HAL Id: jpa-00237114
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Submitted on 1 Jan 1875
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The american journal of science and arts. 3e série, t.
VIII ; 1874. (Fin)
Alfred Angot
To cite this version:
Alfred Angot. The american journal of science and arts. 3e série, t. VIII ; 1874. (Fin). J. Phys.
Theor. Appl., 1875, 4 (1), pp.348-351. �10.1051/jphystap:018750040034802�. �jpa-00237114�
348
jections
de 31.Duboscq,
donnerait-elle à cetappareilla
seulequalité qui
lui manque, unchamp comparable
à celui dumicroscope polarisant.
A. DUCLAUX.
M. SEKULIC. 2014 Ueber die an bestäubten und unreinen Spiegeln Sichtbare Interfe- renz-Erscheinung (Phénomènes d’interférence présentés par les miroirs recouverts de poussière) ; Annales de Poggendorff, t. CLIV, p. 308 ; 1875.
On
préparc
les miroirs en insufflant à leur surface unepoussière fine,
ou en les frottant avec un tampon de cotonlégèrement
im-prégné
de matières grasses.Le meilleur mode d’observation consiste à
employer
unappareil
de
Norremberg,
dont onremplace
laglace
noire par un miroir A ar-genté
en dessous etpercé
en son centre d’unc ouverture 0 de 3 milli-mètres de diamètre. La lumière fournie par un liéliostat est reçue par le miroir
A, rcnvoyéc
normalcmcnt sur le miroir inférieur B del’appareil, qui
est le miroirpréparé, puis renvoyée
à l’oeil de l’ob-servateur par l’ouverture O.
L’image
de la source lumineuse semontre alors entourée de
magnifiques franges
circulaires.L’auteur croit avoir démontré que la lumière émise par ces
franges
est
polarisée
circulairenicnt.E. BOUTY.
THE AMERICAN JOURNAL OF SCIENCE AND ARTS.
3e série, t. VIII ; 1874. (Fin) (1).
ARTnUR-iV. ’YRIGHT. - Sur le spectre de la lumière zodiacale, p. 39.
Après
une étudespectroscopique approfondie,
dont laprincipale
difficulté est dans le peu d’intensité de la lumière
zodiacale,
l’au-teur arrive aux conclusions suivantes :
i° Le spectre de la lumière zodiacale est continu et ne diuerc
(1) Voir la première Partie, p. 2.1 et 31~.
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018750040034802
349 pas sensiblement de celui de la lumière solaire faible ou du
crépus-
cule.
2° On ne peut y découvrir aucune raie
brillante,
celle que l’oncroyait
exister étant due à des aurores boréales.3°
II n’y
a aucune apparence de relation entre la lumière zodia- cale ct les aurores boréales.Ce second Mémoire confirme le
premier,
dont laconclusion,
déduitc de l’étude de la
polarisation
de la lumièrezodiacale,
étaitque cette lumière vient du Soleil et est réfléchie vers nous par des corps solides.
OGDE~-N. !’.OOD. - Méthode optique pour étudier les vibrations des corps solides, p. m6.
Le
procédé
est, àtrès-peu
de choseprès,
celui de M.Lissajous
etun peu moins exact; il est d’une
disposition
facile et peut rendre des services. Il consiste à attacher aux corps vibrants deuxpetits
filsd’acier,
d’un aussi faible diamètre quepossible,
et à lesdisposer
assez
près
l’un de l’autre et àangles
droits. En lesregardant
avecune lunette sur un fond
brillant,
ils donnent lieu à desfigures diverses,
d’où l’on peut déduire l’intervalle musicalqui sépare
lesdeux corps. Le
procédé s’applique également
bien auxdiapasons,
aux
cordes,
aux verges etplaque
ct auxmcmbranes,
ct permet decomparer un corps
quelconque
avec undiapason.
C.-A. MORE~ . - Sur le phonautographe, p. i 30.
Le
phonautographe
est un instrument peu commode en cequ’il
donne des tracés
généralement
troppetits
et surtout parce que les vibrations dustyle
sontlongitudinales.
M. C.Morey
élimine cesdeux
défauts,
enappliquant
sur la membranc duplionautographe
unc soie de porc
qui agit
sur lepetit
bras d’un leviertrès-léger,
debois ou de
paille roide,
dont lagrande
branche porte lestyle.
De lasorte les vibrations sont autant
amplifiées qu’on
ledésire,
et se fontlatéralement,
cequi
en rendl’inscription
facile. Leplionautographe
devient ainsi un instrument réellement
utile, qui
permet d’inscriresimplement
touteespèce
de mouvement vibratoire.350
FRLXR ~iTIGGLES~~TORTH CL_-~RI~E. - Sur la chaleur moléculaire des composés semblables, p. 31o.
L’auteur montre que la chaleur moléculaire des
composés
sem-blables
(produit
de la chaleurspécifique
parl’équivalent)
n’estpas un nombre constant, comme on le dit
communément,
maisque, dans une même
série,
elle augmente un peu avecl’équi-
valent.
Dans les chlorures
alcalins,
on a, parexemple,
ens’appu3Tamt
sur les nombres mêmes de
Regnault :
Le même
phénomène
a lieu danschaque famille,
mais n’est pasune contradiction de la loi de
Dulong
etPetit ;
car, pour tous ces corps, les clla~cursspécifiques
ne sont pasprises
à destempéra-
tures
correspondantes,
etqu’il
reste même à fixer ce que l’on doitentendre par ce dernier mot, tout difl’érent de
températures égales.
i~T. FERREL. - Relation entre le gradient harométrique et la vitesse du vent, p. 343.
Cette discussion
mathématique
de la relationqui
existe entre lavitesse du vent et la loi de décroissance des
pressions
baromé-triques
tout autour du centre ducyclone
est trop étendue pourpouvoir
êtreanalysée ici ;
mais c’est un travail intéressant aupoint
de vue
météorologique,
oÙ. l’on a àenregistrer
encore si peu dethéories reposant sur des données
mathématiques.
JouN BROKLESBY. - Relation entre les périodes de pluie aux États-Unis
et les taches du Soleil, p. 439.
La relation
supposée
entre ces deuxphénomènes
se vérifie àpeu
près
pour les années du minimum depluie, qui correspondent
en euet à des lninima de taches
solaires ;
maisil n’y
aplus
deconcordance réelle pour les années de
maximum,
et l’on a àsignaler
encore d’autres anonialies
marquantes.
ALFR£D4:.BI. MAAER. 2013 Recherches d’Acoustique, p. 81, 17°, 24 (, 362.
ALFREI)-~I. :BIA 1ER. - Nouvelle méthode pour déterminer la nature complexe
de l’étincelle électrique, p. J36.
-
Ces deux Mémoires ont été
analysés
dans leJournal,
t.1~ ,
pages r 5 5 et
i 84.
ALFRED ANGOT.
BULLETIN
BIBLIOGRAPHIQUE.
~
Annales de Chimie et de Physique.
56 série. - Tome VI. - Septelllbre 18]5.
G. RAYET. - Les cc~lrans solaires coniques, p. 52.
P.-0.-E. LESUEUR. - De l’entploi dit zinc contote lésinerccstcitt à l’intérieur des cl/audfères à vapeur, p. 136.
5e série. - Tonie VI. - Octobre iS-,5.
_
M. BERTIIELOT. - Sccr les oxydes de l’azote, p. 1 ~5.
~I. BERTIIELOT. - Sur 1«
fornZtrtiort tlternlÎquc
(lit bioxyde ~lebcnyyuna
et ~lf~l’eau ox3bénéc, p. 2og.
DE COPPET. - Théorie de la
srcyf’ccsiort
et de la sursaturation, d’après les principes cle la théorie lnécallique ~le la chaleur, p. 275.Philosophical Magazine.
’te série. - Tome L. - Octobre 1875.
HENRY-À. ROBYL.B.~D. - Élude sur la distribution (lit ma~nétisnte, p. 257.
GEORGES-B. AIRY. - Sccr un point controversé de la théorie des ma~ées tle
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