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Les Consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal. pa

Huitième Année.— N" 67.

P r i x d u n u m é r o 1 0 c e n t i m e s

Dimanche 19 Août 1894.

B u r e a u x : R u e d e l a S e r r e , 2 7 .

Un an: Six mois:

Suisse . . . . Fr. 6»— Fr. 3»—

Union postale » 12»— » 6»—

Un s'abonne a tons les bureaux de poste.

Paraissant le Jeudi et le

ANNONGES

Provenant de la Suisse 20 cl. la ligne

» de l'étranger 25'»" » Minimum d'une annonce 50 cent.

Les annonces serp'aient d'avance.

O r g a n e «le 1« S o e i o U ' I n t e r c a n t o u a l e clçw ln«I«iM<i-ie «lu . S I I I · » , «le* Clisniilu-e's «le c o u u n e r c c , «Ιο» I t u r c i m x «le c o n t r ô l e e t «leM S y m Ι ϊ < · ; > ι * iti'ofeHKÎoiiiielM.

L'assurance obligatoire en Autriche

L'assurance obligatoire en Autriche, contre les accidents du travail, a d o n n e pour l'année 1892 les résultats suivants que transcrit le «Bulletin de l'Office du travail. »

Le n o m b r e des p e r s o n n e s assurées s'est élevé au total à 1,381,000, se décom- posant ainsi : ouvriers d'industrie 1 mil- lion 003,000 ; ouvriers d'agriculture et des forêts 378,000.

Le n o m b r e des accidents s u r v e n u s en 1892 el ([ni ont en application de la loi, d o n n é lieu à une indemnité, a été de 9,422.

Sur ce chiffre total, on compte 574 accidents, soit O

0

Zo, ayant occasionné la m o r t ; 120 soit 1 , 3 % ayant occasionné une incapacité de travail permanente ou U)IaIe; 2,140 soit 2 5 , 5 % suivis d'inca- pacité de travail p e r m a n e n t e ou partielle ; et enfin 0,318, soit 07,1 % suivis d'in- capacité de travail temporaire (de plus de quatre semaines de durée).

De ce l'ail les dépenses se sont élevées à 7,100,000 Ir. environ. La valeur de la rente annuelle servie à un ouvrier atteint d'invalidité permanente a été de 100 Cr.

et l'indemnité moyenne donnée à l'ou- vrier atteint d'invalidité temporaire, n'a pas dépassé 100 IV.

Le chiffre des cotisations prélevées par l'assurance s'esl élevé à 8 millions, soit une charge m o y e n n e de 5 Ir. 90 par tète d'assuré. Naturellement, ce sont les ouvriers de l'industrie, de beaucoup les plus nombreux, qui comptent p o u r la plus grande part dans les 8 millions de cotisations p u i s q u ' i l s figurent pour 7,800,000 Ir., soit, spécialement par tète d'ouvrier d'industrie, 7,80 et 13 Ir. 00 par 1,000 Ir. de salaire. Les frais d'ad- ministration de la formation du fonds de réserve sont déduits : ils ont coûté 900,000 Ir. en 1892.

Ces résultats sont instructifs surtout à cause des chiffres. Ainsi, il est p r o u v é par une expérience de quatre années, (depuis 1889) que les cotisations par tète d'assuré ne dépassaient pas 7 fr. 80.

Assurément, les renies servies sont mo- diques. Le maximum est de 100 fr. par an pour u n e invalidité permanente.

Néanmoins, en doublant le chilfre et en supposant 10 fr. par an et p a r lèle, on peut admettre p a r hypothèse un double- ment des petites renies servies. L'assu- rance est obligaloire et porte sur plus de 1,300,000 ouvriers. C'est assurément le n o m b r e qui l'ail l'avantage ici. Mais il est très facile de c o m p r e n d r e que des assurances muluelles contre les accidents, comme cela se pratique p o u r les retraites en Amérique, aux Etals-Unis, pourraient se consliluer sans l'intervention de l'Etat, sans même que les ouvriers dussent quelque chose aux employeurs, 10 fr, représentent, en effet, p a r mois, 1 Ir. 35, soit environ 0,05 par j o u r n é e de travail, si l'on suppose bien entendu le chômage nul. O r nous ne voulons pas évidem- ment comparer l'Autriche à l'Angleterre p o u r les salaires : ils sont de beaucoup plus élevés dans ce dernier pays : il faut néanmoins se souvenir que les Trades- Unions ont levé j u s q u ' à 75 IV. de colisa- tion annuelle sur chacun de leurs m e m b r e s ,

En celte circonstance, l'obligation, l'aide de l'Etat peuvent être utiles au début, l'ouvrier autrichien n'ayant pas son self-governemcnt et étant encore sous le régime des corporations, mais cet ex- emple peut servir d'enseignement aux autres pays, concurremment avec ce qui se passe aux Etats-Unis à l'endroit des assurances mutuelles sur la vie, ou des retraites.

Dans les chiffres que nous avons don- nés p o u r les assurances des accidents en Autriche, ne sont pas compris les,

mineurs, au n o m b r e de 125,OjOJf) environ.

Ces ouvriers sont, en effet", assurés,.con- tre la maliidie el les accidents par les caisses spéciales des associations mi- nières. La loi sur les caisses spéciales de retraites des ouvriers mineurs est une loi à part.

La future société socialiste

Les socialistes qui croient — p o u r la plupart — à l'application prochaine de leurs idées, ne m a n q u e n t pas d'étudier, dans leurs congrès, l'organisation qu'ils comptent appliquer après leur victoire.

Voici les conclusions économiques adop- tées par le 12

e

Congrès National du parti ouvrier socialiste révolulionnaire.

La première question visée a été celle des armées p e r m a n e n t e s dont le Congrès a volé la suppression el le remplacement par l ' « a r m e m e n t du p e u p l e » .

Sur la deuxième question de l'organi- sation du travail dans une République sociale, le r a p p o r t e u r termine ainsi :

Considérant que l'organisation du tra- vail, dans une République sociale, ne pourra définitivement s'établir qu'à cer- taines conditions, le Congrès dépose les conclusions suivantes : Suppression du salariat, Organisation des travailleurs en groupes corporatifs.

Sur Ia troisième question : situation

politique et économique du prolétariat

agricole, le Congrès, voulant affirmer

ses efforts et son désir absolu d'aider

les travailleurs agricoles dans leur éman-

cipation, a adopté les revendications,

contenues dans le p r o g r a m m e ci-dessous

el qui p o u r r a leur servir de base dans

leur aclion économique. Les résolutions

votées à l'unanimité se subdivisent en

deux parties : 1° des mesures immé-

diates à p r e n d r e après la Révolution ;

2° des mesures transitoires. Sur la p r e -

mière partie, déclaration d'inaliénabilité

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304

LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE

d e la t e r r e , d é s o r m a i s r e c o n n u e p r o p r i é t é s o c i a l e , c o l l e c t i v e , c l e s l - à - d i r e . r e t o u r i m m é d i a t à la c o l l e c t i v i t é d e t o u t e s l e s p r o p r i é t é s t e r r i e n n e s , s o l e t s o u s - s o l , e n t a n t q u e n u e p i O p r i e t é ^ L ' u s u I r u i t s e r a m a i n t e n u à t o u s - c e u x d e s -propitié t a i r e s q u i c u l t i v e n t p a r e u x - m ê m e s s a n s e m - p l o y e r d e s s a l a r i é s a g r i c o l e s . L a j o u i s - s a n c e - d e s b i e n s q u ' i l s d é t i e n n e n t , sav&

i t e p r i s e a u x p r o p r i é t a i r e s q u i n e c u l t i v e a i - jpas p a r -ôux-infimes, p o u r ê t r e a l t n i l j u é ë y p a p les* c o n i u u n n e s i j à ttmsiiQ&'feïavadJleuiîS!

agi}icôle&,ii jqnia^aliéraii •> mqlarywrsidliiierH îpierswii r|j\-)i|i";(|ii^, ίΜ'1."' '1I'''' ultrillMt'P.

j tLeîiCaOQgnèa ι ai ivol4 I la t a'éeehtf ioiil le u i * vt^nte s u r l a q u e s l i c m d e \ A g r è v e · géiié;*

raiJB! J u s q u ' à s a m i s e e n e x é c u t i o n , l a q u e s t i o n r ç M e r a à l ' o r d r e d u ;jleun dos- Congtrès r é g i o n a u x et n a t i o n a u x d u P a r t i o u v r i e r .

G e s : < r é s o l u l i o n s r e p r é s e n t e n t l e p r o - g r a m m e m a x i m u m d u p a r t i , s o c i a l i s t e d e la C h a m b r e .

;

„ Correspondance particulière

Nous recevons de l'Un de nos abonnés de Londres la lettre suivante, que nos abonnés liront avec intérêt :

Les magasins de détail d ' H o r l o g e r i e et Bijouterie eu Angleterre sont en train dé for- mer une Association sous Ie .nom de :

, . « R K T A I L JjiWKLUS ASSOCIATION·» , . , ,

cfUi embrassera'1 tous1 les différents CoWiin'erces dont s'occupent les m a g a s i n s connUs sous le nom de « J.e\vclus.»,vSQi,l J'horlogerie, la bijou- terie, l'orfèvrerie, l'argenterie, et la lunetterie.

Le but1 de cette Association est de protéger les membres qui en font partie, et le «Tracté»

en général, des injustices et des fraudes dont ils ont à souffrir dans leur commerce, tant depuis l'étranger que dans le pays mémo.

" U h des1 points qui entrera largement dans le programme de ce,lté association c'est l'op- position du « C l u b » système, qui enlève la majeure partie du commerce des magasins, surtout dans les montres courantes. C'est donc la vente au crédit, moyennant paiement de tant p a r semaine, et qui est faite par des maisons n'étant pas dans l'horlogerie, mais s'oecupanl de plusieurs genres de m a r c h a n - dises,' tels q u e : machines à coudre, pianos, machines à presser le linge, etc., etc. qu'ils vendent dans les mêmes conditions. Leurs agents qui courent tout le pays, n'ont point de « P l a t e Licence.» (licence pour la vente d'objets d'or et d'argent) et c'est ce dont les magasins se plaignent, et t'axeiit cette concurrence d'illégale. La question a déjà été portée devant la « House of Commers » cl le P a r l e m e n t s'en occupe, de sorte qu'il y a lieu de croire que prochainement une loi sera passée astreignant ces agents de prendre une Licence, ou d'abandoner la vente de montres contre paiement à la semaine.

L'association s'efforcera également défaire augmenter le prix de cette Licence à 5. 15. O I. si. uniformément tandis qu'actuelle- ment elle n'est que de 2. O. O 1. st. par année, pour la vente d'objets d'or el d'argent, ne dépassant pas un certain poids.

Quant a u x m a r c h a n d s (M fabricants d'horlo- gerie de l'étranger qui viennent en Angleterre avec un stock de montres or ou argent ou même des échantillons seulement, ils sont en contravention à la l o i . telle qu'elle existe actuellement. C'est simplement par omission qu'ils ont échappé jusqu'à présent, car pour- quoi la loi permettrait-elle a u x étrangers de

vendre en Angleterre des objets d'or el d'ar- gent sans Licence, alors que lés commerçants .résidant dans le pays, et payant les impôts et taxes, sont obligés de prendre une licence pour la vente de ces mêmes objets, sous peine d'une amende d é ' 5 0:1 : s'f. pour lu première offense et''cbrïsittér«breinen't «plus "élevée pour ihie^gouWa^eHUWn^suBk^ucilfeVLVfiauVontes ,dftmpeteiUes' se'roïi f a visées dé 'cette "ànoiMne

pal' l'Association et nous "aviserions1 lë's'fâ'bri- .éarits suisses'qù'i vîèVinérit en: Angleterre avec

des

dt ' μί>ϊ( C-'étTr·' • ri<i( 'IV»v sia'fJJe ' ' bra.Vî.Àiiiri!? fto ;ΊéVi .';'s .miTéHHnmsès.':" l!" !,"r", V'M«il(fei!>''-!|l Ti)It

(!CjM-C ιΜΊ'.-ι!; lit jtljl- ItI l"l, ||Ι)Κι· SfiVllur dit;

(|<1ΛΐιμινΤ«Ί<ϊηι> -tiliT-TjTi'iFt· :\u.• hi-rT'Hiirtudi·

ci Déni etiv ·!.· in îiiusfjif provis''t|!|t do leur:·

.,,,;,,.>,,.,,fédération ouvrière

Un écrit de Bàle au Temps :

La Fédérifc^ébevâérAlMV^ài <Sst menacée d'une scission qui compromet son caractère et son exisJjCMiçf;. i^^K'niUij'^rtJUque cette fédéra- tion représenté le groupement de toutes les sociétés'5u'v'rïéres V.r^ïïsees'il'èliÎ'^uisse en- tière, et jouit comme teWed'un subside annuel de 20,008 finîmes" pour l'entretien d'uii secré- t a r i a t ' ré|M'éséiilant lés 'intérêts (le'l'crisémble

5CR? Ia' Classe ouvrière des viiigt-cleuk caftïbiis!

A côté de l'Association du'Gi'iïtli'é'f dés au-

«tPès •soéÎé'fés' n^'fMiH'aiVcd p n M n ë i i t!e l % u q u c - ment socialistes figurent les sociétés ouvrières catholiques : c'est ainsi que IVm trouve dans la Fédération'deux nuancés, deux fractions^

aujourd'hui en désaccord complot. Les socia- listes purs traitent leurs collègues catholiques de socialistes à l'enù 'de 'rose, dé socialistes de s a l o n . ' e t les rendent! responsables de 'récriée du «Droit au travail »

, Les catholiques, par contre, sont froissés de ne pouvoir gagner les camarades du Grùtli et des sociétés affiliés à leurs projets de par- tage des recettes douanières. Celle tension doit, parait-il, conduire à une rupture, et un con- grès des sociétés ouvrières catholiques suisses est convoqué à Bàle, les 8 et U septembre pro- chain, pour trancher cette question. Le parti catholique con'sérvateur suisse se prononce tout entier en'faveur' de cette séparation de ses éléments ouvriers d'avec lés socialistes1, et ses organes la préconisent sans exception, sauf toutefois le Joiïrnaldu Peuple, de Bàle.

Ce journal estime que la Fédération ouvrière suisse est une institution officiellement recon- nue, neutre au point de vue politique et reli- gieux, où les ouvriers catholiques peuvent parfaitement discuter avec des ouvriers d'opi- nion différente les questions ayant un intérêt commun pour tous les travailleurs.

S'il faut en juger par les dispositions qui régnent dans la majorité du camp clérical, cette opinion ne trouvera pas de majorité au congrès de Bàle, el la scission est imminente.

On se demande même déjà si le gouverne- ment fédéral, après qu'elle se sera produite, continuera la subvention de 20,000 francs qui figurait au budget pour le secrétariat ouvrier.

Les téléphones en France

Dans la revue politique et parlementaire, M. Charles Gide, professeur à la Faculté de droit de Montpellier, fait paraître une courte étude où il constate, non sans regret, qu'en fait de téléphones, Paris et la France sont déplorablement en retard sur toutes les autres nations. Les extraits qui suivent feront bien comprendre l'intérêt de ce petit travail :

Il n'y a pas en France, dit l'auteur, 20,000 abonnés au téléphone: la petite Suisse en a presque autant que nous, 10.000, quoique sa population soit treize fois moindre. L'Allema-

gne en a plus de 3 fois plus, 00,000 ! Prenons quelques villes: par e x e m p l e , Genève et Montpellier, dont les populations sont précisé- ment égales, 70 à 72,000 habitants chacune.

Montpellier a,18 abonnés, Genève en a 2503, cinquante fois plus, et le parallèle entre toutes les villes .françaises, ^ , , s u i s s e s serait .à. peu prés le même. Paris lui-même n'occupe pas une situation beaucoup plus brillante : il, a 0000 abonnés, trois fois moins que (BcrliiK 'cj'ui en a 18,000, quoique ItT population '(lé'Ja capitale de l'Allemagne sojLt inférieure d'un Vires) m i",s. 111^iUe que_ Hambourg,,.' (jjij,..en

compte 'T)l^s''^\'yoÏÏO."êrclp'Îit'Ta/iî,gi}ulati()n'

n'est que ;le ,Iinûiénie He celé, de .Paris.,. Si

ΠΙ)ι!ΐ.·ι(ι· ili· I VUi Γιΐ;ω(1·' SMH iliTi-iai'ITl •· I i

nous prenions les vtlFes d,Ilalie, ,la eonnm-<!<·'(j, -ιιοιΐ!·> int'uie ti)u'.,iiitiii'kil>iriY ι ; · '

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îiieore héuueuuu trop. , ,, , t,' i| fini que 1«' llfliliMlAu de lU'.liil dit Purls.

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Nouvelles diverses

TÎtf^rr

Le c i d r e est ardemment recommandé dans un article du Ti'àtès\'\ia"iliÎ. Radcliffe Cooke, membre du Parlement. Le cidre esl actuelle- m e p ^ nijjnqfac.tur.é le plus souvent par des fabricants auxquels les cultivateurs apportent l e u r s .pommes. Il est, en .conséquence, meil-

leur et m o i n s falsifié qu'autrefois, bien qu'il y ait toujours, en ce qui le concerne, les mêmes différeneqs en. qualité .que .celles qu'on relevé entre les sortes de Bordeaux, pour le perry, ou. le poiré, de Champagne. JUe..cidre, d i t ' l ' a u t e u r , '(;st l'a 'meilleure boisson du monde : il guérit dé la pierre, du rhumatisme, de la goutte. . Regardez Içs inscriptions .des cimetières en Sqmérsetsîii're et clans les autres régions du cidre ;. vous'verrez que là tout le monde devient'vieux! Il h esl pas bon de ne boire que de l'euù ; la tempérance absolue, tee-totalisme, ne réussit pas : ceux qui la pra- tiquent apqnièrent l'apparence ou de barils gonflés où d'echalas de vigne. Mais Iq cidre conlienl' si peu d'alcool qu'il peut très bien servir à réaliser le vrai but des associations de tempérance. Donc, pp.ur toutes les raisons, pour voire santé, pour Ic1S bonnes .mœurs, pour le bien des agriculteurs, buvez du cidre!

C'est du moins le conseil que nous donne, dans le grand journal de la Cité. M. Raclcllfie Cooke. ,

Le m o n o p o l e d e s t a b a c s . — Voici les recettes q u e produit le monopole des tabacs dans les différents pays d'Europe dans les- quels ilr,existe:.,;.. r; ,., ... t . .

En France, le monopole des tabacs donne à ,l'Etat un revenu net île 307 millions de francs. Les revenus de la régie se moulent en effet, en France, à 370 millions, el ses dé- penses à OU millions.

En Autriche-Hongrie le monopole des la- bacs produit 200 millions.

L'Italie en retire un revenu net de 141 mil- lions.

L'Espagne en lire 84 millions, la Roumanie 24 millions. Ia Serbie 5 millions.

Quelques Etals, bien qui' n'ayant pas le monopole, arrivent à trouver dans les tabacs une importante ressource. En Angleterre.

l'impôt sur les tabacs produits 250 millions, en Russie 110 millions, en Allemagne 13 mil- lions, mais le gouvernement allçmand se pro- pose parait-il, de demander à cet impôt un produit de 100 millions.

L ' e x p é d i t i o n v e r s la T e r r e l i b r e d e IVl. H e r t z k a a échoué encore plus rapide- ment qu'on ne l'avait prévu. Ou a craint un mouvement général des Arabes, dans l'Afri- que de l'est, contre les Européens, el l'expé- dition a été forcée de liquider.

C o m m u n a u t é m o d è l e , é t a b l i e p a r IYI. F l û r s h e i m a u M e x i q u e . — Voilà en-

; -

(3)

LA FEDERATION HOKLOGERE SUiSSE

i-... · .· '.. C-

305

cure une utopie dont il' sera intéressant de suivre le développement. La terre y est pro- priété de la communauté et les cultivateurs ne sont que des fermiers. Le commence,,est.

canstifjué. en manopqle public. L a monnaie représente simplement un je.tonjρρφ^νρ,βΐ^όη, des marchandises. D'après notre expérience, la propriété t'ow.ciQi',^ jfcon^titue Ie1 (PJUg1 Çj>vJ.

motif et le plus puissant,nioleua; .ç}Q.,toutekç.p- lo'nïsàUon. Mais après tout', il n'est pas mau- vais de tenter la.réalisation.(Ie1S1.utopi,es,,da!iis les pays nouveaux où l'on n ' a c c a p a r e l a place de personne. ,. ,.· » . ,..,i ., , .-..·..

L ' é p a r g n e p o s t a l e e n I t a l i e . —'L'adtiu- nistration des Postes italiennes vient de com- muniquer le résumé suivant des opérations des· caisses d'épargne- postales ;;pjnir tout le mois demarg.l^il.f,,·;. , ·., .<

Livrais restés en cours à;Aa φα du mois précédent . ,. » ;>, Hyr.ets.éniis d a n s le mois de

. » H * r ^ M . s . w w . , . . < · , . < · , . , Livrels-surtprimès dans'le "

même nmis

Reste . . Crédit des déposants à la fin

du mois précédent . . • · . . Dépôts effectués dans l e mois

dn.pia.rs 1804 . .... ,,.

Remboursement dans le même moho . · . . . . Reste en lires (ou francs)

L e s b i e n f a i t s d e s i n v e n t i o n s . — M. Fer- dinand Cuintlicr, mécanicien à Bienne,,,a in- venté u n e machine à frotter pour la eonfec-

!' ' ' . I l . . . I i I I C M H . I l

!- 3,*1Λ),77ύ —- 33,407 — 2,753','182 — 13·,'588 — 2",739,59-S — 394,900·,'·138 78 , 21,024,(581 87

41Ô.'J'24,82(V'()5

2ί·1()8,Ί88ι40 394,7δ«,-032 25

tjou- dqs fvujds, lunettes et ctiyables, dans-}fcoijls les m é t a u x . Nous avons vu fonctionner ce nouvel appareil automatique et devons réelle- rnenj r.ecoji naître ,que, sa production eM-vrair- m e n t . s u r p r e n a n t e . Il excelle surtout.,,dans i'£cfinomja,d/e temps, qt ,de la. force d e produe- faon, et nous ne pouvons faire "autrement que

d'exprimer^ip^re admjratipn ;pour> son,;génial.

inyentem;,.; .#Ial\\eureus.em£nt , c e ,;.nquv.eau progrès de la technique ne sera pas un bien- fait.paur; l'ensemble, maijs viendra au contraire, grossir le nombre des malheureux qiu.nloHit;

p a s suffisamment de travail tandis .qu^r-lfl

Î

< bjen.fait w de cettp.inveption entrera dans la loclve de .quelques capitalistes.. ..·>.·. . .'..u I ''Et iMenr-sora de même de'toutes'les inven- tions;ieb'6ela,'di(réra''Uussi lOngtèrtips que lé' principe socialiste ne sel'a ' p a s réalisé : le transfert de.tous les outjllages à Ja possession c o m m u n e . , ' (Solidarité horlogère.)

Procédés industriels

Méthodes pour niasquer les soudures Sur les objets en métal, les traces de sou- l u f | forment de v é j i t e b l e s j a c h e s . ^ a rnélhodfi, surronte permet do Teur* «onneV l'aspect gè- lerai ,do,l'objet.^ „i , • (il

.IPoufi-tes objbtsvde cuivre, il faut préparer une dissolution concentrée de suHj»te de Cuivre (cotiporose bleue) et, au moyeu d'une baguette, jen appliqujor ,une certaine, quantité sur. la soudure.. ·Εη touchant ensuite c<?,point, avec un fil de fer ou un fi) ,d'acier,lA>0R„çui\\re, je point touché,, répaisseur.du dépôt augmente en Répétant plusieurs fois, l'opération. P o u r obtenir l'aspect du laitpifij il faut employer

« n e dissolution saturée, formée d'une partie de sulfate de zinc et de deux de sulfate de cuivre, l'appliquer au point cuivré au préala-

ble.,-etcfr-et.tei· avec ,un morceau de zinc. La ioulemViSera plus ,,foncent an- saupoudrant, dfc [îoiidre d'Qr1Ct: au., pojissant Onsuite. P o u r lés D'bjets en or ou en doublé, on cuivre d'abord ia, sQuduue ,Pn1IiUi iï',ftc<3uwa :«ti»guite d'une mince,, couche .de.,.gomme .ou..,de colle, de- poisson, puis on la saupoudre de limaille de bA'pnze^.et qaïajid l ^ g o i n m e est sèclw,.on frt>Me e.B.qrgiquem#iH eC,roe,.iobtàentiiain'8i unlipoli

^8.11Pi1-UaUtMPnIPqUtflnçojfOidoi'w pat- galva- noplastie , la coloration est ainsi plus uni- t'orirae.!, · ;··! < ·• ! • •< ι.1·.;.,·,·,ι ·>'·>•: >:;

I P o u r l'es'bbj'e'ts e'ii'argènt,''ôn'ç'divi'è: comme/

pVéûedehi'mertt, piiis'on frotte'avec unebrossé' trempée dans la poudre d'argent, on passe ensuite a u .,brunissoir, puis, l'an polit de.nou- yQiui.· ;...,.... . , . |,ι,„., ι . . i...,. ι? ·,,., ;, ..i>

(·· •·('··' ·"»· .'· '.,7Γ~Τ Γ~ ' . Ί . . „ . , , . „ ι Peinture à la paraffine pour les m u r s

humides

I !&H JM'APÇ'W P&tte peinture en faisant fondre à une chaleur modérée une partie do paraffine {!ans deux ou trois'{tàpttfêSTrliuilc do goudron Se hqu^leMu .·.· . ,.,·.,m.·,· , ι , ,.., ,.,, ·,·

Ειτ se''refroidissant; cette nidti'ère s" épaissit j1' poui'l'éftyployèron la rend fluide en la mettant'' diin;4 'uiV vase qui plonge dans un bain-

maiùe... . . ;. .,,; _.,.,. . , .,. .. ι I.. .· . ι· . , ι .- .· '. .·.,. ι «'·. , • .,

ι ι >|. |,

> ' C o t e d e l ' a r g e n t

du 18 Août i8g/f

Argent fin W ^ r S n à A l ê s u'&}P.ltifc'±- le kilo.

Falirique d'Horlogerie PAUL IM. CHAUX»

Boules. Châtelaines.

- ^ - r , - , t , - , ' l ^ r _

E. Jeanneret-Rauss

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