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Journal de la société physico-chimique russe : T. XXXVII. nos8

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HAL Id: jpa-00241148

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241148

Submitted on 1 Jan 1906

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Journal de la société physico-chimique russe : T.

XXXVII. nos8

P. Klein

To cite this version:

P. Klein. Journal de la société physico-chimique russe : T. XXXVII. nos8. J. Phys. Theor. Appl.,

1906, 5 (1), pp.695-697. �10.1051/jphystap:019060050069500�. �jpa-00241148�

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JOURNAL DE LA SOCIÉTÉ PHYSICO-CHIMIQUE RUSSE : T. XXXVII. nos8

B. 1WU r

Ira flof~

,m,~ozol.,

-

P. 21.)-21~J.

Dans son mémoir(~. Ni BB’einberg recherche si la con...,t,II¡B" ! ~ de la r t ! I.aplace-Biot-~avart : f ~ï~sin(/*,~)1

~ dél-~end om non 1 f l 1 1 1 B. S des propriétés di-i ace- 10t- 1 /2013201320132013-,201320132013~ ~ 1.2 dépend ou non

,

, eppnt ou non des propriétlls du milieu.

-

l

"

L’auteur du présent article (1t~mnntr(~ qn’plh’ nI’ 1»’rn i "Il .!,’prTl(1rp

sans contradiction aYCl’ Il’ I)l’lIll’1~)c~ ~1~~ Id (lit , ii~~-iiit m,~~;lm tique.

N. HESEHUS. - Scnstbdth’ )u ""lqpnlllIl1 pour ta hnmfrc if"’.. article).

p 141 2; 1

L’autenr a t"tabli c~t 1,ôi~iti> 1’’’p,’rintt’I1Ldl’lll’’ld 1«iii, ",’’’’’

1))"’IIllt’res

expériences la formule 1 = 1 , 1,iii; 1;1jii,>11> 1 1>.j>1>,,iil.

l’intensité de la lumière qui agit snI’ le splelliuIn. ~,l la Vill’llltl(lfl rw-

lative de résistance de ce dernier, a et b deux cim r m t : m t u·. I 1 1 a t 1 I i l 1 v pour cela l’existence de la dissociation allotroplllit(’, et il il B’taltli

que les plunomènes résiduels du sélénium sont enti(ll’l’rnl’Ilt cotn-

parables à ceux de l’élasticité résiduelle.

MM. Pfund et Berndt ont llli" 1’>,1,1ùnce de la di~""(IB’I.tli(’Jl ;¡llll-

tropique hors de doute, l’t B1, liiiliiii,1 a fourni de nombreuses don- nées expérimentales. I, anh m se Li>iiie donc li élucider quelques

détails :

1.

-

Il résulte de la relation i = u ; !~"t

-

1) que le rapport ’~~’ des

",

variations relatives de résistance pi~>liiito par dps c’t’larr’t~rrrt~llt· r~, et

1 = /J i varie de i. il 1 1>rsjii, E ~’l’(lll dtîllli.... Ill1tl B’aleur Bull.. jusqu’a

une valeur infinip, Or 1(~., 1’B.P""i"III"’" (il’ NI Un h mer fournissent pour

rp rapport t 1 a valeur :~.n 1«rw~~ut’ ~ 1 i 1 , 2 1 (1 r .... que i es l co ID- pris entre ~(1{1()11 tyt W!i mo ) lux. L’t’~p’ i ; Iii’ , , i’iti> dllIH.lf’S conclu- sions théoriques.

~.

-

Les deux (lu St;ILlniulll éludlt’I .... ~l lialmrer, dure

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019060050069500

(3)

696

et molle, peuvent être caractérisées par la valeur de III correspond- dant ~l ~) liix. Pour la variété dure, rn est inférieure à 1 unité, et pour la variété malle iiJ est plus grande que 1. La formule 1 = a (bet

-

i)

se rapporte seulement à la deuxième variété a -- 5, b = 2j.

3.

-

Les données numériques de ,1. Ruhmer relatives à la va-

riation lente de résistance du sélénium éclairé sont assez bien

"

1 f 1 rla: hl ( B~

.

représentées par la formule dl = k’ (il

-

xj’-’, ou par suite -L

(n - x)1 # h (°t

-

t), x désignant l’épaisseur de la couche de sélé- nium qui a subi la dissociation allotropique, et n la valeur limite de cette épaisseur au temps T. La valeur de x est proportionnelle à la va-

riation relative de résistance électrique et peut servir à la représenter.

P. BORISSOFF. - Sur la phosphorescence de quelques composes organiques

entre + 100, et

-

1900.

-

P. 249-347.

L’auteur constate d’abord que la phosphorescence des composés organiques aux basses températures est un phénomène très fréquent.

Il n’y a que peu de substances organiques qui ne luisent pas lorsqu’on

les porte à la température de l’air liquide après les avoir exposées à

la lumière de l’arc électrique. Les corps colorés sont de ce nombre,

ils ne luisent pas ou tout au moins ne luisent que faiblement. Cepen-

dant les solutions de quelques corps colorés, comme la rosaniline, la

fluorescéines, ont phosphorescentes, bien que la matière colorée prise

à l’état solide ne le soit pas ou fort peu. D’ailleurs les dissolutions

alcooliques ou aqueuses sont toujours plus lumineuses que les corps dissous eux-mêmes et la concentration n’a que peu d’influence. Au

contraire, les acides organiques, l’albumine et quelques alcaloïdes

se rangent parmi les corps les plus phosphorescents.

"

La phosphorescence des composés organiques peut s’observer à

une température beaucoup plus élevée qu’on ne serait tenté de le

croire.

Pour un grand nombre de corps, on peut 1 observer à

-

201, et pour certains même à + 1t)Un. Souvent la phosphorescence commence à se’produire à une température inférieure de 50 à 130° à la tempé-

rature de fusion du corps.

La durée de la phosphorescence à la température de l’air liquide

ne dépend pas de la durée de l’exposition des corps à la lumière,

pourvu que cette durée ait dépassé une seconde. Par contre, lorsque

(4)

697 la t;,,>1;.>ture ; , . , -,

v

lU ’4’1 ~ lU"’1 l/ll’ 1 >1 ’ ~ t ! ’ t 1,~ 1,~. il

res trouvent diminuées. i 1.

L auteur a cherché la nature de la 1>nciii>i> qui relit- la dl1r;’e de la

pÎlOSplloreSceIlce a la température. I)aii> ta TI11ITB:H’t i..., j,pttp

fonction a été linéaire. Lursqu’il nt>n a pas

pu se représenter par ~Ir~ ~wlll.’ .il>1;iiil > iii, fm . l,~~l Ir~lr~ ~l~~l

aurait 1 , aae dt-’’-’ fPnij>>1,itiii>, 1111 ill""B"’I"I’.

La luiiii~,i I¡,ll’ 1’}lI’’’’I,I}(’1’1 "t .’Iil" t’...,t le 11~ li~ "-tlllBel!t Yl’I’te.

Lorsque la tjin~na~U!’e ,1 (’,)BlIt’tlr Sl’ rapl¡J’I" III’ titi blanc

bleuâtre.

Dans un certain nombre de cas, l’auteur a con,1il> une distribu- tion inégale de la l~llllff~I’t1 1 ~ 11 r 1 a dui corps phos phorl"~l’t’I 1 t. l, a phosphurescence est plu:-. LlCt’l’ldUt’l’ t1l Ilivpau ~1c~5 fissnrps j>1 >liiil., par la s () Ii J if i cal i u 1.1. surtout 10 r s q u (’ 1 (’ l’ 1 B l’ l’’’ "~ t 1 l’ d ri" Il ,II’ t 1 il 1. 1 1 l’ " ’1 ~ 1 l

le corps est liquide, la IUil1it"I’t’ est plus intcnsl’ ;111 f~111t~ dll l’l’l’Ipll’rd

qui le contient et an B uisinan’ dn ménisque.

L’auteur a aussi .liili1 la f111WI’t~~twelltv~. I,a 1,iiil> d, ia iunuere

produite par fluorescencc est iliil’>1>iil> 1> ee!l’ de 11 111!lli,’l’l’ l’llli,,t’

pal’ phosphorescence, elle est 1(’ plu, ...oUBt’Jll 1>1,ii>, 1>;iii, Il’ ""p(’(’lrt’

de la lumière envoyée par le corps t1uore~(’l’ltt, l’" ~utit l{l"" radiations

der l" rra Il ;..6 b i 1 i té moyenne, entre les raies 1~ et 1", jui i prédominent

et, dans le cas des corps étudiés par l’an leur «jii>1ji>es dissolutions

alcooliques), le II1d1111111Ij1 t~‘Ifltt’Ilwit~~~ ~f’ ~lr I~i,~~v~ w ~ Y i~~ ~ ~s~i,~c alu,m~1

la température d(’~cioit.

Parfois les corps peuvent émettre de la lumière sans avoir ,ul>1 d’illumination i P 1" " a 1 a 1 ,j l’ , Ainsi i il y t’ll II (illi dl’ B Il’ Il Il’ ’ 1 Il 111 III 1 Il’ . Il B

sous l’influence d’un ehang’ement (le 1>iiij>>1,iliii« 1 1 , -cllll 1 acide

rormique,l’aIJéhydeforn1ÏqueÙ’~()o {I,I.dd..llydl’ ,II’I’tlqlll’.1 ,II’lltone, le phél1()l, l’acide tartrique, la mmmnf’. t ti’ 1 >’dUtI’I’" d’’Bi’-unent lumineux au iiiomeiit de teur solidincatiott : e’ ""nll 1 1.i1. l.ll’llill1f’,

l’acétate rn é t h Y 1 i q ne. tartrique, les dissulutions ayu~~u~~.~t d acide

malique, de COl’¿¡IIH’, ! tl

L eseuline t L platillocyul1urc de baryum, placés dans l’air liquide,

conservent. sou> l’urme latente, l’t’lI1t’rg-it’ qu’ils ont accuinulée, mais

ils la rendent quand la temp f ’) i i i 1, , 1 t~

P. KLIN.

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