9
Problèmes conduisant à l’étude de
suites
44
Leçon
n°
Niveau Terminale S - BTS Prérequis suites, probabilités Références [137], [138], [140]
44.1
Suites de carrés
Exemple 44.1 On considère un carré ABCD de côté c= 4. On appelle A1, B1, C1et D1les points situés sur[AB], [BC], [CD], [DA] à distance 1 de A, B, C, D.
A B C D B1 D1 A1 C1
Dv 1. On justifie que A1B1C1D1est un carré. Les triangles AA1D1, BB1A1, CC1B1 et
DD1C1sont des triangles isométriques puisqu’ils ont chacun un angle droit compris entre deux côtés de longueurs respectives1 et 3. On en déduit que A1B1 = B1C1 = C1D1 =
D1A1. A1B1C1D1 est donc un quadrilatère ayant quatre côtés de même longueur, c’est un losange. De plus, on a : \ AA1D1+ \D1A1B1+ \B1A1B= π. Donc \ D1A1B1 = π − \AA1D1+ \B1A1B.
Comme les triangles AA1D1, BB1A1, CC1B1et DD1C1sont isométriques et rectangles, on a : \ AA1D1+ \B1A1B = \AA1D1+ \A1D1A= π 2. On en déduit que \ D1A1B1= π2. Donc A1B1C1D1est un carré.
2. On appelle A2, B2, C2et D2les points situés respectivement sur[A1B1], [B1C1], [C1D1], [D1A1] à la distance 1 de A1, B1, C1, D1. On montre que A2B2C2D2 est un carré.
Les triangles A1A2D2, B1B2A2, C1C2B2 et D1D2C2 sont des triangles isométriques puisqu’ils ont chacun un angle droit compris entre deux côtés de longueurs respectives égales. A B C D B1 D1 A1 C1 A2 B2 C2 D2
On en déduit que A2B2 = B2C2 = C2D2 = D2A2. A2B2C2D2 est donc un quadrilatère ayant quatre côtés de même longueur, c’est un losange. De plus, on a :
\
A1A2D2+ \D2A2B2+ \B2A2B1= π. Donc
\
D2A2B2= π − \A1a2D2+ \B2A2B1.
Comme les triangles A1A2D2, B1B2A2, C1C2B2 et D1D2C2 sont isométriques et rec-tangles, on a :
\
A1A2D2+ \B2A2B1= \A1A2D2+ \A2D2A1 = π2. On en déduit que \D2A2B2 = π2. Donc A2B2C2D2 est un carré.
3. On peut montrer que même, que si on réitère le procédé, on obtient que A2B2C2D2,
A3B3C3D3, A4B4C4D4sont des carrés.
4. On note a0, a1, a2, a3, a4, a5 et c0, c1, c2, c3, c4, c5 les aires et les longueurs des carrés
ABCD, A1B1C1D1, A2B2C2D2, A3B3C3D3, A4B4C4D4 et A5B5C5D5. On montre que les suites(ak)0≤k≤5et(ck)0≤k≤5sont décroissantes. Le carré A5B5C5D5est contenu
dans le carré A4B4C4D4, lui même contenu dans le carré A3B3C3D3, lui-même contenu dans le carré A2B2C2D2, lui-même contenu dans le carré A1B1C1D1, lui-même contenu dans le carré ABCD. On a donc
a5≤ a4 ≤ a3≤ a2 ≤ a1 ≤ a0.
On sait de plus que le côté d’un carré est égal à la racine carré de son aire. La fonction racine carrée étant croissante sur[0 , +∞[, on en déduit que :
c5≤ c4≤ c3≤ c2≤ c1≤ c0.
44.1 Suites de carrés 11
5. On calcule les valeurs de a0, a1, a2, a3, a4, a5et c0, c1, c2, c3, c4, c5. On sait que c0 = 4 donc a0 = 16. L’utilisation du théorème de Pythagore dans le triangle A1Bb1 permet d’obtenir :
(A1B1)2 = A1B2+ BB12 = 32+ 12 = 10 donc a1 = 10 et c1=√10 ' 3, 162. L’utilisation du théorème de Pythagore dans le triangle A2B1B2permet d’obtenir :
(A2B2)2 = (A2B1)2+ (B1B2)2 = (√10 − 1)2+ 12 = 12 − 2√10 donc
a2 = 12 − 2√10 ' 5, 675 et c2=
q
12 − 2√10 ' 2, 382. En réitérant les calculs, on obtient :
a0 = 16, a1= 10, a2 = 10 − 2√10 ≈ 5, 675, a3 ≈ 2, 911, a4= 1, 499, a5 = 1, 050 et c0= 4, c1=√10 ≈ 3, 162, c2 = q 12 − 2√10 ≈ 2, 382 c3≈ 1, 706, c4≈ 1, 224, c5 ≈ 1, 025.
L’aire A du carré peut s’obtenir à partir de l’aire a du carré précédent par le calcul : A= (√a − 1)2+ 1.
On peut ainsi obtenir avec une calculatrice les aires successives des carrés. Avec la calcu-latrice TI82, on pourra faire :
16 -> A
(V^A-1)^2 + 1 -> A
où -> peut s’obtenir en tapant la touche STO> et V^ est la racine carrée. Il suffit ensuite de appuyer sur la touche ENTER pour obtenir les valeurs approchées successives de l’aire.
> 16 -> A 16 > (V^A-1)^2 + 1 -> A 10 5.6754468 2.910806318 1.498589257
Le côté C d’un carré peut s’obtenir à partir de l’aire c du carré précédent par le calcul C=q(c − 1)2+ 12.
4 -> C
V^((C-1)^2 + 1) -> C
Il suffit ensuite de appuyer sur la touche ENTER pour obtenir les valeurs approchées successives du côté : > 4 -> C 4 > V^((C-1)^2 + 1) -> C 3.16227766 2.382319181 1.706108531 1.224168802
6. On donne un algorithme sur Algobox qui permet d’obtenir les valeurs de anet cnpour un
nquelconque.
VARIABLES
etape EST_DU_TYPE NOMBRE C EST_DU_TYPE NOMBRE
DEBUT_ALGORITHME
LIRE etape
C PREND_LA_VALEUR 4
TANT_QUE (etape>0) FAIRE
DEBUT_TANT_QUE
etape PREND_LA_VALEUR etape-1
C PREND_LA_VALEUR sqrt((C-1)*(C-1)+1)
FIN_TANT_QUE
AFFICHER C
FIN_ALGORITHME
On donne un algorithme sur TI82 qui permet d’obtenir les valeurs de anet cnpour un n
quelconque. Input N 4 -> C While N>0 V^((C-1)^2+1)-> C N-1 -> N End Disp "COTE ", C
Si on réitère le procédé, il semble que l’on s’apporche de plus en plus d’un carré « fixe » de côté1.
44.2
Intérêts composés
Exemple 44.2 Une personne a placé sur un compte le 1er janvier 2005 un capital de 10000 e.
Ce compte produit des intérêts de 4% par an. Chaque année, les intérêts sont ajoutés au capital et deviennent à leur tour générateurs d’intérêts. Pour n entier naturel, on appelle Cn le capital du 1er
44.2 Intérêts composés 13
janvier de l’année2005 + n. On a ainsi C0 = 10000.
Dv 1. On détermine C1et C2. Chaque année le capital génère des intérêts de 4%. Rajouter
4% revient à multiplier par :
1 + 4% = 1 + 1004 = 1, 04. On a donc :
C1 = C0× 1, 04 = 10000 × 1, 04 = 10400 C2 = C1× 1, 04 = 10400 × 1, 04 = 10816.
2. On exprime Cn+1en fonction de Cn et on en déduit une valeur approchée de C10. Cn+1
est le capital au 1er janvier de l’année2005 + n + 1. Il est obtenu en rajoutant 4% à Cn,
capital au 1er janvier de l’année2005 + n. On a donc : Cn+1 = Cn× 1, 04. On obtient alors C3= C2× 1, 04 = 10816 × 1, 04 = 11248, 64 C4= C3× 1, 04 = 11248, 64 × 1, 04 ≈ 11698, 59 C5= C4× 1, 04 ≈ 11698, 59 × 1, 04 ≈ 12166, 53 C6= C5× 1, 04 ≈ 12166, 53 × 1, 04 ≈ 12653, 19 C7= C6× 1, 04 ≈ 12653, 19 × 1, 04 ≈ 13159, 32 C8= C7× 1, 04 ≈ 13159, 32 × 1, 04 ≈ 13685, 69 C9= C8× 1, 04 ≈ 13685, 69 × 1, 04 ≈ 14233, 12 C10= C9× 1, 04 ≈ 14233, 12 × 1, 04 ≈ 14802, 44.
3. On suppose maintenant qu’au 1er janvier de chaque année, à partir du 1er janvier 2006, la personne rajoute 1000 e sur son compte. On recalcule C1 et C2, puis on exprime Cn+1
en fonction de Cn. Ainsi, on détermine une valeur approchée de C10. Chaque année, le
capital génère des intérêts de 4% et de plus il est augmenté de 1000 e. On a donc C1= C0× 1, 04 + 1000 = 10000 × 1, 04 + 1000 = 11400 C2= C1× 1, 04 + 1000 = 11400 × 1, 04 + 1000 = 12856
On peut écrire Cn+1 = Cn× 1, 04 + 1000. On obtient alors en utilisant une calculatrice
C10≈ 26808, 55. Avec une TI82, on peut faire : 10000 -> C
C * 1.04 + 1000 -> C On obtient alors
> 10000-> C 10000
> C*1.04+1000->C 11400 12856 14370.24 15945.0496 17582.85158 19286.16565 21057.61227 22899.91676 24815.91343 26808.54997
Avec un tableur (OpenOffice.org Calc), on peut faire :
A1 = 10000
B1 = A1*1,04+1000
# Glisser la formule vers la droite autant de fois que necessaire
On obtient :
4. On donne un algorithme sur Algobox qui détermine à partir de quelle année le capital aura été multiplié par5.
VARIABLES
C EST_DU_TYPE NOMBRE annee EST_DU_TYPE NOMBRE
DEBUT_ALGORITHME
annee PREND_LA_VALEUR 2005 C PREND_LA_VALEUR 10000
TANT_QUE (C < 50000) FAIRE
DEBUT_TANT_QUE
annee PREND_LA_VALEUR annee+1 C PREND_LA_VALEUR C*1.04+1000
FIN_TANT_QUE
AFFICHER annee
FIN_ALGORITHME
On donne un algorithme sur TI82 qui détermine à partir de quelle année le capital aura été multiplié par5. 2005 -> N 10000 -> C While C < 50000 C*1.04+1000 -> C N + 1 -> N End Disp "ANNEE ",N
44.3 Un problème de tribu Lation 15
44.3
Un problème de tribu Lation
Exemple 44.3 Dans une tribu un peu spéciale, la tribu « Lation », on compte de façon très étrange :
1, 2, 4, 5, 7, 8, 10, 11, 13, 14, 16, 17, 19, 20, 22, . . .
Tous les multiples de 3 ont disparu tout en gardant le symbole « 3 » dans les autres nombres ! Quel nombre obtiendra-t-on si l’on compte 2011 objets ?
Dv
On se fixe k un entier supérieur à2 et pose Nk le kenombre obtenu. Soit p un entier, que vaut
N3p? — N3= 4 = 3 + 1 = 3 + N1 — N6= 8 = 6 + 2 = 6 + N2 — N9= 13 = 9 + 4 = 9 + N3 — N12= 17 = 12 + 5 = 12 + N4 — N15= 22 = 15 + 7 = 15 + N5 On constate alors que :
N3p= 3p + Np.
Ainsi :
N2010= 2010 + N670. Comme670 n’est pas divisible par 3, on va exprimer N669:
N669= 669 + N223. Comme223 n’est pas divisible par 3, on va exprimer N222:
N222= 222 + N74. Comme74 n’est pas divisible par 3, on va exprimer N72:
N72= 72 + N24= 72 + 24 + N8 = 72 + 24 + 11 = 107. On a alors :
N74= 110 car108 est divisible par 3. D’où :
N222 = 222 + 110 = 332 ainsi
car333 est divisible par 3. De plus :
N669= 669 + 334 = 1003
N670= 1004
N2010 = 2010 + 1004 = 3014.
44.4
0,9999. . .= 1
À l’aide d’une suite géométrique, on va montrer que0, 9999 · · · = 1.
Dv Nous avons : 0, 9999 · · · = 0, 9 + 0, 09 + 0, 009 + · · · = 109 X n≥0 1 10n 0, 9999 · · · = 10 ×9 1 1 − 1 10 = 9 10 × 10 9 .
44.5
Mise en abîme
Sachant qu’il y a une infinité de triangles colorés, calculez l’aire de la surface totale qu’ils oc-cupent.
Dv — Le premier triangle (le plus grand) a pour côté1, son aire est donc égale à 12.
— Le second triangle a pour côté 12; son aire est donc égal à 18. — Le troisième triangle a pour côté14; son aire est donc égale à 321 . La surface totale aura donc une aire égale à :
lim n→+∞ 1 2 n X k=0 1 4k ! = 12 × 1 1 −1 4 = 2 3.
44.6
Le problème des anniversaires
A partir de quelle valeur n la probabilité pour que, dans un groupe de n personnes, deux au moins d’entre elles aient la même date d’anniversaire est-elle supérieur à0, 5 ?
44.6 Le problème des anniversaires 17
Dv
Pour traiter ce problème, considérons l’événement contraire de celui qui nous intéresse : calculons la probabilité pour qu’aucune des personnes n’aient la même date d’anniversaire (on notera cette probabilité pn). Quand n= 2,
p2 = 364365 = 1 −3651 .
Quand n= 3, il faut que la troisième personne n’ait pas la même date d’anniversaire que les deux autres, d’où : p3 = 1 −3651 1 −3652 . Quand n= 4, on a : p4 = 1 −3651 1 −3652 1 −3653 . Pour n quelconque, on a : pn= nY−1 k=1 1 −365k .
La probabilité qui nous intéresse est1 − pn. On regroupe les valeurs dans la table suivante.
44.7
Nombres de Fibonacci
Exemples 44.4 — Applications des suites de Fibonacci. 1. On dispose d’un plateau de
dimen-sion2 × n, n ∈ N∗. De combien de façon différentes peut-on disposer des dominos (à couleur unique sans motif) de sorte à ce qu’ils recouvrent totalement le plateau.
On regarde ce qui se passe pour les premières valeurs de n : n= 1 : il y a une seule façon de disposer le domino.
n= 2 : Il y a 2 façons de disposer les dominos.
n= 3 : Il y a 3 façons de disposer les dominos.
n= 3 n= 3 n= 3
n= 4 : Il y a 5 façons de disposer les dominos.
n= 4 n= 4 n= 4
n= 4 n= 4
n= 5 : Il y a 8 façons de disposer les dominos.
n= 5 n= 5 n= 5 n= 5
n= 5 n= 5 n= 5 n= 5
n= 6 : Il y a 13 façons de disposer les dominos.
Ainsi, nous pouvons constater (et on peut vérifier cela en regardant les autres valeurs de n) que nous obtenons ici les premiers termes de la suite de Fibonacci. Il y a donc Fnfaçons de
44.7 Nombres de Fibonacci 19
2. Un homme se déplace dans un couloir infini où il n’avance que face à lui ou vers sa droite sans jamais se tourner vers la gauche ni revenir en arrière. Combien de chemins possibles peut-il emprunter pour aller à la case n suivant l’illustration ci-dessous ?
1 2 3 4 5 6 7 — De la case1 à la case 2, il y a 1 possibilité ;
— De la case1 à la case 3, il y a 2 possibilités (1 → 3 ou 1 → 2 → 3) ; — De la case1 à la case 4, il y a 3 possibilités ;
— De la case1 à la case 5, il y a 5 possibilités ; — De la case1 à la case 6, il y a 8 possibilités ; — De la case1 à la case 7, il y a 13 possibilités ;
On voit encore une fois apparaître les premiers termes de la suite de Fibonacci. Il y a donc Fn
chemins possibles pour aller de la case1 à la case n.
44.7.1 Etude d’une population
Les suites récurrentes ont de très nombreuses applications. Par exemple, intéressons nous à l’évo-lution à l’effectif d’une population.
Dv
Soit pn l’effectif de la population à l’instant n. On suppose qu’il n’y a aucun flux migratoire.
L’évolution de l’effectif de la population résulte donc uniquement des naissances et des décès. On note α le taux de natalité (α ≥ 0) et ω le taux de mortalité (0 < ω < 1). On a :
pn+1 = pn+ αpn− ωpn= pn(1 + α − ω). (44.1)
Cependant, il parait raisonnable de penser que les taux de natalité et de mortalité sont dé-pendant de l’effectif de la population. En effet, si l’effectif de la population est très important, la compétition entre les individus est accrue. On peut alors imaginer que le taux de natalité diminue et que le taux de mortalité augmente et inversement. . .
dépendantes de p0: α(pn) = α − α0pn où α0 >0 ω(pn) = ω + ω0pn où ω0 >0. (44.1) s’écrit alors : pn+1= pn(1 + α − α0pn− ω − ω0pn) = pn(1 + α − ω) · 1 −1 + α + ωα0+ ω0 pn . On pose un:− 1+α+ωα0+ω0 pn. Comme pn+1>0, pn>0 et (1 + α − ω) ≥ 0, on a : 0 ≤ un≤ 1. R 44.5 Que caractérise un?
— Si un est nul (ou tout au moins très petit) alors on en revient au premier modèle, c’est-à-dire les taux de natalité et de mortalité sont très peu sensibles à l’effectif de la population.
— Si uns’approche de1, l’évolution de l’effectif en ait fortement impacté.
Conclusion : uncaractérise la sensibilité des taux de mortalité et de natalité à l’effectif de la population.
On remarque que : un+1= α0+ ω0 a · pn+1 où a= 1 − ω + α = α0+ ω0 a · a · pn· (1 − un) = un· a · (1 − un).
unest donc une suite récurrente avec g(x) = ax(1 − x).
R 44.6 (Discussion des valeurs de a) a >0 car 1 − ω > 0 et α > 0. On peut considérer que a n’est pas très grand, sinon cela signifierait qu’il y a un grand écart entre α et ω. Prenons0 < a < 4.
On peut alors montrer que g([0 , 1]) ⊂ [0 , 1]. Les points fixes de g sont x1= 0 et x2= a−1a .
Si 0 ≤ a < 1 seul x1est dans[0 , 1] et il est attractif car g0(x) = a − 2ax et g0(x1) = a.
Si 1 ≤ a < 2 — g0(x) = a − 2ax, g0(x1) = 0 > 1 donc x1est répulsif.
— g0(x2) = a − 2aa−1
a = 1 − a. Or
1 ≤ a < 2 ⇔ −1 ≥ −a > −2 ⇔ 0 ≥ 1 − a > −1 donc x2est attractif.
Bibliographie
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wp-content/uploads/2007/03/theorie_graphes.pdf.
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accompagnement.pdf.
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