HAL Id: jpa-00237455
https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237455
Submitted on 1 Jan 1878
HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.
L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.
ELISHA GRAY. - On some phenomena attending the transmission of vibratory currents of electricity (Sur quelques phénomènes produits par la transmission des courants périodiques); Journal of the american electrical
Society, vol. II, n° 3, p. 69
H. Horion
To cite this version:
H. Horion. ELISHA GRAY. - On some phenomena attending the transmission of vibratory currents of electricity (Sur quelques phénomènes produits par la transmission des courants périodiques); Journal of the american electrical Society, vol. II, n° 3, p. 69. J. Phys. Theor. Appl., 1878, 7 (1), pp.384-385.
�10.1051/jphystap:018780070038401�. �jpa-00237455�
384
L’ordre des groupes est
invariable,
mais dans un même groupe ilpeut
y avoir des inversions.Cet ordre n’est ni celui des densités
D,
ni celui despuissances
réfractives n2 - 1 ;
mais,
si l’onreprésente
l’indice nd’après
la for-mule de
Cauchy
on obtient pour les valeurs de a et de b les nombres suivants :
L’ordre dans
lequel
les valeurs de a e t de b sontrangées
s’ac-corde d’une manière assez satisfaisante avec la loi énoncée par
l’auteur. E. BOUTY.
ELISHA GRAY. 2014 On some phenomena attending the transmission of vibratory cur-
rents of electricity (Sur quelques phénomènes produits par la transmission des courants périodiques); Journal of the american electrical Society, vol. II, n° 3, p. 69.
Les courants
périodiques
nepeuvent produire
d’effet sensiblesur un électro-aimant que s’ils viennent se superposer à un cou-
rant constant : c’est ce que montrent les
expériences
suivantes(i).
(1) On peut se rendre compte de ce fait curieux d’après les recherches de M. Jamin et de M. Bouty, sur les aimantations et désaimantations successives. Un courant trop faible pour communiquer à lui seul une aimantation sensible à un barreau de fer
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018780070038401
385 Pour faire
parler
unappareil composé
d’une sirèneélectrique
etd’un
électro-aimant,
onemploie
lesvingt-cinq premiers
élémentsd’une
pile
de cent éléments dont l’autre extrémitécommunique
avec le sol. L’extrémité du fil de l’électro-aimant est
également
àla terre et
l’appareil
fonctionne. Si l’on vient àsupprimer
lessoixante-quinze
élémentsqui paraissent
nejouer
aucunrôle,
onn’entend
plus
rien. C’estqu’alors
l’électro-aimant n’estplus
tra-versé par le courant constant de ces
soixante-quinze éléments,
et lescourants
périodiques
n’ontplus
d’action. Demême,
si l’on rem-place
les aimantspermanents
destéléphones
par des électro-ai- mants, onpeut
rendre actif l’électro-aimant de la station dedépart
sans aimanter le fer doux au
poste
d’arrivée. Dans cesconditions,
on n’entend
rien,
bien que les courants induits circulent autourdu noyau du second
téléphone.
Laperception
des sons devient aucontraire très-nette si l’on aimante le barreau au
poste
d’arrivée.Les électro-aimants semblent donc arrêter les courants
pério- diques
ou, tout aumoins,
diminuer leurintensité ;
dèslors,
l’ad-jonction
d’une sonnerie sur le fil d’untéléphone
nuit à la marchede l’instrument. On
peut cependant corriger
cet effet enplaçant
un condensateur sur le fil
qui
se rend à la sonnerie.H. HORION.
H.-F. MORLEY. 2014 On Grove’s gas-battery (Sur la pile à gaz de Grove);
Philosophical
Magazine, 5e série, t. V, p. 272; I878.Grove
place
lesiége
de l’actionchimique
sur laligne
de contactdu
platine,
duliquide
et du gaz. Cette assertion semble en con-tradiction avec ce fait que l’on obtient un courant continu avec de l’eau tenant en dissolution de
l’hydrogène
dans un tube et del’oxygène
dans l’autre.L’auteur se propose de montrer
qu’une partie
au moins du cou-rant de la
pile
à gaz est due au gaz dissous. Ilopère
en établissantou d’acier non aimanté peut agir d’une manière beaucoup plus efficace pour modifier l’aimantation permanente de ce barreau (cas du téléphone) ou l’aimantation tempo- raire que lui communique un courant auxiliaire plus puissant (cas de l’expérience de M. Gray). ( Note de la Rédaction.)