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Submitted on 1 Jan 1910
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Zeitschrift fur Physikalische Chemie; T. LXII; 1908
A. Sève
To cite this version:
A. Sève. Zeitschrift fur Physikalische Chemie; T. LXII; 1908. J. Phys. Theor. Appl., 1910, 9 (1),
pp.187-196. �10.1051/jphystap:019100090018700�. �jpa-00241515�
ZEITSCHRIFT FUR PHYSIKALISCHE CHEMIE;
T. LXII; 1908.
S,~ND et GRA,~1111,ING. -Ueber die Molckülgrljsse des graublauen Clirointrichlo-
ridhexahydrates : I. Neutralisierung des graublauen Salzes durch rBatronlauge
lsuu la grosseur des molécules dutricnlorure de chrome bexabydraté gris bleu :
1. Neutratisatioti du sel gris bleu par une lessive de soude). - P. 1.
En utilisant des mesures électrochimiques pour avoir la concen- tration en chlorure pendant la neutralisation, on trouve que les solutions de l’hydrate violet ne contiennent pas les ions de la com- binaison Cr (1-120)6 ~r3, mais ceux de Cr2 (H20)1 2 C16 qui, par hydro- lyse donne d’abord CrOH C12. Dans les sels chromiques hexahydra- tés, les atomes de Cr sont probablement unis comme dans les
bichromates.
SAXD et (âh_~1IBILIVt~.
-Ueber die lllolekülgrosse des graublauen Chl’On1tri-
chloridhexahydrates : II.H~Tdrolyse des Salzes dureh Kaliuitijoclid und Kaliu1l1-
jodat (Sur la grosseur des molécules du trichlorure de chrome hexahydraté gris
bleu : 11. Hydrolyse du sel par l’iodure et l’iodate de potassium. - I’. 28.
On mesure la vitesse avec laquelle, dans le mélange des solutions,
se forme l’iode libre. Les résultats conduisent encore à la formule Cr2 (H20)12 C16 ; les alcalis agissent sur ce sel comme sur les bichromates.
JONES et VEÂZEY. 2013 Die Leitfahigkeit und innere Reihung ;on Telraathylan1-
monium Jodid in Wasser, Methylalkohol, Âthylalkohol Nitrobenzot und biniîren
gemischen dieser Lôsungsmittel (La conductibilité et le frottement interne des solutions de l’iodure de tétrethylammonium dans l’eau, les alcools méthy- lique et éthylique, le nitrobenzène et les mélanges binaires de ces dissolvants).
-P.~!.
Pour les solutions dans les mélanges de ces alcools et d’eau, la
conductibilité atteint son minimum quand le mélange est à 50 0/0
d’alcool.
’Dans les mélanges de nitrobenzène et d’alcool méthylique, les
conductibilités sont inférieures à celles que donnerait la règle des mélanges, tandis que la fluidité est un peu plus grande. Avec l’al-
cool éthylique et le nitrobenzène, la conductibilité passe par un maximum ainsi que la fluidité et pour les mêmes proportions.
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019100090018700
188
MEYER. 2013 Zur Theorie der Rohrzuckerinversion
(Sur la théorie de l’inversion du sucre de canne).
-P. 59.
En se basant sur la hirotation du glucose et du fructose, on
montre que l’inversion du sucre de canne par les acides dilués n’est pas une simple réaction unimoléculaire, mais une suite de réactions réversibles. L’auteur donne des équations qui permettent de calcu- ler le pouvoir rotatoire de la solution en fonction des constantes de la réaction et des pouvoirs rotatoires spécifiques des différents com-
posants. Il est vraisemblable aussi qu’en solution le fructose u se
transforme partiellement en un autre fructose 6.
KEPPELER et D’ANS. -Die thermische Dissociation der wasserfreien Eisensulfate (La dissociation thermique des sulfates de fer anhydres).
-P. 89.
Le sulfate ferrique se décompose d’après l’équation :
et la tension du S03 varie avec La température suivant une loi
connue.
Dans la phase gazeuse, il s’établit l’équilibre donné par
Un sulfate ferrique basique (S04)2 OFe2 se dissocie de même, mais les tensions de S03 sont plus élevées.
Pour le sulfate ferreux, on a :
en même temps qu’en présence de 503, il se produit un équilibre
entre l’oxydation et la réduction des sulfates, d’après l’équation:
A 640°, il intervient une modification allotropique de l’oxyde
de fer.
LORENTZ et RATAYAMA. 2013 Zur Thermodynamik von Kesten mit festen Stoffen
(Sur la thermodynamique des chaînes à substances solides).
-P. 119.
La formule de Gibbs Helmholtz s’applique encore, et des mesures
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de forces électromotricés faites avec des piles contenant des sels d’argent et de plomb concordent bien avec les nombres donnés par la formule.
D1ETHELM et FOERSTER. - Ueber die elektrolytische Reduktion von Titan sul- fatlosungen (Sur la réduction clectrol5~tique des solutions de sulfate de titane)’
- P. i29.
,En solution aqueuse, elle conduit du titane tétravalent au titane
trivalent, comme pour le chlorure. La marche du phénomène dé- pend beaucoup de la nature de la cathode ; dans tous les cas, la ré-
duction est complète, sauf avec le platine platiné pour lequel il y a
production d’hydrogène jusqu’à équilibre avec l’hydrogène atmos- phérique. La réduction est d’autant plus rapide que la cathode est
en métal plus finement divisé.
SGHÂ.RFF. 2013 Ueber das Leuchten des Phosphors und einiger Phosphorverbin- dungen (Sur la luminescence du phosphore et de quelques combinaisons phos- phorées).
-P. 179.
Les études ont porté sur P, P20’,’ et PIS-. Quand la pression de l’oxygène diminue, il se produit d’abord des éclairs intermittents dont la durée augmente jusqu’à ce qu’il y ait éclat permanent. Quand
on augmente la pression, on repasse par les mêmes phénomènes :
éclat continu, puis intermittent et enfin extinction.
J. VAN LA~~1~. - Ueher den Dampfdruck von ti°ocknem und ge~T6hnliehen
salmiak (Sur la tension de vapeur du sel ammoniac sec et ordinaire).
-P. 194.
Les résultats de Abegg et Baker sur l’égalité des tensions de va-
peur du sel ammoniac sec c’est-à-dire non dissocié et du sel ordinaire presque complètement dissocié ne sont pas en contradiction avec la théorie.
LUTHEH et DOUGALL. - Die Kinetik der Reaktion zwisclien Chlorsaure und Salzsaure (Ein lleaktions verlauf achter Ordnung (Cinétique de la réaction entre les acides chlorique et chlorhydrique. Une réaction du 8e ordre).
-P. 199.
Pour les faibles concentrations en ions Cl’, la réaction suit l’équa-
tion :
.190
mais, quand cette concentration croît, la réaction comprend deux phénomènes représentés par
La production de Clll’% est donc secondaire et l’équation des
vitesses pour la réaction primaire est
ODDO et SCA~DOLA. 2013 Ueber deu Ziis[,irid der SLolfe im ahsoluter ~cllByefsiiul’e
(Sttr l’état des corps dans l’acide sulfurique pur). - P. 243.
Les mesures du degré de dissociation ont été faites pour les solu- tions sulfuriques d’un grand nombre d’acides forts ou faibles; sou-
vent elles sont en désaccord avec l’explication de Hantzsch. La nature du phénomène devra être recherchée dans la constitution moléculaire de sa; 112.
C. VAN ROSSE:B1. - Einfluss taugsamer Dissociation aùf Phasengleichge~ichte (Influence d’une dissociation lente sur les équilibres des phases).
-P. ?5’~. ~
L’existence d’une dissociation lente explique souvent le manque de constance observé dans les résultats des mesures de certains
points de fusion ou de tensions de vapeur. L’explication donnée
pas Bancroft n’a besoin d’être complétée que dans les détails.
TEAGUE et BUXTON. 2013 Die gegenseitige Austl()cl~-ting von Kolloiden.
(La coagulation mutuelle des colloïdes).
-P. 287.
La coagulation des matières colorantes acides par celles qui sont
,
basiques est la plus parfaite quand on mélange des masses équimo- iéculaires ; NaCl mis en liberté n’est pas la cause du phénomène.
Les substances colorantes s’unissent d’autant mieux l’une à l’autre
qu’elles sont plus colloïdales. Le degré de coagulation et la largeur
de la zone de coagulation diffèrent suivant la nature colloïdale des matières employées. Cette règle s’étend aux colloïdes organiques et
minéraux.
0. DE B~RtES. 2013 Die Ableitung der Stl>C1110lI1et1’1SC’ht’n f~esc~tze
(L’établissemen) des lois de la stüchionlétrie).
-P. 308.
Il faut les considérer comme des résultats de l’expérience et non
comme des lois ~7~inrz .
JOHB5T0~1. - Ueber die Dissociations-drucke einger Metalihydroxyde und Car- bonate (Sur les tensions de dissociation de quelques hydroxydes métalliques et quelques carbonal,es).
-P. 330.
Les mesures se rapportent aux métaux alcalins et alcalino-terreux ; rangées d’après la facilité de la dissociation, leur ordre est le même que dans le système périodique; les chaleurs de formation observées pour les hydrates concordent avec celles qu’on déduit des courbes de tension, et non celles déduites de la formule de Nernst.
LOTTERMOSER et 11OTtIE. - Bcilrage zur Iientniss der Hydrosol-und Hydro- gelbildungsvorganges. II. Absorption von Silbernitrat 11nid Jodkaliurn durcb
amorphes Jodsilber (Contribution à la connaissance du phr’n0111ène de la fornia- tion des solutions et des précipités aqueux. Il. Absorption du nitrate d’argent
et de l’iodure de potassium par l’iodure d’argent amorphe). - P. 359.
L’absorption de NOH Ag par AgI amorphe suit la loi connus
L’équilibre s’établit rapidement quand la concentration augmente, mais très lentement quand ellé diminue, de sorte qu’on ne peut pas libérer complètement AgI de N03 Ag absorbé.
AgI amorphe et humide peut être transformé en solution par des ions l’.
Le phénomène a un maximum pour une concentration de l’io- dure d’autant plus faible que la valeur de son action est plus élevée.
L’absorption de KI par AgI amorphe ne suit pas la loi d’absorption.
’