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Physikalische Zeitschrift; t. XII ; 1911

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HAL Id: jpa-00241801

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241801

Submitted on 1 Jan 1912

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Physikalische Zeitschrift; t. XII ; 1911

M. Barrée

To cite this version:

M. Barrée. Physikalische Zeitschrift; t. XII ; 1911. J. Phys. Theor. Appl., 1912, 2 (1), pp.79-80.

�10.1051/jphystap:01912002007901�. �jpa-00241801�

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rapports de la longueur au diamètre., la valeur du rapport l’l’?

Bm étant l’induction au milieu du cylindre, 1"induction au centre d’une surface terminale.

Ce rapport, qui serait égal à 1 pour un disque infiniment plat, est

de 7 pour un cylindre dont la longueur est de 5,5 fois le diamètre.

On voit donc que la plupart des lignes de force sortent par la surface cylindrique et que, dans le calcul de la force démagnétisante

au centre, c’est le terme à l’aimantation latérale qui est prépon-

dérant. Il. JOUAUST.

PHYSIKALISCHE ZEITSCHRIFT;

T. XII ; 1911.

H. Sur l’origine des porteurs de l’intensité mobile et de l’intensité fixe des rayons-canaux (communication prélin1inaire). - P. 1091-1094.

Nouveau travail du laboratoire de W. Wien sur l’effet Doppler

des rayons-canaux; dispositif expérimental analogue à celui de Baerivald 1’ ).

Il est possible d’expliquer l’origine des porteurs de l’intensité fixe et de l’intensité mobile par l’une des hypothèses suivantes :

~. Les porteurs des deux intensités proviennent de l’espace de dé- charge,. Une partie des porteurs passent dans l’espace d’observation et sont rendus lumineux par les particules fixes du milieu environ-

nant : ce sont les porteurs de l’intensité mobile. Les autres, par choc

avec ces particules, perdent leur vitesse et deviennent lumineux; ils correspondent à l’intensité fixe.

2. L’intensité mobile est provoquée par de petites particules de

,

l’espace d’observation, qui deviennent lumineuses et acquièrent de la

vitesse par choc avec les particules de l’espace de décharge ; l’inten-

.

sité fixe est due aussi bien aux particules de l’espace de décharge

retardées par le choc qu’aux particules du milieu d’observation ren- duels lumineuses sans acquérir d’accélération.

3. Les porteurs de l’intensité mobile proviennent de l’espace de décharge et parcourent tout 1 espace d’observation sans perte appré-

(1) J. de l’h ys., 5’ série, t. 1, pp. 506 et 943: 1911.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:01912002007901

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ciable de vitesse ; l’excitation lumineuse est due aux particules en

repos du milieu d’observation. D’autre part, les particules très rapides des rayons-canaux excitent l’éclat de ces particules en repos

sans leur donner de vitesse : d’où l’intensité fixe.

Cette dernière hy pothèse est d’accord avec les expériences de

Strasser et de Reichcinhem, elle est confirmée par les recherches de V’7 ilsar.

Les rayons-canaux de 0 arrivant dans N, on observe l’intensité fixe des raies de l’azote, les bandes de l’azote et l’intensité mobile seulement pour les raies les plus fortes de 0. On obtient un résultat

analogue pour les rayons-canaux de N arrivant dans 0. Les expé-

riences sont moins nettes avec H et N, car on ne peut empêcher com- plètement le mélange des deux gaz.

F. BEHNSEiV. - Intluence de l’oxydation et du traitement thermique

°

sur le magnétisme du cuivre.

-

P. 115î-1160.

Gray et Ross (1) ont observé sur une feuille très mince de cuivre

électrolytique, portée au rouge blanc et refroidie, un magnétisme

rémanent notable, hors de proportion avec la très faible teneur en fer

du métal ; Cu électrolytique en masse compacte n’a rien donné de tel. Ils ont expliqué ces différences par la combinaison, au cours de l’échauffement, de Cu avec les traces de Fe, combinaison qui serait plus fortement magnétique que le fer.

Behnsen a recherché si la divergence ne doit pas être attribuée à

l’oxydation au cours du traitement thermique, oxydation particu-

li èrement importante pour le cuivre en feuille. Cette hypothèse est à rejeter, car Cu pur est diamagnétique, CuO et Cu2O purs sont para-

magnétiques, quel que soit le traitement thermique auquel on les

soumette.

Toutefois, Behnsen considère comme invraisemblable l’hypothèse

de Gray et Ross : CuO commercial est ferromagnétique, mais le ferromagnétisme augmente beaucoup par réduction de l’oxyde; ce qui s’explique si l’on admet que, dans l’oxyde de cuivre commercial,

Fe est à l’état d’oxyde transformé, par réduction, en fer métallique.

M. BARRÉE.

(1) Phys. Zeits., X, 59 ; 1909.

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