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The American Journal of Science and Arts ; 1875. 5e série. — Tome IX, 1875. (Suite)

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00237174

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237174

Submitted on 1 Jan 1876

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The American Journal of Science and Arts ; 1875. 5e série. - Tome IX, 1875. (Suite)

Alfred Angot

To cite this version:

Alfred Angot. The American Journal of Science and Arts ; 1875. 5e série. - Tome IX, 1875. (Suite).

J. Phys. Theor. Appl., 1876, 5 (1), pp.197-199. �10.1051/jphystap:018760050019700�. �jpa-00237174�

(2)

I97

THE AMERICAN JOURNAL OF SCIENCE AND ARTS ; 1875.

5e série. 2014 Tome IX, I875. (Suite).

S. yY. BURNHAM. - Dédoublement de l’étoile principale 2 io97, p. 3o,-.

En examinant l’étoile BAC

247°,

Struve l’avait

déjà

trouvée

triple,

la distance des

composantes

étant de 20’’ et de -25’ à l’étoile

principale ;

en examinant cette

dernière,

M.

Burnham, à qui

l’on

doit un nombre considérable de découvertes de ce genre, vient de la dédoubler encore et de inontrer que les deux étoiles

qui

la

composent sont distantes de

o",7

seulement. Le

plus remarquable

de cette découverte est

qu’elle

a été faite avec un

objectif

de Clark

de

om,

I52 seulement de diamètre

(6

pouces

anglais).

Avec un gros- sissement de

400,

cet

objectif sépare

nettement les deux étoiles :

c’est là la preuve d’une

qualité

extraordinaire

qui

fait de cet

objectif

un des

plus parfaits qui existent,

et lui

permet

de riva-

liser, malgré

ses

petites dimensions,

avec les

grands

Instruments de nos observatoires.

Dans le même

journal,

page

457,

M- Burnliam donne les

posi-

tions des

composantes

de

HI 4I (Laiandc 32725) qui

sont distantes

de

I’’2,

et

qu’il

déclare n’être pas un

objet

difficile pour son

petit objectif.

CAREY-LEA.- Sur l’influence des substances colorées sur les substances sensibles à la

lumière, p. 355.

L’auteur

confirlne,

par de nouvelles

expériences,

les résultats

d’un

premier

travail

(voir

Journal de

Physique,

p.

254, 1875),

et montre par de nouveaux faits que la loi du D"

Vogel ne peut

être

soutenue.

H.-A. ROWLAND.2013 Manière de projeter les phénomènes de diamagnétisme, p. 357.

Il n’est pas nécessaire, pour montrer et étudier le

diainagné- tisme, d*employer

des

appareils très-puissants.

En

projetant

les

déviations,

on

peut

réduire

l’appareil

aux

plus petites

dimensions

tout en conservant assez de sensibilité pour

opérer

sur les corps les moins

diamagné tiques.

1B’1.

Royvland

montre ainsi dans ses cours

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018760050019700

(3)

198

toutes les

expériences

de

diamagnétisme

au moyen d’électro-aimants

qui

n’ont pas

plus

de

om, 15

de

long,

de sorte que

l’appareil

entier ne

pèse

pas

plus

de i ou 2

kilogrammes.

Il résulte des for-

mules de M. Thomson

que,

si l’on constitue deux électro-aimants

avec des barreaux semblables situés au centre de bobines

égale-

ment

semblables,

et dont la

longueur

de fil soit

proportionnelle

au

carré des dimensions

homologues,

le même courant passant dans

ces deux

sytèmes produira

des elfets

égaux

sur des

points

sembla-

blement

placés

par

rapport

aux électro-aimants. On peut donc, obtenir avec un

petit appareil

les mêmes enets

qu’avec

un

grand,

à condition de réduire toutes les dimensions dans le même

rapport.

J. TROWBRIDGE. 2013 Construction du galvanomètre de Gaugain, p. 383.

L’auteur calcule les erreurs que

peut

amener dans cet instru

ment une évaluation inexacte de la distance de

l’aiguille

à la

bobine et du rayon de cette dernière.

"V.-R. MORSE. - Courants induits produits par l’application de l’armature d’un ai- mant en fer à cheval, p. 386.

On

prend

un barreau de fer doux en forme de fer à

cheval ;

la

partie

centrale est entourée d’une bobine oû passe un courant

qui

aimante les deux branches du fer à

cheval ;

autour d’une de

celles-ci est une

petite

bobine dont le circuit contient un

galvano-

mètre. Le courant

produit

dans la

petite

bobine

quand

on ferme

le circuit de la bobine

magnétisante

est

plus

intense

lorsque

les

deux branches du fer à cheval sont réunies par une armature.

L’auteur étudie ensuite les courants

qui

se

produisent

dans la

.petite

bobine

quand,

au lieu

d’en1ployer

du fer

doux,

on se sert,

comme armature, d’un second électro-aimant en fer à cheval.

C.-J. BELL. - Distribution des décharges électriques de disques circulaires, p. 458.

M. Bell examine la

disposition

et la forme des

figures

de

Lichtenberg

que l’on obtient sur une

plaque

de verre recouverte

de

poudre

de

lycopode quand

cette

plaque

repose sur une lame

métallique

en communication avec l’un des

pôles

de la bobine de

(4)

I99

Rulu11korlf,

dont l’autre

pôle

est en relation avec des

disques

mé-

talliques

que l’on

approche

du verre à des distances variables.

OGDEN N. ROOD. 2013 Application du pendule horizontal à la mesure des petits chan- gements de dimension des corps solides, p. !jq4.

Le

pendule

horizontal se compose essentiellement d’une masse

pesante P,

retenue au moyen de deux fils

métalliques AB, CD,

de

façon

à

pouvoir

tourner autour d’un axe vertical

XY,

en étant

complétement

soustrait à l’action de la

pesanteur.

Dans ses arti- cles sur le

pendule

horizontal

(Poggendorff’s Annalen, 1873,

t.

CL,

p.

I3I),

Zôllner a montré

qu’un

instrument de cette sorte

pouvait

ètre rendu assez libre même pour obéir à la force attrac-

tive de la Lune.

Fig. I.

Si l’on incline

légèrement

l’axe XY du

pendule (fig. 1),

celui-ci

se mettra à tourner, et, au moyen d’un miroir NI fixé au

poids P, on

pourra

apprécier

le mouvement. Avec la forme

d’appareil

que pro- pose M.

0-deii Rood,

et

qu’il

serait trop

long

de décrire

ici,

la

sensibilité est telle

qu’elle

permet

d’apprécier

et de mesurer une

élévation de

On"m,UU0U02

dans une des trois vis calantes

qui

suppor-

tent l’axe XY. On pourra donc s’en servir pour

apprécier

les

plus petits changements

de dimension d’un corps

solide,

en

posant simplement

l’une des vis calantes sur ce corps. M.

OgdenRood

se

propose de la sorte d’étudier tout d’abord les

changements

de

dimensions

longitudinales,

et même

transversales,

que l’aimanta- tion

produit

dans un barreau de fer.

ALFRED ANGOT.

(A suivre.)

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