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Bureaux: R u e de la S e r r e , 5 8

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Dix-septième Année. — N° 45 P r i x d u n u m é r o : 10 centimes

Dimanche 8 Juin 1902.

Bureaux: R u e de la S e r r e , 5 8

MffiDE

S U I S S E

ABONNEMENTS

Un a n : Six m o i s :

Suisse . . . . Fr.6»— Fr. 3»—

Union postale » 12»— » 6»—

On s'abonne a tous les bureaux de poste.

Paraissant le Jeudi et le Dimanche a la tai-de-Fonds

ANNON6ES

suisses 20 ct., étrangères 23 et. la ligue Oil'res et demandes de place

10 centimes la ligne.

Les annonces se paient d'avance.

Organe de la Chambre suisse de l'Horlogerie, des Chambres de commerce, des Bureaux de contrôle et des Syndicats professionnels.

Les Consulats suisses à l'étranger reçoivent le j o u r n a l .

Bureau des Annonces: HAASENSTEIN & VOGLER, 32, rue Leopold Robert, CHAUX-DE-FONDS et succursales en Suisse et à l'étranger Crise horlogère

Le Conseil d'Etat a arrêté que le chef du département de l'industrie et de l'agri- culture est chargé de continuer l'enquête commencée concernant les conséquences de la crise horlogère dans le canton, et de présenter au Conseil d'Etat un rapport et éventuellement des propositions sur les mesures qu'il y aura lieu de prendre pour parer aux effets de la crise qui sévit actuel- lement.

Cette enquête a été confiée au bureau de la Chambre cantonale du commerce, de l'industrie et du travail, qui a eu, vendredi, une première séance consacrée à cet objet et a examiné plus particulièrement la situa- tion créée p a r l a crise,'à la population ou- vrière de la Chaux-de-Fonds.

Des délégués des syndicats ouvriers hor- logers assistaient à celte séance. Ils ont apporté des renseignements desquels il résulte que le chômage partiel ou complet que subissent certaines catégories d'ouvriers commande l'adoption de mesures immé- diates et qu'il incombe en premier lieu, aux autorités communales de venir en aide pécuniairement aux familles ouvrières qui sont dans le besoin.

M. le Dr Peltavel, chef du département de l'industrie, qui présidait la réunion, a don- né l'assurance que l'Etat examinerait avec la plus grande bienveillance et le plus grand intérêt la situation que révélera l'enquête et qu'il n'hésitera pas, si les circonstances ne deviennent pas plus favorables à bref délai, de demander au Grand Conseil, dans sa prochaine session, un crédit permettant l'ouverture de chantiers de travail.

Comme le ralentissement des affaires af- fecte tous les centres de production horlo- gère, le bureau a décidé de s'enquérir de la situation des ouvriers horlogers des au- tres régions du canton.

Les nouvelles formes d'Institutions patronales

Dans le Palais d'Economie sociale, à l'Exposition universelle, c'étaient les insti-

tutions patronales surtout qui attiraient l'attention du public par leurs tableaux, leurs cartogrammes, leurs vues photogra- phiques — et ce sont elles qui ont eu la plus belle part dans les récompenses. Il en est nécessairement ainsi dans toutes les Expositions. Les grands fabricants et les grandes compagnies sont beaucoup mieux outillés que des associations ou- vrières pour se faire brillamment représen- ter; ils ont plus d'intérêt à Je faire d'abord, et aussi ils ont des hommes plus compé- tents pour agencer leurs expositions et plus d'argent pour les payer.

Cependant, pour qui prend la peine de comparer les Expositions d'économie so- ciale qui se sont succédées dans le dernier tiers du XIX

e

siècle, il est facile de consta- ter que la place occupée par les institutions patronales va diminuant. Dans le concours ouvert à l'Exposition de 1867, qui a été la première où l'Economie sociale ait fait son apparition, et dans la petite cité d'Econo- mie sociale qui s'élevait' sur l'Esplanade des Invalides en 1889, les institutions pa- tronales étaient presque tout. Dans le Pa- lais de 1900, c'étaient elles encore qu'on voyait le plus, mais elles étaient loin d'être les plus nombreuses. D'ailleurs, elles n'avaient plus, comme enl889, une section spécialement réservée, mais elles étaient dans un modeste pêle-mêle avec toutes les autres.

Or, ces modifications dans le rôle joué par les institutions patronales sur le grand théâtre des Expositions universelles, tra- duisent très exactement les transformations qu'elles sont en train de subir par le fait de l'évolution économique. L'histoire éco- nomique du XIX

e

siècle a été à certains égards «l'histoire de la grandeur et de la décadence» des institutions patronales.

Ce sonfles patrons, il faut leur rendre cet hommage, qui, depuis l'époque déjà lointaine où les fabricanls de Mulhouse ont donné le signal du réveil des consciences patronales (en 1837), ont pris l'initiative de presque toutes les réformes qui forment aujourd'hui tout l'inventaire de l'Economie sociale : maisons ouvrières, magasins d'ali- mentation, cercles, caisses d'épargne, de

retraites, d'assurances, primes, participa- tion aux bénéfices, etc.

Mais peu à peu l'initiative patronale a été resserrée et comme étouffée' entre deux autres facteurs : d'une part l'Associalion ouvrière, d'autre part l'Etal. Par exemple, tandis que l'Etat se chargeait de pourvoir lui-même par des caisses nationales à l'é- pargne, aux accidents, demain à la retraile ; tandis qu'il exerçait un contrôle de plus en plus rigoureux sur l'installation des fabri- ques, sur le paiement des salaires. — en môme temps les syndicats ouvriers es- sayaient de se procurer eux-mêmes, et par leurs propres moyens, les subventions que les patrons leur avaient fournies jusqu'alors, de remplacer l'économat par le magasin coopératif, de bâtir leurs maisons par la société coopérative de construction et de substituer à la participation aux bénéfices et aux gratifications la majoration des sa- laires conquise de haute lulle par la grève ou la menace de grève.

Le mot de «patronage» sonne mal au- jourd'hui à l'oreille de nos démocraties

ombrageuses. Rien n'irrite plus les ouvriers que d'entendre parler des «sacrifices» que le patron fait pour eux. C'est de l'ingrati- tude, dit-on. Quelquefois! mais souvent aussi, c'est un sentiment plus noble, la volonté de ne devoir qu'à eux-mêmes l'amélioration de leur condition. C'est aussi le fait que ce patronage les suit hors de l'usine, dans la maison où ils vivent, dans l'école où ils envoient leurs enfants, dans le cabaret où ils boivent, dans l'église où ils prient, dans la mairie môme où ils votent et se marient, dans le cimetière où ils dormiront après leur lâche finie ; — car la maison, l'école, le cabarel, l'église, la mairie et le cimetière, appartiennent au patron, à la compagnie, sont entretenus par ses subventions, et ainsi l'ouvrier sent planer sur lui, de son enfance à sa vieil- lesse, de son berceau jusqu'à son tombeau, l'ombre tutélaire du patronage. Il l'appelle un servage.

Quelques patrons, à force de tact et à la

condition d'avoir affaire à des populations

paisibles, généralement ayant reçu une

éducation religieuse, ont réussi à faire

(2)

27G LA F É D É R A T I O N H O R L O G È R E S U I S S E

m

accepter et à faire aimer les institutions patronales. Mais c'est l'exception. Lors de la grève du Creusot, il y a deux ans et demi, le Temps publiait un interview d'un de ses rédacteurs avec un des ouvriers.

Celui-ci disait: «D'ailleurs, n o u s en avons assez de la philanthropie de M. S... ! Il n'est pas notre tuteur, encore moins notre père. Qu'il augmente nos salaires et nous dispense de sa charité. La vérité est que l'ensemble de ces œuvres sert à perpétuer le régime d'esclavage que nous subissons.

Nous devrions être des hommes libres. » Tel est l'état d'àme de la grande majorité de la population ouvrière. Q u ' o n s'en adlige ou qu'on s'en réjouisse, c'est un fait qui semble devoir couper court au déve- loppement des institutions patronales.

Et pourtant, nous croyons qu'elles sont appelées, au contraire, à prendre une nou- velle vie, mais à la condition de changer de méthode, de se dépouiller de tout ca- ractère de tutelle, à la condition de s'abs- tenir de toute intervention dans la vie do- mestique, publique, religieuse, intellec- tuelle, de l'ouvrier; à la condition de s'en- fermer dans l'usine elle-même ; d'ailleurs, c'est déjà un domaine assez vaste pour que l'activité patronale trouve à s'y dépenser largement. Dès qu'il a franchi les portes de la fabrique, l'ouvrier est un citoyen, un homme, qui n'a rien à demander ni rien à donner au patron. Mais, dans la fabrique et dans le cours de sa vie professionnelle, il donne son travail au patron et il doit en recevoir, n o n seulement le salaire, mais tout ce qui peut contribuer à rendre son travail moins dangereux, moins insalubre, moins pénible, plus aimable. C'est pour le p a t r o n un deVOÏrT car l'ouvrier donne n o n pas seulement, comme dans l'échange or- dinaire, une valeur ou une marchandise, mais une partie (la plus grande partie) de ses forces, de son temps, de sa vie, — et c'est son intérêt aussi, car si la machine humaine travaille dans des conditions plus humaines, le rendement en sera supérieur.

L'intervention patronale sous cette nou- velle forme consistera donc, non plus à

fournir aux ouvriers des maisons, des ma- gasins d'alimentation, des caisses de toute nature, etc., mais à leur fournir des ate- liers où la sécurité, la propreté, l'hygiène, seront assurés, inondés d'air et de lumière comme des salles de fêtes ; ce sera de leur fournir, pour avant et après le travail et pendant les intervalles du travail, des la- vabos, des vestiaires pour se changer, des salles à manger avec des rafraîchissements, ou tout au moins des fourneaux pour faire réchauffer les aliments a p p o r t é s , et des tables, sièges, vaisselle pour les consom- mer, des salles de repos, de lecture, de jeux, et — si l'emplacement s'y prèle, — des jardins, des gymnases...

Il est probable que si cet article passe sous les yeux de quelque fabricant fran- çais, il y aura de quoi rire. «Voilà bien la stupidité des intellectuels ! dira-t-il. Mais en admettant que nous fussions assez fous pour entrer dans celte voie, ce sont nos ouvriers qui riraient de nous...» Il est pos- sible, en effet, qu'ils en rient, parce que leur éducation sociale n'est pas plus avan- cée que celle de leur employeur, mais les fabricants américains , qui n'ont jamais passé, q u e je sache, pour des intellectuels ni des mystiques, qui sont des gens essen- tiellement pratiques, des gens d'affaires

business men, entrent dans celle voie à

toute vapeur et quelques fabricants anglais le font aussi. Je puis citer, par exemple, deux fabriques q u i ont obtenu des grands prix à l'Exposition, celle de MM. Dayton

(National Cash Megister Company), qui

fabrique ces compteurs qu'on voit déjà dans n o m b r e de magasins pour enregistrer le prix payé par.-/l'acheteur, et celle de MM. Lever frbves'fPort Sunlight) qui fa- brique le savon dbVnl les annonces se lisent sur tous les points du monde.

Au reste, je ne-'saurais mieux faire, com- me conclusion de pet article, que de repro- duire quelques passages d'un article du correspondant aiftericain du Temps. Il n'ap- prend rien de bien-nouveau à ceux qui ont suivi ce mouvement, mais il sera proba- blement une révélation pour la plupart de ceux qui le liront! L'auteur de l'article fait la remarque très Miiste que Fourier, dont l'influence a été si.'grande aux Etats-Unis, peut-être plus grande qu'en France, peut revendiquer une certaine part de paternité dans ces nouvellc$ formes d'institutions patronales, puisqu'elles tendent à rendre

«le travail attrayant». Et en effet, il nous est agréable de penser que ce vieil ami des coopérateurs est pour quelque chose dans cette évolution sociale qui tend à élever le travail manuel à la dignité d'une « profes- sion libérale».

(Z/Emancipation) C H . G I D E .

Tarif douanier

Le projet de tarif douanier, tel qu'il est sorti des délibérations du Conseil national, a fait son apparition au Conseil des Etats.

Nous e m p r u n t o n s au Journal de Genève 4e compte rendu de 1» séance du Conseil

des Etats, du 5 juin, où s'est livrée la pre- mière bataille.

M. Blumer, de Glaris, président de la commis- sion, expose les motifs qui ont dicté la revision de la loi. L'ancien tarif ne contient pas les posi- tions de combat nécessaires pour aider efficace- ment nos négociateurs dans les tractations en vue du renouvellement des traités de commerce.

Nous ne pouvons pas jouer le rôle de spectateur indifférent en face des tentatives protectionnistes des autres Etats. Il nous faut un instrument plus maniable et plus tranchant. De nombreux grou- pes d'intérêts, et notamment d'agriculture, ont besoin d'être protégés dans leurs productions.

D'autre part, nous ne devons pas négliger nos grandes industries d'exportation. C'est pourquoi le Conseil national et la commission ont décidé d'exonérer le plus possible les matières pre- mières. La commission propose l'entrée en ma- tière sur la base des propositions qu'elle a for- mulées.

M. Scherrer, de Bâle, tient à déclarer qu'il n'est pas d'accord avec le projet tel qu'il est sorti des délibérations du Conseil national et de la commission. Cependant, il ne proposera pas la non entrée en matière: il ne veut pas empêcher un essai qui doit tendre à la conclusion avanta- geuse de nouveaux Irailés de commerce, déplus, il espère pouvoir obtenir quelques améliorations.

Si les corrections[ ne sont pas introduites, le mécontentement ira; grandissant ; nous exposons notre projet à un échec si nous ne l'atténuons pas considérablement, surtout en ce qui concerne les matières animales et les denrées alimentaires.

Sans doute nous devons admettre le principe de la protection de la production nationale, puisque les circonstances nous y obligent. Il serait oiseux de faire intervenir ici des théories et du doctrina- risme. Mais ne franchissons pas les bornes d"une sage mesure. Je ne déploierai pas la bannière du libre-échange. Je suis d'accord que l'on tienne compte des revendications des producteurs qui ont à lutter contre la concurrence des produits étrangers, le plus souvent artificiels et falsifiés.

Mais de là à suivre le courant de certaines exa- gérations tendant aij renchérissement de la vie, il y a loin. Je ne suis pas un « Bauernfresser», j'éprouve la plus grande sympathie pour la classe

intéressante des agriculteurs, je comprends sa position difficile ; je suis né à la campagne; la population agricole est le noyau de la nation, le réservoir de notre défense nationale.

Voilà ce que je tiens à dire afin qu'on n'inter- prète pas défavorablement les propositions que je ferai contre les revendications exagérées. Je sais avec quelles difficultés lutte l'agriculture et je veux la protéger tout en gardant une juste mesure. Il y a certaines positions du tarif où l'on a par trop méconnu les intérêts des consomma- teurs. Si l'on admettait les tarifs agraires adoptés par le Conseil national, la ville et le canton que je représente subiraient d'après les statistiques commerciales, une augmentation annuelle de un million pour la dépense de sa consommation.

Rien que pour la viande, la vie serait renchérie d'un demi-million. Les 7000 pièces de gros bétail que nous importons nous coûteraient, si l'on maintient le droit de 50 fr., une augmentation de dépenses de 350,000 fr. ; les porcs nous revien- draient à 200,000 fr. de plus. Comment'les agri- culteurs parviendraient-ils à justifier ce «Beute- zug» contre les consommateurs?

Que dirait le grand canton de Berne si on lui tirait une paille de celte dimension ? Et pourtant, il pourrait supporter plus facilement ce déchet qu'un petit canton citadin. Veut-on donc faire repentir Bâle-Ville d'être entré dans la Confédé- ration? On m'objectera que les traités de com- merce réduiront suffisamment ce tarif de combat.

Mais ainsi ne l'entendent pas les agriculteurs, et dùt-on réduire les tarifs de moitié, les charges resteront néanmoins onéreuses pour nos con- sommateurs.

Nous ne tirons de l'étranger, le bétail de bou- cherie que parce que le pays ne peut pas le four- nir. Si les agriculteurs suisses ne parviennent pas à nous livrer cette marchandise, cela tient à des causes que toules les augmentations de droits protecteurs n'élimineront pas. Si la majorité de- vait abuser de sa force, dans cette guerre de ta- rifs, elle encourrait de graves responsabilités.

Voici, par exemple, l'industrie des hôtels qui ré- clame contre ces droits exagérés. Veut-on com- promettre cette industrie, qui rapporte, sous di- verses formes, plus d'un milliard à la Suisse? Le personnel de ces hôtels, les -agriculteurs, les commerçants, les entrepreneurs de ; transport, tout le monde bénéficie de l'afflux des touristes.

Or, l'industrie des hôtels est obligée de tirer une bonne partie de ses denrées de l'étranger^ le pays ne les produisant pas. Tels sont les motifs qui m'engagent à proposer différentes réductions.

M. Bigler (Berne) : Ce combat d'avant-garde nous promet des discussions orageuses, mais l'fir.ï rateur préopinant me semble avoir,visé trop haut.

L'amour que,,M. Scherrer déclare professer en- vers l'agriculture ressemble beaucoup à celui qui embrasse pour mieux étouffer. En ce qui concer- ne en particulier la viticulture, la crise est no- toire. Les différences de cours viennent s'ajouter aux difficultés avec lesquelles luttent nos vigne- rons. Si les vins étrangers continuent à déborder sur notre pays aux prix actuels, favorisés encore par l'agio, nos viticulteurs n'ont plus qu'à plier bagage.

L'agriculture s'est montrée pleine de condes- cendance envers l'industrie. Elle se prèle à tout ce qui peut la favoriser. Certaines positions in- dustrielles sont bien plus élevées que les posi- tions agricoles, mais elles attirent moins l'atten- tion. Si les denrées alimentaires renchérissent, cela provient de la défectuosité de nos marchés.

Sous ce rapport, la France est mieux organisée.

Que les Bàlois organisent leur commerce de bé- tail d'une manière rationnelle ! Ils rendront ainsi un plus grand service à la consommation qu'en faisant la guerre aux producteurs suisses. Les conditions du marché ont une grande influence sur le prix du bétail. Qu'on laisse moins de béné- fice aux intermédiaires et qu'on favorise les trac- tations directes entre consommateurs et produc- teurs. Il ne faut pas oublier de plus que notre alimentation suisse repose sur une base fausse.

On donne trop d'importance à la consommation de la viande. Le fromage, par exemple, n'entre pas assez dans l'alimentation populaire. Cela vaudrait mieux que la viande de bœufs d'Italie.

M. Lachenal se borne à faire une déclaration.

Il ne votera pas le tarif si on ne lui apporte pas

de réduction. On a dépassé la mesure. Il y a d'au-

tres moyens d'aider l'agriculture que de recourir

à un protectionnisme exagéré. Sans doute, les

temps du libre-échange absolu et farouche sont

passés, mais nous nous exposerons, d'autre part,

à de cruelles désillusions si nous appliquons sans

mesure un protectionnisme scientifique.

(3)

LA FÉDÉRATION HÖRLÖGERE SUISSE 277

M, Deucher, conseiller fédéral, parlera briève- ment au point de -vue des intérêts généraux d e l à Suisse. Le Gouseil fédéral a appelé a u x travaux préparatoires les trois principaux groupés de la production nationale : agriculture, industrie et métiers. « Continuons à opérer d'un commun ac- cord. »

M. Deucher espère « que nous ne nous m a n - gerons pas les uns les autres dans cette discus- sion. » Les circonstances sont telles que nous de- vons tous faire face au dehors par u n e politique protectionniste. Ce tarif est u n instrument de combat. Les positions de l'agriculture ne sont pas plus élevées que celles de l'industrie : elles le sont même moins. Si nous n'avons pas à notre dispo- sition des tarifs majorés, il nous sera impossible de négocier avantageusement des traités de com- merce. Au surplus, l'Assemblée fédérale a le droit en tout temps d'élaborer un tarif général plus réduit pour le cas où les traités de commerce n'aboutiraient pas. Il va sans dire que ce nouveau tarif serait aussi soumis au referendum. Qu'on se tranquillise : il ne s'agit nullement d'un « Beute- z u g » . Le temps de la guerre entre les villes et la campagne est passé. Il s'agit du bien général, au- quel chacun, doit faire quelque sacrifice. Notre tarif n'a pas un but fiscal, bien que nous eussions facilement emploi de cet argent. On veillera déjà à ce que notre caisse ne soit pas trop opulente.

Dès que l'on nous saura en possession de quel- ques millions de plus, on s'arrangera à nous les prendre. Nous sommes menacés de nouveaux

« Beutezüge » cantonaux auxquels nous succom- berons fatalement.

Il est procédera la votation.-

L'entrée en matière est votée à l'unanimité.

Association des grossistes en horlogerie en Allemagne

L'assemblée générale de l'Association des g r o s - sistes en horlogerie^ de l'Allemagne, qui a lieu du 7 a u 10 juin et, à l'hôtel Kaiserhof, à Düssel-

dorf, discutera entre autres objets à l'ordre du jour les questions suivantes :

Décision à prendre iconcernant u n e pétition à adresser a u x autorités compétentes pour que celles-ci prennent des mesures lors de l'élabora- tion du nouveau tarif de douanes, pour empêcher les fabricants suisses de vendre leurs collections d'échantillons à de vils, prix a u x détaillants, aux établissements pratiquant la vente par acomptes, etc.

L'état actuel de la question de l'introduction du système métrique pour les mesures en horlo- gerie.

j

Le chèque postal

D a n s l e b u t d ' é t u d i e r l e s d i v e r s a s p e c t s d e l a q u e s t i o n d e l ' i n t r o d u c t i o n e n S u i s s e d u c h è q u e e t d e s v i r e m e n t s p o s t a u x , l e d é - p a r t e m e n t f é d é r a l a d é c i d é d e r e c o u r i r à u n e c o m m i s s i o n s p é c i a l e c o m p o s é e d e M M . K œ c h l i n , c o n s e i l l e r n a t i o n a l , à B à l e ; A l f r e d F r e y , s e c r é t a i r e d e l ' U n i o n d u c o m - m e r c e e t d e l ' i n d u s t r i e , Z u r i c h ; P a c c a u d , a n c i e n d i r e c t e u r d e l a B a n q u e c a n t o n a l e v a u d o i s e , L a u s a n n e ; G e o r g , s e c r é t a i r e à l a C h a m b r e d e c o m m e r c e , G e n è v e ; F r i t z H u g u e n i n , s e c r é t a i r e d e l a C h a m b r e d e c o m m e r c e ; G h a u x - d e - F p n d s ; D i e t h e l m , G r o b , d i r e c t e u r d e â finances m u n i c i p a l e s , S t - G a l l ; G e h r i n g , s e c r é t a i r e d e l a C h a m b r e d e c o m m e r c e d e Sc>Gall ; Dr L a u r , s e c r é - t a i r e d e l ' U n i o n d e s :.pay s a n s , ; A l b - S a n d o z , i n s p e c t e u r d è s b a n q ô ë s d ' é m i s s i o n ; S t ä g e r , i n s p e c t e u r g é n é r a l d e s p o s t e s , B e r n e ; B o s s , a d j o i n t , B e r n e .

s-^ffisfB >.•-*

Procédés d'atelier

V e r n i s d ' o r p o u r l e s o b j e t s e n l a i t o n o u e n c u i v r e . Extrait des Recettes de l'électricien, de M. Hospitalier :

I. Vernis d'or pour les objets en laiton

(instruments de physique, etc.) (E. Reer). — Gomme laque en grains pulvérisée, 90 g r a m m e s : copal, 30 g r a m m e s ; sangdragon, 1 g r a m m e ; santal rouge, 1 g r a m m e ; verre pilé, 10 g r a m m e s ; alcool fort, 600 g r a m m e s . Après macération suffisante, filtrez. Le verre pilé ne sert que pour activer la dissolution en s'interposant entre les parties de gomme laque et de copal.

I I . Vernis à l'or pour cuivre ou laiton.

— Alcool à 95°, 1 litre ; gomme laque en poudre, 85 g r a m m e s .

Mettez le tout dans u n e bouteille pleine a u x trois quart au plus et bien bouchée, vous expo- serez au soleil ou dans l'étuve : vous agiterez fréquemment jusqu'à entière dissolution. Colorez au degré convenable avec roucou ou gomme-gutte.

N o u s p r i o n s i n s t a m m e n t c e u x d e n o s a b o n n é s é t r a n g e r s q u i n ' o n t p a s e n c o r e a c q u i t t é l e u r a b o n n e m e n t d e l ' a n n é e 1 9 0 2 , d e b i e n v o u l o i r l e f a i r e s a n s r e t a r d p a r m a n d a t p o s t a l , p a r c h è q u e o u e n t i m b r e s p o s t e .

L ' A d m i n i s t r a t i o n d u J o u r n a l .

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(4)

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