Vingt-huitième Année. — N 38 P r i x du n u m é r o : 10 centimes
Mercredi 14 Mai 1913 Bureaux : R u e de la S e r r e , 58
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Organe de la Chambre suisse de l'Horlogerie, des Chambres de commerce, des Bureaux de contrôle et des Syndicats professionnels.
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Bureau des Annonces: HAASENSTEIN & VOGLER, 51, rue Leopold Robert, LA CHAUX-DE-FONDS et succursales en Suisse et à l'étranger
Les affaires
La perspective de la signature prochaine de la paix et la persuasion dans laquelle sont les sphères politiques qu'aucune grave complication internationale n'est plus à craindre, font insensiblement renaître la confiance et l'état des affaires générales s'en ressent favorablement.
Toutefois il n'y a pas lieu d'espérer une importante reprise immédiate des transac- tions; et, comme nous sommes au début de la saison morte, on peut plutôt s'atten- dre a une légère amélioration, pour cer- tains pays tout au moins, alors que, d'une façon générale, un nouvel élan dans les affaires pourrait bien ne se produire qu'en automne.
• Tant d'argent a été gaspillé durant la dernière guerre et tant de ruines ont été accumulées, qu'il faudra un certain temps pour que tout rentre dans une situation normale.
Fabricants et détaillants
En causant tout récemment avec le direc- teur d'une importante fabrique, dit un ré- dacteur de la «Goldsmith Review», nous avons obtenu divers renseignements sur les difficultés que rencontrent ceux-ci dans leurs relations avec le détaillant. Ce dernier a, nous ne le contestons nullement, beau- coup d'ennuis et de soucis, et notre en- tière sympathie lui est acquise. Mais puis- qu'il s'efforce, par l'organe de ses syndi- cats, de combattre certaine catégorie de fa- bricants, il nous parait juste de transcrire ici les griefs d'un fabricant. Dans le cas présent, l'intéressé reçoit constamment de tous côtés des demandes directes pour ses marchandises. Les signataires invoquent presque invariablement comme motif à lui demandé, la difficulté qu'ils ont à se pro- curer l'article désiré dans la localité où ils habitent.
Le plus curieux de l'affaire est que la plupart des demandes proviennent de villes où ces marchandises sont régulièrement vendues.
Notre interlocuteur transmet toutes ces
lettres à son agent le plus rapproché, mais quoi de plus naturel si, devant le flot tou- jours croissant de demandes directes, le
fabricant déduit finalement que la distribu- tion de ses produits n'est pas faite comme elle devrait l'être. Le fabricant court donc le risque de voir ses marchandises remisées dans l'arrière boutique pour satisfaire ex- clusivement les clients qui, à toute force, voudront l'article.
D'un côté on lui interdit donc d'appro- cher directement le public et de l'autre, le détaillant qui devient agent distributeur, se refuse à pousser l'article.
La vente de ce produit se trouve ainsi réduite à un chiffre bien inférieur à celui qu'elle pourrait atteindre si le détaillant voulait s'en occuper sérieusement.
Nous comprenons parfaitement qu'il n'est pas possible à un détaillant de tenir toutes les marques et d'accorder à -chacune une place proéminente dans sa devanture. Mais quoi qu'il en soit, le détaillant devra de plus en plus s'efforcer de témoigner plus d'empressement et plus d'énergie à pousser les spécialités des grands fabricants s'il veut que ceux-ci continuent à remettre leur sort entre ses mains.
* * *
Cet article que «l'Horloger-Détaillant»
publie en traduction, est intéressant à plus d'un titre.
Office de renseignements et de contentieux Dans notre numéro du 1
ermars, nous avons publié un article d'un collaborateur, qui donnait la nouvelle, d'après l'organe du «Creditoren-Verein », de Pforzheim, qu'une étude très approfondie de l'organi- sation des services de contentieux et de renseignements du «Creditoren-Verein», allait être faite par le président du syndi- cat des fabricants suisses de montres or.
Celte affaire a fait un pas en avant et on envisage, à Pforzheim, que l'adhésion de la fabrique suisse d'horlogerie est acquise à l'organisme de Pforzheim. Du côté suisse, le syndicat des fabricants suisses de mon- tres or, a décidé d'ajouter cette branche d'activité à son programme et a choisi,
pour diriger le nouveau service, le secré- taire de son comité, M. P.C. Jeanneret, qui se chargeait déjà des enquêtes admi- nistratives.
Voici ce que dit le «Pforzheimer An- zeiger » dans son numéro du 25 avril écoulé ; nous résumons :
A l'assemblée générale ordinaire du «Cre- ditoren-Verein », de Pforzheim, tenue le.
24 avril écoulé, ont pris part pour la pre- mière fois des délégués de Chambres de commerce et de Syndicats de fabricants d'horlogerie de la Chaux-de-Fonds et de Bienne.
Cette première présence de ces délégués de l'horlogerie suisse, dit M. W. Stoffier, premier président du «Creditoren-Verein», dans son discours d'ouverture, a pour but d'amener un rapprochement entre les fa- bricants suisses et le «Creditoren-Verein».
Cette jonction sera, par l'adhésion corpo- rative d'environ 600 maisons suisses, un renforcement de la Société et profitable à l'industrie suisse.
Au cours d'un exposé verbal, comme complément au rapport écrit sur l'activité du «Creditoren-Verein», M. Kemmer, syn- dic, fit ressortir que les nombreux cas d'insolvabilité de maisons de commerce, les difficultés de recouvrer des créances douteuses, et les services rendus par le
«Creditoren-Verein», ont provoqué ce rap- prochement des fabriques d ' horlogerie suisses avec cette société. C'est pour ce motif que des délégués des Chambres du commerce , du Syndicat des fabricants suisses de montres or et de celui des mon- tres argent, métal et acier, de la Chaux-de- Fonds et de Bienne ont pris part à l'as- semblée.
Le «Bulletin du Creditoren-Verein»
ajoute que le lendemain a eu lieu, de 8 à 10 heures du matin, une conférence com- plémentaire entre le Comité du « Creditoren- Verein» et les délégués suisses, et que l'adhésion projetée des fabriques d'horlo- gerie suisses au « Creditoren-Verein » se fera certainement.
Nous apprenons d'autre part qu'une réu-
nion d'intéressés suisses, provoquée par le
266 LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE
syndicat des fabricants suisses de montres or, aura lien à La Ghaux-de-Fonds mer- credi 14 courant, dans le b u t de provoquer u n échange de vues sur la création projetée.
Le nouveau régime douanier aux Etats-Unis
L'entrée de la vaste république de l'Amé- rique du Nord dans le système de la réci- procité des échanges, grâce à l'énergique intervention de son président démocrate, W o o d r o w Wilson, aura une influence heu- reuse sur l'industrie européenne et sur la Suisse en particulier.
Elle aura pour conséquence d'introduire u n nouvel impôt sur le revenu p o u r tout habitant américain disposant de plus de 4000 dollars de revenu net par an ; ce pro- jet a reçu l'approbation des deux tiers des
Etats. Quant au régime douanier, c'est l'Underwood-tarif qui servira de limite ma- ximale et sur lequel le président consentira des adoucissements aux nations qui favo- riseront l'importation de produits améri- ricains.
E n sorte que nous entrons dans une nouvelle phase de l'essor américain. J u s - qu'à présent ce pays protégeait ses indus- tries par une muraille douanière. Aujour- d'hui , il abaisse le pont-levis sur les au- tres nations auxquelles il propose la réci- procité des échanges. Il y aura réduction de 5 0 % sur l'entrée du blé, des produits d u sol, de la laine et du coton, le sucre entrerait en franchise dès 1916; jusque-là il bénificierait d'une réduction de 25 po-
seraient admis en franchise : viande, farine, chaussure, charbon, fer brut, lait et crème, p o m m e de terre, sel, porc, maïs, outils aratoires, bois de construction, cuir, ma- chines à écrire et à coudre, barres d'acier, fil de fer, certaines substances chimiques telles que les acides sulfurique et acétique, borax.
Par contre ce qui intéresse spécialement notre pays, pour la broderie et les soieries, il y a peu d'espoir d'abaissement de tarif.
Le ruban de soie a été réduit de 90 à 40%, tandis que la broderie envisagée comme objet de luxe a été maintenue à 6 0 % ; la m o n t r e et ses diverses pièces a été abaissée à 3 0 % ; de même le tannin de 35 à 4 cents par livre; les produits d'aniline et dérivés, objets d'aluminium, fer et acier, machines à vapeur, fromages, (reduction à 2 0 % ) , chocolat ( 8 % ) , tricots, rideaux, schappe, tresses en paille, lait condensé (exonoré), extrait de noix de galle et éventuellement la sculture sur bois ( 1 5 % ) . Parmi les ob- jets augmentés, la parfumerie à base d'al- cool ( 6 0 % , parures, matières d'or et d'ar- gent ( 5 0 % ) . pierres précieuses ( 1 5 % ) .
Les tarifs américains
La Chambre américaine des représen- tants a voté le bill de la réforme douanière par 291 voix contre 139.
Le projet est venu devant le Sénat. La majorité démocrate du Sénat, qui était jus- qu'ici de six membres, se trouve réduite à quatre m e m b r e s par le fait que deux séna- teurs démocrates de la Louisiane ne sont pas satisfaits du nouveau chapitre des su- cres et voteront contre le projet. O n croit que le vote définitif n'aura pas lieu avant le mois d'août et que les démocrates réus- siront alors à faire adopter les tarifs mal- gré leur faible majorité.
La première discussion au Sénat a été très mouvementée.
Les empiétements des Etats-Unis d'Amérique en matière de politique de douane
— De la Schweiz. Arbeitgeber-Zeitung. — Le tarif douanier proposé par le nouveau pré- sident des Etats-Unis, Woodrow Wilson, pré- voit bien pour une grande partie d'articles des réductions importantes des droits d'entrée", mais pour d'autres, il prévoit une aggravation des rè- glements d'exécution de la loi, dans une telle mesure qu'ils doivent provoquer des protestations dans la plupart des Etats qui en seront frappés.
Déjà les dispositions actuelles sont reconnues par les maisons d'exportation travaillant avec les Etats-Unis, comme étant fort gênantes : en vue d'assurer la taxation exacte des articles, les autorités douanières exigeai la présentation de factures originales légalisées par les employés consulaires américains du lieu de provenance de la marchandise. D'après la proposition du prési- dent Wilson, cette procédure — qui a cet avan- tage pour les Etats-Unis, qu'une grande partie des traitements de ses employés consulaires est payée par les exportateurs d'autres pays sous forme de frais de légalisation — doit être modi- fiée dans ce sens que des fonctionnaires du trésor américain ( U. S. Treasury Department) fixent à l'avenir la valeur des articles expor- tés aux Etats-Unis, en prenant connaissance des livres commerciaux des exportateurs. Les commerçants et fabricants qui ne voudront pas se soumettre à cet examen de leurs livres, ne devront plus recevoir la permission d'im- porter des articles.
Cette disposition prouve le sans gène que les Yankees croient oser se permettre vis-à-vis de l'Europe. Un principe de droit international ad- mis par tous les pays cultivés, défend toute ingé- rences d'un Etat, par ses fonctionnaires, dans les affaires d'un autre état souverain ; il y a tou- tefois une exception seulement pour les organes du corps diplomatique et consulaire. Si mainte- nant le gouvernement des Etats-Unis se croit en droit de fouiller, par ses fonctionnaires, dans les livres des commerçants des places étrangères, cela est une violation des principes de droit inter- national comme on n'en peut jamais constater.
Une excuse peut être toutefois invoquée par les Américains : celle, que la tolérance discrète des Etats européens à l
?occasion d'un pareil sans gène, a fait croire qu'il leur était tout permis vis-à-vis de l'étranger. Il serait donc urgent que tous lespays européens qui prennent part au commerce d'exportation dans les Etats-
Unis mettent, par une action collective, un terme à la vanité américaine.
Une- pareille démarche est de toute urgence et nécessité, d'autant plus que la crainte de voir les fonctionnaires douaniers divulguer les con- naissances acquises par l'examen des livres de commerce des exportateurs et de nuire au com- merce européen, n'est pas à nier, en présence de la qualité morale d'une grande partie des fonctionnaires américains. Le scandale policier de New-York, découvert il y a une demi-année, a fourni la preuve que les organes de sûreté de la plupart des grandes villes américaines sont à acheter pour de l'argent, même pour la protec- tion du meurtre et de l'incendie. Le cas de ce juge du tribunal supérieur de Washington quia été destitué de ses fonctions par le Sénat, pour corruption, a montré que le dollar vaut davan- tage devant la justice du « plus libre des pays du monde» que la raison juridique la plus impor- tante. Et ce qui en est enfin dans l'administra- tion des finances et des douanes, on peut le cons- tater par la fréquence des procès disciplinaires et pénals contre des fonctionnaires indélicats qui font leur possible, en compagnie d'importateurs rusés et contre bon argent, pour frauder l'oncle Sam. N'est-il donc pas évident que des gens d'un pareil degré moral ne transmettent, contre une récompense, les renseignements trouvés dans les livres des maisons d'exportation étrangères, particulièrement la source de provenance des articles, pour l'indiquer à la concurrence améri- caine?
Vu la protection déjà difficile de notre com- merce d'exportation dans les Etats-Unis, il est du devoir du Conseil fédéral de veiller à ce que ces perspectives ne soient pas encore aggravées par des mesures vexatoires et contraires au droit international, comme le propose le gouvernement américain. Si la Suisse, à elle seule, ne peut faire que peu de chose, les Américains trouve- raient cependant plus prudent, devant une action commune de plusieurs pays intéressés, de ne pas
trop tendre la corde de la bureaucratie arbitraire et des chicanes.
* *
Le journal de Zurich, n'y va pas de main morte en signalant, sans aucunjména- gement, ce qu'aurait d'insolite l'intrusion de fonctionnaires américains dans les livres des commerçants et fabricants qui expor- tent leurs produits aux Etats-Unis.
Ces mille difficultés de détail dont ont à souffrir les maisons étrangères qui traitent des affaires avec les Etats-Unis, sont une des raisons de la réserve dans laquelle se tient l'industrie européenne, en ce qui concerne sa participation à l'Exposition universelle et internationale de San Fran- cisco, en 1915.
La Californie et les Jaunes
M. Bryan a adressé une longue dépêche au gouverneur de Californie, dans laquelle il le prie d'ajourner la signature du bill sur les droits accordés aux étrangers de possé- der des terres.
Le bilan des syndicats socialistes allemands
• La commission générale des syndicats socia- listes allemands a publié son bilan pour l'exer- cice 1912.
Les recettes s'élèvent à 879,000 marks. Envi- ron 168,000 marks furent dépensés pour l'orga- nisation de l'agitation socialiste, 5,400 pour les congrès et conférences, 38,000 pour les frais d'administration, 33,000 pour les cours d'instruc- tion, 108,000 pour les trois journaux publiés par la commission des syndicats, 20,000 pour !e se- crétariat central, 21,000 pour le département de politique sociale.
Le capital de réserve se compose de 304,000 marks de dépôts en banque et 72,000 marks de
valeurs. __,.._
La fortune de la commission générale est indé- pendante de celle des syndicats qui est dans son ensemble de beaucoup plus considérable.
Le compte d'Etat de la Confédération
Le compte d'Etat fédéral de 1912 accuse un excédent de recettes de 1.406.000 fr., nu lieu du déficit de 5.740.000 fr. qui était prévu. En réalité, les Chambres ayant voté 7.483.000 fr. de crédits supplémentaires, le boni de l'exercice s'élève à 14.530.000 fr.
Ce résultat exceptionnellement favorable est dû en première ligne à des plus-values (total 10.
399.000 fr.), en second lieu à des économies (4.536.000 fr.).
La principale plus-value, qui se monte à 7.205.
000 fr., est donnée par l'administration des douanes; le rapport du Conseil fédéral montre, par l'exemple des premiers mois de l'exercice 1913, qu'elle est due à des causes exceptionnelles, et qu'il faut se garder d'en tirer des conclusions trop favorables. Au contraire, le Conseil fédéral déclare qu'il convient de laisser ouverte la ques- tion de la création de nouvelles ressources. Les autres plus-values importantes sont celles de l'administration des postes (2.422.000 fr.) et du département militaire (439.000 fr.).
L'économie la plus importante (1.828.000 fr.) a été faite par le département militaire; M. Hoff- mann réalise ainsi un programme d'économies ' qu'il s'est tracé, mais qui ne laisse pas que de
provoquer certaines critiques. Il faut espérer cependant que l'honorable chef du Département aura tenu compte d'une situation internationale exceptionnelle.
D'autre part la direction des constructions fédé- rales a économisé 1.411.000 francs et l'adminis- tration des douanes 427.000 francs.
La seule rubrique qui donne lieu à unemoins- value est celle des revenus des capitaux de la Confédération, qui ont rapporté 385.000 francs de moins qu'il était prévu.
Le compte-capital qui accuse un solde actif de 8.624.000 francs, est en augmentation de 1.489.
000 francs. Mais la majeure partie de cette aug-
mentation porte sur des objets improductifs, tan-
dis que les capitaux disponibles ont subi une
LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE 267
forte diminution ; le portefeuille général est des- cendu en effet de -24.929,000 francs à 8.861.000 . fr., ce qui est dû à des dépenses extraordinaires
effectuées sur le compte-capital.
Registre du commerce
Enregistrements :
25 mars 1913. — Grosjean, Marcel, domicilié à Territet, possède un nouveau magasin de bijouterie, horlogerieet orfèvrerie, à Lausanne, .- , rue du Grand Pont, 6.
VIO avril 1913. — Clusette, S. A., société anony- me qui a pour but la fabrication, la frappe et l'ornementation des boites de montres et objets en tous genres et en tous m é t a u x , et toute opération financière et industrielle se rappor- tant directement à sa propre exploitation ou pouvant contribuer à la développer. Usines à Noir aiguë.
14 avril 1913. — Uhren und Schraubenarbei- terçerein Solothurn und Umgebung, So- leure. . )
16 avril 1913. — Fabrique de cadrans métal- liques S. A., société par actions, ayant pour but l'acquisition et la continuation de la société en nom collectif « Kohly & Etienne» ; rue Neu- ve, 9, Bïenne.
21 avril 1913. — Herrn. Jensen, horlogerie et objets d'or, Bleicherweg 39, Zurich II.
23 avril 1913. — La société en nom collectif « L.
Lœske», (siège social à Berlin) a constitué une succursale à Soleure, Vogelherdslrasse 514; fabrication d'horlogerie.
25 avril 1913. — Tissot & O , société en nom collectif; outils et fournitures d'horlogerie en gros, rue Alexis-Marie Piaget, 32, La Chaux- de-Ponds.
Changements:
12 avril 1913. — La société en commandite Gh.
Monnier & C°, est dissoute. L'actif et le passif sont repris p a r Ch. Monnier, fabrication de
boîtes argent et galonné, acier et métal ; achat et fonte de déchets d'or et d'argent, Trame- lan-dessous.
2 mai 1913. — La raison H, Kaufmann, Genève, est radiée. L'actif et le passif sont repris par la société en n o m collectif Kaufmann & O , fabrication de bijouterie et joaillerie, 104, r u e de St-Jean, Genève,
Radiations :
4 avril 1913. — Gottlieb Gyger, fabrication et commerce d'horlogerie, Bienne.
15 avril 1913. — F. Vare fils X, fabrication d'horlogerie, Courgenay.
15 avril 1913. — A. Villard, fabrication d'hor- logerie, Gornol.
15 avril 1913. — Jos. Petignat-Bouele, fabrica- tion d'horlogerie, Courgenay.
19 avril 1913. — Frédéric Bétrix, fabrication d'horlogerie, Le Locle.
24 avril 1913. — Vincenzo Bobecchi, fabrication d'horlogerie, Granges.
26 avril 1913. — Isely-Girard & Fils, fabrica- tion, achat et vente d'horlogerie, Le Locle.
29 avril 1913. — Bourquin et Jaquet, fabrica- tion de bijouterie, médailles frappées etpeinles, décoration de boites de montres, Genève.
Faillite:
21 avril 1913. — Vincenzo Bobecchi, fabrication d'horlogerie, Granges.
Cote de l ' a r g e n t
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en chaînes d'or et bijouterie, du sud de l'Italie, cherche bonne fabrique à représenter.
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L e s B r e u l e u x 1872
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connaissaut à fond pivotage et fonctions. Quelques années de pratique et connaissances théoriques sont exigées. Place d'avenir pour personne sé- rieuse. Inutile de se présenter sans de bonnes références.
Fabrique d'horlogerie deman de pour époque à convenir un
V i s i t e u r - a c h e v e u r connaissant.la grande pièce ancre et retouches de réglages plats. Inutile de faire des offres sans preuves de capacité.
S'adresser sous chiffres H 1 5 3 4 8 C à H a a s e n s t e i n &
V o g l e r , La Chaux-de-Fonds. 1840
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d e m o n t r e s s a v . R o s k o p f à s e c o n d e s s o n t p r i é s d e f a i r e l e u r s offres s. c h i f f r e s H 2 1 6 2 4 C à H a a s e n s t e i n
& V o g l e r , L a C h a u x - d e - F o n d s . . V 1881
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18 ans, ayant terminé son ap- prentissage dans maison de la Chaux-de-Fonds et connais- sant un peu l'allemançT;'..
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