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PA M. Jules Gfeller Berne

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(1)

. ' B

PA M. Jules Gfeller Berne

Les consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal.

Sixième année. — N0 38

P r i x du numéro 10 centimes

Samedi 7 Mai 1892

B u r e a u x : R u e Neuve, 19

ABONNEMENTS

Un an : Six mois :

Suisse . . . 6fr. 3 fr.

Union postale . l î » 6 »

On s'abonne à tous les bureaux de poste

ANNONCES

Provenant de la Suisse . . 20 et. la ligne D de l'étranger. . 25 » »

Minimum d'une annonce 50 centimes

Paraissant le mercredi et le samedi, à Bienne Les annonces se paient d'avance

O r g a n e d e l a S o c i é t é i n t e r e a n t o n a l e d e s i n d u s t r i e l s d u J u r a , d e s C h a m b r é e d e c o m m e r c e , d e s B u r e a u x d e c o n t r ô l e e t d e s S y n d i c a t s I n d u s t r i e l s .

E x p o s i t i o n d e C h i c a g o La réunion du Comité des exposants horlogers, qui a eu lieu mercredi à Yver- don, a arrêté le texte d'une lettre à adresser au Vorort de l'Union suisse du commerce et de l'industrie, à Zurich, sa- tisfaisant aux questions posées par cette autorité en vue de former le préavis qu'elle est apelée à donner au Conseil fédéral, concernant le chiffre de la sub- vention à accorder aux exposants horlo- gers. Un budget de participation, par le moyen de subventions fédérales, à cer- tains des frais de l'exposition, a été établi avec postes spécifiés et joint à la réponse au Vorort.

Le Comité a examiné ensuite des plans et croquis éventuels de disposition de la salle d'exposition horlogère et a pris con- naissance des tractations préliminaires avec l'agent général officiel de l'exposi- tion, résidant à Londres qui, de plus, an- nonce sa prochaine visite en Suisse où il verra les diverses autorités intéressées et pourra fournir les renseignements dési- rables quant aux emplacements à occu- per et conditions générales faites aux ex- posants.

Le Comité des exposants horlogers ne peut que préparer le travail durant cette période où n'étant pas fixé sur la question de la subvention fédérale, il ne lui est pas possible d'établir un devis général et un budget complet des dépenses cou- vertes et non couvertes par cette sub- vention.

Néanmoins toutes les mesures que les circonstances comportent sont déjà prises pour que l'on puisse marcher rapidement dans les mesures d'exécution aussitôt que l'on sera fixé sur tout ce iqui concerne la question financière, ce qui ne peut avoir

lieu avant la session des chambres fédé- rales du mois de juin prochain.

(Communiqué.)

R a p p o r t s commerciaux

Extrait d'un rapport

du consul d'Allemagne à T i e n - T s i n Montres. — Il en a été importé 15,000, d'une valeur totale d'environ 80,000 taels (le tael = 7 fr. 25, moins le change des mon- naies d'argent).

Bien que la somme dépensée par les mar- chands du pays pour achats de montres n'ait pas augmenté, on constate un développement annuel de ce commerce. Le fait s'explique par la diminution de la qualité des articles que les maisons européennes sont obligées d'introduire, car les chinois ne veulent plus payer les anciens prix.

Les genres qui se vendent le mieux sont les f-uivants : savonnette 17" 18" à ancre, sans marque; chinoise 21" ancre et duplex, avec les marques Bovet, Juvet ou Ina. Ces marques sont de certaines maisons; la con- currence introduit sur le marché des imita- tions qui doivent causer un tort assez sen- sible. Les Américains font des affaires importantes en montres Waterbury, recher- chées pour leur bon marché. Toutes pièces soigneusement travaillées, chronomètres ou montres à répétition, à boîtier d'or, sont de bonne vente, à condition que l'or soit à 18 karats (ce que les Chinois s'entendent par- faitement à estimer) et que le mouvement à ancre soit bien nickelé.

Toute nouveauté, qu'il s'agisse du mouve- ment ou du boîtier, trouve actuellement un bon débouché.

Horloges et pendules. — Les premières, principalement en bois, les autres, de nickel ou de cuivre, venaient autrefois presque ex- clusivement d'Amérique, ainsi que les réveils avec ou sans automates.

L'Allemagne a réussi à amener sur le mar- ché un produit égal à l'article américain et à aussi bas prix, 'elle lui fait concurrence avec succès.

Les belles pendules de marbre ou ornées de métaux précieux viennent de France et de Suisse ; mais l'usage en est restreint.

Extrat d'un rapport du consul général de Turquie à Leipzig

Pendules et montres. — Des pendules appe- lées « régulateurs » sont fabriquées en Thu- riDge et spécialement à Mulhouse ; les pen- dules et horloges en bronze, marbre, etc., nous parviennent en général de la France ; les montres (de \ oche) fabriquées en Suisse ont rencontré une rude concurrence de la part des établissements de Glashiitte, dans le royaume de Saxe, où le gouvernement a fondé une école pour l'horlogerie. Les mon- tres de Glashutte ont acquis une excellente renommée, par suite de leur solidité, beauté, exactitude; les meilleures sortes s'achètent beaucoup pour l'usage scientifique (astrono- mie, médecine, physique, etc.).

Le consul d'Allemagne à Hiogo-Osaka (Ja- pon) parle en ces termes, dans un rapport, de l'importation de l'horlogerie an Japon :

« Le commerce des montres et pendules a souffert de la difficulté de la situation fincn- cière; les prix ont également éprouvé un recul.

« Les horloges et pendules viennent d'Amé- rique; les montres sont en grande majorité fournies par la Suisse. »

R e g i s t r e du commerce

(Extrait du rapport du Département fédéral de justice et police sur sa gestion en 1891.) La loi fédérale du 11 décembre 1888, com- plétant les dispositions du code des obliga- tions relatives au registre du commerce, est entrée en vigueur le 1e r janvier 1891, de même aussi que le nouveau règlement du 6 mai 1890, sur le registre du commerce et la feuille officielle du commerce. Ces deux actes législatifs tendent à obtenir plus d'uni- formité dans l'application des prescriptions en vigueur sur le registre du commerce. La novelle de 1888 permet de faire d'office les inscriptions au registre du commerce, lors- qu'il y a opposition de la part des intéressés;

(2)

158 LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE

jusqu'ici, on ne pouvait opérer par cette voie que les radialions de maisons ayant cessé d'exister. Le nouveau règlement définit l'obli- gation de s'inscrire en désignant les profes- sions ou industries soumises à l'inscription et en fixant pour certaines d'entre elles les limites de cette obligation. Les bons effets des nouvelles prescriptions se sont déjà fait sentir. Un grand nombre d'industriels, qui jusqu'ici avaient réussi à se soustraire à l'obligation de s'inscrire, ont été contrainte de s'y soumettre. D'un autre côté, on a éga- lement opéré la radiation, au registre du commerce, d'un grand nombie de maisons qui, vu leur peu d'importance, ne devaient pas y figurer. Comme il a été exposé dans le rapport sur l'exercice précédent, on s'était déjà efforcé en 1890 de mettre le registre du commerce en harmonie [avec le nouvel état de choses, en le complétant et l'épurant.

Mair c'est surtout en 1891 qu'on s'est appli- qué à cette tâche. A quelques raras excep- tions près, l'épuration du registre peut être considérée aujourd'hui comme terminée.

L'augmentatiou des inscriptions sur les exercices autérieurs est démontrée par les chiffres suivants : Depuis que le registre du commerce existe, les inscriptions annuelles n'avaient jamais atteint, comme en 1890, sauf la première année (1883), par des motifs fa- ciles à comprendre, le chiffre de 7736. La moyenne était de 6360. En 1891, le chiffre des inscriptions s'est élevé (nouvelles inscrip- tions, radiations et modifications) à 16,308. Il est impossible de dire exactement à combien s'élève le chiffre des inscriptions nouvelles, faites par voie de contrainte (d'office). La disposition prescrivant expressément de les indiquer comme inscription d'office n'a mal- heureusement pas été observée par tous les préposés. On peut cependant les évaluer ap- proximativement à une centaine, peut-être quelques-unes en sus. Pour de plus amples détails, voir le tableau publié dans la feuille officielle du commerce du 3 février dernier, n° 25, page 100.

On a donc inscrit trois fois plus de raisons individuelles et trois fois plus de succursales que jusqu'ici en moyenne. Ge fait ne s'ex- plique que par l'application du nouveau ré- gime. En ce qui concerne les sociétés et les autorisations et procurations, on ne peut guère parler ici des effets de la novelle et du règlement, malgré l'augmentation des ins- criptions. Les causes de celle-ci doivent être cherchées ailleurs. Il n'y a peut-être un rap- prochement à faire que pour les sociétés en nom collectif et en commandite.

De même que pour les inscriptions, il en a été radié trois fois de plus que la moyenne.

Cette augmentation est due au fait que la plupart des titulaires de raisons individuelles jadis inscrites par voie de contrainte sur la base de la pratique qui existait alors se sont empressés de requérir leur radiation du re- gistre quand ils ont vu que le règlement du 6 mai 1890 ne les soumettait plus à l'inscrip- tion.

NOUVELLES DIVERSES

U n i o n s u i s s e d u c o m m e r c e e t d e l ' i n d u s t r i e . (Communiqué parleVorort.) — Le 30 janvier dernier ont eu lieu à Zurich, sous la présidence de M. le conseiller natio- nal C. Cramer-Frey, des séances de la Cham- bre suisse du commerce et de l'assemblée des délégués de l'Union suisse du commerce et de l'industrie.

22 sections étaient représentées à l'assem- blée des délégués. Sur la liste des tractanda figuraient deux objets d'intérêt plus général : la question de l'application à l'Administration fédérale des postes, de la loi fédérale du

1 "juillet 1875 sur la responsabilité des entre- prises de chemins de fer et de bateaux à va- peur en cas d'accidents entraînant mort d'homme ou lésions corporelles et de pren- dre sur la base de leurs rapports les disposi- tions ultérieures.

Sur le second objet, la décision suivante a été prise : Le Vorort est invité à soumettre aux sections la question de savoir s'il n'y a pas lieu d'intervenir auprès du Conseil fédé- ral afin d'obtenir :

1° Que la prescription renfermée dans le règlement du Conseil fédéral du 6 mai 1890 (art. 13, dernier alinéa), qui fixe à 2000 fr. la limite de la valeur moyenne des marchandi- ses en magasin, et à 10,000 fr. celle de la vente annuelle ou des produits annuels, doit être modifiée dans ce sens que l'existence d'une seule de ces conditions motive déjà l'obligation d'enregistrement.

2° Qu'il soit passé outre à la demande faite de divers côtés de l'augmentation de la valeur de la vente annuelle ou des produits annuels qui rend obligatoire l'inscription au registre, mais qu'au contraire cette limite soit main- tenue.

3° Que les prescriptions sur les inscriptions au registre du commerce soient exécutées d'une manière plus sévère et plus uniforme.

T é l é g r a p h e . — Edison vient, paraît-il, de découvrir tout récemment que le télégra- phe électrique peut s'effectuer par simple induction, sans l'intervention des fils, du moment où l'on arrive à faire fonctionner l'élément électrique à une hauteur suffisante pour neutraliser l'effet de la courbe de la terre et à réduire à son minimum la force d'absorption du sol. Cette importante décou- verte amènerait l'établissement d'un système de télégraphie marine qui permettrait à un navire de communiquer, soit avec la terre ferme, soit avec d'autres navires, dans un rayon d'environ 50 kilomètres.

IJe t r a v a i l d e s f e m m e s . — M. G Bo- nardo vient de publier dans la Nuova Anto- logia un tableau statistique du travail des femmes et des enfants en Italie, qui en dit long sur la misère qui désole ce grand peuple.

L'Italie compte dans sa population à peu près 11,292,000 femmes âgées de plus de neuf ans ; deux millions d'entre elles sont em- ployées dans l'industrie et plus de trois mil- lions dans les travaux agricoles. La soierie occupe 117,000 femmes et seulement 17,700 hommes.

Les petites filles en Italie travaillent à un . âge plus tendre que les garçons, et sont em-

ployées en nombre beaucoup plus considéra- ble. Dans la soierie on emploie 38,000 jeunes filles et seulement 2000 garçons. Les autres industries, prises dans leur ensemble, nous montrent 47,500 jeunes filles ouvrières contre 22,700 jeunes garçons ouvriers.

Quiconque a voyagé en Italie a été frappé de la rudesse des travaux accomplis par des jeunes filles et des femmes, et de la vieillesse qui flétrit prématurément ces paysannes si classiquement belles.

Une situation économique qui condamne la femme à sacrifier sa mission de mère et d'éducatrice à la nécessité de gagner le pain de la famille est jugée : c'est la fin d'une race.

Eie c o m m e r c e d u P o r t u g a l . — En dépit de toutes les difficultés politiques, de toutes les discussions qui se sont élevées de- puis deux ans entre le Portugal et la Grande- Bretagne, celle-ci continue à avoir de beau- coup la part la plus considérable dans le commerce du Portugal et fait des affaires dont le total s'est élevé en 1890, à 25 millions et demi de reis, importations et exportations comprises. Il est d'ailleurs remarquable qu'une bonne partie des articles importés I par l'Angleterre ne sont pas d'origine anglaise

et que ce pays, en les rendant au Portugal, ne fait que jouer le rôle d'intermédiaire.

Cette prépondérance si considérable du commerce anglais est un des traits saillants de la situation du commerce extérieur portu- gais.

V A R I É T É

L ' h o r l o g e m e r v e i l l e u s e . — On ra- conte qu'au siècle dernier un mécanicien de Genève, nommé Droz, très connu par ses in- ventions ingénieuses, fabriqua une horloge merveilleuse qui fit alors l'admiration de ses contemporains, et dont le mécanisme mettait en jeu un berger jouant de la flûte, un nègre et un chien de grandeurs naturelles. Un pa- nier de pommes était aux pieds du berger.

Lorsque l'horloge sonnait, le berger jouait successivement six airs différents, sur sa flûte, le chien s'en approchait et le caressait, et le nègre applaudissait en agitant la tête d'un air approbatif.

Cette horkge fut montrée au roi d'Espagne, qui s'en montra grandement émerveillé et qui en témoigna gracieusement sa satisfac- tion à l'auteur.

« La gentillesse de mon chien », répondit Droz, « est son moindre mérite : si Votre Majesté veut bien toucher une des pommes que contient le panier, elle aura l'occasion d'admirer la fidélité de l'animal. »

Le roi s'était à peine rendu à cette invita- lion que déjà le chien lui sautait sur la main en aboyant d'une façon telle que le chien du roi, qui se trouvait là, aboya énergiquement à son tour.

Attribuant à ce fait une cause de sorcellerie incompréhensible, les courtisans, apeurés, s'enfuirent à qui mieux rmeux, sans respect pour la Majesté présente, se bousculant et se culbutant les uns les autres.

S^uI, un courtisan, plus brave, était resté.

Le roi lui commanda de demander l'heure au nègre. Celui-ci ne répondit pas à la question posée, - J La raison en est », fit observer Droz, que mon nègre ignore l'espagnol ». — Le ministre renouvela sa question en fran- çais, et tout aussitôt le nègre répondit fort intelligiblement : « Seigneur, il est six heures et demie. »

Devant cette nouvelle manifestation d'un art qui lui était absolument inconnu, notre courtisan sentant toute sa fermeté l'abandon- ner, se retira à son tour en déclarant que tout ceci n'était autre qu'une œuvre de magie.

Droz expliqua alors au roi resté seul, que dans l'agencement des pièces il touchait, au moment voulu, certains ressorts du méca- nisme dont la mise en mouvement avait si fort effrayé ces pauvres courtisans et le mi- nistre lui-même.

JListe d e s m a r c h a n d s h o r l o g e r s ac- tuellement à la Chaux-de-Fonds à l'hôtel de la Fleur-de-Lis : Liste dressée Vendredi 6 Mai 1892, à 5 heures du soir : M. Bellack,\\ieane.

Tiltenborg, Danemark. — Waldemar Ilolst, Danemark. — Tumpowsky, Suède. — Hult- ner, Suède.

COTE DE L'ARGENT du 7 mai 1892

Facturé aux monteurs de boîte.

L'argent 800 laminé et fil à fr. 119. 95 le kilo id. 805 id. id. » 120.75 id.

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Le rédacteur responsable : Fritz HUGUENIN.

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:-,-·>

LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE 159

Exportation de l'industrie horlogère suisse p e n d a n t les années 1889-90-91

Allemagne Autriche France Italie Belgique Hollande Grande-Bretagne Russie . . . Suède et Norvège Danemark Porluiial Espagne Grèce

Pays danubiens

Turquie d'Europe . . . . Egypte

Algérie, Tunisie Afrique Turquie d'Asie

i

Indes b r i t a n n i q u e s . . . . Indes hollandaises . . . . Asie orientale

Amérique anglaise du Nord

^Etats-Unis

Amérique centrale du Sud . Australie

Divers

MONTRES DOR 1 8 8 9

227,457 70,840 34,193 29,868 19,163 16,693 65,755 39,030 2,807 979 6,117 7,197 255 2,652 2,174 404 164 110 265 1,139 2,804 521 21,918 30,084 288 52

1 8 9 0

562,959

235,872 78,637 10,760 iO,433 26,409 18,0576 88,72 42,262 4,309 1,447 q,532 5,600 292 3,845 3,399 876 121 125 396 2,4-75 204 3,737 1,620 18,457 18,242 502

1 8 9 1

613,355

200,096 79,369 11,467 38,998 23,602 14,582 94,000 31,412 4,084 1.687 2,681 4,364 1357 5,233 2,653 ,i798 101 90 443 1,918 188 3,128 F [407 16,406 15,767 2,106

»

MONTRES D'ARGENT 1 8 8 9 1 8 9 0

555,937

728,485 252,007 82,749 201,394 45,828 40,054 379,707 132,711 28,235 8,237 28,719 47,296 1,272 10,406 16,800 2,984 1,096 413 1,274 13,898 1,099 107,779 1,085 105,115 80,198 1,117

731,601 274,481 44,696 206,803 64,667 42,851 417,757 146,314 34,761 9,070 34,711 38,837 1,626 11,335 33,139 2,621 1,123 611 1,605 24,591 1,380 139,016 3,208 133,960 64,296 2,626 a

1 8 9 1

2,320,238 ; 2,467,686

650,779 287,099 51,958 194,492 62,093 39,288 472,443 113,863 43,014 12,110 16,310 36,253 2,541 19,299 53,782 5,123 668 294 1,438 21,372 1,025 90.159 5,101 132,124 49,513

5,248

>

MONTRES EN MÉTAL NON PRÉCIEUX 1 8 8 9

2 367,389

254,664 62,336 158,275 55,501 30,682 22,522 231,908 40,799 2,972 2,208 2,395 33,759 1,849 11,725 6.709 2,568 507 900 15,658 2,695 45,622 395 214,716 78,969 5,770 747 1,286,821

1 8 9 0 258,904

62,264 112,979 72,013 46,563 21,094 250,560 51,630 4,964 1,595 3;685 29,958 2,076 15,270 13,645 2,834 1,079 417 1,181 36,817 2,378 37,737 712 251,030 59,472 6,018

1 8 9 1

1,346,875

237,323 71,453 135,034 72,852 36,727 15,882 266,993 47 565 Γ850 l'724 o'032 38,698

3'773

2 0'625 21&51

66 1 3 i'864 '223 46,874 969 1,262 18,233 270,498 742 65,412 15,814

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L O C L B (Suisse) JWaison & L t v o w n e (Italie)

Chronomètres de poche, bulletins d'observatoire. — Montres de préci- sion, bulletins de réglage. —Montres civiles en tous genres (spécialités italiennes). — Spécialités de grandes secondes indépendantes, trois fonc- tions, échappements cylindre etancre, mouvements ayant un seul corps de rouage et un seul barillet.

Brevetées en Suisse, en France et en Belgique. 1727 Bécompensesobtenues: Diplôme d'honneur, Zurich 1883, Mé- daille, A n v e r s 1885, Médaille d'or, P a r i s 1889.

U

η négociant parfaitement au courant de la partie commerci-.le de l'horlogerie, connaissant leslangues française et allemande et pou- vant disposer dans le courant de l'année d'un capital de fr. 8 à 10,000, désire s ' a s s o c i e r o u s ' i n t é r e s s e r à u n e l i o n n e e n t r e p r i s e

h o r l o g è r e , d e p r é f é r e n c e fabrique. 1738 Si la chose est bonne, le capital-apport peut plus tard être aug-

menté. — Adresser les offres sous chiffres R. R. 15 au bureau de la

« Fédération horlogère •».

AVIS AUX FAISEURS DE SECRETS

ET FABRICANTS D'HORLOGERIE ™

AU LOGLE

f o u r n i t l e s s e c r e t s a m é r i c a i n s d e 1 3 à 8 4 l i g n e s a v e c t ê t e s a r r o n d i e s à d e s p r i x t r è s a v a n t a g e u x .

FABRIQUE D'ÉBAUCHES.

Un technicien à la force de l'âge, 20 ans d'expérience, dans les meilleures fabriques, cherche une place, comme chef de fabri- cation des ébauches, remontoirs ou à clefs, finissage, mécanisme, taillage, etc. Il se chargerait aussi de toutes espèces de calibres nou- veaux et à réformer, d'après les principes modernes etc.

S'adresser au Journal. 17 g

J. TAMINIAU

4 , P l a c e I i o n g e n t a l l e — G E N È V E — P l a c e I i o n g e m a l l e , 4

H O R L O G E R I E e t B I J O U T E R I E

Successeur d e Charles Bruguier, pour l a fabri- cation d e s T a b a t i è r e s e t Bijoux à oiseaux

Téléphone 1438 C h a n t a n t s Téléphone 143»

Rhabillage, remise à neuf de pièces en tous genres 1673 Seules médailles d'argent. Exposition universelle, Paris 1878. — Paris 1889. - Médaille Chaux-de-Fonds 1881. - Diplôme Zurich 1883.

FABRIOUE D'AIGUILLES DE MONTRES EN TOUS GENRES

UMMfI en ^ À G I T O I T QUEUES ""U? "

GENÈVE

Succursale et Dépôt; CHAUX-DE-FONDS, 5 rue Daniel Jean Richard Id, ; LOCLE

1

rue Bournot 325

Spécialité d'aiguilles Louis XV. ciselées or, acier, en composition dorée.

Breguet et Poires de toutes formes. Grandes et petites secondes, Chrono-

graphes, quantièmes, compteurs, etc. 1495

M A R T I , R ΠS S L E R & L A U E

A n c i e n m a i s o n WlIHtISSIiIi. 1739

6, Monbijou — B E R N E — Monbijou, 6

FRAPPE DE FONDS DE MONTRES

argent et métal G r a n d choix de dessins

Demandez album.

O L I O B S '

GRAVURE INDUSTRIELLE ET COMMERCIALE Spécialité de p o i n ç o n s

en lous genres

M a r q u e s d e f a b r i q u e Enregistrement au bureau fédéral.

T T P O G B A P H I I Q , U B S

Montres de précision et compliquées

Spécialité de répétitions à quarts et minutes 12 et 13'" pour dames Quantième perpétuel, chronog. répétition minutes, secondes indépendantes rattrapantes etc.

M o n t r e s 7 l i g n e s X '0 q u a l i t é 1641

J. H. JEANNERET, Chaux-de-Fonds

F a b r i q u e d'horlogerie g a r a n t i e

S p é c i a l i t é s : l H o n t r e e o r e t a r g e n t , 1 1 l i g . à 15 l i g . c y l i n - d r e e t a n c r e 1 3 , 1 4 e t 1 5 l i g . , p o u r l ' A l l e m a g n e e t

l ' A n g e t e r r e . 1690 B o n n e q u a l i t é . P r i x m o d é r é s .

FABRIQUE DE CAISSES D'EMBALLAGE

t§ FATTET, Saint-Ursanne

Caisses en tous genres, rabotées ou non rabotées — Spécia- lité de caises pour fabriques d'horlogerie, d'ébauches et finissages, de boîtes de montres, fabriques et magasins de fournitures d'horlo- gerie, chemiseries, confiseurs, commerce de raisins, etc.

Planchettes en tous genres, rabotées ou non ; listes et lattes pour emballages. La maison livre par n'importe quelle quantité. Les

commandes sont exécutées très promptement. 1596

Imprimerie de la Fédération horlogère suisse.

Références

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