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Les Consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal. pa

Neuvième Année.— N

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14.

P r i x d u n u m é r o 1 0 c e n t i m e s

Jeudi 14 Février 1895.

B u r e a u x : R u e d e l a S e r r e , 2 7 .

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O r g a n e «le Ia Société i n t e r c n u t o n n l e de» I n d u s t r i e » «lu J u r a , «les C h a m b r é e d e c o m m e r c e , «les B u r e a u x : d e c o n t r ô l e e t «les S y n d i c a t » professionnel».

Société intercantonale des Industries du Jura

Il est porte à la connaissance des in- téressés, que le secrétariat se trouve transféré à Neuchàtel.

Dès ce joui', lotîtes les correspondan- ces, communications diverses, imprimés, etc., doivent être adressés à son prési- dent , M. Robert Comtesse, conseiller d'Etat, à Neuchàtel.

Les socialismes actuels

I.

Un économiste français, M. Paul Beau- regard, publie l'article suivant que son originalité et l'appréciation qu'il l'ail du système de la banque d'Etal — question agitée chez nous dans ce momenl — rend intéressant p o u r nos l e c t e u r s :

Ce pluriel paraîtra singulier. Il csl pourtant parfaitement vrai que nous sommes, aujourd'hui, en possession d'un n o m b r e assez grand de socialismes dis- tincts. Le j o u r où s'élèverait une grande voix pour déclarer (pie : « Le socialisme c'est l'ennemi», on sérail, évidemment, obligé de d e m a n d e r : « L e q u e l ? »

L'énumération des socialismes exis- tants sérail un peu longue el mon inten- tion n'est pas de la tenter. J e tiens, au moins, à constater que deux de ces so- cialismes ont énergiquement manifesté leur existence, celle semaine.

L'un a agrémenté la réception de M.

Rochefort à Paris. L'autre a remporté, à la Chambre, un demi-succès, bientôt suivi d'un lamentable échec. Il n'est dou- teux, pour personne, en'effet, (pie M.

Millerand, en proposant d'élire une com- mission de X\ membres et de modifier le mandai primitivement d o n n é à cette commission, avait p o u r dessein de pour- suivre la campagne qu'il a, depuis long- temps, entamée contre les compagnies

de chemins de fer. Demander qu'on ré- visât les conventions dans leur principe, q u ' o n cherchât à les annuler, c'était, dans sa pensée, poursuivre — per /as

el nejas, la réalisation de l'un des points

de son p r o g r a m m e .

Il en a été de même de la d e m a n d e d'enquête présentée à l'occasion de l'ac- cident déplorable survenu à Montçeau- les-Mines.

Beaucoup de gens qui s'intitulent so- cialistes, ne se doutent pas d é c e l a ; car, encore une fois, il y a beaucoup de façons de l'être.

O n p e u t se dire socialiste libéral, et l'on affirme ainsi que l'on entend chercher dans les seules voies de la liberté, la so- lution des difficultés sociales. Q u e ne donnerait pas en effet, la liberté, à ceux qui la sauraient bien a p p l i q u e r ? Les classes ouvrières n'y pourraient-elles pas trouver, par une pratique judicieuse de l'association, ce qu'elles appellent, d'un bien gros mot : « leur affranchissement ? »

— Car, p o u r elles, s'affranchir, ce n'est pas, ce ne peut pas être supprimer le capital, ni mêmes les capitalistes: ce se- rait acquérir une situation assez forte, assez stable, p o u r tirer de la concur- rence, de la loi dé l'offre et de la de- m a n d e r o n s les avantages que comportent, à leur profit, les situations écomiques qui se succèdent.

Mais ce n'est pas ainsi, en général, que le socialisme est compris. C'est plu- tôt une doctrine de combat, poussant à la critique amère, engendrant le rêve d'une destruction de l'organisation sociale existante, aboutissant, en un mot, au collectivisme.

Il faut pourtant reconnaître qu'il ne s'est présenté sous aucun de ces deux aspects dans les manifestations de celte semaine.

Le socialisme de M. Rochefort est un

socialisme p u r e m e n t politique. C'est bien celui qui convient au pamphlétaire qui n'a de raison d'être que par l'opposition à outrance, intransigeante. L o r s q u e R o - chefort se dit socialiste, il n ' e n t e n d nulle- ment que tous les biens doivent être remis à l'Etat, que chacun soit tenu de se contenter de la portion qui lui sera attribuée par l'autorité, que tout h o m m e s'astreigne à remplir la tache que des inspecteurs quelconques voudront bien lui imposer. N o n ! Rochefort serait le premier à protester contre une concep- tion de la vie sociale aussi contraire à ses idées, comme à ses tendances. Il veut simplement affirmer, qu'opposant, il reste opposant quand même, q u ' o n ne le dépassera p a s dans cette voie de l'oppo- sition, et comme l'opposition extrême a pris aujourd'hui, le socialisme comme étiquette, il boit au socialisme. L'expres- sion perd alors son acceptation ordi- naire : elle devient s y n o n y m e d'opposi- tion irréconciliable. El je dois dire que Rochefort n'est pas le seul à l'entendre ainsi. Il en est beaucoup, qui se disent socialistes, et qui ne l'entendent pas au- trement.

Ce socialisme-là est-il bien dangereux?

Il peut l'être en tant que doctrine d'op- position, car l'opposition quand m ê m e peul devenir une cause de désordres ; mars il ne l'est pas en tant (pie socialisme.

J e ne crois pas (pic son influence puisse

dépasser le rayon de Paris, et, en loul

cas, il ne contribuera jamais à modifier

le goût, très accusé, de nos paysans p o u r

la propriété; je doute même fort qu'il

ait, en ce sens, la plus petite influence

sur les populations urbaines. O n a ré-

pélé à satiété, que Rochefort était le

plus parisien des Parisiens : soit, il ravit

Paris, mais son influence est nécessaire-

ment limitée: il ne poussera jamais à

des mesures socialistes bien périlleuses.

(2)

Loi sur les apprentissages du canton de Vaud

II

Le projet de loi est précédé d'un exposé des motifs que nous niions résumer a son tour.

Il débute en constatant les plaintes qui s'élèvent sur l'insuffisance de la préparation des ouvriers et gens de métier à l'exercice de leurs professions. Cette infériorité profession- nelle est très particulièrement ressentie dans le canton de Vaud. Les jeunes gens de notre pays semblent se détourner de l'apprentissage sérieux de métiers manuels. Les'industriels et les fabricants ne trouvant pas dans la contrée des ouvriers capables et expérimentés sont

^obligés d'employer des ouvriers étrangers.

Certaines professions relativement lucratives, celles de maçon, de tonnelier, de tailleur, de cordonnier sont presque entièrement entre les mains d'ouvriers é t r a n g e r s , et les enfants du pays réduits à se contenter des salaires beaucoup plus modestes qu'ils touchent comme terrassiers, m a n œ u v r e s , aides, etc., etc. La principale cause de cet état de chose réside d a n s les conditions défectueuses des appren- tissages actuels et les difficultés que rencontre le jeune apprenti pour se procurer un bon enseignement professionnel.

Il existe deux modes do préparation à l'in- dustrie et a u x m é t i e r s : Γ apprentissage et l'école professionnelle. Dans le premier système, le jeune homme est confié à un maître d'étal, qui, moyennant certaines pres- tations, doit lui apprendre graduellement et complètement l'exercice de sa profession.

Dans le second, des écoles publiques sont instituées par l'Etat dans lesquelleson enseigne la théorie et la pratique de l'industrie en géné- ral, ou de certaines professions déterminées.

L'apprentissage est le plus simple et le plus ancien des deux systèmes. Il s'est développé dans le cours du moyen àgc avec le système des corps de métiers. Les maîtres, organisés en corporations, tenaient à honneur de pré- parer en la personne de leurs apprentis des continuateurs de. leurs œ u v r e s . L'apprenti entrait en quelque sorte d a n s la famille du patron, il vivait chez celui-ci, travaillait à ses cotés, était suivi de près et ne devenait com- pagnon-ouvrier qu'après une très longue initiation.

La révolution française, en abolissant les corporations, a porté une grave atteinte à l'institution de l'apprentissage. P l u s tard, le développement de la grande industrie et l'ex- tension des fabriques sont venus transformer les relations entre patrons, ouvriers et ap- prentis.

«Depuis l'invention des machines, le grand avantage économique de produire par quan- tités s'est fait sentir, la division du travail a fait son apparition, et le maître, de maître artisan qu'il était, est devenue la tète puis- sante et dirigeante d'un établissement in- dustriel. Il ne travaille plus de ses propres mains, mais il emploie son intelligence plus utilement à diriger les mains d un grand nombre d'hommes. Dans ces conditions, les rapports • naturels entre l'apprenti et -son maître cessent, et l'apprenti qui n'a pas été instruit d'une manière systématique en est réduit à apprendre les différentes opérations de son métier, par bribes, par sa propre obser- vation, par hasard ou par le bon vouloir occasionnel de ses camarades ou d'ouvriers1. »

Le caractère principal du contrat d'appren- tissage qui est d'être une convention d'ensei- g n e m e n t professionnel, est de plus en plus perdu de vue. On laisse trop souvent l'ap- prenti se tirer d'affaires comme il p e u t : trop souvent aussi il est abandonné a u x soins de contremaîtres ou d'ouvriers qui ne lui ensei-

(') Pratl Monthlj' de Brooklyn (janvier 1893).

gnent pas, ou lui enseignent autre chose que ce qu'il devrait savoir. Il arrive même assez fréquemment que l'apprenti n'est pas employé a u x travaux auxquels il était venu s'initier.

Vu son inexpérience, on n'ose laisser entre ses mains les instruments de sa profession, et l'on se borne à l'employer à des travaux accessoires : commissions, balayage de l'ate- lier et autres menus travaux par lesquels il n'a pas l'occasion de se former.

Un trop g r a n d nombre de personnes ensei- gnent les apprentis purement et simplement comme des aides, des domestiques, des m a - n œ u v r e s , et l'apprentissage comme un moyen de se procurer à peu de frais, vu son jeune âge et son inexpérience, une main-d'œuvre pour de menus ouvrages.

De leur coté, les parents peu aisés, désireux de voir leurs enfants se tirer d'affaire le plus tôt possible, préfèrent trop souvent l'appren- tissage le moins long, celui qui conduit le plus vite l'apprenti à une rémunération, à un ap- prentissage sérieux. Les jeunes gens eux- mêmes, ne se sentant pas liés par des obliga- tions strictes vis-à-vis de leur patron, s'em- pressent de quitter l'apprentissage dès qu'ils s'imaginent savoir quelque chose.

Ainsi, l'apprentissage n'est plus qu'un nom qui ne correspond pas à la réalité, ce n'est plus une instruction professionnelle. L'ap- prenti n'est pas préparé à devenir un ouvrier, mais un simple m a n œ u v r e , apte tout au plus à exécuter automatiquement le même travail, à façonner la même pièce. L'ouvrier ainsi formé « n e voit plus que le détail auquel il est livré : il perd de vue l'ensemble, il se dé- sintéresse de la perfection de l'objet dont il ne confectionne ou ne connaît plus qu'une partie:

le sentiment de l'art, l'inspiration créatrice, l'esprit de recherche et d'invention, l'ambition de modifier, do combiner, de façonner une œuvre d'ensemble au gré de sa volonté, l'a- mour-propre professionnel, l'attachement à sa profession le quittent: c'est le génie industriel d'un pays qui s o n va, qui dépérit1.

La loi doit-elle entreprendre de régler tous les apprentissages quelle que soit la profession à laquelle l'apprenti se prépare, ou bien doit- elle1 se limiter aux apprentissages au sens res- treint, c'est-à-dire aux apprentissages d'un métier manuel, d'une profession industrielle, à l'exclusion des apprentissages agricoles et commerciaux, lesquels ne sont pas des appren- tissages au sens strict de ce mot?

En ce qui concerne l'apprentissage agricole, la commission ne s'est pas arrêtée à l'idée de le comprendre dans la loi. Les conditions, les procédés de l'agriculture sont si différents de ceux de l'industrie qu'il est bien difficile et serait en tous cas peu opportun de régler ces deux branches de l'activité humaine dans une même loi professionnelle.

La commission a également écarté l'idée d'étendre l'application do la loi à l'apprentis- sage du commerce. Il est incontestable que l'apprentissage commercial ne se fait pas tou- jours dans de bonnes conditions ; comme l'ap- prentissage industriel, l'apprentissage de com- merce n'a trop souvent de l'apprentissage que le nom ; les jeunes gens sont employés comme aides, ils n'apprennent pas les diverses parties de leur profession et ne sont pas toujours en état, leur apprentissage terminé, de se placer comme commis ou comme comptables. Il se produit aussi des abus en ce qui concerne la durée du travail imposé dans certaines mai- sons a u x apprentis de commerce et il ne serait pas impossible d'étendre à ces derniers le bé- néfice de la plupart des dispositions protec- trices de la loi.

D'autre part, le besoin d'une réglementation ne se fait pas aussi vivement sentir dans le domaine commercial que dans le domaine in- dustriel. Tandis que dans ce dernier domaine,

C) Rapport du Conseil d'Etat de Neuchàtel à l'appui d'un projet de loi sur les apprentis.

tous les intéressés sont à peu près d'accord pour demander et pour accepter une loi, la réglementation des apprentissages commer- ciaux n'a pas faifcommc~eelle des apprentis- sages industriels l'objet de demandes collec- tives pressantes et réitérées. IiIIe n'est pas ré- clamée par les jeunes gens qui se destinent au commerce et serait mal vue par beaucoup de patrons. Il ne serait pas politique d'expo- ser la loi sur les apprentissages à un échec en l'étendant à toute une catégorie de person- nes qui ne s'en soucient pas.

Il y a, en. outre, lieu de remarquer que le commerce ne souffre pas comme l'industrie du manque de bons apprentis : il y en a en suffisance, il y en a même trop, et beaucoup de jeunes g e n s ayant fait un bon apprentissage de commerce ne trouvent pas à se placer dans leur profession et sont réduits à postuler des places dans les administrations fédérales et dans les administrations de chemins de fer. Il n'y a donc pas lieu d'encourager par la voie législative les jeunes Vaudois à abandonner les métiers pour les bureaux : il n'y sont déjà que trop portés.

L'exposé des motifs invoque l'exemple de quelques législations étrangères pour justifier encore la différence qui doit être faite entre l'apprentissage commercial et l'apprentissage industriel. La loi française par exemple ne concerne que les «fabricants, chefs d'atelier et ouvriers». En Allemagne elle laisse aussi de côté les apprentis de commerce. Dans les cantons de Genève et de Neuchàtel les Grands Conseils, après en avoir délibéré, ont renoncé à appliquer la loi à d'autres qu'aux apprentis industriels.

Exceptionnellement, à Neuchàtel, les ap- prentis de commerce et de banque sonfadmis à subir les examens. Il serait facile de leur accorder aussi chez nous cette faculté, sans soumettre d'ailleurs leur apprentissage à la loi.

Basé sur ces considérations, l'avant-projel s'est restreint à la protection de l'apprentis- sage industriel, et a laissé de coté soit l'ensei- gnement professionnel public, soit l'appren- tissage agricole et commercial.

(Le Noiu'elliste vaudois.)

Pour les vieux ouvriers

Au moment où la Chambre française allait voter le chapitre 8 du budget du commerce tendant à allouer une somme de 23,000 fr. à titre do récompense aux vieux ouvriers de l'industrie, le député Dejeante est venu à la tribune réclamer la réduction de ce crédit, parce qu'il considère 'es récompenses propo- sées comme injustes et indignes. Injustes, car elles ne sont accordées qu'à une catégorie de travailleurs: indignes, car elles ont pour but d'honorer le patron bien plus que l'ouvrier.

A MM. Maurice F a u r e et Leydet qui défen- dent le point de vue de la Commission, suc- cède M. Fabèrot qui prononce une h a r a n g u e énergique pouvant se résumer en ces mots : moins d'honneur et plus de pain.

« V o u s octroyez une médaille, dit l'orateur socialiste, au pauvre travailleur qui a épuisé sa vie pour augmenter la fortune publique, mais est-ce que cela lui donne de quoi man- ger? Rue Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie, il y a un vieux travailleur qui a reçu lu médaille et qui est obligé de demander l'aumône. Cro- yez-vous que la récompense soit belle '.

« P o u r q u e . c e soit vraiment une récompense, il faut que le travailleur qui a épuisé sa vie pour enrichir la société ait l'existence assurée d a n s ses vieux j o u r s . »

La Chambre, par 497 voix contre 47 re- pousse l'amendement Dejeante-Fabérot.

Proposition .lourde

Le député J o u r d e reprend la question par un autre côté. Au lieu de supprimer le crédit,

(3)

LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE 75

,il propose de le décupler et de le porter· du coup à 323,000 francs.

« Nous avons, dit-il, en F r a n c e deux, armées également glorieuses: l'armée de la défense du pays et l'armée du travail. Toutes deux sont composées des mêmes é l é m e n t s : je de- mande qu'elles soient mises s u r le même pied au point de vue des récompenses.»

Après intervention du rapporteur, la Cham- bre repousse par 372 voix contre 100 la pro- position du citoyen .lourde.

Une réplique de M. Brisson Ces voles n'ont pas eu lieu sans provoquer

•quelques criailleries.

i<M. Dejeanle et ses amis ne sont pas seuls à représenter les ouvriers, avait dit par exem- ple, un jeune député de la droite, M. Plichon : n o u s les représentons aussi bien q u ' e u x ! » ,M. le président Brisson a apaisé l'incident par cette excellente p a r o l e : « T o u s ici, nous représentons des citoyens français!»

Nouvelles diverses

P a s s e p o r t s . — Depuis maintenant, la lé- gation de Russie vise aussi les passeports pour les Israélites suisses, lorsqu'ils vont en Russie pour affaires commerciales et que le passe- port mentionne le fait expressément.

D o u a n e s . — L c Conseil fédéral a adopté un règlement définitif d'exécution pour la loi fédérale s u r les douanes, du 28 juin 1.893: Ce règlement entrera en vigueur le I0''avril 1895.

A cette dale le règlement provisoire du 19 dé- cembre 1893 et toutes les prescriptions doua- nières contraires a u nouveau règlement défi- nitif seront abrogées.

C o n s u l a t à P e r n a m b u c o . — Le conseil fédéral a accordé, avec ses remercimenls pour les bons services rendus, la démission que M. Oscar Falkeisen, do Baie, a sollicité de ses fonctions de consul suisse à P e r n a m b u c o (Brésil). En même temps, il a nommé, pour le remplacer, M. Emile Amstein, de WyI (Zu- rich), domicilié en cette résidence.

M i s e e n g a r d e . — Un sieur Hirscli, 'bu- reau de crédit, à Londres, cherche à faire en Suisse des opérations d'assurances pour le compte d'une société qui s'appellerait « Impé- rial eagle insurance c o m p a n y » , directeur H e n r y Burmastcr, Londres N . , 183, South- gnte Road.

Le public est avisé qu'une société de ce nom n'existe pas dans le livre bleu officiel où fi- g u r e n t toutes les compagnies d'assurances s u r la vie de l'Angleterre, et que la société en question ne mérite par conséquent aucune confiance.

La p r o d u c t i o n d e l ' o r par les mines de Leadville a été, pour 1894, de 1,934.240 dol- lars, en augmentation de 131,040 dollars s u r l'année précédente.

Les mineurs sont descendus de 20 pieds d a n s cette riche mine dont on ne peut prévoir l'épuisement.

La statistique des fondeurs d'or indique qu'il a été fondu en 1804, pour 8,100,074 dollars.

T i m b r e s d e p r i x . — Il y a eu, ces jours- ci à Londres, une vente de timbres-poste rares et qui ont atteint des prix excessivement éle- vés*. P a r m i les plus remarquables, citons un timbre de 4 pences de Pile de Ceylan, non oblitéré, payé 130 livres (3,250 fr.), deux tim- bres de la colonie du Cap avec des fautes d'impression, qui ont rapporté 65 livres (l,(i25

francs), et 52 livres (1,300 fr.), un timbre de 2 pences de l'ile Maurice vendu 92 livres (2,300 fr.), un timbre de 15 centimes non obli- téré de l'ile de lu Réunion, vendu 50 livres (1,250 fr.), etc. En tout 472 timbres ont rap- porté la jolie somme de 2,012 livres (405,300 francs).

L'influence de la presse parisienne créerait, d'après The Nation, une difficulté particulière pour la vie politique de la F r a n c e . Les j o u r n a u x qui, en d'autres pays, n e pro- voqueraient que le rire par leurs mensonges et leurs extravagances, produisent, à P a r i s , une réelle impression s u r l'opinion publique, dans le cas même où ces j o u r n a u x ne vivent que quelques semaines. Les Parisiens m a n - quent de ce qu'on appelle, en Amérique, le sens politique et même « le sens du cheval », et leur crédulité au sujet des scandales e s t digne du moyen â g e . Grâce à cela, un petit nombre d'aventuriers peuvent rendre la vie insupportable pour les h o m m e s d'Etat.

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(5)

LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE 77

Comptoir général des

Société a n o n y m e , au capital de 1,200,000 francs F o n d é le 1

er

mars 1894

Siège de la Société et du Comptoir général de vente

LACHAUX-DE-FQNDS

1 4 , R U E L E O P O L D R O B E R T , 1 4 2399

D É P O T S à

Bienne - Tramelan - Porrentruy '.- Montbéliard Morteau

Liste des Fabriques d'ébauches et finissages

f o r m a n t l a S o c i é t é a n o n y m e d u

!.. A. Blanchard, ^falleray.

2. Bon & C

ie

, <jfoutier.

3. Bnëche & Boillat, Œ(econvillier.

4. Charles Emonot, gorvUier. ., •-,-*•

5. F a b r i q u e d'Ebauches, §oncebo^.

6. F l u r y F r è r e s , tienne.

7. F r ê n e & Garralix, Œfeconvi/lie/·.

8. J u i l l a r d frères, Corlébert.

9. Kocher, Hanni & Kunzli, Court.

10. KuIm & Tièche, Œfeconvi/fier.

11. Ed. K u m m e r , Se/llacfi.

C o m p t o i r g é n é r a l d e s E b a u c h e s

12. Manzoni fils & G

ie

, *£rogno.

13. E . Manche cSt.C

ie

, %overesse.

14. P . Obrecht & G

ie

, granges.

15.. P a r r e n i n Sf. Màrguet, Vil/ers-le-Xac.

16. Société coopérative d'horlogerie, Torilenet.

17. Société d'horlogerie, ^Langendorf.

18. Société industrielle, Routier.

19. A. Schlâfli, §efyach.

20. Jean S c h w a r z e n t r u b , granges.

21. L . - P . J a p y & C

ie

, Berne p a r §>elohcoùrt.

22. Simon Burger & Gressot, Torrentruy.

23. Virgile Cupillard, Villers-te-Zac.

Le comptoir fournira, aux acheteurs d'ébauches et finissages, les produits de leur choix, soit les produits des fabriques qu'ils entendent spécialement utiliser. H ne sera introduit d'autre changement dans les relations telles qu'elles étaient antérieurement pratiquées, que celui résultant de la réception et de l'exécution de tous les ordres des clients par l'entremise du Comptoir central ou de ses dépôts et des règlements de compte qui seront effectués de même aux dits organes.

Le Comptoir est donc substitué aux fabriques dans tous les cas où il s'agit de leurs relations commerciales avec les tiers.

Ceux-ci trouvent dans la nouvelle organisation un avantage marqué, puisque le Comptoir pourra livrer tous les genres quelconques et dans les meilleures qua- lités, et qu'ils n'auront plus ainsi, qu'un seul fournisseur et un seul correspondant.

Les ébauches et finissages sont toujours facturés aux prix et conditions du tarif en vigueur.

Toutes modifications aux prix du tarif et aux conditions de paiement, sont communiquées a la clientèle.

(6)

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