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Journal de la Société Physico-Chimique Russe ;T. XL; 1908

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(1)

HAL Id: jpa-00241502

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241502

Submitted on 1 Jan 1909

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Journal de la Société Physico-Chimique Russe ;T. XL;

1908

P. Klein

To cite this version:

P. Klein. Journal de la Société Physico-Chimique Russe ;T. XL; 1908. J. Phys. Theor. Appl., 1909,

8 (1), pp.853-856. �10.1051/jphystap:019090080085301�. �jpa-00241502�

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Dans ce qui précède, je n’ai voulu envisager que le changement

de la valeur normales ~ 9,81 en G

=

10, qu’il est seul indispensable

de demander aux mécaniciens, pour amener la réforme de leurs uni- tés. Pour éviter toute cause de complications, j’ai conservé à celles-ci leurs anciens noms. Il reste là un point faible pour les physiciens.

Les noms kilogramme-force et surtout kilogramme-mètre sont défec-

tueux. Lie dernier ne peut attribuer au mot kilogramme que le sens de force et rétablit la confusion entre le poids et la masse. I,e premier

devrait au moins n’être qu’un seul mot, pour qu’on puisse écrire kilogramforce-mètre et non kilogramme-force-mètre qui aurait un

sens tout différent de ce que l’on appelle à tort aujourd’hui kilog ram-

mètre. Il y aurait intérêt, pour sortir définitivement de la confusion que crée le langage actuel à choisir un mot spécial pour désigner le poids normal du gramme (pour G - 10).

Gramdyne qui signifie gramforce, mais évite la fusion barbare d’un mot grec avec un mot français pourrait convenir. Par sa termi-

naison il aurait de plus l’avantage de rappeler la relation de l’unité

avec la dyne. Le serait la masse, le gramdyne, le poids

normal (G

=

10), l’unité pratique de force kilogramme-force normal

deviendrait le et le kilogrammètre normal prendrait

le nom logique de kilogra1ndyne-1nètre.

C’est aux physiciens, eri même temps qu’ils adopteraient la valeur

normale G - ~ 10, à effectuer une telle réforme du langage, qui ne

tarderait pas, je crois, à s’introduire dans les usages des méca- niciens.

.

JOURNAL DE LA SOCIÉTÉ PHYSICO-CHIMIQUE RUSSE ;

T. XL; 1908.

O.-D. CHWOLSON. 2013 Sur la discontinuité des températures à la limite de dieux corps.

-

P. 1-4.

L’auteur développe quelques considérations générales sur la diffé-

rence de température de deux milieux.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019090080085301

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854

L. Sur In iliscniitintiit(- de température à la limite LIf’ lIeux n1ilieux licluidus.

-

P. 5-14.

L’auteur étudie, au moyeu de deux pinces thermoélectriques, la répartition des températures dans une colonne verticale formée de deux liquides superposés. Dans le cas de l’eau surmontée d’huile de vaseline, il

a

constaté que la couche d’huile immédiatement voisine de l’eau avait une conductibilités thermique légèrement inférieure à celle du reste de l’huile, ce qui peut s’expliquer par la formation d’une émnlsion. Dans le cas du mercure et de l’eau, il n’a été possible

de révéler aucune discontinuité supérieure aux erreurs d’expériences (l’erreur moyenne des mesures était de l’ordre de 0°,0~~ .

By, Sur le rapport des chaleurs spécifiques d’un mélange

de plusieurs gaz.

-

P. 16-19.

L’auteur calcule le rapport c

c

des chaleurs spécifiques à pression

constante et à volume constant, dans le cas d’un mélange de plusieurs

gaz. Il utilise ensuite la formule qu’il obtient pour calculer la vitesse du son dans l’air humide.

P. LEBEDEW. - De la pression de la lumiére

sur

les gaz.

-

P. 20-23.

L’auteur démontre l’existence d’une pression de la lumière sur les gaz en étudiant les tourbillons quiprennent naissance dans une masse

de gaz traversée par un faisceau de rayons lumineux.

E. HOGUVSKY. - Sur le changement du spectre de l’hydrogène

sous

l’in fluence de fortes

L’auteur

a

constaté que, sous l’influence de fortes décharges pour- suivies pendant plusieurs heures dans un tube rempli d’hydrogène,

les trois raies caractéristiques du gaz disparaissaient pour faire

place à un spectre formé de nombreuses raies et de bandes.

A.-R. la dispersion de l’alcool dans le spectre électrique.

P. 121-136.

L’auteur met en oeuvre, pour l’alcool éthylique, une méthode qu’il

(4)

a déjà employée pour étudier le spectre électrique de l’eau (1). Il publie des tableaux donnant les longueurs d’onde dans l’air des vibra- tions électriques, les longueurs d’onde de ces mémes vibrations

dans l’alcool et avec les indices de réfraction correspondants. Les

résultats relatés sur ces tableaux sont représentés par des courbes

en prenant les longueurs d’onde des vibrations dans l’air en abscisses et les indices correspondants en ordonnées. Ces courbes présentent

de grandes indentations.

L’auteur a étudié l’influence de l’amortissement des vibrations. Il

a constaté que, pour des amortissements plus grands, les indenta-

tions sont moins accusées et que les maximums d’indices se déplacent

vers les petites longueurs d’onde.

La dernière partie de ce mémoire est consacrée à l’étude de l’in- fluence de la concentration en alcool pour diverses températures.

ML-N. PILCIhoV. - Sur la polarisation de la lumière diS’use. 2013 P. 1-167.

L’auteur a fait des expériences qui lui permettent d’expliquer pourquoi la polarisation de la lumière du ciel avait disparu pendant l’éclipse totale de Soleil de 1905.

PRINCE B. GALITZ!NE. 2013 Sur le spectroscope à échelons de àliehelson.

P. 168-186.

Théorie élémentaire du spectromètre et description de ses appli-

cations.

M.-L. Vibrations secondaires. -- P. 269-293.

La théorie des vibrations secondaires (harmoniques acoustiques

ou électriques et sons résultants) n’est pas encore au point. Il y

aurait lieu d’étudier le mécanisme de l’origine de ces vibrations ainsi que les conditions physiques de leur propagation dans les différents

milieux. Les hypothèses que l’on a faites pour expliquer leur pro-

pagation ne sont pas toujours compréhensibles au point de vue physique. L’auteur critique en particulier la théorie des sons résul- tants de Helmoltz.

(~~ J. de la Soc. 1 usse, XXXYII L 11, -~:~1, l906, et XXXIX, Ij. 1907.

(5)

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A. sCHULZE. - Sur les phénomènes de diffraction.

-

P. 30 i-321.

Description de quelques expériences de diffraction. Le mémoire

est accompagné de sept planches de figures.

B. M’EINBERC.. - Cristallbalion de l’eau surfondue. - P. 325-328.

L’auteur introduit dans de l’eau surfondue une baguette de verre

finement étirée et contenant un fragment de glace. Quand la cristal- lisation atteint le bout du tube, il se produit un cristal qui prend la

forme d’une étoile d’autant plus ramifiée que la surfusion est plus grande.

Détermination de la limite d’élasticite par la méthode thermoélectrique. - P. 335-339.

L’auteur étudie au moyen d’un couple fer-cuivre la variation de

température du métal étiré. La limite d’élasticité est manifestée par

un refroidissement brusque.

N.-À. MERENIN. 2013 Un

nouveau

modèle du calorimètre de Ilesehus et détermination de la chaleur spécifique des alliages d’antimoine. - P. 393-398.

Description d’une modification apportée au calorimètre à tempé-

rature constante de 1-leselius. L’appareil modifié a été utilisé pour étudier la chaleur spécifique des alliag es d’étain et d’antimoine .

P. KLEIN.

ZEITSCHRIFT FÜR PHYSIKALISCHE CHEMIE;

T. LXI ; 1908.

A. BYK. -Die Absorption komplexer Kupferverbinclungen im Violett und Ultra- violett ; über farbvertiefende BVirkungen

von

SchBvennetallen (L’absorption

des combinaisons complexes du cuivre dans le violet et l’ultraviolet et l’in- fluence des métaux lourds pour foncer les couleurs).

-

P. 1.

L’auteur cherche à généraliser pour les métaux les lois de la chi-

mie organique colorée et, en particulier, l’influence de l’addition et

du rapprochement de radicaux alcooliques lourds. Il étudie pour

cela le spectre d’absorption de combinaisons complexes formées par

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