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II.1.2. Quelle(s) fonction(s) pour la recension ?

II.1.2.1. Définition des actes textuels constitutifs

Parmi les études portant sur la recension, certaines considèrent effectivement la notion de fonction textuelle comme constitutive du genre. Mais afin d’éviter les écueils précédemment dénombrés, elles conçoivent la fonction sous formes d’actes de langages inscrits dans le texte. C’est pourquoi W. Zillig (1982) parle de Textakte, un équivalent de l’acte de langage de J.-R. Searle, mais à l’échelle du texte. On trouve chez G. Stegert (1997) une idée semblable, mais il préfère parler de sprachliche Handlungsmuster200, d’un modèle d’action langagier. Ces deux notions renvoient à la conception d’une fonction textuelle qui se situe à une échelle intermédiaire entre la phrase et le texte et qui forme des composants constitutifs du texte201. Pour identifier les actes textuels constitutifs de la recension, W. Zillig part d’une définition descriptive de ce genre textuel :

Die TS (sc. Textsorte) „Rezension“ ist dadurch bestimmt, dass der Gegenstand, der in den Exemplaren dieses Texttyps behandelt wird, immer ein veröffentlichter Text ist. Für diesen Text ist ein Autor verantwortlich, der sich an seine (potentiellen) Leser wendet, und wir können den Rezensenten als einen „besonderen Leser“ einführen, als einen Leser nämlich, dessen Aufgabe es ist, andere Leser des Texts in einem eigenen Text, eben der Rezension, über das Werk zu informieren und gleichzeitig das Werk in verschiedenen Aspekten zu beurteilen (Zillig 1982 : 199).

D’après lui, l’objet de la recension est un texte publié et pris en charge par un auteur qui s’adresse à des lecteurs. Dans ces conditions, le recenseur est un lecteur particulier : sa tâche consiste à informer à travers un autre texte – dont il est cette fois l’auteur – les autres lecteurs sur l’ouvrage en question et à évaluer divers aspects de ce même ouvrage. À partir de cette définition et des prérequis situationnels qu’elle entraîne, il détermine les actes textuels à l’origine de la recension, à savoir : informer et évaluer. Il s’agit effectivement des deux actes textuels les plus fréquemment retenus à propos de la recension, même si des alternatives existent. S. Dallmann (1979 : 67) voit dans l’analyse et l’évaluation les deux tâches qui incombent à la recension scientifique et journalistique. Pour M. Ripfel (1989 : 13), les trois fonctions primaires de la recension consistent à évaluer, décrire et recommander. Quant à W. Jokubeit (1980 : 90), il dénombre jusqu’à quatre fonctions principales des recensions : informer, évaluer, activer202 et débattre. La nature et le nombre de ces fonctions principales ne

200 „Zentral ist die Beschreibung von sprachlichen Handlungsmustern als konstitutive Bestandteile, von denen

immer nur eine Teilmenge realisiert werden muss“ (Stegert 1997 : 90).

201 Pour des raisons de clarté, l’ensemble de ces notions est regroupé, ici, sous l’expression d’acte textuel. 202 La fonction d’activation – qui distingue les fonctions mentionnées par W. Jokubeit des autres théories – se

font donc pas nécessairement consensus. Ce constat s’explique sans doute par le caractère de modèle que revêt la fonction et qui a été défini comme étant la possibilité pour les représentants d’un même genre textuel de présenter des caractéristiques pouvant faire l’objet de variations. C’est pourquoi, ce qui est particulièrement pertinent, ici, n’est pas de lister les différentes fonctions envisageables, mais d’analyser le rapport hiérarchique qui s’établit entre elles. Parmi les différentes combinaisons proposées, il semble que deux modèles se distinguent : un modèle additionnel et un modèle substitutionnel.

R = AT

informer

+ AT

évaluer

Le modèle qualifié d’additionnel est celui qui envisage comme constitutive pour la recension la présence d’au moins deux actes textuels. C’est le cas de W. Zillig qui, à partir d’un corpus d’une cinquantaine de recensions scientifiques, identifie les actes textuels d’informer et d’évaluer comme constitutifs du genre. L’acte textuel qui consiste à informer dans les recensions se décompose, d’après ses observations, en trois types d’informations. Il y a tout d’abord des informations sur le contenu (le public concerné par l’ouvrage, les objectifs poursuivis par l’auteur, des comptes-rendus sur des notions, des contenus), mais également des informations sur l’arrière-plan (la nature de l’ouvrage, des ouvrages portant sur le même domaine, l’accueil réservé jusqu’alors à l’ouvrage) et enfin des informations dites techniques (des données sur l’impression, le format, le nombre de pages, le prix). Quant aux actes textuels qui évaluent l’ouvrage, ils se décomposent à leur tour en trois catégories. L’évaluation peut porter sur l’apport de l’ouvrage dans un domaine scientifique donné (place dans la recherche, apport de connaissances, approches innovantes). L’évaluation concerne par ailleurs la forme de l’ouvrage (intérêt suscité, remarques sur la lisibilité, la clarté, le style ou la typographie). Dans un troisième et dernier temps, la recension peut évaluer les vertus scientifiques de l’ouvrage (son objectivité, la rigueur de l’argumentation). En faisant dériver des sous-ensembles thématiques à partir de ces deux grands actes textuels, W. Zillig crée un lien entre une échelle intermédiaire (informer, évaluer) et une échelle phrastique (formes d’expression de l’information et de l’évaluation). Quant à la réserve émise à propos de la simplicité de l’acte de langage par rapport à l’acte textuel – qui ne peut pas, de ce fait, être considéré comme son strict équivalent – W. Zillig la contourne en ajoutant à ces deux actes textuels qu’il qualifie de simples, des actes textuels complexes. Il s’agit en réalité d’actes textuels combinant plusieurs actes textuels simples. Dans le cas de la recension, il en

l’inciter à lire le texte source et, d’autre part, elles doivent convaincre ce même lecteur de la rigueur du raisonnement proposé par le recenseur.

dénombre deux : l’association de plusieurs jugements (par addition ou par contraste) et la justification du jugement (corrigeant une information ou une argumentation).

L’ensemble de ces éléments est représenté dans la figure ci-après. Les catégories mentionnées concernent les recensions scientifiques puisque c’est à partir d’un corpus de ce type de texte que la figure a été élaborée. Cependant, W. Zillig, n’exclut pas l’idée de transposer cette méthode à d’autres types de recensions203. Les variations pouvant exister entre recension scientifique et recension journalistique – mais également les variations diachroniques et mêmes celles existant d’un recenseur à l’autre204 – peuvent s’expliquer par une combinaison différente d’actes textuels. Ce n’est, de surcroît, pas la seule présence de ces actes textuels qui est constitutive de tel ou tel type de recension, mais également leur fréquence. Une étude à la fois qualitative et quantitative faite sur la base de divers corpus permettrait d’identifier les combinaisons constitutives de tel ou tel genre. Dans tous les cas, cette méthode permet de mettre au jour des actes textuels dont la hiérarchie repose sur une addition d’actes textuels simples et complexes.

203 „Hier ist dann auch offen, welche Textklasse für benachbarte Textsorten, wie etwa für Besprechungen

belletristischer Bücher, zentral sind. Von einigem Interesse wäre es sicherlich auch, der Frage nachzugehen, ob es zu unterschiedlichen Zeiten eigene ‚Rezensionsstile’ gegeben hat und ob diese Rezensionsstile eigene, heute nicht mehr gebräuchliche Textakte gekannt haben“ (Zillig 1982 : 207).

204 „Und da nicht zu erwarten ist, dass sich Rezensionen nur dann unterscheiden, wenn sie zu jeweils

unterschiedlichen Zeiten entstanden sind, bleibt auch zu untersuchen, wodurch sich die Rezensionsstile einzelner Rezensenten oder die Stile der die Rezensionen veröffentlichenden Periodika auszeichnen“ (Zillig 1982 : 207).

Figure 7 : Hiérarchie des actes textuels simples et complexes pour W. Zillig (1982 : 206)

R = AT1 (AT11+AT12+…) + AT2 (AT21+AT22+…)

Le second modèle, qualifié de substitutionnel, part du principe que les actes textuels que l’on peut rencontrer dans une recension sont rarement tous réalisés dans un même exemplaire du type. On peut alors recenser les actes textuels les plus fréquents dans les recensions et classer dans la catégorie recension tous les textes combinant au moins deux de ces actes. L’exemple le plus abouti de ce type de démarche est celui de G. Stegert (1997), qui, à partir d’un corpus de recensions journalistiques portant sur des films, définit une liste de modèles d’action langagiers (sprachliche Handlungsmuster). Il pose cependant deux conditions sine qua non pour pouvoir classer des textes dans la catégorie des recensions. Il impose ainsi tout d’abord une restriction situative : si deux amis discutent dans la rue du dernier livre que l’un des deux a lu, il ne s’agit pas pour autant d’une recension, même si cette discussion prend la forme d’un monologue tenu dans une langue correcte, proche de la langue écrite, qui informe sur le livre et évalue sa qualité (Stegert 1997 : 94). La seconde restriction est d’ordre thématique : on ne peut pas faire la recension de n’importe quoi. Une recension porte sur un événement de la vie culturelle ou scientifique. On ne peut pas écrire de recension sur un événement sportif, économique ou politique (Stegert 1997 : 94). Une fois ces deux conditions remplies, la recension se définit par des composantes constitutives, dont seules quelques-unes doivent être nécessairement présentes205. De façon plus précise, G. Stegert affirme qu’on ne peut parler de recension que lorsque les conditions sine qua non sont remplies, et lorsqu’au moins deux actes textuels complexes sont réalisés. Aussi emploie-t-il la formule suivante pour définir la recension :

REZ indem H1 (indem H11 und H12) und H2 (indem H21 und H22)206

REZ désigne la recension, et H un modèle d’action langagier, appelé ici acte textuel. Chaque acte textuel complexe est composé d’au moins deux actes textuels simples (H11 et H12). Cette formule peut être, ici, légèrement adaptée pour faire écho au modèle additionnel sous la forme suivante :

R = AT1 (AT11+AT12+…) + AT2 (AT21+AT22+…)

R désigne la recension et AT les actes textuels simples et complexes. Mais contrairement au modèle additionnel, les actes textuels, faisant partie d’une liste close, peuvent se substituer les uns aux autres. G. Stegert dénombre douze actes textuels complexes constitutifs de la recension et dont la définition est reportée dans le tableau suivant.

205 „Zentral ist die Beschreibung von sprachlichen Handlungsmustern als konstitutive Bestandteile, von denen

immer nur eine Teilmenge realisiert werden muss“ (Stegert 1997 : 90).

Tableau 14 : Actes textuels constitutifs de la recension chez G. Stegert (1997 : 96-99)

Handlungsmuster Definition und Beispiel

das Berichten

• als komplexe Form des Mitteilens, dass sich etwas so und so verhält, im Unterschied zum einfachen Melden, Angeben oder Nennen. Das Wie bleibt dem Beschreiben und Schildern vorbehalten, auch fehlt die Dramaturgie des Erzählens. Rezensionstypische Spezifizierungen des Berichtens sind: das Vorstellen einer

Person, das Skizzieren einer Exposition, und das Zusammenfassen des Inhalts.

das Beschreiben

• als Mitteilen, wie sich etwas verhält. Man kann bei einem Film etwa beschreiben, wie die Kamera sich bewegt, wie ein Schauspieler aussieht, wie der Protagonist agiert, wie die Töne klingen und vieles mehr. Mit dem Beschreiben lässt sich ein Kulturereignis sinnlich vermitteln. Typisch ist die Verwendung von

anschaulichen Adjektiven. das Schildern

• als szenisches Darstellen, das leicht mit dem Berichten, Beschreiben und Erzählen verwechselt wird. Dem abstrakten Berichten hat es die anschauliche Verortung in Raum und Zeit voraus; zum Beschreiben fehlt die Detailgenauigkeit, zum Erzählen die Dramaturgie.

das Erzählen

• das mehr ist als das Berichten einer Abfolge von Ereignissen; oft wird fälschlich vom Nacherzählen gesprochen, wo nur das Zusammenfassen der Handlung eines Romans oder Films gemeint ist.

das Erläutern

• von unklaren Ausdrücken, Titeln, Sachverhalten, Zusammenhängen etc. Das Erläutern zielt auf ein besseres Verständnis (z.B. der

Filmhandlung durch den Satz „Laut Gesetz darf eine Jungfrau nicht hingerichtet werden“);

das Erklären

• einzelner Aspekte eines Kunstwerks im Gegensatz zum bloßen schlagwortartigen Nennen der jeweiligen Fachausdrücke. Man kann das Wie erklären, indem man Einzelheiten berichtet, Abläufe beschreibt oder ein Beispiel erzählt („Greenaways

Illusionismus kippt schockhaft ins Reale, nicht indem er die Illusion überschreitet, sondern indem er sie ins Extrem treibt.“);

das Vergleichen • mit anderen Kunstwerken (der Zeit, des Landes, der Person).

das Einordnen

• in unterschiedlichste Zusammenhänge, beispielsweise in das Werk des Künstlers, in die Tradition des Genres, die Behandlung des Themas oder der Vorlage, in politische oder wirtschaftliche Zusammenhänge, in Modeströmungen und Trends.

das Deuten

• als Interpretieren, Auslegen, Herstellen eines Zusammenhangs zwischen einem beobachteten Sachverhalt und dessen Sinn, zwischen einem Einzelfall und einem Deutungsmuster oder zwischen einem ersten und einem zweiten Verständnis.

das Analysieren • im Sinne von: den Dingen auf den Grund gehen, sie durchschaubar und bewusst machen, Aspekte unterscheiden und ihren

erzählerischer Mittel ergründen, die Struktur eines Kunstwerks aufzeigen, die Quintessenz herausdestillieren, Motive entziffern oder die Psychologie von Figuren beschreiben

das Argumentieren • das sich zusammensetzt aus einfachen Handlungen des Behauptens,

Bestreitens, Begründens, Folgerns und/oder Belegens.

komplexe Formen des Bewertens

• im Unterschied zu einfachen Handlungen wie Loben und Tadeln/Kritisieren, Bemängeln, Empfehlen und Abraten, Begrüßen und Bedauern. Dazu gehören vor allem das Messen an etwas (einer Vorlage, den Erwartungen des Rezensenten oder der Zuschauer, den Absichten des Künstlers, anderen Kunstwerken, bestimmten ästhetischen oder politischen Idealen etc.) und das Abwägen oder Erörtern (H1). Es besteht stets aus zwei sprachlichen Handlungen: dem Bewerten (H11) und dem Einräumen der gegenteiligen Meinung (H12).

L’inventaire de ces actes textuels constitutifs pose un problème d’identification. De son propre aveu, G. Stegert (1997 : 97) reconnaît que l’on peut aisément confondre les actes de dépeindre (das Schildern), rendre-compte (das Berichten), décrire (das Beschreiben) et raconter (das Erzählen). En outre, l’acte de dépeindre ne peut se définir que ex negativo comme un compte-rendu moins abstrait qui mettrait l’accent sur l’ancrage spatio-temporel, comme une description sans la précision du détail et comme une narration sans la dramaturgie. Il apparaît de ce fait problématique de décrire des actes textuels constitutifs par ce qu’ils ne sont pas. En revanche, dans le cadre de ce modèle substitutionnel, il est intéressant de noter que les actes textuels mentionnés peuvent apparaître dans d’autres genres textuels207. C’est la combinaison d’au moins deux de ces actes, associée à une restriction situative et une restriction thématique, qui est constitutive de la recension. On trouve chez d’autres auteurs l’idée d’une combinaison de composantes constitutives de la recension. Ainsi, pour R. Gläser, dont les travaux sont consacrés aux recensions scientifiques en anglais, les composantes textuelles de la recension se déclinent en différentes combinaisons d’actes textuels plus ou moins récurrents :

Zwischen den inhaltlich und funktional unterscheidbaren Teiltexten der Rezension und den Kommunikationsverfahren besteht ein Wechselverhältnis, wobei das Argumentieren und Erörtern bei der Bewertung des Erkenntniszuwachses der Veröffentlichung, verbunden mit einer Bewertung der logischen Gedankenführung und des sprachlichen Ausdrucks, einen wichtigen Stellenwert haben (Gläser 1990 : 113).

207 „Typisch für die Rezension ist, dass all diese funktionalen Bestandteile als einzelne auch in anderen

Parmi les différentes possibilités d’interaction entre les différentes composantes textuelles, elle signale que la plus significative, dans le cas de la recension, est, d’une part, l’argumentation et la discussion lors de l’évaluation de l’apport de connaissance, associées d’autre part, à l’évaluation de la rigueur du raisonnement et à la qualité de l’expression. Cette combinaison est spécifique à la recension scientifique dans la mesure où une œuvre littéraire ne peut être envisagée comme un apport de connaissance à un domaine donné. La démarche de R. Gläser (1990) rejoint donc en partie celle de G. Stegert (1997), mais cette dernière est plus complète, puisqu’elle ne se limite pas à la combinaison la plus fréquente. En faisant l’inventaire des différents actes textuels envisageables et de leurs combinaisons possibles, G. Stegert aboutit à une définition retravaillée de la recension :

„Rezension“ heißt der Beitrag in einem öffentlichen Medium, mit dem ein Journalist für möglichst viele Leser ein rezipiertes Kulturereignis unter anderem beschreibt, erklärt, einordnet, deutet und/oder bewertet. Denn dies sind konstitutive Handlungen des Rezensierens. Auswahl und Anordnung sind weder regelhaft noch prototypisch. Nicht konstitutiv, aber charakteristisch für die Rezension ist, dass sie offen ist für vielfältige sprachliche Handlungen (fakultative Bausteine), auch für solche, die in anderen journalistischen Textsorten unüblich oder sogar ausgeschlossen sind, etwa das Empfehlen oder Abraten (Stegert 1997 : 103, nous soulignons).

Plusieurs remarques s’imposent. Tout d’abord, G. Stegert évoque l’existence d’actes textuels non constitutifs (fakultative Bausteine) que l’on peut trouver dans les recensions. De même que les actes textuels constitutifs des recensions peuvent se retrouver de façon isolée dans d’autres genres, la composition des recensions est assez flexible pour accueillir d’autres actes textuels moins attendus. Par ailleurs, cette définition retravaillée de la recension permet certes de prendre en considération à la fois des paramètres externes au texte (situation de production, objet thématique du discours) et des paramètres internes au texte, qui se déclinent en termes de composantes fonctionnelles (décrire, expliquer, classer, interpréter et/ou évaluer). Toutefois, rien ne permet de distinguer les différents types de recensions. G. Stegert travaille sur un corpus de recensions relatives au cinéma, il n’est pas certain que les actes textuels retenus soient directement transposables à la recension scientifique. D’ailleurs, il précise que le choix et l’ordre de ces composantes ne répondent à aucune règle et ne sont pas prototypiques. Autrement dit, l’étude quantitative qui permettait dans le modèle de W. Zillig de mettre au jour des variations diachroniques, génériques ou auctoriales fait ici défaut. Telle est la limite de ce modèle.

II.1.2.2.

Application des actes textuels constitutifs