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ALFRED-M. MAYER. — On a new method of investigating the composite nature of the electric discharge (Nouvelle méthode pour étudier la nature composée de l'étincelle électrique) ; American Journal of Science and Arts, vol. VIII; décembre 1874

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00237039

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237039

Submitted on 1 Jan 1875

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ALFRED-M. MAYER. - On a new method of investigating the composite nature of the electric discharge (Nouvelle méthode pour étudier la nature composée de l’étincelle électrique) ; American Journal of

Science and Arts, vol. VIII; décembre 1874

Alfred Angot

To cite this version:

Alfred Angot. ALFRED-M. MAYER. - On a new method of investigating the composite nature of

the electric discharge (Nouvelle méthode pour étudier la nature composée de l’étincelle électrique) ;

American Journal of Science and Arts, vol. VIII; décembre 1874. J. Phys. Theor. Appl., 1875, 4 (1),

pp.155-157. �10.1051/jphystap:018750040015501�. �jpa-00237039�

(2)

155

Donc l’aimant

qui peut représenter

le

minerai,

ou le centre de la

masse du

minerai,

se trouve au-dessous du sol à une

profondeur

double de la distance entre la méridienne

magnétique

du lieu

la déviation est moindre et la verticale de

plus grande

richesse.

Ces résultats ont été vérifiés par des études

faites,

conformément à la méthode

indiquée,

sur des mines

déjà explorées ;

la concordance

a été

remarquable.

De nouvelles études amèneront sans doute à les

compléter,

et surtout à

remplacer

par

quelque

notion

plus précise

cette distinction un peu vague de minerais

rapprochés

ou

éloignés

de la surface du

sol; mais,

tels

qu’ils

sont, ils

peuvent déjà

être

d’une

grande

utilité aux

explorateurs suédois,

et nous semblent

présenter

au

point

de vue

théorique

un sérieux intérêt.

MARCEL

BERTRAND,

Ingénieur des Mines.

ALFRED-M. MAYER. 2014 On a new method of investigating the composite nature of the

electric discharge (Nouvelle méthode pour étudier la nature composée de l’étincelle

électrique) ; American Journal of Science and Arts, vol. VIII; décembre 1874.

On

prend

une feuille de

papier

mince

d’imprimerie,

que l’om

recouvre de noir de fumée par les

procédés ordinaires,

et que l’on

découpe

en

disques

d’environ i 5 centimètres de diamètre.

Quand

on fait tourner un de ces

disques

autour de son centre à raison

d’environ

vingt

tours par

seconde,

l’action

centrifuge

suffit pour le rendre

parfaitement plan.

On

peut

alors l’insérer entre les deux

pointes

ou les deux boules entre

lesquelles part l’étincelle,

même

quand

leur distance ne

dépasse pas 4

de millimètre.

Dans cette

position, quand

l’étincelle passe, elle perce le

papier

et y laisse une trace

permanente

de son

caractère,

de la durée totale de la

décharge

et de l’intervalle

qui sépare

les

décharges partielles

et les étincelles constituantes. Pour avoir la durée de rotation du

disque,

il suffit d’en

approcher

un

diapason

armé d’une

pointe,

et

dont on connaisse exactement le nombre de vibrations. On fixe la

figure

en faisant flotter un instan t le

papier

sur du vernis.

Quand

il

est sec, on le centre sur un cercle divisé et, en

pointant

sur les trous

des étincelles avec un

microscope,

on

peut

déterminer

à ~ o ~ 0 4

de

seconde

près

l’intervalle de

temps qui

les

sépare.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018750040015501

(3)

156

M. Maver

se propose d étudier de la sorte l’étincelle de la bobine de

Rul1mkorff,

de la machine à frottement et de la machine de

Holtz,

avec ou sans

condensateur, quand

le courant

produit

ou non

du travail. Dans son

premier Mémoire,

il ne cite que trois cas,

comme

exemple

de la valeur de la méthode.

~ °

Décharge

d’une

grande

bobine de Ruhmkor1F entre deux

pointes

de

platine

distantes de i

millimètre ;

pas de condensateur dans le circuit.

Dans ce cas, l’étincelle perce le

papier

sans

agir

sur le noir de

fumée,

de sorte

qu’on

ne voit bien les trous que par

transparence.

La

décharge

se compose de deux

parties

bien tranchées. Une pre-

mière,

durant env iron

2B

de

seconde, comprend

trente-trois

petits

trous ronds dont l’intervalle décroit

progressivement

du

premier

au

dernier,

de

façon

a se réduire de la moitié de sa valeur

primitive.

Après

cette

première décliarge

en vient une autre, formant un

grand

nombre de trous

très-rapprochés, qui

dessinent sur le

papier

une

ligne pointée.

Cette seconde

décharge

ne dure que

Th-

de

seconde,

et I1L

comprend

pas moins de trente trous dont la distance moyenne

est de

§ de seconde,

tandis que l’intervalle moyen des

premiers

était

de

seulement,. Dans la deuxième

décharge,

les étincelles ne sont pas non

plus équidistants,

mais sont

plus rapprochées

au

milieu

qu’aux

deux extrémités.

2° Mêmes circonstances que

précédemment,

mais on fait commu-

niquer

les deux

pointes

avec les armatures d’une bouteille de

Leyde,

de

2,~2

centimètres carrés d’armaturc interne.

La

décharge

totale se compose de

quatre-vingt-onze décharges partielles,

entourées chacune d’un

petit

cercle dont le noir de fumée

a été chassé. Chacune de ces

décharges partielles comprend

un,

deux,

trois ou

quatre petits

trous. La durée totale de la

décharge

est

dc: 2’-s

de seconde. Au commencement l’intervalle moyen des dé-

charges partielles

est de

-~-

de

seconde, jusqu’à

la dixième

environ;

puis

l’intervalle se réduit

rapidelnent jusqu’aux ±

de la

décharge totale,

où il n’est

plus

que de

fa: 0

de seconde. Enfin dans le dernier

cinquième,

l’intervalle augmente de nouveau, les deux dernières

décharges partielles

étant à une distance de

~-j~-

de seconde.

3° Mêmes conditions que dans la deuxième

expérience,

en rem-

plaçant

les

pointes

par deux boules de laiton de i centimètre de

diamètre,

à une distance de i millimètre.

(4)

157 La

décharge

totale dure

encore-!-

de seconde et

présente

les mêmes

caractères que la

précédente;

mais les cercles de charbon chassés

autour des

décharges partielles

sont

plus grands : il n’y

a

plus

que soixante-onze de ces

décharges,

et chacune d’elles est moins com-

posée ;

tandis que dans

l’expérience précédente

il y avait en moyenne

i , ~3

étincelle par

décharge partielle,

il

n’y en

a

plus

maintenant

que

i , 3! .

Je dois

ajouter

que

j’ai

vu moi-même les feuilles de M.

Mayer;

elles ont une

très-grande netteté,

et les résultats

d’expériences

faites

dans les mêmes conditions ont une constance réellement remar-

quable,

surtout pour un

phénomène

aussi

complexe. L’appareil

est

très-simple

à

disposer,

et c’est certainement une des

expériences

les

plus élégantes

que l’on

puisse

faire dans un cours pour montrer la nature

composée

de l’étincelle.

ALFRED ANGOT.

IL NUOVO CIMENTO.

TOMES XI ET XII; 1874 (FIN).

E. VILLARI. - Recherches sur les courants interrompus et intervertis, étudiés

dans leurs effets thermiques et électrodynamiques, p. 63-~og.

Lorsqu’un

courant commence à circuler dans un

fil,

il se

produit,

avant que les lois de Ohm ne soient

applicables,

un état

variable, pendant lequel

la résistancc du fil n’est pas nécessairement la même que

lorsque

l’état normal est

atteint,

et en

fait,

l’auteur a

découvert que, toutes choses

égales d’ailleurs,

un fil de fer s’échauf- fait

plus

sous l’influence d’un courant

interrolnpuque

par un courant constant, et

plus

encore si l’on intervertissait à

chaque interruption

le sens du courant. Il étudie

aujourd’hui

de

plus près

ce

phénomène,

et mesure cette résistance

auglnentee

du fer en

posant

en dérivation

un fil de cuivre par

lequel

passe un courant dérivé d’autant

plus

intense que la résistance au fil de fer est

plus grande.

Il est évident

qu’il

n’obtient pas ainsi la résistance

pendant

l’état variable du

commencement,

lequel

a une durée extrêmement courte, et que les

mesures

qu’il peut

faire n’ont aucune valeur absolue et ne peu-

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