HAL Id: jpa-00241653
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Submitted on 1 Jan 1911
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Physikalische Zeitschrift. Tome XII; 1911
A. Gallotti
To cite this version:
A. Gallotti. Physikalische Zeitschrift. Tome XII; 1911. J. Phys. Theor. Appl., 1911, 1 (1), pp.163-166.
�10.1051/jphystap:0191100102016301�. �jpa-00241653�
La connaissance, pour diverses valeurs de 1, de cette grandeur per- met tout d’abord à l’auteur de calculer la densité en chaque point de la
couche magnétique d’action équivalente à celle du barreau. Il cherche
également à appliquer la méthode qu’il avait indiquée précédem-
ment pour le tracé des surfaces de niveau et des lignes de force, mais
il constate que, si cette méthode donne des résultats exacts dans la
région équatoriale, les résultats auxquels elle conduit dans la région polaire sont en contradiction avec ceux qu’on peut relever expéri-
mentalement par la méthode des spectres magnétiques en tenant compte de la loi de réfraction tangentielle.
La remarque faite dans cette expérience, qu’au voisinage des angles du barreau les lignes de force sont inclinées à 45 degrés sur l’axe, le conduit à un nouveau procédé de calcul qu’il applique
non seulement pour le tracé des lignes de force, mais aussi pour la détermination du champ magnétisant en divers points du barreau.
En particulier, pour la région médiane, le facteur démagnétisant
moyen est :
alors que pour un ellipsoïde de révolution ayant même cercle équa-
torial et un grand axe égal à la hauteur du barreau, on aurait eu
Pour le fer étudié, dans le champ envisagé, l’auteur a trouvé
R. JOUAUST.
PHYSIKALISCHE ZEITSCHRIFT Tome XII; 1911
JOHANN KQENtGSBERGEH. 2013 Sur la détermination du nombre des particules
oscillantes dans les vapeurs, dans les solutions et dans les gaz incandescents.
- P. 1-5.
On sait que la dispersion et l’absorption du rayonnement électro- magnétique dans une substance permet de déterminer, grâce à la
théorie de Ketteler-Helmholtz et au moyen des formules de Drude, de Lorentz et de Planck, le nombre des particules oscillantes. Au
point de vue pratique, les mesures d’absorption sont beaucoup plus
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:0191100102016301
simples que les mesures de dispersion et peuvent n’être effectuées que pour deux longueurs d’onde dont l’une est arbitraire.
Les expériences de l’auteur ont porté principalement sur la vapeur
d’indigo C’60’Hi°N’-’ et sur les dissolutions de permanganate de potassium de concentration égale à 0,000166. Pour ce dernier cas,
il a été tracé une courbe qui donne l’indice d’absorption x en fonc-
tion de la longueur d’onde entre 5.000 et 5.500 U. x A et l’on tire de
la règle d’Avogadro :
-
il y a donc environ, pour cette concentration de permanganate, un élec-
tron sur 500 molécules qui absorbe lalumière au voisinage de À - ~.B25.
Ces expériences d’absorption ont conduit en outre l’auteur à
admettre qu’une absorption propre sélective sur une grande étendue correspond à un état normal des gaz et des vapeurs à latempérature
ordinaire. Au contraire, les raies fines d’absorption doivent être
.attribuées à une autre catégorie de molécules, qui se présentent
d’ailleurs moins souvent et qui indiquent peut-être l’existence de
phénomènes d’équilibre chimique.
RUDOLF LADENBURG. - Sur le quotient du pouvoir émissif de l’hydrogène
incandescent par son pouvoir absorbant. - P. 5-9.
L’auteur poursuit ses expériences sur les propriétés absorbantes de l’hydrogène incandescent, expériences qui furent le point de départ d’une discussion entre Ladenburg, A. Ptluger et H. Ko-
nen (1). Ici le montage se compose d’un tube de 23 centimètres de
long, où l’hydrogène est à une pression d’environ 2 millimètres de
mercure. Le tube est excité au moyen d’une source à 20 000 volts, et
c’est au voisinage de la raie H que l’étude a été effectuée.
L’expérience montre que le quotient Ali’ J
Bdu pouvoir émissif par le
pouvoir absorbant à l’intérieur de la raie spectrale H varie avec les
conditions d’excitation; l’auteur trace différentes courbes représen- tatives ; en outre, si l’on essaie de calculer la « température » de l’hydrogène par comparaison avec le pouvoir émissif ex d’un corps noir tel que :
(1) A. PLOGER, Pitys. Zeitsch7’., XI, 663 ; 1910.
on obtient pour les différentes longueurs d’onde d’une même ligne
’absorption, des températures différentes.
RUDOLF LÀDENBURG. - Remarques astrophysiques au sujet d’expériences sur l’absorption et la dispersion anomale de l’hydrogène incandescent. - P. 9-12.
Application de l’étude précédente à divers points d’astronomie
physique et notamment à la constitution du Soleil.
-PETËR PAUL ROCH. - Nombre des centres d’émission lumineux et rapport des intensités des différents ordres d’interférence. Remarque sur un travail de Stark.
-
P. 12-14.
Barth a publié récemment (Sitzungsber. der Ii. Akadem. der
Wissenschaften in Wien, CXIX, ï i9 ; 1910) un important mémoire,
où il indique les résultats qu’il a obtenus en comparant, au moyen d’une méthode photographique et photométrique, l’énergie des
diverses raies spectrales dans les spectres de différents ordres pro- duites au moyen d’un réseau de diffraction; les sources de lumière
employés étaient l’arc électrique (intensité 10’) et la lampe à vapeur de mercure (intensité 1). Peter-Paul Koch, de Munich, reprend, en
les discutant, les diverses conséquences que Barth a tirées de ses
expériences. Se basant sur des observations personnelles, ilindique
que l’interprétation du noircissement des plaques photographiques
sèches ne permet pas de compter sur une aussi grande précision que l’auteur l’a supposé, et il conclut en souhaitant vivement une amélio- ration notable de cette technique, qui conduira sans doute à des con- ceptions nouvelles sur les principes de l’optique et sur la nature de
la lumière. MARCEL BOLL.
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