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Journal de la Société Physico-Chimique Russe ;T. XXXVIII ; 1906

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(1)

HAL Id: jpa-00241252

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Journal de la Société Physico-Chimique Russe ;T.

XXXVIII ; 1906

P. Klein

To cite this version:

P. Klein. Journal de la Société Physico-Chimique Russe ;T. XXXVIII ; 1906. J. Phys. Theor. Appl.,

1907, 6 (1), pp.746-755. �10.1051/jphystap:019070060074600�. �jpa-00241252�

(2)

746

JOURNAL DE LA SOCIÉTÉ PHYSICO-CHIMIQUE RUSSE ;

T. XXXVIII ; 1906.

N. BOULGAKOV. - Étude de la décharge oscillante au moyen du galvanomètre.

P. 33-43.

L’auteur charge et décharge alternativement un condensateur par le jeu d’un diapason interrupteur. La décharge se produit dans un cir-

cuit comprenant un galvanomètre et une résistance R de 14 000 ohms.

Lorsque la résistance R n’estpas inductive, on observe une dévia-

tion bien déterminée de l’équipage du galvanomètre. Si l’on remplace

la résistance R par une autre de même valeur, mais inductive (le secon-

.

daire d’une bobine de Ruhmkorff), on observe une autre déviation

soit plus grande, soit plus petite. Si l’on répète cette substitution en

diminuant chaque fois la capacité du condensateur, on observe

alternativement des augmentations et des diminutions de déviation.

L’auteur démontre ce fait théoriquement et expérimentalement.

N. BOULGAKOV et N. SMIRNOV. - Méthode pour déterminer les capacités

à l’aide d’un courant intermittent.

-

P. 46-56.

Les auteurs disposent un circuit comprenant une batterie d’accu-

mulateurs, un galvanomètre, une grande résistance (de l’ordre de 1 mégohm) et un diapason interrupteur.

Les vibrations du diapason produisent dans ce circuit un courant

intermittent et il en résulte une déviation de l’équipage mobile du galvanomètre.

Un interrupteur à godets permet de placer un condensateur en

dérivation aux extrémités du conducteur formé par le galvanomètre

et la grande résistance. Le même interrupteur permet de faire passer à volonté un courant permanent d’intensité connue dans le galvano-

mètre et d’en déterminer ainsi la constante.

.

~

Lorsqu’on place le condensateur en dérivation, la déviation du

galvanomètre prend une nouvelle valeur d -f- Õ. La connaissance de S permet de calculer la capacité du condensateur.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019070060074600

(3)

W.-T. MITKE WIC. - Electrodes-sondes permettant les mesures électrométrique s

concernant les électrolytes.

--

P. 71-73.

L’auteur s’est proposé de faire des électrodes parasites au contact desquelles il n’y ait pas de polarisation.

Ces électrodes sont constituées de la manière suivante : un petit

ballon de verre est placé dans la partie large d’un entonnoir cylin- drique également en verre; la partie rétrécie de cet entonnoir est

capillaire et son extrémité affleure au point de l’électrolyte dont on

veut avoir le potentiel. Le ballon est rempli de mercure et l’enton-

noir est rempli de l’électrolyte étudié. Le mercure et l’électrolyte

forment ainsi les deux armatures d’un condensateur dont le diélec-

trique est la paroi du ballon.

Pour avoir la différence de potentiel entre deux points d’un élec- trolyte, on emploie deux semblables électrodes dont on fait affleurer les extrémités aux deux points choisis et l’on relie les deux masses de mercure à un électromètre. La différence de potentiel entre les

deux masses de mercure, que mesure l’électromètre, est proportion-

nelle à la différence de potentiel à mesurer.

,

B.-L. ROSING. - Sur un nouveau moyen de mesurer les coefficients de self-induction.

-

P. 74-80.

On emploie un dispositif de pont à corde. On dispose un pont de Wheatstone de la manière suivante : deux portions d’un même fil métallique constituent les deux premières branches du pont, une résistance non inductive R forme la troisième branche, enfin la qua- trième branche est constituée par le conducteur de résistance X dont on veut déterminer le coefficient de self-induction L. Les deux extrémités du fil métallique sont reliées aux deux bornes d’un gal-

vanomètre. Les deux autres sommets du pont sont reliés aux deux

pôles d’une batterie de piles. Un contact court-circuit permettant de

mettre la batterie de pile en court-circuit sur elle-même et, par con-

séquent, d’annuler la différence de potentiel entre ses extrémités, complète le dispositif.

L’équilibre en régime permanent étant établi, si l’on met la bat-

terie de piles en court-circuit, il se produit une décharge dans le

galvanomètre. Cette décharge correspond à une quantité d’électri-

(4)

748

cité q et, si l’on appelle r1 et 1"2 les résistances des deux portions du

fil métallique, p la résistance de la dérivation qui contient le gal-

vanomètre, et i l’intensité du courant qui parcourt la résistance

inductive, on a :

i peut être mesuré directement, q se déduit de la déviation du gal-

vanomètre. Cette formule permet donc de calculer le coefficient de self-induction L.

W. LERMÀNTOV. - Sur l’expression numérique de la dureté des corps solides.

P. 82-84.

L’auteur a pu préparer un écilantillon d’acier partiellement trempé

rayant franchement le même acier non trempé et possédant cepen- dant une dureté absolue inférieure. Cette dureté a été mesurée par la méthode de Brinell : Une sphère d’acier trempé a été pressée

entre les deux échantillons à comparer au moyen d’une presse

hydraulique. Il s’est produit un enfoncement de ~~~,639 de dia- mètre dans l’échantillon non trempé et un enfoncement de 2mm,967 de diamètre dans l’échantillon partiellement trempé.

Cette expérience démontre clairement eue la dureté scléromé-

trique des minéralogistes et la dureté absolue de Hertz-Auerbach

correspondent à des propriétés différentes de la matière.

Pour reproduire un échantillon analo gué à celui qu’a obtenu l’auteur, il faut porter l’acier, avant de le tremper, à une tempéra-

ture très peu inférieure à sa température critique. Si on le porte à

une température plus élevée de 5 à 1.0° C., la dureté absolue se

trouve notablement augmentée sans que la dureté sc~érométrique

ait sensiblement varié. En réglant la température avec soin, on peut obtenir un tranchant rayant le verre et capable cependant de s’allon- ger notablement sous le choc du marteau avant de se craqueler.

W. lBIlTKEBVIC. - Contribution à la théorie du fluxmètre Grassot. - P. 86-94.

La théorie que M. Grassot a faite pour expliquer le mode d’action de son fluxmètre (’; paraît à première vue sujette à diverses res-

(1) GRASSOT, Bull. des séances de la Soc. de p. 27 ; 1904.

(5)

trictions. L’auteur démontre qu’il faut lever ces restrictions et que l’instrument donne des indications exactes, quelle que soit la manière

dont varie avec le temps la force électromotrice d’induction qui agit

sur la bobine exploratrice.

L.-J. KORDYS. - Les spectres de bandes. - P. 96-119.

D’après l’auteur, les spectres de bandes se forment quand la température et le degré de raréfaction des gaz sont tels qu’il se pro- duise un commencement de dissociation de leurs molécules. Lets spectres de lignes résultent d’une dissociation plus complète des

molécules en atomes indépendants.

Ces assertions sont corroborées par un grand nombre de citations extraites des -mémoires de divers auteurs.

P. KHOLODNY. - Sélénium colloïdal. - P. 129-147.

~

L’auteur détermine la densité du sélénium colloïdal. En rappro- chant les nombres qu’il obtient de ceux que les auteurs indiquent

pour la densité des différentes variétés de sélénium, il trouve que le sélénium colloïdal est du sélénium amorphe.

hT.-P. NIYSRIN. - Sur le mouvement des corps plongés dans le flux.

de l’énergie radiante.

-

P. 149-184.

Deux portions contiguës d’un radiomètre exposé à l’action d’une

énergie radiante se repoussent mutuellement. Elles sont, en outre, soumises à l’action d’un couple. Ce couple a le sens des aiguilles

d’une montre pour les parties qui reçoivent de l’énergie et le sens

inverse pour les parties qui rayonnent. Lors même que la tempé-

rature du radiomètre est uniforme, un couple subsiste. Ce couple a

le sens inverse des aiguilles d’une montre. Il a été constaté, sous la pression atmosphérique, avec un radiomètre dont le système mobile

était constitué par un disque de mica suspendu à un bifilaire. La lumière diffuse naturelle ou artificielle produisait une déviation du

disque, et cette déviation variait avec l’intensité de la lumière.

L’étude de la déviation poursuivie pendant deux ans par l’auteur

(6)

750

donne des indications sur les variations d’intensité de la radiation solaire.

A. DINNIK. - La formule de H. Hertz et sa vérification expérimentale.

P. 242-249.

L’auteur a étudié par une méthode galvanométrique la durée du contact pendant le choc de deux sphères identiques.

Il a vérifié ainsi la formule de H. Hertz(’) :

t est la durée du contact; R désigne le rayon des sphères; ~, leur densité ; E, leur coefficients d’élasticité; d, leur coefficient de Poisson s c, leur vitesse relative avant le choc.

La vérification, très bonne pour l’acier, s’est montrée moins satis- faisante pour le zinc et défectueuse pour le plomb.

L’auteur a établi une formule plus générale que celle de H. Hertz : -.

Cette formule se réduit d’ailleurs à la première lorsque les deux sphères sont identiques.

11 a vérifié cette formule dans le cas d’une sphère et d’un plan

d’acier.

B. KANEVSKIJ. - Sur la pile sèche Hellesen. - P. 283-288.

Le coefficient thermique de la pile Hellesen est presque nul. Sa

E

capacité est plus grande pour un faible courant de décharge, et elle augmente avec la température. Le rendement de la pile rechargée

est de 0,103 et sa force électromotrice auglnente par le repos.

(1) H. HERTZ, Gesammelte p. 155.

(7)

BOHIS WEINBERG.,- Sur le frottement intérieur de la glace.

,

P. ~.86-22’~, 250-281, 289-328, 329-361.

Ce travail débute par une étude critique des différentes méthodes

employées pour déterminer le coefficient de frottement intérieur des solides (p. 186-224). Le résultat de cette étude, c’est qu’on ne connaît guère que l’ordre de grandeur de ce coefficient pour les différents solides. Dans le cas particulier de la glace, l’ordre de grandeur est

lui-même incertain.

Pour lever cette incertitude, l’auteur a déterminé expérimentale-

ment le coefficient de frottement intérieur "fi pour la glace cristalline de la Néva et pour la glace granuleuse des glaciers du Tyrol (p. 250-281 et 289-328). Il a employé dans ce hut la méthode de tor- sion des cylindres. Les résultats se sont montrés très variables avec

la température 0 et la vitesse de cisaillement mais ils sont assez

bien représentés par les formules suivantes :

pour la glace de la Néva et

pour la glace du Tyrol.

~ est ainsi déterminé avec un écart moyen de 27 0/0.

La forme du second membre des formules précédentes permet

d’appliquer à la glace la théorie de la relaxation que Schwedoff a édifiée pour les solutions aqueuses étendues de gélatine. D’après

cette théorie, l’on a :

,

N étant le module de cisaillement, T la durée de la relaxation et h la limite d’élasticité.

Dans le cas de la glace de la Néva, N = 1(1

-

à 40 0/0 près. On en déduit : T = 950 secondes et ~

_

~,6 . 105.

Pour la glace du Tyrol, N

=

0,8 (1

-

0,656) 101 °, T = 480 secondes,

À

=

10-5.

(8)

752

L’auteur a rapproché les résultats de ces expériences des résultats que peut donner une étude de la marche des glaciers (p. 3~?~~-3f ~.). Il

a fait dans ce but une théorie dans laquelle il assimile les glaciers à

des canaux remplis d’un fluide très visqueux et coulant très lente-

ment. Cette théorie lui a permis de calculer le coefficient de frotte- ment interne de la glace du glacier de Hintereisferner (Tyrol), gela-

cier dont la vitesse et la forme du lit sont connues. Ce coefficient de frottement a été trouvé égal à (1,67 ± 0,95). 1013. Cette valeur con-

corde d’une façon inespérée avec la valeur (1,74 ± 1,10) . 10’3 qui correspond, d’après les expériences de l’auteur, à la vitesse de cisail-

lement du glacier.

TH, SVEDOV. -- La, théorie balistique de la décharge disruptive.

-

P. 365-394.

Ce mémoire débute par la traduction d’un article écrit en allemand par l’auteur (décédé actuellement) et relatif à la théorie balistique de

la décharge disruptive dans le cas de l’air à la pression atmosphé- rique ( ~ ).

La suite du mémoire, relative au cas des pressions variables, a été rédigée par MM. Baumgart, Weinberg et LebedinskiJ, à l’aide de docu-

ments recueillis dans les papiers de l’auteur défunt. Il y est montré d’abord comment, de la théorie esquissée au début, on peut déduire

la loi de Paschen relative à la relation qui existe entre la densité d’un gaz et la distance explosive, les limites dans lesquelles cette loi est applicable et l’existence d’un minimum du potentiel disruptif. Il y est montré ensuite que la théorie de l’auteur conduit, pour les propriétés quantitatives des électrons, aux mêmes valeurs que les diverses con- sidérations faites à ce sujet. Le mémoire se termine enfin par une

comparaison des résultats des expériences de MM. Orgler, Paschen,

Earhart et Carr avec ceux qu’on peut déduire de la formule de l’au- teur, celle-ci ayant été étendue par l’emploi de nouveaux coefficients d’un usage plus général que les premiers.

A. SATKEVIC. - Sur la manière d’exprimer la première loi

de la thermodynamique. - P. 397-408.

La première loi de la thermodynamique s’énonce habituellement

(1 Ann. XIX p. 918: 1906.

(9)

753

sous la forme suivante :

dU étant l’augmentation d’énergie interne du milieu ; p, la pression

du gaz ; v, son volume ; J, l’équivalent mécanique de la chaleur ; dq,

la quantité de chaleur mise en jeu.

L’auteur reproche à cette expression denécessiter trois restrictions : 1° la force vive du système est supposée nulle ; 20 le travail des forces extérieures est, en fait, supposé nul ; 31 la pression extérieure est

supposée uniforme et normale à la surface pressée. Il se propose d’établir que ces restrictions sont inutiles et qu’en outre elles obscur- cissent le véritable sens de la loi. Dans cette intention, il détermine la valeur de l’accroissement de force vive d’un élément du système. Cet

accroissement de force vive provient de trois sources : du travail

des forces extérieures, notamment de la pesanteur ; de la partie du

travail des pressions dont la différentielle est :

3° du travail de viscosité dR correspondant au transport de l’élé-

ment sans déformation. La somme des travaux des deux premières

sortes est nulle. On a donc simplement :

Cette expression ne diffère de la première que par l’introduction du terme de viscosité dR, terme qui s’annule d’ailleurs lorsque la

viscosité peut être considérée comme négligeable. Cet énoncé néces- site seulement la continuité du mouvement; il ne nécessite pas l’exis- tence d’un état stationnaire.

Y. Comparaison de différentes méthodes pour mesurer

en valeur absolue l’intensité du son.

-

P. 410-418.

L’auteur a comparé la méthode basée sur l’emploi d’une lame mo-

bile (Lord Rayleigh, M. Altberg) à la méthode du manomètre oscil- latoire de M. Max Wien.

La lame mobile et la membrane du manomètre étaient placées dans

le même noeud d’un tuyau sonore. Ce tuyau était excité par un dia-

(10)

754

pason muni d’une boite de résonance et entretenu par un courant de grande intensité. Les interruptions du courant étaient produites

par un dispositif basé sur l’emploi d’un diapason régulateur (procédé

de M. Lebedev). Les deux procédés, perfectionnés par l’auteur, lui

ont donné des résultats identiques à 2 0/0 près.

D. ROZANSKIJ. 2013 Sur la théorie de l’arc chantant. - P. 455-462.

L’auteur détermine théoriquement les conditions de stabilité de l’arc chantant. Ces conditions sont déterminées par la forme de la courbe caractéristique de l’arc et par la série des valeurs que prend

la dérivée de la force électromotrice par rapport à l’intensité pen-

@dant la durée d’une période. La période de l’arc doit être plus grande

que celle du circuit oscillateur en dérivation sur lui. L’auteur donne le moyen de calculer la différence des deux périodes ainsi que l’am-

plitude des oscillations stationnaires de l’arc.

T. FRIESENDORFF. - Sur la détermination de la dureté des corps solides élastiques.

-

P. 464-466.

Lorsqu’une pression P agit sur une sphère de rayon R placée sur

la surface plane du corps dont on veut déterminer la dureté, il se pro- duit un enfoncement au-dessous de la surface plane (procédé de

M. Brinell). La profondeur W 0 de cet enfoncement peut se déduire de la formule :

C est un coefficient dont l’inverse peut servir à caractériser la dureté. Sa valeur est reliée à celle du coefficient de Young E et au

coefficient de Poisson ’r¡ par l’équation :

Pour les corps comme le verre, on peut déterminer cette valeur en

mesurant la profondeur de l’enfoncement et le rayon de son contour.

(11)

755

A. PETROVSKIJ. - Les oscillations électriques dans les circuits de la bobine d’induction.

-

P. 468-478.

Il est impossible d’obtenir la résonance des deux circuits d’une bobine d’induction pour les oscillations libres, mais on peut obtenir la résonance du secondaire avec les interruptions du circuit primaire.

3 3

Il faut pour cela munir le secondaire d’une capacité de 1 000 à

de microfarad ou faire varier la période des interruptions. Le fait de

la résonance est constaté par l’existence d’un maximum du voltage disruptif. La résonnance a pu être maniiestée pour des périodes d’in- terruption doubles ou triples de la période des oscillations du secon-

daire. P. KLEIN.

B. WALTER. - Ueber die Bildungsweise und das Spektrum des Metalldampfes

im elektrischen Funken (Mode de formation et spectre de la vapeur métallique

dans l’ètincelle électrique).

-

Ann. der Physik. T. XXI, p. 223-238 ; 1906. 2014 Une planche hors texte, photographie de spectres.

MM. de Kowalski et Huber, étudiant le spectre d’étincelle de

quelques alliages j4), ont annoncé que 1° l’intercalation d’une selfin- duction sur le circuit de la bouteille fait disparaître plus de raies

avec les métaux purs qu’avec les alliages; 20 avec des alliages Zn-Cu, Mg-Cu, l’augmentation de la selfinduction fait disparaître d’abord

les raies de Zn ou de Mg, et ils expliquent ces faits par des différences de points d’ébullition.

L’auteur, n’acceptant pas cette explication, a repris les expériences

et : 1° constaté que les électrodes en laiton donnent toutes les raies du zinc plus faiblement que le métal pur, et toutes les raies du cuivre sans affaiblissement ; les propriétés de l’alliage ne sont pour rien dans ce phénomène, qui se produit également avec deux élec-

trodes, l’une en zinc, l’autre en cuivre ; 2° retrouvé le second résultat de Kowalski et Huber.

D’anciennes photographies d’étincelles dans lesquelles interve-

naient de très rapides oscillations électriques, lui ayant montré que la vapeur métallique se produit exclusivement au pôle négatif, l’ont

(1) C. R., t. CXLII, p. 994 ; 1906.

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