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D.-C. STEINBERG. — 0 termoelektriceskom razziadiè (Sur la decharge thermoélectrique). - Mémoire présenté à la Société physico-chimique russe, Saint-Pétersbourg; voir le Journal de cette dernière, n° 8; 1904

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HAL Id: jpa-00241096

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241096

Submitted on 1 Jan 1906

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D.-C. STEINBERG. - 0 termoelektriceskom razziadiè (Sur la decharge thermoélectrique). - Mémoire présenté

à la Société physico-chimique russe, Saint-Pétersbourg;

voir le Journal de cette dernière, n° 8; 1904

A. Gradenwitz

To cite this version:

A. Gradenwitz. D.-C. STEINBERG. - 0 termoelektriceskom razziadiè (Sur la decharge ther- moélectrique). - Mémoire présenté à la Société physico-chimique russe, Saint-Pétersbourg; voir le Journal de cette dernière, n° 8; 1904. J. Phys. Theor. Appl., 1906, 5 (1), pp.155-156.

�10.1051/jphystap:019060050015501�. �jpa-00241096�

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(~’en~’ll’Q11 f millimétrés d’épaisseur, est employé comme tub’’ d’ab-

sorption. 4Bprt’S av oir rempli le tube d’un mélange d’argon et d nzotB

l’auteur mt .~l;w l’ixtinction du rayonnement en insérait et "’ reti-

rant a tour de rôle le tube à gaz. Ces résultats font voir que 1 argon

ne présente aucune absorption appréciable relativement aux rayonne- ments ultra-violets entre i, = l8fi pp et 1. = 300 jxp ; cette absorption

ne saurait dépasser 3,2 0/0 dans les conditions de Fexpt ri’ m~t~.

Comme l’air atmosphérique renferme environ 1 0, 0 d’argon, ce der-

nier ne saurait guère joner de rôle sensible dans l’absorption ,1,;

rayons du soleil de courte longueur d’onde. Aussi convient-il d’erartcr

l’hypothèse de XI. Ilartly suivant laquelle la substance renfermée dans

l’atmosphère et à laquelle est due la fin brusque du spectre solaire

pour À _ 293 yjx serait identique à l’argon.

A. GRADENWITZ.

D.-C. STEINBERG. 2014 0 termoelektriceskom razziadiè (Sur la decharge thermo-

électrique).

-

Mémoire présenté à la Société physico-chimique russe, Saint- Pétersbourg; voir le Journal de cette dernière, 8; 1904.

L’été dernier, lors de ses recherches sur la conductivité électrique

que prend l’air sous l’influence d’un corps échauffé, l’auteur eut

l’occasion d’observer un intéressant phénomène qui pourrait s’ap- peler décharge tlre~~moéLec~rique.

Voici en quoi ce phénomène consiste : l’électricité positive se dégage librement d’un corps solide et chauffé à travers l’air environ-

nant, tandis que ce dernier se montre parfaitement non conùul’tpur vis-à-vis de toute charge négative du corps, toutes les circonstances étant d’ailleurs identiques.

Dans ses recherches, ~’1. Steinberg s’est servi du dispositif sui-

vant : une spirale de fil de platine, reliée à la sphère d’un électro- scope ordinaire à feuilles d’or, est chauffée sur une lampe à alcool

ou à essence, puis on retire cette dernière, après quoi l’électroscope reçoit immédiatement une charge positive. Après s’être repoussas d’abord, les feuilles retombent très vite (après une demi-seconde ou une seconde). En répétant cette même expérience sur des feuilles d’un électroscope chargées négativement et déviées d’un angle donné, on a vu ces dernières rester immobiles.

Si dans cette même expérience on place un autre électroscope au voisinage du corps échauffé à une distance de 3 ou 7 centimètres,

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019060050015501

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une partie de la charge positive du premier électroscope se commu- nique à ce dernier à travers l’air. Cette communication se maintient

jasqu’à ce que les potentiels des corps échauffés et froids soient devenus à peu près identiques.

Dans 1111e autre expérience, on approchait un corps porté à la cha-

leur rouge d’un électroscope chargé négativement, le corps chauffé

étant relié à la terre de façon à y produire une charge positive par influence. A la distance d’environ 10 à 20 centimètres, les feuilles CU111I1H’IH’(’nt à retomber, alors qu’à une distance variable entre

11 et ~ centimètres la cliarge de l’électroscope est annulée.

I.a charge positive, dans ces mêmes conditions, n’éprouve aucune

variation quant à sa grandeur.

Si le corps échauffé est protégé contre l’action de l’induction élec-

trique par un écran consistant en un conducteur mis à la terre, tel que, par exemple, une toile métallique ou même du papier à ciga-

rettes, l’on n’observe aucun effet de décharge. Un disque non conduc-

teur prend dans les mêmes circonstances une charge positive éma-

nant d’un corps échauffé, la chute des feuilles de l’électroscope

cessant immédiatement.

Dans une troisième expérience, l’électroscope, étant relié par un fil

au corps chauffée, recevait une certaine quantité d’électricité négative

à rapproche d’un conducteur ou d’un diélectrique négativement chargé. Lorsqu’on approcha de l’électricité positive, on n’observa

aucune charge de l’électroscope.

r-.

A. GRADENWITZ.

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