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Physikalische Zeitschrift ; t. XIV ; 1913

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(1)

HAL Id: jpa-00241892

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241892

Submitted on 1 Jan 1914

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Physikalische Zeitschrift ; t. XIV ; 1913

Paul de la Gorce, A. Grumbach, Ch. Letellier, Ch. Leenhardt

To cite this version:

Paul de la Gorce, A. Grumbach, Ch. Letellier, Ch. Leenhardt. Physikalische Zeitschrift ; t. XIV ; 1913.

J. Phys. Theor. Appl., 1914, 4 (1), pp.252-260. �10.1051/jphystap:019140040025201�. �jpa-00241892�

(2)

L’équation quadridimensionnelle (2) embrasse l’équation classique

de l’énergie :

et l’équation d’impulsion :

p désigne la densité de charge électrique ; i, le courant de conduc-

tion ; v, la vitesse du corps; c, la vitesse de la lumière dans le vide ;

e, le champ électrique ; d, le déplacement ; h et b, le champ et l’in-

duction magnétiques.

Enfin, d’après l’équation (3), on a :

où i9 désigne le tenseur électromagnétique, g la densité d’impulsion,

S le courant d’énerg ie et u la densité d’énergie du champ électro- magnétique ; r représente un tenseur dont les trois composantes de la diagonale sont égales à l’unité et dont les six autres s’évanouissent ensemble.

.

E.-M. LéMERAy.

PHYSIKALISCHE ZEITSGHRIFT ;

T. XIV ; 1913.

W. W1NTER. - Recherches sur l’action des métaux

comme redresseurs de courant. - P. 823-828.

Schulze (’ ) admet que l’aluminium et quelques autres métaux qui

forment clapet électrique quand ils sont utilisés comme anodes dans (1) ScHULZE, Ann. d. p. 789; ’1909.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019140040025201

(3)

un circuit, doivent cette propriété à la formation d’une pellicule

active qui ne peut être traversée par le courant que dans un seul

sens. L’auteur a recherché s’il ne serait pas possible de favoriser artificiellement la formation de cette couche active et d’obtenir ainsi avec un grand nombre de corps les propriétés exceptionnelles

de l’aluminium. De là l’idée du dispositif expérimental qu’il a utilisé

et qui consiste à employer le métal soumis à l’essai sous forme de lame

ou de feuille enroulée autour d’un vase poreux. Dans ce vase est con- tenu l’électrolyte et plonge l’électrode inactive formée ordinairement d’un crayon de charbon. L’auteur étudia dans ces conditions le

magnésium, l’aluminium, le zinc, le cadmium, le fer, le cobalt, le nickel, le plomb, l’étain, l’antimoine, le bismuth, le cuivre, l’argent,

le platine, l’or et le chrome. Il constata qu’en employant comme électrolyte une lessive de potasse, tous ces métaux se comportaient

à des degrés divers comme des redresseurs. Avec une solution d’acide sulfurique, le même effet s’observait sauf pour le platine, l’or

et le chrome. Des expériences furent réalisées avec des solutions de chlorure de sodium et d’acide azotique ; mais les résultats furent

moins nets. Pour expliquer ces phénomènes, on peut admettre avec l’auteur que la présence du vase poreux a comme rôle essentiel de favoriser la concentration à la surface de l’anode des produits de l’électrolyse en empêchant leur diffusion dans l’électrolyte. Il s’éta-

blit alors un équilibre entre la vitesse de diffusion et la vitesse de for- mation de la couche active ; et, pour une certaine intensité de cou-

rant, la soupape électrique agit avec son maximum d’efficacité. Il faut noter aussi que l’échauffement local provoqué par le passage du courant à travers la paroi poreuse peut également intervenir dans les effets observés.

PAUL DE LA GORCE.

0. HAHN et L. Sur la Complexité du radioactinium et sur la place de l’actinium dans le système périodique. - P. 752-758.

Les auteurs ont recherché si, comme l’ont avancé d’autres sa- vants (1), le radioactinium se décompose en deux corps, l’un d’une vie moyenne de 19,5 jours, l’autre évoluant bien plus rapidement

GEIGER et NUTTALL, Phil. Mag., 16, XXII, 613 (I9I. ; XXIV, 647 (Z932) ;

-

RUSSELL et CHADWIChs Natu1’e, XC, 463 (1912).

(4)

254

~~.3 heures à 1,5 jour de vie moyenne); ce dernier émettrait les rayons ce du radioactinium.

M. Hahn et Meitner ont préparé de l’actinium exempt de ra-

dioactinium par la méthode de MM. Hahn et Rothenbach (1), et ils ont

mesuré les activités ce et p de la préparation. Au moyen des équations

données par Mme Curie, on peut construire les courbes théoriques cor- respondant à la formation hypothétique de deux radioactiniums. Il y

a un désaccord très net entre l’expérience et l’hypothèse d’un produit

intermédiaire émettant des particules ce et placé entre le radioacti- nium et l’actinium X.

Ce résultat s’accorde bien avec les remarques faites sur la relation entre la valeur de l’émission de rayons oc et ~, mais c’est une excep- tion à la loi de Geiger (loc. cit. ).

Le schéma est donc :

Actinium -~- Radioactinium -~- Actinium X, etc.

v. -i- ~ >

1

La place de l’actinium dans la série de l’uranium serait la suivante

(les chiffres indiquent les valeurs) :

0. HAHN et L. MEITNER. - Sur l’uranium X2.

-

P. 758-759.

Nouvelle méthode d’isolement de l’uranium X2 découvert par Fa-

jans et Gôhring (2) : l’uranium X possède les propriétés du thorium,

l’uranium X2 doit se rapprocher du tantale.

On sépare l’uranium X de l’uranium d’une solution de nitrate par addition de carbonate d’ammoniaque en excès et on verse rapide-

ment la solution d’uranium X (3) sur un filtre enduit d’une couche mince de pentoxyde de tantale humide. On mesure ensuite l’acti- vité ~. Celle-ci décroît rapidement et s’approche d’une limite corres-

pondant à l’activité de l’uranium X ordinaire. La vie moyenne de (1) Ph. Z., p. 409 ; 1913.

(2) NaturwÍssenschaften, 1, 339 ; 1913.

(3) Voir SODDY et RUSSELL, Phil. Mag., XVII (6), 620 ; 1909.

(5)

l’uranium X.2 est de ~,~’~ minute, résultat concordant avec ceux de

Fajans et Gôhrinq. Ce rayonnement est identique aux rayons péné-

trants attribués jusqu’à présent à l’uranium X; il semble donc qu’on

a affaire ici à un produit de transformation directe de l’uranium X.

A. GRUMBACH.

E. AIADELUNG. - Théorie cinétique de la loi d’Eôtvôs. - P. 729-73i.

Cette loi empirique trouvée expérimentalement par Eôtvôs en 1886

s’exprirne par la relation :

-1

relation dans laquelle :

a est la tension superficielle d’un liquide ; Vo, le volume moléculaire ;

T, la température ;

T’, une température caractéristique pour chaque liquide ; K, une constante universelle de valeur moyenne 9.~,12.

L’auteur calcule le travail qui accompagne la transformation d’une lame liquide de 1 centimètre sur 2 en une autre de 1 centimètre sur 1,

en distinguant entre l’énergie moléculaire superficielle et l’énergie

moléculaire interne. Il applique l’équipartition aux molécules superfi- cielles, admet qu’elles agissent seulement sur celles qui en sont immé-

diatement voisines et suppose que leur distribution est celle d’un réseau. On arrive ainsi à une formule de la forme :

a étant une constante dont la valeur dépend de la forme du réseau

adoptée pour la distribution des molécules.

M. BORN et R. COURANT. - A propos de la théorie de la loi d’Eôtvôs.

P. 731-740.

Les auteurs appliquent aux liquides les méthodes appliquées aux

solides par Born et Karman d’une part, Debye d’autre part, pour le

calcul des chaleurs spécifiques. Les molécules ne sont pas supposées

(6)

identiques et à une seule fréquence, mais à un nombre infini de fré- quences, et ce sont les vibrations qui constituent les degrés de liberté, sous cette condition que leur nombre est égal à trois fois le nombre des molécules.

Voici la marche du calcul :

10 On suppose une masse liquide sphérique vibrant autour de sa position d’équilibre sous l’influence des forces de compressibilité et

de tension superficielle et on détermine l’équation de son mouvement

par application des lois de l’hydrodynamique et de la capillarité.

Étant donné un liquide de volume V et de surface S, on calcule le

nombre total de vibrations propres dont la fréquence est inférieure à

une valeur donnée a, et on détermine la fréquence maxima par la condition que le nombre de vibrations de fréquence inférieure à v,n est

égal au nombre de degrés de liberté, c’est-à-dire trois fois le nombre de molécules.

On sait que l’énergie libre d’un résonateur de Planck est donnée par l’expression :

équation dans laquelle ;

h étant la constante de Planck;

k, la constante de Boltzmann.

On calcule alors l’énergie libre totale H du liquide, en multipliant chaque degré de liberté par l’énergie libre du résonateur correspon- dant et faisant la somme, ce qui donne :

"1} (x~ étant le nombre de degrés de liberté compris entre x et

x + dx.

L’application de la thermodynamique montre que la tension

superficielle :

(7)

En effectuant cette opération, et après quelques transforinations,

on obtient :

1--l -

,, X. -

expression qui montre comment 7 varie en fonction de la tem-

pérature.

Le cas particulier pour lequel x est très petit, donne la loi d’Eôtvôs :

1 «

où :

,

1

c étant la vitesse de propagation du son dans le liquide.

Posant :

Í"- on obtient :

La théorie supposant le liquide limité par le vide ou un milieu très dilué, ne s’applique donc qu’aux températures moyennes ; ceci

explique aussi pourquoi les valeurs de K trouvées expérimentale-

ment sont plus petites que les valeurs calculées à partir de la

formule.

Enfin, la théorie peut être étendue aux substances anomales pour

°

lesquelles K est soit plus petit, soit plus grand que 2,2, en imagi-

nant que le nombre des degrés de liberté est respectivement plus petit ou plus grand que trois fois le nombre de molécules ; cette hypothèse suppose dans le premier cas des associations de molé- cules, et dans le second une structure plus ou moins complexe de la

molécule.

J. ELSTER et H. GEITEL. - La proportionnalité de l’intensité lumineuse et du courant photoélectrique dans les cellules à métaux alcalins.

-

P. 7~1-’?5~.

Expériences reprises par les auteurs à la suite de résultats diffé-

J. de Phys.., 5e série, t. IV. (Mars 1914.) 17

(8)

rents des leurs publiés par Grin’ith (1) et Demfer (2) ; le mémoire se

divise en deux parties :

Dans la première partie sont étudiées les diverses causes d’erreur

qui peuvent fausser les résultats des mesures : ionisation par chocs du gaz de la cellule,

-

influence de la résistance intercalée entre la cellule et la source servant à charger,

-

effet spontané dans l’obs-

curité,

-

effet résiduel après irradiation (ces deux derniers effets étudiés d’une façon spéciale semblent dus à des transports de

charge sur le verre de la cellule),

-

fluctuation du courant,

-

per- turbations électrolytiques.

1

Dans la deuxième partie sont décrits les dispositifs analogues à

ceux déjà publiés (3). Les auteurs ont observé la proportionnalité de

l’intensité lumineuse variant depuis le tiers de l’éclat du soleil (c’est-

à-dire 87.000 bougies) jusqu’à 6 10-4 bougies. Enfin, pourdes inten-

sités plus faibles de l’ordre de ,10-6 bougies, les auteurs concluent

encore à la proportionnalité, et envisagent la possibilité d’utiliser

leur photomètre à la mesure de l’éclat lumineux des étoiles.

A. v. MALIN OWSKL 2013 Rechelches sur le rayonnement de résonance de la vapeur de mercure. - P. 884-887.

Dans ce mémoire, l’auteur donne les premiers résultats d’expé-

riences entreprises sur l’influence d’un champ magnétique sur l’absorption par la vapeur de mercure de la raie de résonance.

La source lumineuse est une lampe à résonance (4) excitée par

une lampe à mercure Heraeus en quartz ; cette lampe à résonance

est placée dans un champ magnétiques, et la lumière tombe norma- . lement au champ ; à la suite on peut placer une cuve à absorption à

vapeur de mercure, les mesures photométriques sont faites avec une

cellule photoélectrique.

L’examen des c()urbes d’absorption en fonction du champ montre

que soit la raie d’absorption, soit la raie de résonance n’est pas

simple; en remplaçant la cuve à absorption par une deuxième

lampe à résonance, on constate que les variations d’intensité de la (1) GRIFF’ITH, lJlag., t. XIV, p. 297 ; 1907.

DE?4ILEEt, Ber. der. k,ql. Slichs. Akad. der Wiss., t. LXIV, p. 266 ; 1912.

(3) ELSTER et GEITEL, J. de Phys., 5e série, t. Il, p. 873; 1912.

(4) WOOD, J. de Phys., ~e série, t. 11, p. 578; 1912.

(9)

lumière émise latéralement par cette seconde lampe sont les mêmes

que celles d’absorption ; ceci montre que les raies d’absorption

rayonnent de nouveau la lumière absorbée, et par suite appartiennent

au complexe des lignes de résonance qui forment la raie 2536,7.

W. STE UBING. - Fluorescence des éléments du 6e groupe du système périodique:

vapeur de soufre, sélénium et tellure.

-

P. 887-893.

Les substances sont contenues dans un récipient cylindrique en quartz, chauffé soit électriquement, soit par la flamme d’un bec

Bunsen ; la lumière excitatrice provient d’un arc au fer ou d’un arc

au charbon suivant les cas. L’auteur rapproche les résultats de ces

expériences de ceux déjà obtenus par lui sur l’oxygène, qui se

trouve également dans le même groupe et arrive aux conclusions sui- vantes :

Lorsque le poids atomique croît, le spectre de fluorescence ainsi que le domaine d’excitation se déplacent vers les grandes longueurs

d’onde.

Pour obtenir la fluorescence, il faut que la vapeur soit portée à

une certaine température et ait une densité déterminée; ainsi, pour le soufre, il faut de la vapeur surchauffée entre 400 et 5000.

. Les spectres de fluorescence sont discontinus et présentent des

groupes de lignes estampées ayant l’apparence de bandes.

L’addition de gaz ou de vapeurs diminue l’intensité de la fluo-

rescence.

E.-C.-C. BALY. - L’équivalent photochimique. - P. 893-896.

Une hypothèse émise par Humphreys (’ ) consiste à imaginer les

atomes entourés d’un champ électromagnétique provoquant le mou-

vement des électrons ; les atomes s’unissant pour former les molé-

cules, celles-ci seront entourées du champ magnétique résultant qui pourra Ptre ouvert ou fermé ; de ce champ dépend le pouvoir de

réaction de la molécule qui est nul lorsque le champ est fermé. Par addition d’énergie libre, un champ fermé peut être ouvert ; ceci se produira par exemple, lorsqu’on dissoudra la substance dans un sol- vant dont les molécules sont à champ ouvert, ou bien encore lors-

) HuMpHREYs, Journal, t. XXIII, p. 233 ; 1906.

(10)

qu’on la soumettra à l’action de la lumière, les vibrations lumineuses ayant les fréquences de même ordre que celles des vibrations des électrons. L’auteur suppose en outre que le champ d’une molécule doit d’abord être ouvert avant qu’elle puisse entrer en réaction, cette ou-

verture pouvant se faire en un ou plusieurs stades, ce qui explique

les diverses phases de passage observées en suivant la marche de certaines réactions au spectroscope. Lorsque le solvantet la lumière

agissent simultanément, on conçoit qu’en faisant le rapport de

l’énergie lumineuse absorbée à l’énergie chimique, on ne trouve pas les résultats d’accord avec la théorie de Planck, mais des valeurs plus petites, puisque le solvant fournit de l’énergie libre. On au-

rait ainsi une explication des faits signalés par Victor Henri et Wurmser (~ ) .

F. DIESTELlBlEIER. - Fluorescence des éléments du 6e groupe du système périodique. - P. 1000.

Réclamation de priorité à propos du mémoire de Steubing (2).

Résultats analogues obtenus par l’auteur et publiés dans un ouvrage de Konen sur la luminescence des gaz et des vapeurs.

L. LETELLIER.

WALTER SORKAU. 2013 Sur le frottement de turbulence de l’eau. II.

-

P. 828-831.

Suite des études de l’auteur sur les courbes par lesquelles il repré-

sente les variations du frottement avec la pression, particulièrement

dans la région ces courbes s’écartent nettenient d’une droite.

Signalons le fait intéressant que la pression limite à laquelle les

lois de l’écoulement de Poiseuille cessent d’être applicables décroît

très rapidement avec la température. Il paraît donc douteux qu’en effectuant, à l’aide du viscosimètre d’Ostwald, des mesures sur un

liquide au voisinage de son point d’ébullition, on obtienne vraiment

le coefficient de Poiseuille.

CH. 1,FENIUARDT.

(1) Voir J. de Phys., 5e série, t. Ili, p. 305 ; 1913.

(2) Voir plus haut, p. 259.

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