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L54 [V2-VàC] – Techniques de calcul d’intégrales

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(1)

9

Techniques de calcul d’intégrales

54

Leçon

Niveau Terminale S - BTS

Prérequis intégrales, accroissements finis, primitives, propriétés sur l’intégrale,

trigonomé-trie, fonction polynôme, fonction exponentielle

Références [152], [153], [154], [155], [156]

54.1

Sommes de Riemann

Soit f une application continue définie sur un segment[a, b] et à valeurs dans R, σ = (ai)1≤i≤n

est une subdivision de[a, b] (c’est-à-dire a = a0< a1 <· · · < an= b), h est le pas de la subdivision

σ (h= max(ai+1− ai)) et pour tout 0 ≤ i ≤ n − 1, ξi ∈ [ai, ai+1].

Définition 54.1 — Somme de Riemann. On appelle somme de Riemann associée à(f, σ, (ξi)0≤i≤n)

le réel : nX−1 i=0 (ai+1− ai)f(ξi). Théorème 54.2 lim h→0 nX−1 i=0 (ai+1− ai)(ξi) = Z b a f(x) dx. Dv

• Démonstration — Montrons que la différence suivante peut être rendue aussi petite que voulue : Z b a f(x) dx − nX−1 i=0 (ai+1− ai)f(ξi) = nX−1 i=0 Z ai+1 ai f(x) dx − (ai+1− ai)f(ξi)  = nX−1 i=0 Z ai+1 ai (f(x) − f(ξi))  . En passant aux valeurs absolues, on a la majoration suivante :

Z b a f(x) dx − n−1 X i=0 (ai+1− ai)f(ξi) ≤ nX−1 i=0 Z ai+1 ai |f(x) − f(ξi)| dx  .

Or, du théorème de Heine appliqué à f continue sur le segment[a, b], on déduit f uniformé-ment continue sur[a, b] (et donc aussi sur chaque [ai+1, ai], c’est-à-dire :

(2)

Pour une subdivision σ de pas h tel que0 < h < η, on aura :

∀x ∈ [ai, ai+1], |x − ξi| ≤ ai+1− ai≤ h < η.

Ce qui entraînera :

|f(x) − f(ξi)| ≤ ε.

Dans ces conditions, on peut écrire : Z b a f(x) dx − n−1 X i=0 (ai+1− ai)f(ξi) ≤ n−1 X i=0 Z ai+1 ai εdx  = n−1 X i=0 ε(ai+1− ai) = ε(b − a).

Ceci prouve bien que : lim h→0 nX−1 i=0 (ai+1− ai)f(ξi) = Z b a f(x) dx.

Toute intégrale est donc une limite de somme de Riemann. •

R 54.3 Le résultat ci-dessus reste valable si f est continue par morceaux. Il suffit de refaire la même démonstration

avec des subdivisions adaptées à f.

Proposition 54.4— Cas particulier d’une subdivision régulière. Pour n ∈ N, on particularise ai = a+ ib−an et ξi = ai(donc h= b−an ). On a alors :

ai+1− ai = b− a n . D’où : lim n→+∞ b− a n nX−1 i=0 f  a+ ib− a n  =Z b a f(x) dx.

Proposition 54.5 — Cas particulier des fonctions définies sur [0 , 1]. La formule ci-dessous devient alors : lim n→+∞ 1 n nX−1 i=0 f i n  =Z b a f(x) dx Exemple 54.6 On veut étudier la limite de la somme :

n X i=1

1 n+ i. On considère l’application f définie sur[0, 1] par f(x) = 1

1+x. On a alors : lim n→+∞ 1 n n X i=1 1 1 + i n =Z 1 0 1 1 + xdx lim n→+∞ n X i=1 1 n+ i = ln 2. 

(3)

54.2 Intégration par primitives 11

54.2

Intégration par primitives

Théorème 54.7— Théorème fondamental du calcul intégral. Soit f une fonction continue sur un intervalle I. Soit x0 ∈ I. La fonction F définie sur I par :

F(x) =

Z x x0

f(t) dt

est l’unique primitive de f sur I s’annulant en x0. Autrement dit : F(x0) = 0, F est dérivable sur I

et pour tout réel x ∈ I, F0(x) = f(x).

Dv

•Démonstration —Soit x0∈ I. Nous allons montrer que l’accroissement moyenF(x)−F (xx−x1 1)

admet une limite lorsque x tend vers xiet que cette limite est précisément f(x1). Évaluons :

F(x) − F(xx− x1 i)− f(x1) = |x − x1 1| Z x x0 f(t) dt − Z x1 x0 f(t) dt − (x − x1)f(x1) . En utilisant la relation de Chasles et la formule d’intégration pour une fonction constante, on peut écrire : F(x) − F(xx− x1 1)− f(x1) =|x − x1 1| Z x x1 f(t) dt − Z x x1 f(x1) dt . Mais d’après la propriété de compatibilité avec l’addition :

Z x x1 f(t) dt − Z x x1 f(x1) dt = Z x x1 (f(t) − f(x1)) dt D’où : F(x) − F(xx− x1 1)− f(x1) ≤ |x − x1 1| Z x x1 |f(t) − f(x1)| dt.

Or, f est continue en x1 donc admet une limite finie en x1. Cela signifie que tout intervalle

ouvert f(x1) contient toutes les valeurs de f(t) pour t assez proche de x1.

Soit ε ∈ R

+ et I]f(x1) − ε , f(x1) + ε[. Alors, il existe un réel η tel que pour tout t ∈

]x1− η , x1+ η[, on ait : f(t) ∈ ]f(x1) − ε , f(x1) + ε[. D’où : F(x) − F(xx− x1 1)− f(x1) ≤ ε. Comme ε peut être choisi aussi petit que voulu, on a bien :

lim

x→x1

F(x) − F(x1)

x− x1 = f(x1).

Donc F est dérivable en x1, et F(x1) = f(x1). Et comme ce raisonnement est valable pour

tout x1∈ I, F est bien une primitive de f sur I.

(4)

Corollaire 54.8 — Existence de primitives pour les fonctions continues. Toute fonction continue sur un intervalle I admet des primitives sur I.

Corollaire 54.9 — Formule de Newton-Leibniz. Soit f une fonction continue sur un intervalle I et F une primitive de f sur I. Alors pour tous a et b dans I :

Z b

a f(t) dt = F (b) − F(a).

Dv

•Démonstration —Soit x0∈ I et G la primitive de f définie par :

G(x) =Z x

a

f(t) dt.

On sait que deux primitives F et G diffèrent d’une constante. Donc il existe un réel k tel que pour tout : F(x) = G(x) + k. On a alors : F(b) − F(a) = G(b) − G(a) = Z b a f(t) dt. • R 54.10 La quantité F(b) − F(a) se note souvent [F(t)]ba.

Exemples 54.11 1. Z 1 0 e tdt =heti1 0 = e − 1. 2. Z 1 0 x n= " xn+1 n+ 1 #1 0 = 1 n+ 1. 3. Z e 2 1 xln xdt = Z e 2 1/x ln xdt = [ln(ln(t))]e2 = − ln(ln(2)).  R 54.12 Le choix de la primitive F choisie n’influe pas le résultat de l’intégrale. En effet, si F et G sont deux

primitives d’une même fonction f sur I, alors elles différent d’une constante. Les quantités F(b) − F(a) et G(b) − G(a) sont donc égales.

Théorème 54.13— Inégalité des accroissements finis. Soit f une fonction dérivable sur un intervalle I telle que f0 soit continue sur I. S’il existe un réel M tel que |f0| ≤ M sur I alors : pour tous réels aet b de I, on a : |f(b) − f(a)| ≤ M |b − a|.

(5)

54.3 Intégration par parties 13 •Démonstration —Pour a < b, on a : |f(b) − f(a)| = Z b a f0(t) dt ≤ Z b a |f 0(t)| dt ≤ M(b − a) ≤ M |b − a| . Pour a > b, ona : |f(b) − f(a)| = Z a b f0(t) dt ≤ Z a b |f 0(t)| dt ≤ M(a − b) ≤ M |b − a| .

54.3

Intégration par parties

Définition 54.14 — Classe C1. On dit qu’une fonction est de classe C1 sur un intervalle I si elle est

dérivable sur I et si sa dérivée f0est continue sur I.

Théorème 54.15 Soient u et v deux fonctions de classe C1sur[a , b], alors :

Z b a u(t)v0(t) dt = [u(t)v(t)]ba Z b a u0(t)v(t) dt. Dv

•Démonstration du théorème54.15—On sait que pour tout t ∈ [a , b] :

(uv)0(t) = u0(t)v(t) + u(t)v0(t). En intégrant de a à b : Z b a (u(t)v(t))0dt =Z b a u0(t)v(t) + u0(t)v0(t) dt et d’après la linéarité de l’intégrale :

Z b a (u(t)v(t)0) dt =Z b a u0(t)v(t) dt + Z b a u(t)v0(t) dt [u(t)v(t)]b a= Z b a u0(t)v(t) dt + Z b a u(t)v0(t) dt. D’où le théorème. •

Méthode 54.16 Pour intégrer par parties, il faut

— reconnaître, dans la fonction à intégrer, le produit d’une fonction u et d’une fonction dérivée v0;

— appliquer la formule d’intégration par parties.

Exemples 54.17 1. Soit à calculer :

I =

Z 1 0 te

(6)

On pose u(t) = t et v0(t) = et. D’où u0(t) = 1 et v(t) = et(à une constante près) et ainsi : I =hteti1 0− Z 1 0 e tdt = e − (e − 1) = 1. 2. Soit à calculer : J(x) = Z x 1 ln t dt.

On pose u(t) = ln(t) et v0(t) = 1. D’où u0(t) = 1

t et v(t) = t (à une constante près) et ainsi :

J(x) = [t ln t]x1

Z x

1 dt = x ln x − (x − 1) = x ln x − x + 1.



54.4

Intégration par changement de variables

Théorème 54.18 Soit ϕ une fonction de classe C1 sur[a , b], dont les valeurs sont dans R. Alors :

Z b a f(ϕ(t))ϕ0(t) dt = Z ϕ(b) ϕ(a) f(u) du. La démonstration est hors programme du BTS et admise.

R 54.19 DansRϕϕ(a)(b)f(u) du, on pose u = ϕ(t) (changement de variable qu’on donne ou qu’on doit trouver). Si tvaut a (resp. b) alors u vaut ϕ(a) (resp. ϕ(b)), ce qui conduit à changer les bornes de l’intégrale. Ensuite

du

dt = ϕ0(t), ou encore (bien que cette écriture soit formellement incorrecte au niveau BTS), du = ϕ0(t) dt,

que l’on remplace dans l’intégrale.

Dv

• Démonstration (hors programme) —Posons H(x) = Rαxf(u) du où α et x sont deux éléments de I. La fonction f est continue sur I, donc la fonction H est dérivable sur I, on a H0(x) = f(x) pour tout x ∈ I. On a : Z ϕ(b) ϕ(a) f(u) du = Z α ϕ(a) f(u) du + Z ϕ(b) α f(u) du = − Z ϕ(a) α f(u) du + Z ϕ(b) α f(u) du soit : Z ϕ(b) ϕ(a)

f(u) du = −H(ϕ(a)) + H(ϕ(b)) = −(H ◦ ϕ)(a) + (H ◦ ϕ)(b). Posons K= H ◦ g, nous obtenons :

Z ϕ(b) ϕ(a)

f(u) du = K(b) − K(a).

Comme la fonction ϕ est de classe C1sur l’intervalle[a, b] et puisque H est dérivable sur I,

la fonction composée K est dérivable sur[a , b] et on a :

(7)

54.4 Intégration par changement de variables 15 Par conséquent, la fonction K est une primitive sur[a, b] de la fonction (f ◦ ϕ)ϕ0.

De plus, les fonctions ϕ et ϕ0 sont continues sur[a, b] et la fonction f étant continue sur I

alors la fonction K0est continue sur[a, b] et on a :

K(b) − K(a) = Z b a f(ϕ(t))ϕ0(t) soit encore : Z ϕ(b) ϕ(a) f(u) du = Z b a f(ϕ0(t))ϕ(t) dt. • Exemples 54.20 1. Soit à calculer

I =

Z 1 0

1

t2+ t + 1dt. On met t2+ t + 1 sous la forme canonique :

t2+ t + 1 = 3 4 "2t √3 +√31 2 + 1 # . Ainsi I = Z 1 0 1 t2+ t + 1 = Z 1 0 4 3(2t 1 √3 +√31 )2+ 1dt = 4 3 Z √3 1/√3u21+ 1 √3 2 du, en posant u= 2t √3+√31 , d’oùdu = √32 dt U = √3 [arctan(u)]2 √31/√3 = √32 π 3 − π 6  = π√3 9 .

2. Soit f une fonction T -périodique. Alors l’intégrale de f sur une période est constante ; par exemple : Z T 0 f(t) dt = Z T /2 0 f(t) dt + Z T T /2 f(t) dt par la relation de Chasles

=Z T /2 0 f(t) dt + Z 0 −T /2f(u + T ) du en posant u= t − T =Z 0 −T /2f(u) du + Z T /2 0 f(t) dt car f(u + T ) = f(u) =Z T /2 −T /2f(t) dt. 

(8)

Exercice 54.21 — Intégrale de Wallis. Il s’agit, pour n ∈ N, des intégrales suivantes : In= Z π/2 0 (cos t) ndt, J n= Z π/2 0 (sin t) ndt, K n= Z 1 −1(1 − t 2)ndt, L n= Z 1 −1(t 2− 1)ndt.

1. On va calculer Ingrâce à une intégration par parties. On a immédiatement :

I0 = π2 et I1=

Z π/2

0 cos t dt = 1.

Pour tout n ≥ 0, on a, par intégration par parties [u(t) = (cos t)n+1et v0(t) = cos t] In+2=

Z π/2

0 (cos t)

n+1cos t dt =h(cos t)n+1sin tit

0+ (n + 1) Z π/2 0 (cos t) n(sin t)2dt In+2= (n + 1)(In− In+2) ⇔ In+2= n+ 1 n+ 2In ou encore In= n− 1 n In−2 pour tout n ≥ 2. On en déduit immédiatement : I2 = 1 2I0= π 4, I3 = 2 3I1 = 2 3, I4= 3 4I2= 16. Ainsi, on peut en déduire une formule générale :

— Si n pair(n = 2p) I2p= 2p − 12p ×2p − 32p − 2 × · · · ×12I0= 22p+1(2p)!π(p!)2 = 2p p  π 22p+1. — Si n impair(n = 2p + 1) : I2p+1= 2p + 1 ×2p 2p − 22p − 1 × · · · ×23I1= 2 2p(p!)2 (2p + 1)!. 2. On calcule Jnen se ramenant à In. En posant u= π2 − t, on obtient :

Jn= Z π/2 0 (sin t) ndt =Z 0 −π/2  sinπ2 −u n (− du) =Z π/2 0 (cos u) ndu = I n.

3. On calcule Knen se ramenant à I2n+1. On pose u= arcsin t (t 7→ arcsin t est une bijection

de[−1 , 1] dans [−π 2 2]). On a donc t = sin u. Kn= Z 1 −1(1 − t 2)ndt =Z π/2 −π/2(cos u) 2ncos u du = 2I 2n+1= 2 2n+1(n!)2 (2n + 1)! . 4. On calcule Lnen se ramenant à Kn. Ln= Z 1 −1(t 2− 1)ndt = (−1)nK n= (−1) n22n+1(n!)2 (2n + 1)! . 

(9)

54.5 Intégration de fractions rationnelles 17

54.5

Intégration de fractions rationnelles

Exercice 54.22 1. Déterminer les réels a, b et c tels que, pour tout x ∈ R \ {−1, 1} :

2x2− 4 (x − 1)(x + 1)2 = a x− 1+ b x+ 1+ c (x + 1)2

2. (a) En déduire sur]1 , +∞[ une primitive F1de la fonction f définie par : f(x) = 2x

2− 4

(x − 1)(x + 1)2.

(b) Déterminer une primitive F2de f sur l’intervalle]−1 , 1[ puis une primitive F3sur

l’inter-valle]−∞ , 1[.

3. Calculer la valeur exacte de

I =

Z −2

−4

2x2− 4

(x − 1)(x + 1)2dx

puis la valeur décimale approchée de1 à 10−2près par défaut.

 Dv •Correction de l’exercice — 1. a x− 1+ b x+ 1+ c (x + 1)2 =a(x + 1) 2+ b(x − 1)(x + 1) + c(x − 1) (x − 1)(x + 1)2 =a(x2+ 2x + 1) + b(x2− 1) + cx − c (x − 1)(x + 1)2 =(a + b)x2+ (2a + c)x + a − b − c (x − 1)(x + 1)2 = 2x2− 4 (x − 1)(x + 1)2.

L’égalité est vérifiée pour tout x ∈ R\{−1, 1}, la comparaison des coefficients respectifs

donne :     a+ b = 2 2a + c = 0 a− b − c = −4

On exprime, à l’aide des deux premières équations, b et c en fonction de a et l’on reporte les expressions trouvées dans la troisième équation b= 2 − a et c = −2a :

a− (2 − a) − (−2a) = −4 ⇔ 4a = −2 ⇔ a = −1 2. On en tire b= 2 +1 2 = 52et c= −2 −12 = 1. Ainsi, a= −1 2, b= 5 2, c= 1.

(10)

2. (a) On peut écrire, en utilisant les résultats de la première question : f(x) = 1 2 ×x− 11 + 5 2 ×x− 11 + 5 2 ×x+ 11 + 1 (x + 1)2.

Sur l’intervalle]1 , +∞[, x − 1 > 0 et x + 1 > 0. On en reconnaît dans les deux premiers quotients la forme u0

u avec u >0. Le troisième quotient est de la forme u0

u2.

Une primitive F1de f sur l’intervalle]1 , +∞[ est :

F1(x) = −12ln(x − 1) +52ln(x + 1) − 1

x+ 1. (b) Dans le cas général x 7→ ln |u| est une primitive de x 7→u0

u si u 6= 0.

F(x) = −12ln |x − 1| +52ln |x + 1| − 1 x+ 1.

Si u <0, ln |u| = ln(−u), on applique cette règle pour le calcul des primitives F de f : sur l’intervalle]−1 , 1[, x − 1 < 0 et x + 1 > 0 : F2(x) = −12ln(−x + 1) +52ln(x + 1) − 1 x+ 1, sur l’intervalle]−∞ , −1[, x − 1 < 0 et x + 1 < 0 : F3(x) = −12ln(−x + 1) +52ln(−x − 1) −x1 − 1.

3. L’intervalle[−4 , −2] est inclus dans l’intervalle ]−∞ , 1[. On utilise, pour primitive de f, la fonction F3. I= F3(−2) + F3(−4) =  −12ln 3 +52ln 1 − 1 −1  −  −12ln 5 + 52ln 3 − 1 −3  = −12ln 3 + 1 +12ln 5 −52ln 3 − 13 = 12ln 5 − 3 ln 3 + 23. La calculatrice donne I ≈ −1,824451, ce qui signifie −1,83 ≤ I ≤ −1,82. La valeur décimale approchée par défaut de I à10−2près est : I ≈ −1,83.

54.6

Calcul approché de l’intégrale

Dans cette section, on ne travaillera qu’avec des fonctions monotones (croissantes). Si la fonction n’est pas monotone, il suffit de subdiviser l’intervalle I.

54.6.1 Méthode des rectangles à gauche

On subdivise[a, b] en n intervalles de longueur b−a

n . On construit(xi)0≤i≤navec xi = a + ib−an .

Soit Rkl’aire de AkBkBk+1Ak+1. Soit :

ARn= nX−1 k=0 Rk= b− a n nX−1 k=0 f(xk).

(11)

54.7 Autres calculs de primitives 19

0 x0= a x1 · · · xi xi+1 · · · xn= b

R 54.23

1. Si f est croissante, c’est une approximation par défaut et si f est décroissante, c’est une approximation par excès.

2. La méthode des rectangles à gauche fait penser aux sommes de Riemann vue en début de leçon.

54.6.2 Méthode des trapèzes

On construit(xi)1≤i≤n, xi = a + ib−an . Soit Tkl’aire du trapèze AkBkBk+1Ak+1et

ATn= nX−1 =0 T=b− a n f(a) + f(b) 2 + nX−1 i=1 f(xi). !

R 54.24Plus rapide en termes de convergence par rapport à n mais on ne peut pas savoir si c’est une approximation

par excès ou par défaut.

54.7

Autres calculs de primitives

Exemple 54.25 On veut calculer :

F =

Z

(t2+ 2t)eλtdt

où λ est un nombre réel non nul.

Puisque la fonction x 7→ x2+ 2x est une fonction polynôme, cherchons F sous la forme F (x) = P(x) exp(λx), où P est une fonction polynôme de la forme x 7→ ax2 + bx + c. On doit avoir quel que soit x :

(12)

c’est-à-dire

x2= 2x = P0(x) + λP (x) = (2ax + b) + λ(ax2+ bx + c) = λax2+ (2a + λb)x + b + λc.

Les coefficients a, b et c sont solutions du système d’équations linéaires :

       λa= 1 2a + λb = 2 b+ λc = 0 d’où       a= λ1 b= 2(λ−1)λ2 c= 2(1−λ)λ3 . Il vient donc F(x) = 1 λx 2+ 2λ− 1 λ2 x+ 2 1 − λ λ3  exp(λx).  Exemple 54.26 On veut calculer Z

(sin t)4dt.

Nous avons l’identité :

8(sin x)4 = cos 4x − 4 cos 2x + 3. Il vient donc :

Z

(sin t)4dt = 1

8

Z

cos(4t) dt −21Z cos 2t dt +38Z dt = 321 sin 4x −14sin 2x +38x.

(13)

Bibliographie

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[11] M. LENZEN, Leçon no3 : Coefficients binomiaux, dénombrement des combinaisons, formule

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[13] G. COSTANTINI, Loi binomiale, URL :http://bacamaths.net

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