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The American Journal of Science and Arts; 1875

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00237164

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237164

Submitted on 1 Jan 1876

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The American Journal of Science and Arts; 1875

Alfred Angot

To cite this version:

Alfred Angot. The American Journal of Science and Arts; 1875. J. Phys. Theor. Appl., 1876, 5 (1),

pp.163-166. �10.1051/jphystap:018760050016301�. �jpa-00237164�

(2)

f

est la distance focale intérieure de l’oeil. On obtient ainsi pour

expressions

de la

profondeur

P et des

profondeurs

pa et pp en avant

et en arrière

On a environ

On en déduit pour P les valeurs suivantes :

Le résultat relatif à une distance infinie de

l’objet

a besoin d’être

expliqué :

c’est la

longueur d’une ligne qui

se termine à

I3m, 33

en avant et en arrière de la

rétixxe ;

et il faut entendre par là que

l’oeil,

étant accommodé pour

regarder à l’irxf ni,

l’est aussi pour voir

tous les

objets plus éloignés

que

I3m, 33,

ou pour des faisceaux convergents dont le

point

de convergence est à

plus

de

I3m, 33

en

arrière de la ré tine .

E. BOUTY.

THE AMERIGAN JOURNAL OF SCIENCE AND ARTS; 1875.

F.-E. NIPHER. - Travail mécanique que peut effectuer un muscle jusqu’à son épui-

sement, p. I30.

Le travail

mécanique

que

peut

effectuer un muscle se

présente

sous deux

aspects

différents - le travail

dynamique qui

consiste à soulever un

poids

donné à une certaine

hauteur,

et le travail sta-

tique

dans

lequel

le bras tendu

supporte

le

poids

à un même ni-

veau. L’auteur ne

s’occupe

pour le moment que du travail

dyna- mique.

Il le mesure en cherchant combien de fois le bras

peut

soulever un

poids

donné en

passant

de la

position

verticale à la po-

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018760050016301

(3)

I64

sition

horizontale, jusqu’au

moment la

fatigue

le rend

incapable

de continuer. Comme on

pouvait s’y attendre,

le bras devient

plus

fort à mesure que les

expériences continuent,

et, de

plus,

sa force

varie

beaucoup

d’un

jour

à

l’autre;

pour rendre les nombres com-

parables,

l’auteur les a tous ramenés à la force moyenne du bras

pendant

la durée des

expériences,

et trouve

qu’ils peuvent

être re-

présentés

exactement par la formule

. 1V est le

poids soulevé,

ce la moitié du

poids

du

bras,

Il la hau-

teur à

laquelle

on soulève

chaque

fois le

poids

w, m le nombre de fois que le bras est

capable

de soulever le

poids jusqu’à l’épuise-

ment

complet

et c une constante dont la valeur

indique

la force du

muscle.

E. LOOMIS. - Résultats déduits de l’examen des cartes du temps des États-Unis pour I872 et I873, p. I.

Ce Mémoire sera

analysé

avec le

précédent

et ceux

qui

doivent

le suivre.

DRAPER (JOHN C.) - Projection sur un écran des spectres produits par les réseaux et les prismes, p. 22.

C.-A. SCHOTT. - Résumé des résultats d’une nouvelle discussion des variations sé- culaires de la déclinaison magnétique aux Étals-Unis et dans les contrées voisines,

p. 25.

Tout l’intérêt de ce travail est dans les tableaux

numériques qui

y sont donnés et

qu’il

nous est

impossible

de résumer ici.

J. LE CONTE. - Sur quelques phénomènes de vision binoculaire, p. 159.

Ce Mémoire forme la suite d’une série

qui

a paru successivement dans le même

Journal,

2e

série,

vol.

XLVII;

3e

série,

volumes

1 et II.

Dans le

présent

travail l’auteur démontre : 1° que, dans l’état

d’assoupissement,

les axes

optiques divergent

au lieu de converger,

comme on l’admettait

généralement;

dans la vision

binoculaire,

la loi des

points correspondants peut

être

opposée

à celle de la di-

rection,

et, dans ce cas, c’est la

première qui l’emporte. On

sait que

(4)

la loi de la direction est celle

qui

nous fait

rapporter

la

position

des

objets,

non pas à

l’image qu’ils

donnent sur la

rétine,

mais à la

direction du rayon incident avant son entrée dans l’oeil.

Si,

d’autre

part,

nous supposons que l’on fasse coïncider les deux yeux, les

points

de la rétine ainsi amenés en

superposition

seront les

points correspondants,

et, si des

impressions

viennent se faire sur des

points correspondants

de

chaque oeil,

elles seront

rapportées

au

même

point

de

l’espace;

cette dernière loi est connue sous le nom

de loi des

points correspondants,

et sert à

expliquer

comment les

deux yeux ne donnent

qu’une

même

impression.

Après

avoir traité ces deux

points,

l’auteur commence l’étude

des modifications de l’oeil au

point

de vue de la

vision,

dans toute

la série animale.

S.-P. LANGLEY. - Comparaison des théories des taches du Soleil avec les résultats de l’observation, p. 102. (Voir le Journal de Physique, p. 126, année 1875.)

M. MAYER (ALFRED). - Historique de la découverte de la théorie des couleurs par You-,NG, p. 25I.

Dans ce travail

intéressant,

M.

Mayer

donne

l’historique

de la

théorie des couleurs de

Young,

en

l’appuyant

sur des extraits de

Newton,

de

Young

et de Wollaston. Il s’attache ensuite à montrer :

io que Young,

en

adoptant

d’abord le rouge,

le jaune

et le

bleu,

comme les trois couleurs

simples,

a, le

premier,

émis

l’hypothèse

que Brewster a

reprise ensuite ;

que, si

Young

a modifié ses pre- mières

suppositions

et admis le rouge, le vert et le violet comme couleurs

simples,

c’est par suite de la manière

fautive

dont ’V 01-

laston

comprenait

ses

expériences

sur les raies noires du

spectre solaire,

et sur des observations inexactes faites par

Young

lui-

même,

en

répétant

les

expériences

de

Wollaston;

enfin que

Young

a reconnu ou cru reconnaître finalement que ses

hypothèses

étaient

justifiées

par les faits.

M. MAYER ALFRED ). - Nouvelle détermination des constantes de la loi qui unit la

hauteur d’un son avec la durée de sa sensation résiduelle, p. 267.

Dans un

précédent Mémoire,

l’auteur avait établi la formule

(5)

I66

où. D est la durée de la sensation résiduelle d’un son

qui

corres-

pond

à N vibrations par seconde.

Après

de nouvelles

expériences

faites sur des personnes dont l’oreille était

très-exercée,

il

remplace

cette formule par la sui-

vante :

et

indique

en même

temps quelques

autres modifications

qu’il

faut

apporter

aux chifrres de son

premier

travail.

CAREY-LEA. - Action des rayons lumineux les moins réfrangibles sur l’iodure et

le bromure d’argent, p. a6g.

3’I.

Carey-Lea

démontre par

expérience :

I° Que l’iodure

et le bromure

d’argent

sont sensibles à tous les

rayons visibles du

spectre ;

Que

l’iodure est

plus

sensible que le bromure seul aux rayons peu

réfrangibles

et aussi à la lumière

blanche

9

Que

la sensibilité du bromure aux rayons verts est

augmentée

par la

présence

du nitrate

d’argent

en

liberté;

4° Que

le

mélange

d’iodure et de bromure est

plus

sensible aux

rayons verts et rouges, et

probablement

à tous les autres,

qu’un

des deux sels

seul;

Qu’aucun

rayon ne

possède spécialement

de

pouvoir

excitant

ou

continuateur,

mais que tous les rayons sont

également capables

de commencer et de continuer l’action sur l’iodure et le bromure

d’argent.

(A suivre

ALFRED ANGOT.

BULLETIN

BIBLIOGRAPHIQUE.

Annales de Chimie et de

Physique.

5e série. - Tome VII. - Janvier I876.

D. GERNEZ. 2013 Recherches sur

l’évaporation

des

liquides surchauffés,

p. 113.

F. WEBER. - Sur la chaleur

spécifique

clu

carbone,

dit bore et du. silicium, p. I32.

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