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•/Vingt-cinquième Année. — N° 85 P r i x d u n u m é r o : 10 centimes
Mercredi 26 Octobre 1910 Bureaux : R u e de la S e r r e , 5 8
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Syndicat suisse des Fabriques de montres
Neuchàtel, 22 octobre 1910.
A Messieurs les membres du Syndicat des Fabriques.
Messieurs les Présidents des diverses Associations patronales.
Messieurs,
Nous avons eu de nombreux pourparlers avec les Comités ouvriers sans parvenir à nous entendre; vous connaissez les propo- sitions faites le 20 courant à La Chaux-de- Fonds, auxquelles, nous avons répondu hier 21 courant par les" contre-propositions suivantes :
1. La Fédération des ouvriers horlogers renonce à exiger que les sept ouvriers de la Fabrique des Longines résilient leurs contrats et entrent dans le Syndicat ou- vrier.
2. Dans les localités où les syndicats sont actuellement organisés, les chefs de fabriques s'engagent à ce que les contrats qui seront conclus à l'avenir avec d'autres ouvriers que les visiteurs admis de part et d'autre, ne contiennent pas la clause inter- disant au titulaire de faire partie des syn- dicats ouvriers.
3. Les patrons reconnaissent le droit de libre association des ouvriers, par contre, les ouvriers syndiqués s'engagent à n'exer- cer aucune pression sur leurs collègues qui désirent rester libres, pour les obliger à entrer dans les syndicats.
Des deux côtés la liberté d'association sera respectée.
4. En raison de la désorganisation que l'interruption du travail a causée aux Lon- gines, la rentrée du personnel qui en fera la demande, se pratiquera au fur et à mesure des besoins et en majeure partie de suite.
La Direction mettra la plus grande bien- veillance possible dans le réengagement, mais se réserve d'engager ceux dont la collaboration lui sera utile.
Voici la réponse que nous adresse ce jour le Comité de la Fédération des Syn- dicats ouvriers horlogers :
La Chaux-de-Fonds, 21 octobre 1910.
Au Comité du Syndicat des Fabriques de montres.
Messieurs,
Le Comité central a pris connaissance de votre lettre de ce jour et de vos con- tre-propositions.
Nous vous avisons qu'il est absolument inutile que nous engagions des pourparlers sur cette base.
Recevez, Messieurs* nos salutations.
Comité central ouvrier :
Le Président, Le Secrétaire perm1,
sig. E M I L E H E N R Y sig. F R I T Z W Y S S H A A R .
Le Secrétaire,
sig. G. H E Y M A N N .
Les membres,
A L B E R T W O L F . Ed T I S S O T . A L B E R T G U E N I N .
Les petits patrons augmentent
et le nombre des ouvriers diminue M. Paul Deschanel annonçait, dans un discours récent, la prochaine publication des travaux de la Ligue de la petite pro- priété agricole et industrielle.
A ce propos, il a fait paraître dans le Matin, l'intéressante lettre suivante, qui montre, qu'en France tout au moins, la grande industrie ne tend pas à supprimer tous les petits patrons, puisque le nombre de ceux-ci tend au contraire à augmenter.
On lira, sans trop de surprise, que les vio- lences syndicales poussent les ouvriers qui le peuvent, à s'émanciper de la nouvelle tyrannie dont nous avons déjà eu tant de fois l'occasion de signaler les manifesta- tions.
«En juillet 1909, la Ligue de la petite propriété se reconstituait, après une éclipse de douze ans, et tout d'abord décidait de procéder à une double enquête sur l'évo- lution de la propriété rurale et sur l'évo- lution de la propriété industrielle. La pre- mière, poursuivie auprès de tous les no- taires de France, a donné lieu à deux mille réponses. Nous interrogeons en ce mo- ment l'administration des contributions di- rectes. Nous étudierons prochainement les résultats de ces consultations.
«Pour la deuxième enquête, tous les syndicats industriels patronaux de notre pays ont été consultés, et la Ligue a réuni un faisceau de 523 réponses utiles, consti- tuant le document le plus considérable et le plus autorisé qui ait jamais été produit sur ce grave sujet de l'évolution de l'in- dustrie. Elles seront communiquées aux syndicats ouvriers, qui seront priés de faire connaître aussi leur avis.
« Or, de ces 523 réponses, il résulte avec netteté, contrairement aux idées souvent reçues et professées, que la propriété in- dustrielle tend à la diffusion dans la grande majorité des industries, et à l'inverse, ne se concentre que dans un nombre res- treint de professions n'intéressant que le sixième environ de la population indus- trielle française.
« C'est l'atelier familial qui se reconsti- tue ou s'étend, tandis que l'usine à sala- riés perd du terrain devant lui. C'est le travail indépendant et libre qui attire à lui, qui émancipe un certain nombre de tra- vailleurs subordonnés. Et comme un mou- vement analogue, une évolution vers la propriété paysanne se manifeste d'autre part et parallèlement dans le monde rural, nous sommes en droit de dire qu'un cou- rant puissant de liberté économique em- porte notre pays vers la propriété univer- salisée.
« Tout ouvrier qui, par son travail ré- gulier, son esprit d'épargne et d'ordre, et sa sobriété, se rend digne de la propriété, et par elle de l'indépendance, semble dès ce moment, dans la majorité des profes- sions industrielles, assuré de conquérir cette indépendance, d'accéder à cette pro- priété. Le législateur devra désormais s'ap- pliquer à consolider ce nouvel état de choses.
« Les causes qui ont conduit les travail- leurs vers la propriété industrielle et l'au- tonomie de l'atelier familial sont indiquées par l'enquête et mises en relief dans le re- marquable travail du rapporteur, M. Ca- mille Sabatier.
«C'est, en premier lieu, la diffusion de
l'instruction, c'est l'école. L'enfant qui, à
treize ans, résout les problèmes dé cubé,
566 L A F É D É R A T I O N H O R L O G E R E S U I S S E de surface, d é mélange, d'intérêt, etc., se
prépare à devenir plus tard un menuisier, un maçon, un peintre en bâtiment, etc.
Q u a n d il aura acquis, par ailleurs, les con- naissances techniques, s'il est sobre, éco- n o m e et o r d o n n é , il p r e n d r a confiance en lui et s'installera à son compte.
« U n e deuxième cause de cette renais- sance de l'atelier familial industriel doit être cherchée dans la difficulté moindre q u ' é p r o u v e n l a u j o u r d ' h u i les ouvriers qui s'installent à leur compte à obtenir à cré- dit le premier outillage et la matière pre- mière.
«Enfin, il faut constater une cause fort inattendue : partout où la politique des syndicats ouvriers se fait violente et exa- gère les contraintes, les meilleurs ouvriers, impatients d'une discipline outrancière ou maladroite, s'en libèrent en s'évadant vers l'atelier familial. Ils échappent ainsi à la fé- rule des syndicats, en même temps qu'à la domination des patrons.
D'après les évaluations du rapporteur de l'enquête, cette floraison de petits patrons aurait accru de 2 0 % le n o m b r e des ate- liers dans les industries du bâliment et dans n o m b r e d'autres industries. Ce se- raient, en ces dix ans, 300.000 petits pa- trons nouveaux, 400.000 depuis douze ou quinze ans, si l'on tient compte des 98.000 patrons nouveaux qu'avaient déjà signalés les résultats statistiques du d é n o m b r e m e n t de 1901. .
« U n e conséquence de cet accroissement du n o m b r e des petits patrons industriels, c'est la diminution du n o m b r e des ou- vriers. Le rapport m o n t r e que cette dimi- nution du n o m b r e des ouvriers est même plus forte que l'accroissement du n o m b r e des patrons. Deux causes de diminution numérique des ouvriers s'ajoutent à la pré- cédente. Un certain n o m b r e de jeunes hommes qui autrefois seraient demeurés dans les rangs ouvriers, accèdent aujour- d'hui aux emplois publics: instituteurs, employés des postes, dont le n o m b r e s'est fort accru. La seconde cause est doulou- reuse à constater: le monde ouvrier n'as- sure plus son propre r e c r u t e m e n t ; la pro- pagande néo-malthusienne, si active de- puis une quinzaines d'années, a amené ce triste résultat.
« Gomme, dans le m o n d e rural, les mê- mes causes de la diminution des salariés agissent, et que même l'accession des ou- vriers à la propriété est constatée en agri- culture depuis plus longtemps qu'en in- dustrie, le rapporteur de l'enquête n'hésite pas à évaluer à un million le déficit de la population ouvrière depuis quinze ans. Si les recherches ultérieures vérifient cette as- sertion, quelle grave révélation p o u r l'-hom- me politique et pour l'économiste ! »
P A U L DESCHANEL.
Une victoire de l'industrie locloise L'excellente maison de Chronometrie Ulysse Nardin vient de remporter, dans des circonstances particulièrement diffici- les, un succès éclatant, qui prouve qu'elle est plus que jamais à la hauteur de son universelle renommée.
Le rapport officiel du concours de chro- nomètres de marine à l'Observatoire naval de Hambourg, constate que 79 chronomè- tres ont été exposés par 12 maisons alle- mandes. (Les fabricants établis à l'étranger
doivent se faire représenter par un horlo- ger domicilié en Allemagne.)
Le chronomètre sorti premier du con- cours avec le classement 0,54 secondes est l'œuvre de la maison Ulysse Nardin. Les autres chronomètres présentés par cette maison ont les n u m é r o s 8 et 9.
Lors du précédent concours, les instru- ments Ulysse Nardin étaient également en première ligne, puisque des 16 chronomè- tres de marine présentés, 14 ont été ran- gés en première classe et 2 en deuxième.
E n outre, des 26 petits chronomètres pour torpilleurs exposés par la dite maison, 21 avaient été classés en première et deuxiè- me classe. La Suisse occupe ainsi le pre- mier rang dans la fabrication des chrono- mètres de marine, bien que l'étranger soit en progrès constants.
Les récompenses de l'Exposition de Buenos-Ayres
M. Pierre Baudin, commissaire général du gouvernement français à l'Exposition interna- tionale de Buenos-Aires, vient d'être avisé que les exposants français ont obtenu 64 grands- prix, 24 diplômes d'honneur, 23 médailles d'or à l'Exposition des transports et 115 grands-prix, dont 26 pour les vins de Champagne, 68 diplô- mes d'honneur et 130 médailles d'or à l'exposi- tion d'agriculture.
A l'exposition des beaux-arts et à celle des arts appliqués, tous les exposants français ont été déclarés hors concours.
Celte débauche de grands-prix nous met en mémoire une réflexion que nous faisions récem- ment : quand tous les exposants auront obtenu des hautes récompenses, il faudra trouver autre chose.
La question du change au Brésil Comme suite à un vœu exprimé par le Sénat, le ministre.des finances du Brésil vient de rédi- ger, concernant la question du change au Bré- sil, un rapport dans lequel il signale :
1. Que les balances du trésor à Londres ont été réduites à 4 millions de liv. st.;
2. Que la hausse du change est la conséquence exclusive de facteurs économiques indépendants de toute intervention gouvernementale.
Comme conséquence de ce rapport, le Sénat aurait pris la résolution de retarder la discus- sion de la stabilisation du change jusqu'à l'ap- parition du message du maréchal Hermès da Fonseca, d'après les uns, et, d'après les autres, jusqu'à ce qu'ait été résolue la question de l'in- tervention de l'Etat de Rio.
Dans tous les cas, le ministre des finances dis- pose d'un répit qu'il peut utiliser, soit à renfor- cer la position actuelle du change qui d'ailleurs, d'après lui, n'a nullement besoin d'une consoli- dation, soit à favoriser une nouvelle hausse du change, ce que, sans doute, il ne manquera pas de faire s'il en trouve la possibilité.
A l'heure actuelle, il paraît établi que le géné- ral Pinheiro et la majorité du Sénat sont en fa- veur de la fixation du change à 16 d., tandis qu'à la Chambre, un grand nombre de députés penchent plutôt pour la stabilisation à 15 d.
Anarchistes modernes
Il y a quinze ans, l'anarchiste était un individu romantique, drapé dans un manteau couleur de muraille, qui jetait une bombe et s'enfuyait. C'é- tait l'enfance de l'art... Aujourd'hui, l'anarchiste méprise ce procédé simpliste : supprimer quel- ques vagues humanités, cela lui paraît peu inté- ressant, môme si le geste est beau. Et il emploie une tactique nouvelle.
L'anarchiste dernier cri ne travaille pas seul.
Il a une installation, un personnel, je dirai mê- me des bureaux. C'est sur la carte qu'il prépare ses coups — sur la carte de France bien en- tendu. Ici, il y a des travaux d'art; voici un aqueduc bien placé ; notons ce pont de chemin de fer ; cette ligne télégraphique n'est pas à né- gliger; ce tunnel non plus.
Pour gagner ces points stratégiques, l'anar^
chiste moderne jne prend pas le train comme un simple bourgeois. Il a son auto et il se mo- que bien des gendarmes qui vont à cheval, des agents qui vont à pied. L'auto du «compagnon»
est rapide et silencieuse; elle file dans la nuit comme une ombre...
Heureusement celle anarchie automobile a des pannes en route, et quand elle arrive à destina- tion, «il y a du monde». Seulement, voilà, je me demande ce qu'il adviendra le jour où les anarchistes se feront aviateurs et laisseront tom- ber leurs bombes sur les points choisis. Il va falloir penser à cela ; n'attendons pas que les pe- tites marmites nous tombent toutes chaudes sur
le nez. CLÉMENT VAUTEL.
Les commerçants français contre le sabotage
En présence des excitations au sabotage, à la chasse aux « renards », des délits et des crimes qui en sont résullés, dont la plupart sont restés impunis, ou qui n'ont été réprimés que d'une manière intermiltente et tardive,
En présence des faiblesses qui ont appris aux grévistes qu'ils ne risquaient rien et qu'ils avaient la certitude d'être réintégrés dans leurs fonctions.
La Société des industriels et commerçants de France,
Considérant que les interruptions de service public ou d'intérêt général par la coalition de fonctionnaires et d'employés de l'Etat, tels que les postes, télégraphes, téléphones, les transports par voie ferrée, les services maritimes postaux, la production et la distribution du gaz et de l'é- lectricité, la distribution d'eau, etc., doivent être regardées comme des actes de guerre sociale,
Emet le vœu :
Que les lois existantes soient appliquées avec continuité et résolution ; que la répression ne soit pas rendue illusoire par des mesures de clémence et des amnisties périodiques ;
Et si les lois en vigueur sont insuffisantes pour supprimer les groupements anarchistes,
Regrette qu'elles n'aient pas été modifiées, Et invite les pouvoirs publics à apporter à la législation existante les modifications néces- saires.
Extraits du bulletin de l'Office du travail français
Jura. — D'après le Conseil de prud'hommes
de Morez, l'activité du travail laissait toujours à désirer pour l'horlogerie et la lunetterie ; toute- fois, il n'y avait de chômage partiel que pour les ouvriers travaillant à domicile, lesquels, sur la saison d'été, trouvent à s'occuper à des travaux étrangers à leur corporation.
Doubs. — A Besançon, pas de chômeurs; 54
heures chez les monteurs de boîtes et faiseurs de pendants.
Contre l'émigration aux Etats-Unis Une fois de plus, les emigrants qui ont l'inten- tion de se fixer aux Etats-Unis sont rendus at- tentifs aux articles draconiens et sévèrement ap- pliqués de la loi américaine sur l'immigration.
Il arrive à chaque débarquement de fréquents mécomptes, faute de connaissance suffisante de ces articles. Les agents d'émigration feront éga- lement bien de renseigner exactement et à fond les intéressés sur la loi en question.
On cite le cas d'un coiffeur bernois, nommé Liechti qui, au moment du débarquement, fut déporté sans autre à Ellis Island, en attendant son réembarquement. Liechti est parfaitement sain, mais il a une jambe légèrement plus courte que l'autre ensuite de fracture. Le rapport médi- cal délivré à la visite considère cet inconvénient comme une tare empêchant, l'immigrant de ga- gner sa vie.
Un autre de nos compatriotes, M. Paul Spiel- mann, domicilié depuis de longues années aux Etats-Unis, n'a pas pu y rentrer parce qu'il vient de faire un séjour dans un sanatorium en Suisse.
La loi sur l'immigration interdit le débarquement de sujets qui ont fait un séjour dans les sanato- ria pendant les cinq ans qui précèdent leur arri- vée aux Etats-Unis. M. Spielmann a été égale- ment déporté.
Les réclamations de nos consuls sont généra-
lement inutiles ; il en est de même de tentatives
de conciliation faites: par notre ambassade à Was-
LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE 567
hington. Les décisions de la commission d'im- migration sont, pour la plupart, sans appel.
Taxes de patentes des voyageurs de commerce
Jusqu'au 30 septembre de cette année, 31.646 cartes de légitimation ont été délivrées à 33.120 voyageurs de commerce, dont 28,022 cartes gra- tuites et 3624 payantes. Les recettes de ces der- nières s'élèvent au montant de fr. 518.705 ; fr. 491.405 ont été payés par des voyageurs suis- ses et fr. 27.300 par des voyageurs étrangers.
Durant la même période de l'année dernière, les receltes des taxes de patente avaient été de fr. 487.350; il y a donc une augmentation de fr. 31.355.
Liste des dessins et modèles
D é p ô t s .
N° 18536. 16 sept. 1910, 11 h . a. —• Ouvert. — 1 modèle. — Machine à pointer les plaques de cadrans. — E . Meyer-Tièche, Bienne (Suisse.) N° 18541, 16 sept. 1910, 6 h . p. — Ouvert. — 1 modèle. — Machine à décalquer les cadrans.
— E. Meyer-Tièche, Bienne (Suisse.) N° 18542. 16 sept. 1910, 6 '/4 h. p. — Ouvert.
— 1 modèle. — Calibre de montre. — Ernest David, Neuchâlel (Suisse). Mandataire : A.
Mathey-Doret, La Chaux-de-Fonds.
N" 18543. 16 sept. 1910, 7 h. p. — Ouvert. — 3 modèles. — Calibres de montres. — Levail- lant & Bloch, La Chaux-de-Fonds (Suisse).
Mandataire : A. Waller, La Chaux-de-Fonds.
N° 18557. 16 sept. 1910, 6 '/* h. p. — Ouvert.
— 2 modèles. — Dispositif d'attache aux boî- tes de montres-bracelet et pendant de montre.
— La Nationale S. A. (Usines fusionnées de matières ouvrées d'or, argent, métal et assor- timents pour la boite de montre, Champagne, St-Imier, Saignelégier, Madretsch), Sl-Imier (Suisse). Mandataire : A. Mathey-Doret, L a Chaux-de-Fonds.
N° 18570» 23 sept. 1910, 8 h . p . — Ouvert. — 1 modèle. — Mouvement de montre. — H.
Gasser & Qo, Bienne (Suisse.)
N° 18571. 21vsept. 1910, 3 h . p. — Ouvert. — I modèle. — Boites pour montres de poche en toutes g r a n d e u r s , extra-plates. — Henri-Au- guste Froidevaux, Bienne (Suisse). Manda- taire : G. F u r r e r , Bienne.
•N° 18586. 26 sept. 1910, 8 h. p. — Ouvert. — 1 modèle. — Appareil de lancement pour ma- chine parlante. — Hermann Thorens, Ste- Croix (Suisse.)
N° 18597. 29 sept. 1910, 8 h . p . — Cacheté. — 182 dessins. — Fonds de boîtes de montres décorés, articles de bijouterie. — Germain Pochon, Genève (Suisse.)
N° 18599. 30 sept. 1910, 7 h . p. — Ouvert. — I I modèles. — Calibres et raquettes de mon- tres. — Agassiz Watch Co, S. A., St-Imier (Suisse). Mandataire : E, Imer-Schneider, Ge- nève.
M o d i f i c a t i o n .
N° 18194. 10 juin 1910, ßly« h . p. — Ouvert.
— 1 modèle. — Dispositif d'attache aux boites de montres-bracelet. — Georges Favre-Ja- cot, Le Locle (Suisse). Mandataire : A. Ma- they-Doret, La Chaux-de-Fonds. — Licence selon déclaration du 13 septembre 1910, en fa- veur de Paul Buhré, Le Locle (Suisse) ; en- registrement du 22 septembre 1910.
P r o l o n g a t i o n ! ? .
N° 7484. 22 août 1900, 11 h . a. — (IIIe période 1910-1915). — 67 modèles. — Fonds de boîtes de montres décorés. — Société des Etablisse- ments Frainier, Morteau (France). Manda- taire : A. Mathey-Doret, La Chaux-de-Fonds;
enregistrement du 16 septembre 1910.
N° 7501, 31 août 1900, 4 h . p. — (IIIe pé- riode 1910-1915). — 1 modèle. — Calibre de montre. — Geneva Watch Company, suc- cesseur de la «Société anonyme de la Fabrique d'horlogerie J . - J . Badollet à Genève», Genève (Suisse) ; enregistrement du 17 septembre 1910.
N° 12310. 5 août 1905, 7 h . p. — (IIe période 1910-1915). — 1 modèle. — Calibre de montre.
—Léon-N. Robert et H. Parrenin, La Chaux- de-Fonds (Suisse). Mandataire : A. Mathey- Doret, L a Chaux-de-Fonds ; enregistrement du 21 septembre 1910. . : N° 12428. 7 septembre 1905, 8 h. p. — (IIe pé-
riode 1910-1915). — 4 modèles. — Boîtes de montresjpour cadrans décentrés. — Fabrique
« M o v a d o » L.-A.-J. Ditesheim & Jrère, La Chaux-de-Fonds (Suisse). Mandataire: A. Ma- they-Doret, La Chaux-de-Fonds; enregistre-
ment du 26 septembre 1910. : \ R a d i a t i o n s .
1 modèle. Mon- N° 12258. 17 juillet 1905.
tre.
N° 12272. 20 juillet 1905. — 1 modèle. — Car- rure de boîte de montre décorée.
N° 12278. 22 juillet 1905. — 4 modèles. — Ca- drans de montres.
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