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Zeitschrift fur physikalische Chemie ;T. LXXV; 1911

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HAL Id: jpa-00241654

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241654

Submitted on 1 Jan 1911

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Zeitschrift fur physikalische Chemie ;T. LXXV; 1911

A. Sève

To cite this version:

A. Sève. Zeitschrift fur physikalische Chemie ;T. LXXV; 1911. J. Phys. Theor. Appl., 1911, 1 (1),

pp.166-168. �10.1051/jphystap:0191100102016601�. �jpa-00241654�

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par la théorie connue, d’après laquelle les traits d’une échelle en

millimètres cessent d’être distincts quand elle est éloignée du miroir

de plus de ~ 000 fois le rayon de ce miroir. P. LuGOL.

BR. GLATZEL. - Expérience de démonstration sur la réception de l’énergie

dans le circuit du courant alternatif.

-

P. 30.

Il s’agit d’une disposition expérimentale permettant de mettre en

évidence la valeur momentanée du produit e i à un instant déterminé

de la période d’un courant alternatif, suivant différentes valeurs de la phase entre l’intensité et la tension. On étudie ainsi l’énergie

cédée par la machine au circuit ou inversement par le circuit à la machine dans différents cas, en faisant varier dans le circuit résis- tance, self et capacité.

Le dispositif essentiel comprend un wattmètre dont la bobine- intensité est en relation constante avec le courant, tandis que la bobine-tension n’est mise en circuit que momentanément, toujours

au même moment de la période, par le jeu d’un disque de Joubert calé sur l’axe de l’alternateur.

Le schéma de l’expérience et des courbes représentant les résul- tats dans quatre cas principaux (résistance, self, résistance avec self, capacité) accompagnent la communication de M. Glatzel.

DESSAUER. - Recherches avec les bobines d’induction et les tubes de Rôntgen.

P.

Électricité médicale. A. GALLOTTI.

ZEITSCHRIFT FUR PHYSIKALISCHE CHEMIE ;

T. LXXV; 1911.

VORLANDER et HUTH. 2013 Le caractère de la double réfraction chez les cristaux liquides.

-

P. 641-651.

Tous les cristaux sont uniaxes, l’axe étant perpendiculaire à la

lame de verre pendant 1 observation ; mais les uns présentent en

lumière polarisée circulairement les phénomènes de pléochroïsme,

colorations superficielles, ils ont la biréfringence négative ; ceux qui

ne présentent pas ces phénomènes ont la biréfringence positive; un

même corps peut donner des cristaux liquides des deux espèces.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:0191100102016601

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BATSCHINSKI. - La recherche du degré d’association moléculaire des liquides.

-

P. 665-673.

Ramsay et Schields ont indiqué pour les liquides, entre la tension superficielle y et le poids moléculaire M, une relation :

dans laquelle ce représente le degré d’association moléculaire à la

température absolue T et sous le volume spécifique v, TK désignant

la température critique absolue. Or celle-ci doit dépendre de x ; en

effet, elle est reliée aux coefficients a b, R, de l’équation de Van der

Waals :

et de ces constantes b seul est indépendant de x puisqu’il représente

le covolume, et par suite aussi le volume critique

-

3b. Mais on

peut déterminer dans chaque cas TK en fonction de la viscosité -P, par la relation empirique :

qui est la généralisation de la même formule établie pour les liquides

1. Donc les mesures de qï, -n’ y, donnent pour chaque tempé-

rature la valeur de x. Elle est en générale supérieure à celle que donne la relation (1). A 20°, x - 3,43 pour 4,43 pour (à2FISOII, x - 3,47 pour Clilco?H et m = 2,13 pour H 20.

HIRNIAK. 2013 La question des réactions périodiques. - P. 675-680.

Il

Etude thermodynamique de la transformation mutuelle de trois isomères et calcul des relations donnant la période et l’amplitude.

P lUNS. - Les cristaux mixtes chez les liquides cristallisés et la loi des phases.

,

P. 681-684.

"

_

Réponse aux critiques de Lehmann (t. LXXIII, p. 598; 1910).

(4)

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SEBOR. - Remarque sur la loi des dilution P. 680-686.

Une conséquence mathématique d’un travail de Bredig sur l’hy- drolyse (t. XIII, p. 321 ; 189~~ montre que cette loi ;’

°

où 2, est le degré de dissociation, n le nombre de corps dissous, est

une loi limite, valable seulement quand les électrolytes n’ont aucun

ion commun.

G1NNECKEN. - Le sulfate mercureux comme dépolarisant dans l’élément Weston-Clark. - P. 687-709.

La théorie de Hulett (pays. Rev., t. XXVII, p. 360; 1908) corres- pond mal aux faits; mais l’idée qui en est la base est bonne et peut contribuer à expliquer les phénomènes compliqués qui se passent

dans l’élément normal.

L’absorption par les cristaux (5e partie : Cristallisation dans les solutions aqueuses). - P. 110-732.

La coloration des cristaux est un phénomène d’absorption, et le partage de la matière colorante entre le cristal et la dissolution suit

une loi exponentielle :

a est la quantité absorbée, 1 celle qui reste en dissolution, K et n deux

constantes dont la dernière varie entre ~ et 1. L’absorption de diffé-

rentes matières colorantes n’est pas fonction de leur nature, mais de la nature cristallographique de la surface absorbante.

TAMMANN . - Le diagramme d’état de l’iodure d’argent.

-

P. 133-762.

L’étude complète est faite entre

-

180° et pour des pressions comprises entre 0 et 3.500 kilogrammes par centimètre carré, et

le diagramme ressemble beaucoup à celui de l’eau. L’iodure dit

amorphe est identique à l’iodure cristalltsé. A. SÈVE.

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