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American Journal of Science and Arts; 1881. Ier semestre. - Volume XXI. (Suite)

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(1)

HAL Id: jpa-00237901

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237901

Submitted on 1 Jan 1882

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American Journal of Science and Arts; 1881. Ier semestre. - Volume XXI. (Suite)

Alfred Angot

To cite this version:

Alfred Angot. American Journal of Science and Arts; 1881. Ier semestre. - Volume XXI. (Suite). J.

Phys. Theor. Appl., 1882, 1 (1), pp.148-155. �10.1051/jphystap:018820010014801�. �jpa-00237901�

(2)

148

ces sels dans un des

compartiments,

on

agite

vivement et l’on ob-

serve le thermomètre.

La

température

minima

dépend

des

proportions

et de l’état ini- tial du sel : ainsi l’azotate de soude

mélangé

de soude donne un

abaissement de

température

de

- 1)°,

tandis que le même azotate formé par double

décomposition

de deux sels donne les abaisse-

ments de

température indiqués

dans le tableau suivant :

C. DAGUENET.

AMERICAN JOURNAL OF SCIENCE AND ARTS; 1881.

Ier semestre. - Volume XXI.

(SUITE.)

S.-P. LANGLEY. - La balance actinique (holomètre), p. 187 (voir aussi Pno- ceedings of the Am2. Academy of Arts and Sciences, vol. XVI, p. 342).

L’instrument que propose le savant directeur de l’Observatoire

d’Allegheny,

et

auquel

il a donné le nom de balance

actinique, puis

de

bololl1ètre,

est destiné aux mesures de chaleur

rayonnante

et donne une sensibilité lnfllllment

supérieure

à celle des meilleures

piles thertno-électriques.

Il se compose d’un

pont

de Wheatstone

sur les deux bras

duquel

sont deux fils de fer extrêmement

fins,

dont l’un est maintenu à

température

constante, tandis que l’autre

est soumis à la radiation que l’on veut évaluer. L’élévation de

température

de ce dernier fil

produit

un

changement

de résistance et,

par suite,

la

rupture

de

l’équilibre

du pont; la déviation du

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018820010014801

(3)

149

galvanomètre

vu la

petitesse

de tous les

effets,

est

proportionnelle

à la

quantité

de chaleur rayonnée sur le fil.

Pour obtenir des effets

appréciables

et, en méme temps, des indications

rapides,

il faut

employer

un fil de fer extrêmement

ré-

sistant et en même temps d’une très faible masse. 31.

Langley

est ar-

rivé à former une bande de fcr d’un peu moins de

0mm, 5

de

largeur

et de

omn1.,004 d’épaisseur;

cette

bande, repliée quatorze

fois sur

elle-même,

forme une

ligne

sinueuse

qui

occupe un

rectangle

de

Om, oo7 SLlr Om,O I2. Deux

rectangles analogues

sont

disposés

sur

les bras du pont de

Wheastone,

et l’un d’eux est soumis à l’action de la chaleur

rayonnante. D’après

les

premières

mesures effectuées

par

l’auteur,

cette

disposition

donne une sensibilité 200 fois

plus grande

que celle des

piles thermo-électriques

ordinaires des cabinets de

Physique,

et telle

qu’on pourrait

mettre en évidence

une différence de

température

d’un dix-millième de

degré

centi-

grade

entre les deux bandes.

Cet

instrument,

destiné à des recherches d’Astronomie

physique,

a

permis,

du

premier

coup, de mettre en évidence la chaleur

rayonnée

par la Lune. iVI.

Langley

s’en est servi aussi pour étudier la

répartition

de la chaleur dans le

spectre

solaire normal obtenu

sans que les ravons traversent aucun autre milieu

réfringent

que

l’atmosphère.

Les rayons

solaires, après

avoir traversé une

fente,

tombent sur

un réseau

gravé

sur

métal,

et

placé

à 5m de la

fente;

les rayons ré- fléchis sur le réseau sont reçus par un miroir de verre

argenté qui

forme sur un écran un spectre de

premier

ordre

long

de o"’, 20

(de

A =

o, ooo/

à 03BB - o,

ooo7).

La

petite

bande de fer de la balance est

alors

exposée

à différentes

places

dans ce spectre, et elle occupe à

peine

le trentiéme de la

largeur

du

spectre visible;

on

opère

donc

sensiblement sur des rayons

homogènes,

ce

qui

n’avait pu encore être réalisé d’une manière satisfaisante pour le spectre de diffrac- tion. Nous donnons ici les déviations

observées,

c’est-à-dire des nombres

proportionnels

aux

quantités

de chaleur

qu’indique l’ap-

pareil

dans les différentes

régions

du

spectre.

(4)

150

Contrairement à ce

qu’on croyait jusqu’à

ce

jour,

le maximum de

chaleur serait donc non dans la

partie ultra-rouge,

mais dans le

jaune orangé près

de la raie

D,

et il aurait identité entre la courbe des intensités

calorifiques

et la courbe des intensités lumineuses.

Il serait certainement du

plus

haut intérêt de vérifier ces conclu- sions par une autre méthode. L’auteur ne donne du reste ces

résultats que comme un

pr emier

aperçu de ce que l’on

peut

obtenir

avec le nouvel

instrument,

et il est

probable

que nous aurons pro- chainement à y revenir et à

indiquer

de nouvelles

applications

du

bolon1ètre.

J. TROWBRIDGE. 2013 Effets d’un grand froid sur le magnétisme, p. 316.

M. Wiedemann avait

déjà

observé

qu’un

barreau aimanté refroidi

jusqu’à 201325° perdait environ 4

pour 100 de son

magnétisme.

M.

Trowhridge

a

essayé

l’effet de froids

beaucoup plus

intenses. Le

barreau aimanté était

placé

à

l’est, puis

à l’ouest d’une

aiguille

ai-

lnantée

suspendue portant

un

miroir,

de sorte que, la distance des deux barreaux restant constante, la tangente de la déviation de

l’aiguille

mobile était

proportionnelle

au moment

magnétique

du

barreau déviant.

Ce dernier étant amené dans une

position fixe,

et la déviation

étant

notée,

on entoure le

barreau,

sans le

changer

de

place,

d’un

lnélange

d’acide

carbonique

solide et d’éther. La déviation diminue

aussitôt,

et la diminution continue avec le temps ; au bout de qua-

rante-sept minutes,

le moment

magnétique

du barreau avait dimi- nué des deux tiers.

Après vingt-quatre

heures

d’exposition

à sa

température primitive d’aimantation,

le barreau avait un peu aug- menté de

force,

mais son moment

magnétique

n’était encore que la moitié du moment

primitif,

avant le refroidissement.

1).-P. TODD. - La parallaxe solaire déduite des photographies américaines du passage de Vénus, p. 49 I.

M.

Todd,

du Bureau du Nautical Almanach de

Washington,

dis-

cute les résultats des

photographies

du passage de

Vénus,

obtenues

dans les huit stations d’observations. On sait que les

photogra-

phies

américaines

permettent

d arriver au r ésultat de deux ma-

(5)

151 mères tout à fait

indépendantes :

par la mesure de la distance des

centres des deux astres, et par celle de

l’angle

de

position

de la

planète.

Les résultats ne sont pas encore tout à fai ts

définitifs,

par suite d’incer titudes dans la

position

de

quelques-unes

des stations.

Quoi qu’il

en

soit,

les deux valeurs de la

parallaxe,

ainsi que les

erreurs

probables,

sont les suivantes :

La valeur moyenne, calculée en attribuant à

chaque

détermination le

poids convenable,

serait enfin

ce

qui correspond

à une distance moyenne des centres du Soleil et

de la Terre

ég ale

à

148 I03 000.

2’ semestre. - Volume XXII.

GÉNÉRAL C.-B. COMSTOCK. 2013 Variation de longueur d’une barre de zinc

à la même température, p. 26.

Une barre de zinc de 1 lU de

longueur a

été

comparée

avec un mètre-

étalon en

acier,

en

employant

toutes les

précautions possibles.

Une

premiére comparaison

ayan t été

prise

à 2°, on a chauffé

lentement la barre de zinc à

2I ° , puis

on l’a laissée revenir lente-

ment à la

température première.

Dans une autre

expériences,

au

contraire,

la barre a été refroidie

jusqu’à

-

i go. Après

chacune de

ces

opérations,

la

barre,

bien

qu’à

la même

température,

ne repre- nait pas la même

longueur,

et on a constaté des différences

qui atteignaient Omm, O I 5.

Des

expériences analogues,

faites avec une

autre barre de

4m

de

long,

mesurée à

50,5,

ont

indiqué

un

allonge-

ment de

omm,029,

soit omm, 007 par mètre.

Le zinc

présenterait

donc des

phénomènes analogues

à ceux

qui

sont

déjà

connus pour le verre, et

qui

se manifestent

par le

dé-

placement

incessant du zéro des thermomètres.

(6)

152

O.-T. SHERMAN. 2013 Observations magnétiques faites dans le détroit de Davis,

en août et septembre 1880, p. 19.

Ces observations ont été faites à divers endroits de la côte occi- dentale du Groënland et

comprennent

la

déclinaison,

l’inclinaison

et l’intensité horizontale.

Il faut

signaler

dans ce pays de nombreuses attractions locales dues à la

présence

de roches

ferrugineuses,

et surtout des

perturba-

tions tellement

grandes du’elles dépassent

tout ce

qu’on pouvait imaginer.

Ainsi à

Lively,

île de

Disco,

la déclinaison a

variée

le

11 août,

de N.

46° 9’, 7

M7- à N.

49°, 15’, 3 W. ;

tan dis que, le 18

août,

on a observé au même endroit des déclinaisons

comprises

entre

N.

67° 54’,

1 BV. et N.

68° 52’,4

W. Ce dernier nombre est à peu

près

celui

qui

convient au payes

considéré;

le z I

aoiit,

il y avait donc eu un orage

magnétique qui

avait dévié

l’aiguille

de

plus

de

20°.

A.-A. MICHELSON. 2013 Sur le mouvement relatif de la Tccrc et de l’éthcr, p. 120.

Dans la théorie de l’aberration de la

lumière,

on suppose que la Terre se meut seule au travers de l’éther

qui

reste en repos. Pour

contrôler cette

hypothèse,

M. Michelson a

essayé

de faire interfé-

rer l’un avec l’autre deux rayons

qui

ont traversé une même lon-

gueur dans

l’air,

mais l’un dans la direction du mouvement de la

Terre,

l’amtre dans la direction

perpendiculaire.

Avec une

longueur

de

Im,2

seulement et en

employant

de la lu-

mière

jaune

on trouve, dans

1 hypothèse

de l’éther

immobile,

que le rayon

qui

a

voyagé

dans la direction du mouvement de la Terre

a

parcourir 4 100

de

longueur

d’onde de

plus

que l’autre.

En faisanttourner de

9°°

le

plan

des deux raz-ons, on fait porter la différence sur l’autre rayon; d’une

position à l’autre,

les

franges

d’in terférence devraient donc se

déplacer

de

o, 08

de

frange,

quan- l lté mesurable.

L’expérience

a donné un résultat absolument

négatif;

on doit

donc en conclure que

l’hypothèse

d’un éther immobile n’est pas

exacte et

qu’il

faut par suite abandonner

l’explication

due l’on donne ordinairement du

phénomène

de l’aberration.

(7)

153 Il n’est

pas

inutile de

rappeler

que,

il y

a

longtemps déjà (1) ,

M. Nlascart a démontré que la réfraction par un

prisme,

les dévia-

tions des

réseaux,

les interférences de l’onde ordinaire et de l’onde extraordinaire du

spath,

, la rotation du

plan

de

polarisation

des

quartz

sont des

phénomènes indépendants

de la direction des rayons lumineux par rapport au mouvements de la Terre.

EDWARD-S. IIOLDEN. _ Observations sur l’éclairement dans les lunettcs employées

pour voir la nuit, p. 129.

SirW. Herschel avait

déjà remarqué qu’un télescope

de Newton

de 20

pieds

de

longueur

focale lui

permettait

de lire

pendant

la

nuit l’heure sur le cadran d’un clocher alors que la vue

simple

ne

permettait

même pas

d’apercevoir

le clocher lui-méme. M. Holden

a vérifié ce fait et constaté

qu’avec

son

équatorial

on

pouvait

par- faitement

apercevoir

la nuit une tour surmontée d’une

coupole,

à

la distance de

6340m,

bien

qu’il n’y

eût aucune raison pour rendre

compte

de cette visibilité.

H. DRAPER, C.-A. YOUNG, W. HARKNESS, E.-L. IIOLDEB, LEWIS BOSS, A.-W. WRIGHT. 2013 Observations sur la comète b 1881, p. 134-145, 260, 303.

_B.-’V. WRIGHT. 2013 Ohservations polariscopiques de la comète c 1881, p. 312.

La

grande

comète

de juin-juillet

1881

( b 1881 )

a donné lieu à un

grand

nombre d’observations

physiques.

Pour la

première fois,

M.

Draper

a pu obtenir des

photographies

du spectre de cet astre;

ces

photographies

ont

révélée

dans le violet et

l’ultra-violet,

l’exis-

tence de raies et de bandes

qu’il

sera intéressant de comparer avec les spectres de diverses substances.

M.

Young, qui

a observé la comète au

spectroscope,

a trouvé que toutes ses

parties

donnent un

spectre continu,

sur

lequel

vien-

nent se superposer, dans la chevelure et la clueue,

quelquefois

aussi

dans le noyau, trois bandes brillantes dont les limites inférieures

(1) Annales scientifiques de Z’École Norrnale supérieure, 26 série, t. 1 et 1I I ;

Journal de Plî .1-siqi(e, t. IY, p. 129; 1875.

(8)

154

sont caractérisées par les

longueurs

d’onde

5629, 5 165 et 47-1-0.

Ces trois bandes semblent concorder avec celles du

spectre

de la flamme des brûleurs Bunsen..

MM. Holden et L. Boss ont étudié les formes successives

qu’a prises l’astre,

et en ont donné de nombreux dessins.

l%I. Harkness a étudié

également

le

spectre

de la comète et est arrivé à des conclusions

analogues

à celles de 31.

Young.

Il a cher- ,

ché aussi si la lumière de cet astre était

polarisée;

il

employait

pour cela le

polariscope

de Savart et,

malgré

la sensibilité de cet

instrument,

il n’a pu

parvenir

à trouver la lnoindre trace de

hola-

risation.

Au

contraire,

M. A.-W.

BVright

a étudié au

polariscope

la lu-

mière émise par les deux comètes b et c 1881. Dans les deux cas, il a trouvé une

polarisation

bien nette dans un

plan passant

par le

Soleil,

ce

qui

contredirait un des résultats de M. Harkness. - NI.

Wright

a aussi déterminé la loi suivant

laquelle

la

proportion

de lumière

polarisée

varie avec la

position

de la comète et

l’angle

sous

lequel

elle nous renvoie la lumière solaire. Pour la comète

c

1881,

cela seul

indique

que l’astre était entièrement gazeux; au

contraire,

la comète b 1881 devait t contenir des

particules

à l’état

solide ou à l’é tat

liquide.

E.-L. NICHOLS. 2013 Sur la résistance électrique et le coefficient de dilatation du platine incandescent, p. 363.

On sait que les fils de

platine

sont très

employés

maintenant

comme

pyromètres

pour mesurer les

températur es qui dépassent

500°. M.

Nichols, après

avoir détermine simultanément la lon- gueur et la résistance

électrique

d’un fil de

platine

cllauffé à diverses

températures par Ie

passage d’un courant, calcule ensuite ces tem-

pératures

en

partant

soi t de la

r ésistance,

soit de la

longueur

du fil

et au moyen des diverses formules connues, celle de MM. Sie- mens,

Benoît, JBilatthiesen,

etc. Ces formules donnent les unes par

rapport

aux autres des différences de

plusieurs

centaines de

degrés;

l’auteur termine par les conclusions suivantes :

m Toutes les formules en

question

sont fondées en

plus grande partie

sur des

hypothèses inacceptables.

Les différences de résistance que

présentent

les divers échan-

(9)

155 tillons de

platine

sont telles

qu’une

forn-zule donnée est tout au

plus applicable

à un senl échantillon

particulier.

3° Avec les données que l’on

possède actuellement,

on n’est pas

en mesure de calculer la

température

Vraie d’un fil de

platine,

soit t

d’après

ses

changements

de

longueur,

soit

d’après

ses

changements

de résistance.

Il faut donc se borner à donner pour la

température

des nom-

bres arbitraires

rapportés

à la résistance ou à la

longueur.

4° Comme

la résistance

change beaucoup

avec les

échantillons,

on

doit,

toutes les fois

qu’on

le pourra,

préférer

la mesure de la

longueur

à celle de la résistance pour donner des indications sur la

température.

E.-W. MORLEY. 2013 Sur une cause possible de la variation de la proportion d’oxygène dans l’air, p. ’41’j.

L’auteur a fait

chaque jour

une ou

plusieurs analyses

de l’air à

Hudson

(Ohio), pendant

seize mois consécutifs. La

proportion d’oxygène

a varié de

0,20866

à

0,21006.

Les différentes

hypo-

thèses que l’on a faites pour

expliquer

ces variations ne

paraissent pas j ustifiées

à M.

Morley.

En

comparant

la richesse de l’air en

oxygène

avec les cartes

quotidiennes

du

temps,

M.

Morley

croit

reconnaître que, dans la

plupart

des cas, la

proportion d’oxygène

diminue

quand

la station se trouve dans une aire de hautes pres-

sions,

l’air descend des hautes

régions

de

l’atmosphère.

Ces

résultats se trouveraient donc d’accord avec la théorie de

Dalton, qui

veut que la

proportion

dans l’air du gaz le

plus lourd, l’oxn -

gène.

aille en diminuant avec l’altitude.

ALFRED ANGOT.

BULLETIN

BIBLIOGRAPHIQUE.

Philosophical

Magazine.

5e série. - Tome XIII. - Février 1882.

C. VERNON BOYS. 2013

Appareils

totalisateurs et autres hazcn Ici mesure des forces

mécaniques

et

électriques)

p. 77.

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