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A. EFIMOFF. — Contributions à nos connaissances sur le magnétisme des gaz; Journal de la Société physico-chimique russe, t. XX; 1888. (Thèse de doctorat)

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Texte intégral

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HAL Id: jpa-00238879

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238879

Submitted on 1 Jan 1888

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A. EFIMOFF. - Contributions à nos connaissances sur le magnétisme des gaz; Journal de la Société

physico-chimique russe, t. XX; 1888. (Thèse de doctorat)

W. Lermantoff

To cite this version:

W. Lermantoff. A. EFIMOFF. - Contributions à nos connaissances sur le magnétisme des gaz; Journal

de la Société physico-chimique russe, t. XX; 1888. (Thèse de doctorat). J. Phys. Theor. Appl., 1888,

7 (1), pp.494-496. �10.1051/jphystap:018880070049401�. �jpa-00238879�

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donne pour la valeur moyenne c .- o, o8g, et la valeur moyenne des dix meilleurs résultats est c i 0, °gl. En méme temps, les dif- férences entre les résultats particuliers dans ce cas sont beaucoup plus grandes que dans les expériences de MM. Kolon1iitzeff et

Harder.

A. EFIMOFF. 2014 Contributions à nos connaissances sur le magnétisme des gaz;

Journal de la Société physico-chimique russe, t. XX; I888. (Thèse de doc- torat ).

L’auteur a entrepris en 1886 et terminé vers la fin de i 88~ une

nouvelle série de dé terminations des constantes magnétiques de

divers gaz avec plus de précision et dans des limites de pression

et de champ magnétique plus étendues. Sa méthode ne diffère pas

en principe de celle de M. Becquerel. Un magnétomètre en bronze, capable de supporter une pression intérieure de 8atm, était placé

entre les pôles d’un grand électro-aimant, système Plucker. Un tube de verre de 25cm de long et de ocro,7 de diamètre, fermé après avoir été vidé d’air et muni d’un petit miroir, était suspendu

dans ce magnétomètre à l’aide d’un fil à la wollaston, en platine

iridié à 5 pour i oo, long de 25cm. Une vis sans fin permettai t de

faire tourner le point de suspension du système pour pouvoir le

ramener à sa position initiale. La pression était mesurée par un manomètre métallique préalablement vérifié; trois à cinq accu- mulateurs, système T%veretinolf, ont fourni le courant constant que l’on ajustait pendant les expériences à l’aide d’un rhéostat et d’un

ampèremètre Carpentier, préalablement vérifié. Une lunette avec

échelle millimétrique, placée à 2m, 9 de distance du miroir, ser-

vait à déterminer ses déflexions. Le champ magnétique, dont

l’intensité allait jusqu’à 1600 unités C. G. S., n’étant point uni- forme, les angles de déflexion observés étaient toujours moindres

que les angles de torsion nécessaires pour ramener le tube dans

sa position initiale. Plusieurs séries d’observations ont fourni à l’auteur les corrections qu’il fallait ajouter aux déflexions pour avoir les torsions correspondantes. D’ailleurs, la valeur de ces

corrections était insignifiante ’pour les déflexions moindres que 5o divisions de l’échelle et ne dépassait pas quelques unités pour les déflexions les plus grandes.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018880070049401

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Malgré toutes les précautions, il fut impossible d’opérer sur des

gaz parfaitement purs, un défaut de construction de la pompe de

compression, qui laissait s’infiltrer plus ou moins d’air, en était la

cause principale. Par conséquent, l’auteur faisait après chaque expérience une analyse chimique du gaz employé, et calculait le coefficient du gaz pur en le considéran t comme proportionnel à la

tension partielle de ce gaz dans le mélange, loi qu’il a d’ailleurs

vérifiée par quelques séries d’expériences ad hoc.

_

Le Tableau suivant contient les constantes relatives à l’air, trou-

vées par l’auteur, ainsi que celles obtenues par Faraday, Becquerel

et Plücker pour terme de comparaison.

Pour les gaz et les mélanges des gaz les plus magnétiques, l’au-

teur a constaté que le rapport de la constante observée au carré de l’intensité du champ magnétique diminuait notablement quand

cette dernière quantité augmentait. Pour les grandes pressions, le

rapport de la constante observée à la pression diminuait aussi, y

mais d’une quantité à peine appréciable.

En observant la déflexion d’un même cylindre en verre massif

dans l’air à l ’7atm, 5 de pression, dans l’eau et dans une solution

de perchlorure de fer de densité r, 48~, dont la constante magné- tique a été déterminée en mesure absolue par 1VT. Borgmann et

trouvée égale à o, 00256, l’auteur a calculé le nombre o, 125. 1 o-1,

pour la constante magnétique de l’oxygène en valeur absolue. Par

une méthode dynamique, en observant les oscillations d’un même

système dans le vide et dans l’oxygène comprimé, l’au teur a ob-

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tenu pour la même constante le nombre o, 267. 1 o-e,. L’impossibi-

lité de déterminer exactement la forme géométrique du système oscillant, son moment d’inertie ainsi que la distribution de l’in- tensité dans divers points du champ magnétique, rend ce dernier

moins précis que le premier. W. LERMANTOFF.

F. SCHUMANN. 2014 Electromagnetische Rotationserscheinungen flüssiger Leiter (Rotation électromagnétique des liquides) ; Wied. Ann., t. XXXII, p. I4I;

I887.

L’auteur s’est proposé de vérifier les indications de la théorie, particulièrement en ce qui concerne la vitesse angulaire des dif-

férents points d’une masse liquide renfermée dans un vase annu-

laire et mise en rotation électromagnétique. Les expériences ont

été faites avec des dissolutions de sulfate de zinc ou de sulfate de cuivre tenant en suspension de petits fragments de gomme laque.

La vitesse angulaire d’une de ces particules dépend de sa position

dans le vase, des dimensions de l’appareil, de la grandeur du champ magnétique, de l’intensité du courant et enfin du coeffi- cient de frottement du liquide; or on peut déterminer toutes ces

quantités, sauf la dernière, et calculer celle-ci à l’aide de formules

qu’on trouvera développées dans le Mémoire original. Les nom-

bres ainsi obtenus pour le coefficient de frottement sont à peu près

les mêmes pour tous les points du liquide, bien que les vitesses

angulaires y varient dans le rapport de i à 8 ; les différences qu’on

remarque semblent mettre en évidence une action particulière du

courant sur la viscosité du liquide, mais n’ont pas assez d’impor-

tance pour mettre en défaut la théorie générale.

CH. RIVIÈRE.

W. VON BEZOLD. 2014 Ueber eine neue Methode zur Zerlegung des weissen Lichtes in Complementärfarben (Nouvelle méthode pour la décomposition de la lu-

mière blanche en couleurs complémentaires); Wied. Ann., t. XXXII, p. I65;

I887.

L’auteur remplace le petit prisme de l’appareil Duboscq par un

écran divisé en deux parties dont l’une intercepte une bande

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