HAL Id: jpa-00236924
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Submitted on 1 Jan 1874
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The american journal of science and arts. (3e série, Tome V; 1873.) (suite.)
A. Angot
To cite this version:
A. Angot. The american journal of science and arts. (3e série, Tome V; 1873.) (suite.). J. Phys.
Theor. Appl., 1874, 3 (1), pp.134-136. �10.1051/jphystap:018740030013401�. �jpa-00236924�
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les hauteurs du Soleil au-dessus de l’horizon étant
Les
quantités
réelles de chaleur réiléchie étaient dans le mêmerapport
que les nombresL. BRION.
THE AMERICAN JOURNAL OF SCIENCE AND ARTS.
(3e SÉRIE, TOME V; I873.) (SUITE.)
OGDEN N. ROOD. - Observations sur la durée et le caractère multiple des éclairs, p. 163.
1B1.
Ogden
Rood a étudié la lumière des éclairs en lesregardant
àtravers une roue formée de secteurs alternativement
pleins
etvides,
et animée d’une vitesse connue. Il en a déduit ce fait que certains
éclairs,
dont la duréeparait
attendre uneseconde,
sont en réalitéformés d’un
grande
nombre d’étincellessuccessives,
dont la duréepeut varier,
même pour cellesqui
constituent un mêmeéclair, entre 1/20 et 1/1600
de seconde.W.-A. NORTON. - Sur les théories dynamiques de la chaleur, p. iSG.
En discutallt lcs diilérentes
hypothèses
que l’onpeut
faire sur la constitution des corps et le mode d’action de lachaleur,
l’auteurarrive Ù sc
figurer
les corps comme formés d’atomes entourés d’uneatmosphère
d’éther. Lachaleur,
la lumière et l’électricité seraient alors desphénomènes
de mouvementqui
sepasseraient
dans cesatmosphères d’éthcr,
sans cluc ce mouvelncnt s’étendit aux atomes eux-mêmes.MARVEY Wr. W’ILEY. - Sur un appareil automatique à filtrations, p. 350.
Cet
appareil
est formé de deux entonnoirssuperposés
avec flot-teur dans l’entonnoir
inférieur;
ce flotteur commande un courantdont
l’interruption
détermine, au moyen d’unélectro-aimant,
l’ouverture de l’entonnoir
supérieur
formant réservoir.L’apparcil
doit
parfaitement
fonctionner, comme le ditl’auteur,
mais mesemble
trop compliqué
pour entrer dans lapratique.
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018740030013401
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CHAS. S. HASTINGS. - Comparaison des spectres du bord et du centre d u Soleil, p. 36g.
31.
Hastings
est parvenu àjuxtaposer
les spectres donnes par le bord et par le centre du Soleil. Pourcela,
on coun re la moitié de la fente d’untéléspectroscope
par unprisme
à section delosange.
L’image
du centre du Soleil se forme sur lapartie
non couverte dela
fente,
et lapartie
rccouvcrtereçoit l’iiiiage
des bords. Cetteimage, après
deux réflexionstotales,
est renvoyée dans la lunetteparallèlement
au faisceau direct. On a donc ainsi les deuxspectres
juxtaposés,
cequi
facilite l’observation de leurs différences.Les seules diilérences que l’auteur ait pu constater certainement
entre ces deux
spectres
sont les suivantes : les raiesh,
etb2
sontplus
fines etplus
nettes au bordqu’au
centre. Il en est dcmême,
mais à un
degré moindre,
des raiesbs, C,
F et D. La raic du rouge(768, 1 , Kirchhoff)
est fortement111arquée
au centre, maisdispa-
rait
complètement
vers le bord. Deux raies au delà de F(1828,6
et1830,7, Kirchhoff)
sont, aucontraire, beaucoup plus marquées
au bord que vers le centre. Ellcs sont
également beaucoup plus
apparentes
dans lapénombre
des taches.Ces faibles différences semblent prouver comme le veut M.
Lockyer,
que lcs raies
d’absorption
ont leurorigine
dans laphotosphère,
c’est-à-dire au-dessous de la couche
qui
absorbe lcplus
lalumière,
etdont l’eflèt serait
marqué
auxbords,
si c’était ellequi produisait
les raies.
JOHN TROWBRIDGE. - Courants induits dans les circuits derives, p. 372.
L’auteur montre
qu’en général
les courants induits m se par-tagent
pas entre différentes dérivations suiBant les loisordinaires;
mais le désaccord entre
l’expérience
et la théorie est peumarqué, quand
la résistance extérieure augalvanomètre placé
en dérivationest
grande
parrapport
à celle de l’autregalvanomètre.
F.-Il. BIGELOW. - Méthode pour mesurer les courants induits, p. 374.
On dispose
unpont de
Wheatstone danslequel
une des résistancesest une bobine
induite; l’équilibre
ayant été établi est détruitquand on fait passer un
courant dans la bobine inductrice. ( )ll mesurealors la résistance
qu’il
fautajouter
pour ramein il’équilibre.
Onen déduit facilement l’intensité du courant induit.
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HODGES. - Méthode pour mesurer la résistance d’une pile, p. 3-5.
Cette méthode n’est
qu’une
modifications de celle de Mance(Phil us. JIag., 1871).
C.-A. YOUNG.- Sur la substitution des réseaux aux prismes dans les spectroscopes solaires, p. 1,2.
Les roseaux donnant un
spectre
danslequel
le rouge estplus
dilaté
qu’avec
lesprismes,
l’auteur pense que les réseauxofi’riraient,
pour l’étude des raies brillantes du
spectre,
un certain avantage sur lesprismes.
Il a lui-mêmeessayé
avec succès un réseau de Rutlier-furd,
sur le métal des niiroirs renfermant648o
traits par pouce(25mm,4).
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