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E.-H. HALL. — On a new action of the magnet on electric currents (Nouvelle action de l'aimant sur les courants électriques); American Journal of Mathematics , vol. II; 1879

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00237662

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237662

Submitted on 1 Jan 1880

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E.-H. HALL. - On a new action of the magnet on electric currents (Nouvelle action de l’aimant sur les courants électriques); American Journal of Mathematics

, vol. II; 1879

G. Lippmann

To cite this version:

G. Lippmann. E.-H. HALL. - On a new action of the magnet on electric currents (Nouvelle action de l’aimant sur les courants électriques); American Journal of Mathematics , vol. II; 1879. J. Phys.

Theor. Appl., 1880, 9 (1), pp.289-290. �10.1051/jphystap:018800090028901�. �jpa-00237662�

(2)

289

de

façon

que leur

amplitude

commune aa’ soit

comprise entre

les

lignes

extrêmes

(ce qui

s’obtient en faisant

glisser

la

figure

sous la

projection),

on

jugera

de la différence de

phase approximative

des

deux mouvements par la

position

des deux raies par

rapport

aux

lignes

du faisceau.

E.-H. HALL. 2014 On a new action of the magnet on electric currents (Nouvelle ac-

tion de l’aimant sur les courants électriques); American Journal of Mathematics, vol. II; I879.

Le courant d’un élément Bunsen traverse dans le sens de sa lon- gueur une feuille d’or collée sur verre et fixée entre les

pôles

d’un

électro-aimant. Les extrémités du fil d’un

galvanomètre

à gros fil de Thomson sont fixées en deux

points isopotentiels

de la feuille

d’or,

c’est-à-dire en deux

points

tels que le

galvanomètre

ne dévie

pas. Vient-on maintenant à exciter

l’électro-aimant,

le

galvanomètre

dévie. Le courant accusé par le

galvanomètre

est très faible par

rapport

au courant fourni par l’élément

Bunsen;

il lui est propor-

tionnel ;

il est

proportionnel

aussi à l’intensité du

champ magné-

tique

fourni par

l’électro-aimant;

il

change

de sens en même

temps

que

l’aimantation ;

enfin il est

permanent,

et, par

conséquent,

il

n’est pas dû à l’induction. Si l’on substitue à la feuille d’or une

feuille de cuivre

plus épaisse ( de *

de millimètre

d’épaisseur),

on

n’observe aucune déviation du

galvanomètre.

M. Hall admet que l’électro-aimant

agit

sur le courant

qui

tra-

verse la feuille d’or de

façon

à le pousser du côté de l’un des bords

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018800090028901

(3)

290

de cette feuille et à en faire passer une

petite

fraction à travers

le circuit du

galvanomètre.

Ainsi que l’auteur lui-même le fait remarquer, cette

interpréta-

tion est contraire à ce que les

physiciens

admettent sur ce

sujet (1) :

ils

admettent,

en

effet,

que l’aimant exerce seulement une action

mécanique

sur les conducteurs traversés par le courant, mais

qu’il

n’exerce aucune action

électromagnétique

sur le courant

lui-même,

c’est-à-dire aucune action

capable

de modifier la distribution du

courant dans le

système

conducteur

qui

en est le

siège,

et cette

opinion

est fondée sur ce fait

qu’une

masse

liquide

ou un

disque métallique

de révolution tourne, sous l’influence d’un

aimant,

comme le ferait un

simple fil;

la forme des conducteurs

permettrait

pourtant

au courant de se

déplacer

dans leur

intérieur,

sans les

entraîner, si le courant seul subissait l’action de l’aimant

(2).

G. LIPPMANN.

H.-A. ROWLAND. - Preliminary Notes on M. Hall’s recent discovery (Notes pré-

liminaires sur le phénomène récemment découvert par M. Hall); Phil. Magazine,

5e série, vol. IX, p. 432; I880.

On sait que,

d’après

M.

Hall,

le

magnétisme

a pour effet de

changer

d’une manière sensible la direction des courants

qui

se

distribuent dans l’intérieur d’une masse

métallique. Chaque branche

de courant est déviée dans le sens se

déplacerait

un conducteur

mobile parcouru

par le

courant.

D’autr e

part,

la théorie de Maxwell assimile la lumière à une

perturbation électrique qui

se

propagerait

de

proche

en

proche

à

travers le milieu

transparent;

dans cette

théorie,

le rayon lumineux est l’axe commun d’une série de

déplacements électriques qui

ont

lieu normalement à cet axe. M. Rowland

rapproche

de cette théorie

(1) MAXWELL, EleCt. ancl magnetism, vol. Il, p. 141.

(S) Le fait que nous venons de rappeler est peut-être difficile à concilier avec l’hy- pothèse du fluide électrique; au contraire, il n’a rien de surprenant si l’on se rap-

pelle que l’on n’est pas fondé, à la rigueur, à faire une distinction entre un conducteur et le courant de fluide qui le traverse. Un courant électrique, c’est, toute hypothèse

à part, un conducteur ou un système de corps qui est dans un certain état.

G. L.

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