesapeuvarié.Nous ap-puierons seulement surceci,comme1res im-portant:ne portezplusde basques,mesdames, lamodeenestentièrement passée;ilenestdo mêmedespointesau corsage;rien n'estplus disgracieuxqu'une robemontanteetun cor-sageàpointe.Lestaillessontrondes; avecles robesdebal,seules, les pointesvontfortbien;

mais pour robes deville,laformelaplus con-venable,laplusgénéralementadoptée,est le corsagep'al,montantetboulonné.

Ellesmanches?

OhIpourlesmanches,je vaisvousparler d'unerésurrection quivous étonnera, maisqu'a coup sûr vous apprendrez avec uncertain plai-sir,lesmanchesàcoudereparaissentsur l'ho-rizondumondeéléuant.

Lesmanchesà

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ouvre ducôté etonlesgarnitde boutons;elles toutlégèrement arrondiesverslebaset lais-sentapercevoirunbouillonneblancferméau

|H)ignet.

Quant auxmanchesp.ngod.'s, iln'enest plus question,ellessontremplacéespardes mancheslarges, nonpointprécisément des manchesballon*quin'ontaucunegrâce,mais pardesmancheslargesd'unecoujvenmivollo etterminées par deux rangs de rubansfroncés formantpoignet.Celan'estpointmaldutout, jevousassure.

Le printempsestrevenudès longtemps;à Marseille, diton. leslilassontenfleurs! ainsi lesfemmesqui,avec unbon goûtparfait, cher-chent dansleur toilette h suivrelessaisons, à rappelerdansleurparurelesfleursqui se mon-trentaumomentmêmedanslesjardins,ne commettront pasdutoutun anachronisme en adoptantlegracieuxensembleque nous avons admirél'autrejour:c'étaitune robe deCrétK) Bueoutarlatanelilas.a troisjupesrelevéesdo cotépar des branches<!elilasblancet coloré.

Le corsageiipointe,orné d'un revers formant berlhe. et servantfiemanchescourtes,car ces dernièressesupprimentpresquetotalement danslesrobesdobal.Surledevantdu cor-sageune gerbe retombant en branches de li-las.Danslescheveux une couronnoàlareine Horlmte, avec bandeauxbouffantsdemoyenne grandeur,etplacésunpeubas, c'est-à-dire commençantparunbandeauplatbien mar-qué.Celte toilette étaitsifraîche, etlafemme qui la portaitétaitsijolie,quecette char-manteapparitionsemblaitlaréalisationde no-trerèvoleplus poétique, lorsquenous voulons nous représenterFloreparée desa triple cou-ronne:leprintemps,lajeunesseetle bon-heur!

Oh'j»UBf>sc,r'incmpjdeIn (Mi printemps,j'-uncv.cdeVanne*!

commeditlepcète; lesnommerl'un et l'autre n'est-cepaslebonheur?

Aussilorsquemajoliefemmeentraaubal, que de regardsadmiralifs se fixèrentsurelle!

et disons-le bien bas,que de regardsjaloux!. ..

tontes lesfemmesse dirent alors;Jeveuxavoir unerobelilas...Maiscombienil fautêtre blanche, fraichoetbellepouroserle(enter!...

Celasiéraà bienpeu.aliez-vousdire,ehbien!

vous vous trompez,cela siéraàtoute»celles dontleteint offrira cellenuance douce,rosée, quel'art,àdéfautdelanature,sait mainte-nant donnerau visage.Demandezplutôtaux femmesquifontunusagecontinuel et

régu-lierdel'cnn d'Albion,cellefameusefontaine de Jouvence dontlasourcesetrouvedans hs magasins de Gellè, leparfumeur émérito.

Vouslesavezaussibienque nous,celleeau imprime auteintunéclat, une transparenco aimablesetàla peauunvelouté,unsaline égalàceluides jobs anges de Boucher.

Jeviensdeparlerd'anges,cemotmeramèno toutdroitauxenfants. Causons uninstant, jevouspriedolaloiletlodecescharmants chérubins.Commovousvoila toutesattentives etcharmées,c'estque vous.-avezbienque vos enfantsformentvotreplusgracieusnparure, l'arlons-endoncalors!

Lispetitesfilles|torlonllesjupesun peu courtes:corsagesentrouverts rattachéspar desbarrettes,manchescourtes,et presquo toujoursdesbasques aucorsage.Unerobe qee nousavonseul'occasiond'examiner l'autre jour,etquivenaitdesmagasinsduZrifojr, nousaparucharmante; jugez-en:

Kilo étaitenpoiH-linubleuKlysèe,etornéo parlebasdetroisrangéesdéloilcltesde ve-lours noir,brodéesetborduréesaupointde roseavecdu gros cordonnetbleu.Lesétoiles allaientendécroissant, c'est-à-direquecelles du rang supérieurétaientplus petitesquecelles du rangvoisindu bord delarobe, etc.La bas-quineetlaberlhedu corsageétaientdemême ornées de deux rangéesd'étoilesquise répé-taiententrès petitsurlesbarrettesdumilieu.

Aveccelades pantalons blancsbrodésàmême surl'étoffe, etparconséquentun peuplus longsque ceux quisontrehaussésd'unebande brodée.Ces pantalonsse fontau plumetis

;pour

lesbjndes brodées, aucontrairo,on conservo labroderie anglaise très riche.Ce dernier genre convientmieux pourpetitsgarçons. Aveccela capotedesatinblanc Mahe-Stuart,

Lefrêrodemapetiteamie,jeunegarçondo cinq ans,portaitune blouse desatinécossais, ornée d unetraverseparlantdol'épaule droite etse dirigeantverslebas delajupeàgaucho.

Les poches indiquées de chaquecôtédu jupon affectaientlaforme desaumônièresdumoyen Age.Lesmanches courtes avectraverseen biais.Toutesces traverses illustrées, ainsique lespoches,de boutonsd'acier à mille facettes.

Aveccetteblouse,unevestedevelours noir, forméedu hautetgarniede galon de moireet de passementerie.La basquinetrèsfroncée, à larges plis creux.Lesmanchesétroitesdu haut etfroncéescommelabasquine,àlargesplis retenuspardesboutonsdo passementerie-Commentsetaillent cesmanchesetcette bas-quine? Knvérité,joncsuis;toutcequejepuis

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GRATDREH°352.

GrardrToiLK-rrrtAiiÉr..

Coiffureornée de brillant-",dedentelle etdu plume.

Les che-veux séparés aumilieuformentdeux rouleaux tournésen sensinverse.Le rouleau qui encadre le front seforme en enroulantlamochequi ter-minelapointe, eten retournantlescheveux de dehors en dedans.L'autres'enrouleen sens contraire,etlesdeuxrouleauxviennentse réunirdanslebas,derrièrel'oreille.

Undiadème enbrillant estposé surlatéte, etvientseperdrede chaquocôtéentre les deuxrouleaux.Deuxfleursenbrillant*sont posées,une de chaquecoté,entre les rouleaux.

Agauche, une longueplume, placée entreles rouleauxetlonœuddo cheveux,retombe on spiralesurl'épaule.Unebarbe,enpointde Bruxellesmêléd'or,s'enroule danslenœud descheveux;lesboutsretombentà droite,un peu enarriére.

Robe en moireantique,avec pardessus en moire, formantlatralnoparderrière.

La robealecorsageplat apièce,formant un peula pointedevant. Lepardessusest ajusté;ledosest plat;latailleestmarquée un peu enpointe.Lo basestécartéd'environ Gcentimètres.Lo haut du corsage,très év;isé, forme unpetitreversarrondi,hautde 6 cen-timètre»,quisecontinueon guisedek-rlhe.

Derrière,unedentelle d'or,haute do 3 centi-mètres, borde cerevers, cl secontinuetoutle

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longdelajupe.Lesmanchessontcourtes, bouffantes, etterminées par unedentelle d'or.

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jupeest trèsample, froncéeà lataille,et relovéeendraperie,un peu plus bas qu'àla moitié,par des bouquets de plumes, auxquelles somêlent quelquesfruits d'or.

Le corsageetlajupesontornés de branches dolierreen crêpe avec desbaies d'or.

Lesgants,demi-longs,sontfermés partrois boutonsd'or.Lestroispiqûres surlamain sont bordéesd'or,etlohautestgarnidedeux den-telle* d'or.

Toilettepauék.

Sortiedebol,

Coif-furocomposée d'un fond en guipured'orcousuo surtullo etformantlacape delarenaissance.

Toilettepauék.

Sortiedebol,

Coif-furocomposée d'un fond en guipured'orcousuo surtullo etformantlacape delarenaissance.

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