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Les Consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal. pa

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Les Consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal. pa

Neuvième Année. — N

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78.

P r i x d u n u m é r o 10 c e n t i m e s

Jeudi 26 Septembre 1895.

B u r e a u x : R u e d e l a S e r r e , 2 7 .

ABONNEMENTS

Un an: Six mois:

Suisse . . . . Fr. 6»— Fr. 3»—

Union postale » 12»— » 6»—

On s'abonne a tous los bureaux de poste

Paraissant le Jeudi et le Dimanche à la Cnanx-de-Fonds.

_

ANN0N6ES

Provenant de la Suisse 20 cl. la ligne

» de l'étranger 2o » » Minimum d'une annonce 30 cent.

Les annonces se paient d'avance.

Org'nnc fie In Société im ercn.ntona.lc d e s liiduwi rit** d u J u r n , deis C l i a i n l ' r e * d e c o m m e r c e , de» I t u r c a u x d e c o n t r ô l e e t de» S y n d i c a t s |>rofes*ioiniel<·..

Pourquoi l'ouvrier ne peut-il pas économiser?

II.

La première conclusion à laquelle' j'ai clé amené par mon empiète sur la pos- sibilité de l'épargne clans la classe ou- vrière a élé celle-ci :

Kn général l'ouvrier ne peut pas éco- nomiser et, en bonne justice, on ne doit pas lui en l'aire un crime puisque dans un grand nombre de cas; les sa- laires sont insullisanls et dans d'autres, l'opinion publique le pousse à des dé- penses en disproportion avec ses res- sources, en lui faisant regarder comme indispensable la satisfaction de besoins purement factices et même nuisibles.

Cette première conclusion m'est con- firmée par un grand industriel de l'Est, doué d'un remarquable talent d'obser- vation et connaissant à fond les habi- tudes de l'ouvrier, j'attache d'autant plus d'importance à son opinion dans le cas qui m'occupe (pie sur d'autres questions nous différons complètement d'avis :

« Hi je ne vous ai pas ménagé les cri- tiques au sujet de votre article — 1res critiquable au point de vue économique

— de Y Emancipation de Mai, je liens à vous adresser sans larder mes plus chaudes félicitations au sujet des con- clusions de l'enquête à laquelle vous vous êtes livré sur la possibilité de l'é- pargne chez l'ouvrier, enquête pour la- quelle je vous ai fourni des matériaux.

Pour que l'économie devienne pos- sible, il est urgent de modifier la men- talité du travailleur et celle des classes dirigeantes, dites-vous.

C'est celte même pensée qui a été émise déjà sous une autre forme : « La question sociale est une question de morale >*.

La morale est à la base de tout et si

la Société cloche, c'est parce que la mo- rale en est absente. Et. comment veut- on qu'elle soit en bas alors qu'elle manque en haut?

Mais je crois vous l'avoir dit déjà: je suis en admiration devant la sagesse, la patience, l'économie, l'amour de ce qui est bien que je constate ici dans beau- coup de familles ouvrières'. »

La suite de la lettre n e v o u s regarde pas. Il s'agit de compliments (pie mon trop indulgent correspondant veut bien m'adresser.

Qu'on me permette d'insister sur ce fait que l'impossibilité où se trouve l'ouvrier, appartenant à un corps de métier, d'économiser esl, en somme, le résultat d'une nouvelle conception de la vie dont il n'est responsable (pie dans une 1res faible mesure.

Considérez, par exemple, les dépen- ses que font la femme, la tille de l'ou- vrier et l'ouvrier lui-même en vêtements.

On l'a dit bien souvent: on ne dislingue plus aujourd'hui, au simple coup d'œil, une bonne de sa maîtresse, une petite ouvrière de la femme de l'industriel. De son côté tel ajusteur croirait se désho- norer s'il allait à la noce de son ami en chapeau melon, il lui faut le gibus qui déjà esl qualifié de traditionnel; il lui faut aussi des ganls et la redingote. De même la fille du mineur porte les man- ches à gigot et sur la tète toutes les Heurs des terres et des champs. En un mol, il n'y a plus d'habits de classe.

Tous égaux devant le tailleur et la cou- turière.

Mon Dieu, je ne puis pas me montrer d'une extrême sévérité pour ce goût de fanfreluche et de toilette. Il est une conséquence inévitable d'un nouveau genre de vie amené par l'industrialisme, l'augmentation de la richesse, l'esprit d'égalité et les préjugés de la bourgeoisie

ainsi (pie par l'étalage d'un luxe chaque jour grandissant.

, Le temps n'est plus, en effet, où la femme restait, dans son intérieur ; jeune fille elle va soit au magasin et ses pa- trons ne la garderaient pas "l'i heures si elle n'était pas hivbillée avec élégance, ou en service, et les toilettes de la mai- tresse exercent sur elle, une sorte de fascination d'autant plus grande qu'elle sait pouvoir se procurer pour un prix relativement peu élevé, une robe taillée sur le même patron que celle qui excite sa convoitise ; femme mariée elle conti- nue souvent à travailler à l'atelier, elle n'a donc pas le temps de tailler et de racommoder, de coudre elle-même ses vêlements. Elle achète de la confection et tout ce qui sort de la confection a un cachet d'élégance qui finit bienlôt par déshabituer des choses simples. Du reste, les goûts de toilette se sont con- sidérablement développés chez les ri- ches. Quoi d'étonnant dès lors que ce goût se soit démocratisé? Il faudrait que la femme du peuple fut aveugle pour résister à l'attrait qu'exerce sur elle la vue de toilettes aflichées dans les vitrines de somptueux magasins ou promenées dans les rues par les femmes honnêtes et galantes.

Notez enfin ceci : Avec le développe-

ment de l'instruction, des idées d'égalité,

l'ouvrier veut se rapprocher, par l'exté-

rieur, du moins, de la classe qui est

au-dessus de lui. Le dimanche, il serait

souvent désolé qu'on le prenne pour

un simple ouvrier. Il veut jouer au

borgeois et cela parce qu'il a le senti-

ment que les bourgeois le regardent

comme un être inférieur. Et c'est, à

mon avis, la grande faute, je dirai pres-

que le crime de certains riches, de tenir

l'ouvrier pour un individu envers lequel

on n'est pas tenu à tout le respect, à

toute la politesse qu'on réserve pour

(2)

440

LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE

c e u x d u r a n g . L ' o u v r i e r a le s e n t i m e n t d e c e l l e s o r l e d e m é p r i s q u ' o n a p o u r l u i e l p o u r l ' é v i t e r il t â c h e d e d o n n e r le c h a n g e , et d e se p a r e r d e s p l u m e s d u p a o n , afin d e j o u i r d e c e r t a i n s é g a r d s q u i l l a t t e n t sa v a n i t é .

Assurance en faveur des ouvriers sans travail

Rapport présenté par M. Jacques Vogt, député àBàle, à l'Assemblée des délégués de l'Union suisse des arts et métiers, lu 10 juin 1805.

(Suite)

Un point est certain, c'est que la caisse de secours de Berne pour les sans-travail n'est point un établissement d ' a s s u r a n c e , elle a absolument le caractère d'une association de bienfaisance, malgré les contributions assez élevées payées par ses membres. Mais cela est le résultat du caractère facultatif de cette institution.

Aussi n'entrent clans celte Caisse que les ouvriers qui doivent prévoir le chômage d'une manière a peu près certaine. Or une caisse d'assurance dont les membres se composent prosqu'exclusivement d'ouvriers exposés à des chômages réguliers, repose s u r une base peu stable. Elle n'est point en état de repein- dre aux exigences qu'on est en droit d'avoir vis-à-vis d'elle.

Malgré cela, on ne parait pas pouvoir se décider à Berne à une revision fondamentale des statuts. Le projet du nouveau règlement de cet établissement d'assurance veut élever de 40 à 50 centimes les cotisations mensuelles, et étendre aux étrangers le droit de faire partie de la caisse, porter les journées de 1 fr.

à 1 fr. 50 et celles.de 1 fr. 50 à "2 fr. Kn re- v a n c h e , la commission veut s'en tenir au principe de l'assurance facultative, vu qu'elle estime que les conditions faites aux ouvriers sont trop diverses pour qu'elles permettent d'introduire l'assurance obligatoire en cas de chômage. A ceci je répondrai que la difficulté de l'assurance obligatoire git moins dans les différentes condilions de travail des ouvriers que dans le manque de solidarité entre ceux- ci et en particulier entre les diverses classes de la société.

Aussi longtemps que chacun se gardera bien par égoïsme de s'exposer à être appelé à faire un sacrifice quelconque pour son prochain, il n'est pas possible d'établir sui- de bonnes bases une assurance en cas de chômage.

La ville de Zurich s'est, elle aussi, occupée, ces dernières années; de la question de l'assu- rance en cas île chômage. Pendant les deux hivers passés a fonctionné, dans cette ville, une commission des ouvriers sans travail nommée, par le conseil de ville, commission qui avait pour mission de venir en aide a u x sans-travail. Elle avail reçu l'ordre de n'ac- corder des secours qu'aux ouvriers sans tra- vail, qui étaient établis dans la ville depuis le 1 " juillet de l'année écoulée, de secourir sur- tout des ouvriers d'origine suisse, de s'infor- mer de la conduite de ceux qui demandaient des secours et de ne donner dans la règle des secours qu'eu nature.

Pendant l'hiver 1894-95 la commission des ouvriers sans travail distribua pour plus de fr. S.000 d'e secours divers aux nécessiteux : elle dépensa fr. 4.708 05 pour des soupes seu- lement. 11 fut délivré des bous d'aliments divers pour une somme de fr. 2,182 SO: et fr.

1,093 SO furent consacrés i\ payer des loca- tions et des bons pour coucher. Enfin la caisse de la ville paya directement pour fr.

743 85 de j o u r n é e s : ainsi il fut dépensé en tout pour venir en aide aux sans-travail une somme de fr. 10,121 -JS.

L'administration des finances contribua à ces dépenses pour une somme de 0,500. Le restant fut couvert par des dons. Les ouvriers eux-mêmes ne payèrent point de contributions.

Les mesures prises par la ville de Zurich pour venir en aide aux sans-travail ont donc abso- lument le caractère d ' a u m ô n e s , et ne sont qu'un simple expédient.

Le conseil de ville a décidé, le 10 janvier 1805, qu'il serait élaboré un projet sur l'assu- rance en cas de chômage, basé s u r le prin- cipe de l'assurance obligatoire.

C'est le canton de S t - G a i r q u i a fait le pre- mier essai d'établir par des lois, sur une large base, l'assurance contre le chômage.

La loi publiée le 10 mai 1804 et entrée en vigueur le 25 juin de la même année, autorise les communes à déclarer obligatoire par une décision de l'assemblée bourgeoisiale, soit dans une commune seule, soit clans plusieurs communes r é u n i e s , l'assurance contre les suites du chômage pour les ouvriers dont le salaire journalier ne dépasse pas 5 fr. Les ouvriers qui ont des salaires plus élevés, sont libres d'entrer clans la Caisse d'assurance : les ouvriers qui ont un salaire inférieur à 5 fr. sont libérés de l'obligation de faire partie de la caisse centrale d'assurance lors- qu'ils peuvent prouver qu'ils font partie d'une autre caisse offrant les mêmes garanties.

La cotisation hebdomadaire des ouvriers ne doit pas dépasser 30 centimes. Seuls les ouvriers qui sont sans travail sans en être eux-mêmes la cause, ont droit à des s e c o u r s : en o u t r e , les ouvriers sans travail doivent avoir payé leurs cotisations pendant au moins six mois. L'administration de la caisse sera confiée à une commission composée de cinq membres au moins, et dans laquelle les assurés devront être représentés d'une ma- nière proportionnelle aux sommes livrées par eux.

Un bureau de renseignement du travail est combiné a v e e ' j a caisse. Les communes sont tenues à fournir des subventions, annuelles pouvant atteindre jusqu'à 2 fr. par membre et l'Etat accordera une subvention fixée cha- que année par le budget. On a prévu aussi une subvention fédérale. Un déficit éventuel serait couvert moitié par l'Etat et moitié par les communes.

Mais c'est une faute d'avoir exclu absolu- ment les patrons de cette caisse. Ceux-ci de- vraient être tenus à livrer certaine subven- tion, et on aurait du ainsi leur donner le droit d'avoir le mot à dire dans l'assurance. Les patrons ont un intérêt à ce (/ne les ouvriers reçoivent des secours pendant les époques de chômage, cela afin de pouvoir mainte- nir leur métier aux époques de crises. P a r des motifs d'intérêt social le patron doit, en outre, être intéressé à l'assurance contre le chômage. P a r suite de l'influence qu'il exerce sur l'économie .politique de la nation, il est jusqu'à un certain point en son pouvoir de peser directement sur le marché du travail.

Du moment qu'on l'oblige à prendre sa part des charges qu'exige l'assurance contre le chômage, il ne sera point de son intérêt de voir s'accroître le chômage, il fera en consé- quence tous ses efforts pour agir dans le sens contraire sur le marché du travail.

C-I suivre.)

Brevets d'invention

Horlogerie et Bijouterie

LISTE DES BREVETS ENREGISTRÉS

Cl. 04, n" 10,275. 5 juin 1805, (j'/i h. p. — Mécanisme de trotteuse d o n n a n t à volonté la seconde morte. — Ctvurdeve)·. Modeste- Florian, horloger, 2, Rue d'Alsace, Besan- çon (France). Mandataire: Imer-Schneider, E., Genève.

Cl. 110, IV 10,278. 30 juin 1805, 8 h. a. — Nouveau compteur. — D i d i s h e i m , Arthur.

fabricant d'horlogerie, C h a u x - de - F o n d s ( S u i s s e ) . M a n d a t a i r e s : Houriet, R . : et Jacottet, H", Chaux-de-Fonds.

!Modifient i o n »

Cl. 04, n" 7424. 17 octobre 1803, 2 h. p. — Montre avec boîte sans c a r r u r e . — liessire- Marie, Albin-Ernest, Péry sur Bionne, actuellement à Longeau (Suisse). Cession du 30 août 1805, en faveur de « G u t t m a n n Adolphe, fils I s a a c » fabricant d'horlogerie, à St-Imier (Suisse) : enregistrement du 7 septembre 1805.

ItacIintioiiM.

Cl. 04, n" 904. Nouveau calibre de montre muni d'un mécanisme de remontoir indé- pendant, auquel on peut adapter instanta- nément, d'une façon i n t e r c h a n g e a b l e , di- vers porte-finissages et échappements.

Cl. 04, n° 5310. Chronographe sans engre- nage pour montre quart ou cinquième de seconde dite foudroyante.

Cl. 0-4, n" 6731. Montre de poche perfection- née.

Gl. 65, n" 5596. Mécanisme de sonnerie et répétition pour montres de poche, pendules, etc.

Cl. 85, n" 8480. Nouveau genre de pierre pour bijouterie.

LISTE DES DESSINS RT MODÈLES Dépôt.*

M" 2400. 7 septembre 1805, 8 h. a. — O u v e r t .

— 1 modèle. — Calibre de montre. — Fran- cilien & Co, Ernest, St-Imier (Suisse).

l'i'oloii.s-nt ioiiM.

N" 022. 31 juillet 1893, J l h. a. - ( H " période 1895/98). — 1 modèle. — Boites de mon-

tres. — Spillmann, Charles-Rodolphe, Chaux-de-Fonds ( S u i s s e ) : enregistrement du 5 septembre 1805.

I t m l i n t i o i i M .

N" 124. 7 juillet 1800. — 3 modèles. — Mou- vements de montres.

Eiii'O.ss-iwt iM'iiient».

Cl. 04, n" 10,260. 10 mai 1895, 6 ' / ' h. p. — Quantième perpétuel pour boites de mon- tres. — M a i s o n : Gosc/iler et· Cie, fabri- cants d'horlogerie, 5, Rue Ruschle, Bienno (Suisse). M a n d a t a i r e : F u r r e r . Gottfried, Bionne.

La lumière sur le régime protecteur, s. v. p.

M. Paul de Gassagnac a rompu maintes lances, on s'en souvient, en faveur du triom- phe des théories protectionnistes.

Il semble qu'aujourd'hui il suit bien prés de brûler ce qu'il adorait il n'y a pas long- temps encore.

Voici, en effet, quelques passages d'un ar- ticle que M. de Gassagnac publie aujourd'hui dans ΓAutorité :

« U n e explication nécessaire, c'est celle que l'on réclame au point de vue de notre bilan commercial et agricole.

c< Ou donc en sommes-nous i

« Et quelle est la situation vraie !

« Les protectionnistes et les libre-échan- gistes s'envoient des chiffres au nez. et par centaines de millions : de telle façon qu'il de- vient impossible au public de s'y reconnaître.

<c Quant à moi. en grande humilité je con- fesse que je n'y vois plus clair.

ci Certes, je n'abandonne point pour cela, el d'une façon brusque, mes vieilles préféren-

ces protectionnistes.

(3)

' ,. ,

LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE 441

« E n c o r e aujourd'hui, et malgré do cruels mécomptes, je souhaite que, tout au moins pour l'agriculture, les produits nationaux soient protégés contre les produits similaires de l'étranger.

«Quoique, pourtant, cela ne nous ail pas servi à grand chose. »

Le directeur de Y Autorité constate que les prix du blé demeurent avilis et que la mé- vente des vins dure toujours.

« P l u s nous protégeons nos blés contre les blés américains et russes, et nos vins contre les vins espagnols et italiens-, moins nos blés e t nos vins atteignent un prix rémunérateur.

« Il faut avoir le courage d'avouer que, sur ces deux points-là, les droits protecteurs ont à peu prés produit l'effet d'un calaplasnie sur une jambe de bois.

«C'est-à-dire qu'ils n'onl pas relevé les prix, mais pas du tout, et qu'ils ne nous ont pas donné le résultat que nous en attendions.

« J ' a v o u e humblement que je m'y perds et que vainement j'en recherche les raisons. »

M. de Cassagnac avoue, plus loin, que le bilan commercial de la France est aussi obs- c u r que le bilan agricole et aussi décevant.

Et il appuie son dire de chiffres puisés dans l'exposé général du rapport de M. Alfred Pi- card sur l'année 1894, rapport où se trouve cette phrase :

« On ne saurait contester la gravité d'une telle situation. »

Le directeur de Y Autorité conclut ainsi :

« J e confesse que ces chiffres donnés par des professionnels, par des gens qui passent pour sérieux et compétents, me jettent dans une profonde perplexité.

« E t je ne suis pas le seul à demander la lumière, mais une lumière éclatante.

« Il faut donc que dans le Parlement, en face du pays attentif et a n x i e u x , sous la for- me d'une interpellation longuement discutée, cela en vaut la peine, — la question des droits protecteurs revienne entière, et à bref délai.

« Guette fois-ci, nous ne serons plus en face de théories p u r e s : nous aurons trois années de résultats à fournil' et des chiffres acquis à apporter.

« E h bien! la France agricole et commer- ciale veut savoir si le régime protecteur a été bienfaisant ou malfaisant, et dans quelles proportions.

« U n pareil débat prime tous les autres.

«Car il y va de la fortune de la F r a n c e . »

Nouvelles diverses

Statistique du commerce suisse. — Le volume annuel pour 1804 de la statistique du commerce suisse (tableau annuel, rapport et deux tableaux graphiques) vient de paraître, et l'on peut en faire la commande à tous les bureaux de poste suisses ou au bureau de la statistique du commerce suisse (ancien hôtel de Zâhringen, à Berne). Le prix est de fr. 5.

On peut aussi demander séparément le rapport (prix fr. 1) et les tableaux graphiques (à OO cts.

la pièce).

Berne, le 20 septembre 1805.

Direction générale des douanes suisses.

P o s t e s . — Envois de montres. — Les offices de douane établis à là Chaux-de-Fonds et à Genève pour l'expédition de montres con- tinueront à fonctionner jusqu'à nouvel ordre, avec la restriction cependant qu'ils ne sont autorisés à d o u a n e r q u e les montres d'origine suisse renvoyées comme non vendues.

Ensuite de cela, il n'y a plus lieu de diriger sur la Chaux-de-Fonds, soit Genève, que les envois de montres et de parties de montres qui sont déclarées comme marchandise suisse en retour. Tous les autres envois seront doua- nes à l'avenir par l'office de douane d'entrée d'apréâ les prescriptions en vigueur.

Limites de dimensions des colis pos- taux dans l'échange avec la Grande- Bretagne et l'Irlande. — L'extention a

85 cm. de longueur cl UO cm. de largeur des limites de dimensions des colis poslaux à destination de la Grande-Bretagne et de l'Ir- lande annoncée par l'ordre de service n" 84 de l'année courante, ne concerne que les colis acheminés par la voie de France.

En cas d'acheminement par l'Allemagne, le m a x i m u m des dimensions reste limité, jusqu'à nouvel ordre, à (H) cm. dans chaque sens.

F a b r i q u e c o m m u n a l e . — L'assemblée de bourgeoisie de G r a n g e s'esl refusée à une souscription d'actions pour la création d'une fabrique municipale d'horlogerie.

Agence

Les annonces et abonnements sont reçus, pour la région hiennoise et le canton de Soleure, chez Mon- sieur A l b e r t C h o p a r d , c o m p - t a b l e , rue de la Gare, 1, à Bienne.

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