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The American Journal of Science and Arts

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00238150

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238150

Submitted on 1 Jan 1883

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The American Journal of Science and Arts

A. Angot

To cite this version:

A. Angot. The American Journal of Science and Arts. J. Phys. Theor. Appl., 1883, 2 (1), pp.47-51.

�10.1051/jphystap:01883002004702�. �jpa-00238150�

(2)

47 Les gaz

diatomiques peuvent

donc être divisés en deux groupes : dans le

premier

2013

est voisin de

o, 6;

dans le second

k

~ varie de

o, 44

à

o, 50.

C. DAGUENET.

HAUTREUX.2014 La route d’Australie par le thermomètre (Mémoires de la Sociéte des Sciences physiques et naturelles de Bordeaux, 2e série, t. V, p. I; 1882).

Les navires à voiles se rendant en Australie ont une route bien délimitée

jusqu’au

cap de

Bonne-Espérance.

Au

delà,

les données

météorologiques manquent.

Les navires doivent : éviter la ren- contre des

icebergs

bordant la

banquise

australe et les zones à

coups de vent

fréquents ;

2~ se

rapprocher

le

plus possible

de l’arc

de

grand

cercle

qui représente

le

plus

court

chemin,

arc

qu’ils

ne

peuvent

suivre. car il passe sur la

banquise.

A l’aide des données

expérimentales qu’il

a pu

recueillir,

l’auteur a

proposé

de mon-

trer que le thermomètre fournit à ce

sujet

d’u tiles indications. La

température

de la surface de la mer décroît des

tropiques

à la zone

glaciaire

d’nne

façon régulière, dépendant

d’ailleurs de la saison

et du méridien étudié. Or : ° on constate que les zones ou la décroissance est

rapide présentent

de

fréquentes bourrasques;

20 l’isotherme de

avertit du

voisinage

de la

banquise

et doit être

considéré comme

dangereux.

L’auteur tire des conclusions

pratiques

pour le

navigateur.

G. MARTIN.

THE AMERICAN JOURNAL OF SCIENCE AND ARTS.

Volume XXIII ; i" semestre, I 882.

C.-S. HASTINGS. - Achromatise des objectifs doubles, p. ~C;.

L’auteur, après

avoir établi une nouvelle théorie de l’achroma- tisme des

objectifs

de lunettes

composes

d’un flint et d’un crown,

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:01883002004702

(3)

pose les

règles suivantes, qu’il

a vérifiées

expérimentalemen t

sur

plu-

sieurs

objectifs.

On doit commencer par mesurer les indices de réfraction des deux verres par

r apport

aux rayons

qui

ont pour

longueurs

d’onde

~oo, 5, 56 1,4

et celle de la raie

C ; puis

on détermine les courbures de

l’objectif

par les conditions que le rayon

56 1 4

n’ait pas d’aber- ration de

sphéricité

et que les rayons

marginaux soo, 5

et C aient

même

foyer.

D’après l’auteur,

cette

règle simple

est suffisamment correcte, dans les

objectifs

d’ouverture moyenne, pour toutes les sortes de

verres

employées jusqu’à

ce

jour.

S.-’Y. HOLMAN. 2013 31éthode simple pour calibrer les iliermomètres, p. ~~8.

Les lnéthodes de

calibrage

des thermomètres sont

généralement

omises ou

indiquées trop

succinctement dans la

plupart

des Ou-

virages

élémentaires;

ces méthodes sont du reste, le

plus

souvent,

d’une

application

très

longue :

nous croyons donc bien faire en in-

diquant

le

procédé proposé

par 1VI. S.-~~T.

Holman;

il est

expéditif

eu d’une exactitude

plus

que satisfaisante.

Le tube à calibrer est

supposé gradué

en

parties d’égale

lon-

gueur, en millimètres par

exemple;

on fait alors

glisser

dans ce

tube un index de mercure

long

de

o-, o3 environ,

et l’on note les

longueurs sllccessives l, Z,, lz,

... ,

ln

de cet index

quand

son ex-

trémité

postérieure

est vis-à-vis des

dr~rlS3onS cc,

ec,, ... , an. On

trace alors une courbe avec a, c~, , ... , cc,z comme abscisses

et 1, 1,, ... , 1,1

cornme ordonnées. Sur cette courbe on mesure l’ordon- née

?,, qui correspond

à l’abscisse cc -~--

1;

l’ordonnée

~12, qui

cor-

respond

à l’abscisse cz -E- 1

-~- i,,,

et ainsi de suite

jusqu’à

une der-

nière ordonnée

i"t, qui correspond

à une abscisse

située vers l’extrémité du tube. Entre les divisions extrêmes a et b l’index est ainsi contenu ii

fois ;

sa

longueur

moyenne est

donc b - a.

Si le tube était

cylindrique,

les lectures auraient dû

n .

(4)

49 ê tre

1-.,a correction de

calibrage

est donc

On construit alors

aisément,

avec ces derniers

nombres,

la

courbe

qui

donne l’erreur de

calibrage

en un

point quelconque

du

tube.

Pour diminuer autant que

possible

1"influence des erreurs de

lecture,

il convient de faire avancer l’index à peu

près

de

o"1,

01, ,

puis

de

0~,001

y

puis

de o"l, 01, de

01ll,00I,

et ainsi de suite. On

peut,

du reste,

répéter l’opération

avec un second index

long

de

o~o5.

Cette méthode est deux ou trois fois

plus rapide

que la méthode

ordinaire,

due à Neumann.

H. DRAPER. - Photographie du spectre de la nébuleuse d’Orion, p, 339.

~1:. H.

Draper,

l’éminent

physicien-astronome qui

vient de mou-

rir,

à

rage

de

quarante-cinq

ans, le 1 o novembre

dernier,

est par-

venu à

photographier

non seulement la nébuleuse

d’Orion,

mais

encore les

pectre

des différentes

parties

de cette nébuleuse

séparé-

ment. Les résultats les

plus

intéressants de ce travail sont les sui-

van ts :

10 La raie de

l’hydrogène près

de

G(~

=

z{34o)

est forte et bien

définie,

la raie

h(~. _ ~.I OI) est moins nette ;

il y a encore d’autres

raies

plus

faibles.

9,1 Deux

régions

de la

nébuleuse,

situées

juste

en avant du Tra-

pèze,

donnent un

spectre continu,

ce

qui

infirme en

partie

cer-

tains

des résultats obtenus autrefois par lord Rosse.

(5)

3° Aux endroits où

l’image photographique

de la raie de

l’hy- drogène (~, - !t3t~o ~,

dans la

nébuleuse,

rencontre le

spectre

d’une étoile du

Trapèze,

on remarque un dédoublement très net ; il v a

donc du gaz

hydrogène

entre le

Trapèze

d’Orion et nous.

.J.-1~. SCHAEBERLE. - Méthode pour déterminer la flexion d’une lunette dans toutes les positions, p. 3¡4.

Sur

l’ohjectif

et à

l’intérieur,

on colle un anneau de carton au

centre

duquel

est un

petit

miroir

plan argenté qui

est ainsi très

près

de

l’objectif

sans

pourtant

le

toucher,

et renvoie sur le réti-

cule

l’image

du réticule lui-même. On

règle

la

position

du miroir

de manière que, la lunette

pointant

le

nadir,

le fil central coïncide

avec son

image réfléchie;

cette coïncidence est détruite par la flexion du tube dès

qu’on

incline celui-ci. Pour déterminer exac- tement la

flexion,

il ne reste

plus qu’à

mesurer avec le fil mobile la distance

qui sépare

le fil central de son

image

pour

chaque

po- sition de l’instrument.

S.-H. FREENIAN. - Sur la production d’électricité par l’évaporation, p. ~28.

L’auteur a fait

évaporer

différents

liquides :

eau

distillée,

al-

cool, éther,

dissolution de sel marin et de sulfate de

cuivre,

dans

un vase

métallique communiquant

avec un électromètre de Thom-

son très sensible.

L’appareil

entier était

placé

dans une cage mé-

tallique

pour le soustraire aux influences extérieures. Bien que l’on

pû t apprécier

une différence de

potentiel égale au £

de

él Daniell,

on ne

trouve jamais

de

production

d’électricité attribuable àl’éva-

poration. L’évaporation,

si tant est

qu’elle produise

de

l’électricité,

est donc tout à fait insuffisante à

expliquer l’origine

de l’électricité

atmosphérique.

E. HUNGERFORD..- La neige et la glace sous pression aux températures

inférieures à zéro, p. 434.

On brise un

prisme

de

glace, puis

on en

rapproche

les deux

moitiés sous une

pression

très

faible,

la

température

extérieure

restant

compr i se

entre - et -

i 3° ;

au bout d’un

temps

suffi-

samment

long,

les deux

fragments

sont soudés de nouveau.

(6)

51 De

même.,

si l’on

comprime

de la

neige

dans un moule de

fer,

sous des

températures comprises

entre - et -

i 8°,

on constate

que les

grains

se

soudent,

à mesure que la

pression

est

prolongée plus longtemps,

et au bout d’un certain nombre d’heures on finit par avoir un morceau de

glace parfaitement transparente.

En

mélangent

à la

neige

une matière colorante en

poudre

et

soluble dans

l’eau,

on reconnaît du reste

qu’il

ne

peut

pas s’être formé d’eau

liquide

dans ces

expériences.

Tous les

phénomènes,

observés

ainsi,

et surtout l’influence bien

marcluée

du

temps,

pa- raissent à l’auteur inconciliables avec

l’hypothèse

ordinaire de la

liquéfaction

suivie de

regel;

ils

s’expliquent,

au

contraire,

si l’on

adniét,

comme on le faisait

autrefois,

une certaine

plasticité

dans

la

glace.

La théorie du

regel

ne

peut

donc suffire à tout

expliquer

et il faut v

joindre l’hypothèse

de la

plasticité

de la

glace

sous

pression.

A. ANGOT.

BULLETIN

BIBLIOGRAPHIQUE.

Annales de Chimie et de

Physique.

Se série. - Tome XXVII. - Novembre t 882.

w

"

H. BECQLEREL. - ivesure de la rotation dzc

plan

de

polarisation

cle

la lumière sous

l’influence magnétique

de la Terre, p. 312.

’V. Lo-uGuiNiNE. - ,Sur un nouvel

appareil

.pour la mesure des cha- leur-s

spécifiques,

p. 3g8.

VV. H1JGGINS. -

Conférence

sur les cométes, p. 408.

V. Jonrï~. - Note sur la réaction

photochinziqite

du

peroxalate

de .fP~’~ p. ~26.

Annalen der

Physik

und Chemie.

Tome XVII; 13; 1882.

F. KOHLRÂUSCH. 2013 lJIIesures absolues

effectuées

à l’aide de la stispen- sion

bifilaire;

en

particulier

deux méthodes pour la mesure de l’in- tensité hori.~ontale du magnétisme terrestre, sans mesure de tem p s,

p. 737-

E. DOR1T. - Rédzcetzon de l’unité ~S’zemens en mesure absolzce, p. 773.

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