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Physikalische Zeitschrift ;T. V

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00241022

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241022

Submitted on 1 Jan 1905

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Physikalische Zeitschrift ;T. V

P. Lugol

To cite this version:

P. Lugol. Physikalische Zeitschrift ;T. V. J. Phys. Theor. Appl., 1905, 4 (1), pp.452-456.

�10.1051/jphystap:019050040045201�. �jpa-00241022�

(2)

452

dans les pores qui les rend ainsi transparents; la transparence sonore

varie en général en raison inverse de l’épaisseur. La mise en vibra-

tion des corps solides, la transmission par chocs, mouvements...

s’ajoutant à la transmission par passage des ondes directes, vient

compliquer le problème de l’isolement sonore. Aussi la pierre de liège (poudre grossière de liège agglomérée par un agglutinant), bien qu’assez transparente, est-elle un bon isolant, grâce à sa propriété

d’absorber les chocs.

4. Aucune loi n’a pu être déduite des mesures faites à différentes

pressions dans un récipient de 60 litres; seule la diminution d’inten- sité avec la pression a pu être constatée.

Les auteurs signalent, en passant, qu’on améliore beaucoup la réso-

nance d’une caisse en Bpratiquant au centre de la paroi de fond une

ouverture de dimensions convenables. Il s’échappe par cette ouver- ture un vent assez fort pour éteindre une bougie.

P. LUGOL.

PHYSIKALISCHE ZEITSCHRIFT ;

T. V.

A. SCHWEITZER. 2013 Ueber die experitnentelle Entscheidung der Frage, ob sich der Lichtather mit der Erde bevegt oder nicht (Sur le n10yen de décider expé- rimentalement si l’éther lumineux se meut ou non avec la Terre).

-

P. 809-811.

Description d’un projet d’expérience dressé par l’auteur, il y a quatre

ans, reposant sur le principe indiqué récemment par Wien (1)

et utilisant la méthode de Fizeau. L’expérience n’a pu être exécutée, faute de ressources financières suffisantes.

P. ÎIUGOL.

HA1S Beitraiâe zur Kenntniss der ultraroten Emissionsspektra

der Elemente (Contributions à la connaissance des spectres d’émission des élé- ments dans Finfra-rouge).

-

P. 823.

L’auteur a pu, au moyen de la phosphorophotographie, obtenir des

spectres de raies allant jusqu’à 1 700 Dans cette région, Rb pré-

(1) Ce vol., p. 123.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019050040045201

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453 sente un doublet qui appartient à la première série secondaire de

Kayser et Runge, et porte le numéro d’ordre 3; c’est donc la raie fondamentale de cette série. Dans la région de 1 400 aU se trouve une autre raie double extrêmement forte, qui est la raie fondamentale de la deuxième série secondaire déjà reconnue par l’auteur, et porte

le numéro d’ordre 3.

Enfin, on trouve vers 1 250 py. pour K et vers 1 150 pour Na des raies très fortes, qui appartiennent toutes deux à la deuxième

série secondaire.

P.

J.-J. TAUDfN-CHABOT. 2013Reflexion und Refraktion mittels einer natürlich ge- krihnmten Floche zwecks Demonstration geometrisch-aptischer Grunderschei- nungen (Réflexion et réfraction sur une surface courbe naturelle, en vue de la démonstration des phénomènes fondamentaux de l’optique géométrique

P. 823-825 (1).

On place dans un vase cylindrique deux liquides non miscibles,

eau et huile, ou huile et alcool ; on fait tourner le vase autour de

son axe, puis, lorsque le mouvement est régulier, on le ralentit ou on l’accélère ; à cause de sa viscosité, l’huile suit le mouvement du

vase plus vite que l’autre liquide. Si l’huile est en bas, une accéléra-

tion du mouvement creuse la surface de séparation ; un ralentisse- ment rend cette surface convexe vers le haut; si l’huile est en haut,

c’est l’inverse qui a lieu ; l’égalisation des vitesses est assez lente pour que le phénomène soit facilement observable ; entre l’eau et l’alcool, l’huile devient biconcave si l’on accélère, biconvexe si l’on ralentit ; il se produit un phénomène comparable à la transforma- tion en anneau de la goutte d’huile de l’expérience de Plateau.

La surface du paraboloïde étant la surface médiane du cylindre,

on peut, en remplissant complètement le vase et le couvrant d’unc plaque de verre (chacun des liquides occupe la moitié du volume),

conserver plane la surface supérieure ; une lampe placée convena-

blement sur le prolongement de l’axe permettra de faire les expé-

riences d’optique. On pourra opérer très simplement au moyen d’une conserve en verre munie d’un couvercle vissé, que l’on sus- pendra à un cordon ; il suf’fira de tordre celui-ci et de le laisser se

détordre.

P. LUGOL,

(1) Voir Plzys. ZeitschJ’., t. III, p. 331 ; 1901-~ ~t~2.

(4)

454

T. VI.

EMIL BOSE. - Anwendung des Radiums zur Prùfllng des Strahlungsgesetzes

für niedrige Temperaturen ~Emploi du radium pour la vérifications de la loi du rayonnement aux basses températures). - P. 5-6.

Le sel de radium serait placé au centre d’une sphère de platine de petite dimension (9 millimètres environ de diamètre) et à parois épaisses, dont un couple thermoélectrique ferait connaître la tempé-

rature. La sphère serait suspendue au centre d’une autre sphère de

verre reliée à une trompe, et entourée d’un bain à température cons-

tante. Le dégagement de chaleur connu du radium établirait entre la sphère de platine et le bain une différence de température que l’on

pourrait mesurer et comparer avec celle que donnerait la théorie de Stefan. L’auteur a calculé qu’il suffirait de ogr,003~2, 0~,03~3 et 0~,235 de bromure de radium pour maintenir des différences de

température de 0°,1, 1° eut 70 entre la sphère de platine et le bain.

L’expérience serait donc parfaitement réalisable.

P. LucoL.

HAKS LEH1BIANN. - Lippmannsche Spektra zweiter und dritter Ordnung in na-

türlichen Farben (Spectres de Lippmann du deuxième et du troisième ordre en

couleurs naturelles).

-

P. 11-18.

Il s’agit des couleurs que l’on observe lorsque la distance des lames

d’argent dans la couche de gélatine n’est plus égale à ~, mais à un de

ses multiples. L’auteur a réussi à obtenir des couleurs du deuxième et

même, sur deux photographies, des couleurs du troisième ordre, sim- plement en soufflant avec la bouche sur la photographie ; le gonflement

de la gélatine augmente la distance des lamelles d’argent. Les pho- tographies utilisées représentaient le spectre complet de l’arc dans

lequel on avait vaporisé différents éléments, dont les raies foraient des repères exacts ; on soutllait assez fort le long des raies, dans la région du rouge extrême ; on plongeait ensuite obliquement la pré- paration dans une cuvette remplie de benzine, ou on collait sur elle au

baume un coin de verre, afin d’éliminer la lumière réfléchie par la pre-

mière surface. L’auteur a pu projeter des spectres du deuxième ordre ;

les couleurs du troisième ordre sont trop peu intenses. La diffusion

(5)

455 de l’humidité dans la gélatine altère peu à peu la préparation, qui

ne se conserve que quelques mois ; on peut en augmenter la durée en

souffrant régulièrement sur tout le spectre. Les conditions favorables à l’apparition des couleurs du second ordre sont : une finesse particu-

lière de grain de l’émulsion , un éclairement et un développement

normaux, c’est-à-dire celles qui donnent aux images un éclat considé- rable.

~

P. LucoL.

RICHAHD Bemerkingen zu dem Gesetz der Helligkeitszunahn1e eines glûhenden l14rpers mit der Temperatur (Remarque sur la loi d’augmentation

de l’intensité lumineuse d’an corps incandescent avec la ten1pérature).- P. 19-20.

La formule donnée par Rasch pour l’intensité photométrique to-

tale (~) :

est de la même forme que l’équation de Wien relative à une lumière

monochromatique, qui peut s’écrire :

On calcule aisément, en utilisant les résultats numériques de Rasch,

’t

que la longueur d’onde pour laquelle les formules don- neraient une même valeur pour ) et m est )~

=

0,542 p.p~, remarqua- blement voisine de À ==0,335 qui correspond au maximum de sen-

sibilité de la rétine.

P. LUGOL.

K. L eber die photographische Wirksaiiikeit des Ozons

(Sur l’activité photographique de l’ozone). - P. i3-i!~.

Les physiciens ne sont pas d’accord sur l’action photographique

directe de l’ozone, affirmée par les uns, niée par les autres.

teur, qui a montré ailleurs (2) que l’ozone agit sur le bromure d’ai- gent pur, a réussi à obtenir une image très intense après deux mi-

cl. t. YI, p. 193-203 ; 1904 ;

-

J. de 4’ série, t. III, p. SG i.

(2) et ScuAUM, Zeitschy. t II, p. 285 : 1904.

(6)

456

nutes d’action d’un courant d’oxygène ozonisé, et l’inversion après

huit minutes. Il explique les résultats contradictoires obtenus jus- qu’ici par la très grande différence de sensibilité à l’ozone des plaques

du commerce, différence qui lui parait surtout dépendre des propriétés

de la gélatine, soit de sa transparence pour l’ozone, soit de son oxy- dabilité plus ou moins grande. Les plaques qui lui ont fourni les ré- sultats signalés sont des plaques A.gfa et Perutz non orthochroma-

tiques.

P. LuGOL.

THE ASTROPHYSICAL JOURNAL;

Vol. XX (suite); septembre, octobre, novembre et décembre 1904.

O.-C. LESTER. - On, the oxygen absorption bands of tbe solar spectrulll (Sur les bandes d’absorption de l’oxygène dans le spectre solaire).

-

P. 81-105.

L’auteur a recherché dans ce travail si les lois de Deslandres sur

les spectres de bandes pouvaient s’appliquer aux bandes d’absorp-

ti-on de l’oxygène dans le spectre solaire. Il a étiidié à ce point de

vue les bandes A (tête à ~, -1594), B (~, 6867,, ot (A 6~77), ~ (À 3788), (À 5377), et, comme il ne jugeait pas suffisantes ou assez étendues les mesures de longueurs d’onde de Cornu, Rowland et Higgs, il

les a reprises et complétées.

Chacun des groupes A, B, ..., se compose de deux parties qu’on

a qualifiées à tort de tête et de queue. L’auteur montre qu’en réalité

on n’a pas affaire à la tête et à la queue d’une même bande, mais à

deux bandes tout à fait distinctes, en sorte que le spectre est formé

de deux séries de bandes, celle des bandes têtes et celle des bandes queues. D’une façon générale, les relations existant entre les raies et les bandes de la première série (tètes), analogues à celles qui

existent entre les raies et les bandes de la seconde série (queues),

sont toujours d’un ordre de grandeur différent, et souvent de sens

différents.

La première loi de Deslandres sur le spectre de bande n’est que

grossièrement approchée : au lieu de la forme N = a + bn2, on est

conduit à adopter N = rz + kn + cn2. Contrairement aux formules

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