HAL Id: jpa-00237339
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Submitted on 1 Jan 1877
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The American Journal of Science and Arts; 1876. (2e semestre)
A. Angot
To cite this version:
A. Angot. The American Journal of Science and Arts; 1876. (2e semestre). J. Phys. Theor. Appl.,
1877, 6 (1), pp.357-360. �10.1051/jphystap:018770060035701�. �jpa-00237339�
357
manu et
Renard ; pour la
force électromotrice induite par uncourant
fermé,
à la formule de Neun1ann.A. POTIER.
THE AMERICAN JOURNAL OF SCIENCE AND ARTS; 1876.
(2e SEMESTRE.)
A. -5. KIMBALL. 2013 Changements produits par la trempe dans les propriétés phy- siques de 1 acier, p. II0.
L’auteur donne
seulement
dans cepremier travail,
les résultats suivants : ·I° Le module d’élasticité varie en raison inverse de la dureté de l’acier. Plus la
trempe
estdure plus grande
est la flexion pro- duite par unpoids
donné.On ne
trouvait jusqu’à présent,
sur cepoint,
que des données contradictoires dans les différents traités de l’art des constructions.20 L’accroissement de flexion dans un
temps
donné est d’autantplus grand
que latrempe
estplus
dure.3° La flexion instantanée augmente avec la dureté de l’acier .
4° Après
une flexiontemporaire;
les barreaux d’acier revien-nent d’autant
plus
vite à leurpremière forme, qu’ils
sonttren1pés plus
durement.ANTHONY. 2013 Machine électro-magnétique construite au laboratoire de l’Université de Cornel1, p. 35i.
Cette machine n’est autre
qu’une
machine Gramme ordinaireconstruite au laboratoire de l’Université Cornell. Le noyau de fer doux de la bobine mobile est un anneau de
24c
de diamètre externe 2ÜC de diamètre interne et I5° delargeur,
formé par un faisceau de fils de fer très-doux de 8mmq desection,
recouverts individuelle-ment de gomme
laque,
pourempêcher
les courants d’induction dans le fer doux. Surle no) au
s’enroulent 100 bobines de fil de cuivre de 2mmq desection,
et de4m
delong ;
la résistance dechaque
moitié de la bobine totale est
d’environ 1 4
d’ohm.Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018770060035701
L’électro-aimant extérieur a pour noyaux deux
cylindres
de ferdoux
de 7c, 5
de diamètre et 60° del.onbueur,
terminés par desarmatures de fer doux de
I5c,
embrassant le tiers de la bobine niobile. Les bobines de l’électro-aimant ont 25c delongueur
et i 5cde
diamètre,
et sont formées de huit fils enroulés ensemble etqu’on peut
réunir en série ou en tension à volonté.Les fils étant en série
(résistance
iohm),
la machine adonné,
par
exemple,
la force électromotrice suivante :Avec une vitesse de
487 à
52.5 tours parminute,
la machine,donnait une lumière d’environ 1600
bougies.
C.-A. YOUNG. 2013 Déplacement des raies du spectre produit par la rotation du Soleil, p. 321.
La théorie
indique
que lalongueur
d’onde d’un rayon lumineux doitchanger
selon que lasource
sedéplace
dans un sens ou dansl’autre ,
parrapport
à l’observateur. MIB1.Huggins, Vogely
Chris-tie,
etc., étaientpartis
de cettepropriété
pour démontrer le mou- vement propre desétoiles,
et lesobjections
faites par le P. Sccchi avaient été levées par M. Christie. M. C.-A.Young
démontre au-jourd’hui
la rotation du Soleil par ledéplacement
deslignes
de sonspectre, déplacement très-petit puisque, d’après
M.ZÖllner,
il nedoit être que de
7B
de la distancequi sépare
les deux raies D. Il pro-duit,
au moyen d’un réseau deRutherrurdy
lespectre
des bords oriental et occidental duSoleil,
et niesure, aumicromètre,
danschaque
cas, la distance des deux raiesDi
etD2,
parexemple,
dans le
spectre
du sixième ou du huitième ordre.De la différence de distance de ces deux
lignes,
dans les douxcas, il est facile de déduire la différence de vitesse relative des deux bords du Soleil. La moyennes de toutes les
expériences
adonné une différence de
2y8/t
millesanglais,
cequi
donnei, 42
359
pour vitesse dechaque
bord du Soleil. L observation directe avait donnéI, 25 ;
la différence esttrès-faible,
etpeut
même être attri-buée en
grande partie,
non àl’expérience,
mais à une différencede vitesse entre
l’atmosphère
et la surface du Soleil.La même
expérience, répétée
sur la raieB,
donne un résultatabsolument
négatif,
cequi
est une nouvelle preuve del’origine tellurique
de cettelignes
_A.-M. MAYER. 2013 Recherches d’acoustique, p. 32g. ,
En attendant la
publication
d’un Mémoireplus étendu,
l’auteurdonne,
sous forme deNotes,
les résultats de ses dernièresexpé-
riences. Elles
portent
sur lespoints
suivants :i° La
perception
d’un son est annulée par un autre sonplus
intense et
plus
grave;2°
Quelque
intense que soit un son, il nepeut
annuler la per-ception
d’un sonplus
grave ;30 Les découvertes
précédentes
conduisent à modifier la dis-position adoptée généralement
pour conduire lesorchestres ; 40
Onpeut appliquer
les lois de l’interférence desperceptions
sonores à déterminer l’intensité relative des sons.
O.-N. ROOD. 2013 Expériences sur la nature de la force motrice du radio111ètrc de Crookes, p. !lo5.
° Si devant les ailettes noires du radiomètre on
place,
à5mm,
un
disque
de micaqui
les couvre entièrement et soit lié invariable-ment avec
elles,
lesystème
ne se metplus
en mouvement, car ledisque
de micaprotège
les ailettes contre la radiation desparois
du
récipient.
Le même
disque
de mica n’exerceplus
aucune action si on leplace
àl’extérieur,
entre le radiomètre et la source de chaleur.2° L’action exercée sur les ailettes d’aluminium noircies étant
représentée
par ioo, cellequi
s’exercerait sur une ailette de verren’est que
74,
8.3° La chaleur obscure émise par le corps de l’observateur suffit pour attirer le
radiomètre,
mêmequand
l’observateur se recule àrm et
que
le vase estplein
d’air à lapression atmosphérique.
4°
Toutes les foisqu’on empêche
lesparois
durécipient
des’échauffer,
le radiomètre dans l’air ordinaire secomporte
abso- lument comme le radiomètre dans le vide.ROBERT SPICE. 2013 Expériences sur la résonnance sympathique des diapasons, p. 4 1 1.
Si
l’énergie
de vibration d’undiapason
étai lproportionnelle
aunombre de
vibrations,
undiapason
ut4n’enverrait,
à la distance de4m,
que la lnoitié del’énergie envoyée
par undiapason
llt3 à 2m.Mais c’est exactement l’inverse
qui
sepr oduit :
undiapason
iii,fait vibrer par
sympathie,
àplus
de8’",
un autrediapason égal,
tandis que l’action cesse vers 2m pour ltl3.
Pour
expliquer
cephénomène,
M. RobertSpice
admet que l’influencesylpathique
d’undiapason
sur undiapason égal
croîtavec
l’amplitude
desoscillations ;
le nombre des vibrations n’auraitqu’une
faible influence devant celle del’amplitude.
Entre autres
expériences
citées par l’auteur pour démontrer saloi, je rapporterai
la suivante: on construit deuxdiapasons
don-le même son, Ut3’ mais
ayant
deslongueurs
très-différentes.A une distance de
7m,
lediapason long
met en vibration lepetit,
tandis que l’inverse n’a pas lieu.
A. ANGOT.
BULLETIN
BIBLIOGRAPHIQUE.
Annales de Chimie et de
Physique.
5e série. - Tome XII. 2013 Octobre 1877.
U-. LIPPMANN. - Relation entre les
projJriétés électriques
etcapillaires
d’unesurface
rle mercrcre en contact avecdifférents liquides, p.
265.ÂLLUARD. - Des vnriatioizs de la
pression atmosphérique à différentes
alti- tudes, conslatées à l’Observatoire daPuy-de-Dôme, pendant
lesbourrasqucs
del’hiver I877, p. 285.